La « Mother Road « reste la plus mythique des routes américaines ? Un rêve, une épopée et presque un voyage initiatique, mais comment en profiter, quel temps lui consacrer et comment l’aborder ? voici la présentation de nos meilleurs circuits.

A moto, sur les traces de l’histoire américaine  

Un peu d’histoire avant de commencer votre voyage sur la Route 66 :

**Naissance de la Route 66 : **

La Route 66 a été inaugurée officiellement le 11 novembre 1926. Elle reliait à l’origine Chicago (Illinois) à Santa Monica (Californie), traversant huit États américains pour remplacer les pistes de chasse et de migration des Natives Americans. C’est l’une des premières routes transcontinentales bitumées, destinée à faciliter le commerce et les déplacements à travers l’ouest des États-Unis. Cyrus Avery l’entrepreneur à l’origine de cette première association de la Route 66 la baptise alors la Grande route diagonale, et par la suite Main Street of America. 

**Symbole de la Grande Dépression : **

Dans les années 1930, la Route 66 est devenue une voie d’évasion pour des milliers de familles déplacées par la Grande Dépression, en quête de meilleures opportunités en Californie. Le roman « Les Raisins de la colère » de John Steinbeck immortalise cette période, surnommant la route « la route mère » (Mother Road).

**L’Âge d’Or et le rêve américain : **

Après la Seconde Guerre mondiale, la Route 66 devient synonyme de liberté et d’aventure. Elle est empruntée par des millions d’Américains et de touristes, inspirant d’innombrables chansons, films, et émissions de télévision. Elle incarne l’esprit du voyage sur la route et la quête du rêve américain.

**Déclassement en 1985 : **

La Route 66 a progressivement été supplantée par les autoroutes modernes (interstate highways) au début des années 70. Le déclin sera lent et laissera sur le bord de la route motels, stations- services et divers épiceries abandonnées… En 1985, elle est officiellement déclassée et retirée du réseau routier fédéral, et la petite ville de Williams en Arizona aura eu le privilège d’être la dernière ville à être dévié par l’autoroute, ce qui lui confère une notoriété particulière chez tous les amoureux de la Route 66. Elle reste toutefois un symbole culturel et touristique important aux États-Unis.

Voyager sur la Route 66 avec AMERICAN MOTORS TRAVEL

Cette route mythique peut se faire à moto évidemment (avec guide/accompagnateur (lien formule acc) ou sans mais également en autotour …  Plus qu’à faire votre choix :

Route 66 Express
Une version en 10 jours, pour se concentrer sur la plus belle partie de la  » Route Mère » (la dernière partie a avoir été déclassé et en un certains sens l’une des plus riches). Un départ d’Albuquerque pour arriver à Los Angeles, tout en gardant l’essentiel de l’esprit « sixty-six »

Route 66 Tours
La Route 66 dans son intégralité, des Rives du Lac Michigan aux plages du Pacifique à Santa Monica. Un voyage hors du temps et une durée optimale de 16 jours/14 nuits pour apprécier tous les détails de la Mother Road.

Route 66 Relax Tours (NEW)
Une version Relax pour découvrir la Route 66. La différence? 2 nuits à Chicago ( éventuellement le temps de faire un tour à Milwaukee au cœur de la légende Harley Davidson). 2 nuits à Santa Fé, le temps idéal pour profiter de le Turquoise Trail, des maisons en adobes et des nombreux parcs nationaux des alentours (histoire de faire une petite pause aussi ). Et finish en apothéose avec 2 nuits sur Los Angeles.

R66 & Parcs Nationaux
Du Michigan à Las Vegas, le meilleur compromis pour profiter de la « Mother Road » tout en la combinant avec les plus beaux parcs nationaux. Monument Valley, Lac Powell et Grand Canyon au programme…De quoi répondre à l’appel du Grand Ouest. Et l’occasion d’agrémenter votre voyage d’activités inoubliables !(survol en hélicoptère, balade ou cheval ou visite d’Antelope Canyon…), sans oublier terminer votre périple dans la ville du pêcher. (Possibilité d’ajouter quelques jours pour rejoindre le fameux Pier de Santa Monica)

Voilà vous n’avez plus qu’à faire votre choix, de 10 à 21 jours, choisissez la formule qui vous correspond ! Et bien sûr si aucune de nos propositions ci-dessous de devait vous convenir (on y croit pas trop mais ne sait-on jamais…), nous pouvons bien sûr déterminer avec vous la meilleure formule sur-mesure !

Un mythe pour beaucoup de motard, un rêve pour certain… Une ode à la liberté et un emblème pour toute une génération. Rouler sur les traces de Peter Fonda est iconique et même si vous n’êtes pas un fan du film, partez à travers les grands espaces américains, les déserts et canyons… Bref, les plus beaux horizons à portée de main ou de guidon, c’est ici :

Le mythe du road trip à moto

A travers 5 états, il représente pour beaucoup l’ultime road trip ! Celui qui vous mènera de la Nouvelle Orléans aux plages de la Californie. Commencez par les bayous et les plantations de Louisiane, puis découvrez le Texas avec ses ranch et ses étendues à pertes de vues. L’étape du Nouveau Mexique vous offrira une étape unique, mêlant désert et montagnes, avant de rejoindre l’Arizona, ses cactus et ses petites villes hors du temps et enfin terminez en apothéose par la Californie, découvrant aussi bien ses étendues désertiques peu connues que ses plages les plus célèbres. Voici donc le mélange parfait de grands espaces, de villes incontournables, de déserts, de montagnes et d’histoire qui ne s’adresse pas qu’aux afficionados du film…


Un condensé d’histoire américaine et d’expériences inoubliables

Car appartenant tantôt à l’Espagne, au Mexique ou à l’Amérique, c’est dans cette région que s’est inscrit l’Histoire du Sud des USA. Visitez les plantations pour plonger au cœur de l’histoire afro-américaine (et française au passage), assistez au véritable règlement à OK Corral (si, si cela existe bien) ou découvrez les authentiques fusées ayant rejoint la Lune au Space Center de Houston… Vous traverserez toutes les périodes de l’histoire américaine en un clin d’œil. Et cela sans compter les expériences à ajouter à votre voyage : dormez dans un ranch, demandez-nous pour loger dans un tipi ou dans un hôtel historique, randonnez dans les dunes du sable le plus blanc des USA ou baignez-vous dans les eaux chaudes du Golfe du Mexique, bref, vous n’aurez que l’embarras du choix et on ne vous dévoile pas tout… car comme le dit si bien Henry Miller : « Une destination n’est jamais un lieu, mais une nouvelle façon de voir les choses ».

Parcourez des routes & paysages emblématiques, au guidon de votre Harley

Un circuit de 20 jours, soit 18 nuits, c’est ce qu’il vous faudra pour rejoindre le pacifique depuis le Golf du Mexique. Un dépaysement total avec des sites moins connus et donc moins touristiques dont l’époustouflant Big Bend Nat’l park, où vous séjournerez 2 nuits. A proximité de villes fantômes, villages pittoresques ou petites localités ancrées dans l’époque du Far West  (telle que Marfa, Tombstone, pour ne citer que ces deux là). Ainsi que le célèbre parc de White Sands, une des nombreuses merveilles du Nouveau Mexique ou encore avant de rejoindre la côte via San Diego, découvrez de vastes étendues désertiques, au décor sauvage, dans une zone isolée … avec pour finir 2 nuits dans « la Cité des Anges« , sur les terres du glamour hollywoodien, du surf et des icônes culturelles.

Ce qu’il faut savoir, pour cette chevauchée fantastique

Pour qui ? Comme on vous l’a présenté ci-dessus les différentes expériences ne manquent pas et sauront s’adapter à tous. Que vous soyez motard, voulant vivre le mythe d’Easy Rider et rouler dans les traces de Wyatt et Billy (Peter Fonda & Dennis Hopper), que vous soyez amoureux des grands espaces, passionnés d’histoire ou encore en famille, les expériences pourront s’adapter à toutes vos envies. Que vous soyez motard, voulant vivre le mythe d’Easy Rider et rouler dans les traces de Wyatt et Billy (Peter Fonda & Dennis Hopper) …

Ou que vous soyez amoureux des grands espaces, passionnés d’histoire ou encore en famille, les expériences pourront s’adapter à toutes vos envies. Mais surtout, il convient aux amateurs d’épopée, avec des étapes un peu plus longues qu’à l’accoutumée, relèverez-vous le défi de traverser les USA d’un océan à l’autre (possibilité de l’inverser si vous préférez débuter à L.A). Il convient de préciser que le rythme est plus soutenu que la majeure partie de nos circuits sur l’ouest américain mais avec une moyenne d’environ 375 km / jour.

Quand ? la période idéale reste en mai/juin puis septembre/octobre. Pour des raisons de coûts, si vous pouvez, privilégiez fin juin avec un retour maximum le 5-6/07 ou idem fin septembre avec un retour sur la mi-octobre, les suppléments liés à la location moto, seront ainsi atténués.

Quelle formule ? A moto, notre « Tribute to Easy Rider » est proposé donc au sein d’un petit groupe (5 motos / 10 personnes, en moyenne ou allant jusqu’à 8 motos / 16 personnes maximum) : c’est notre formule accompagnée, sinon en solo, groupe d’amis … sans guide/accompagnateur, donc notre formule mototour. Retrouvez nos dates et tarifs sur notre site internet. A noter que ce circuit est également proposé en formule autotour (pour cela, contactez-nous).

Aventure personnalisable avec hébergements atypiques, pour ce voyage moto aux USA

Contrairement à la plupart de nos circuits, nous n’avons pas opté pour les grandes chaines d’hôtellerie traditionnelles U.S. Dès la Nouvelle Orleans, vous serez immergé en plein cœur du French Quarter et poursuivrez à travers de petits Guest house, motel, Lodge, hôtel historique, et potentiel Ranch … évidemment dans les centre-ville, nous vous proposerons ponctuellement de plus grandes structures, pour l’emplacement et équilibrer le budget … Dès le devis, n’hésitez pas à nous préciser vos critères, même en formule accompagnée (circuit guidé à moto, en petit comité) nous pourrons vous faire une offre personnalisée.

En conclusion, il nous aura fallu de nombreuses années et la contribution de loyaux et dévoués clients AMT, pour vous faire une proposition qui nous semblait la plus judicieuse. La tache ne fut pas aisée mais nous espérons vivement vous avoir concocté un itinéraire des plus complets. Comme l’intégralité de nos circuits, celui-ci reste totalement personnalisable en formule mototour ou autotour, demande de devis via notre formulaire VSM ou appelez-nous 🙂

Voyager à l’étranger est une expérience excitante, mais elle peut aussi être stressante, surtout lorsqu’il s’agit de passer les contrôles de sécurité et d’immigration. Heureusement, la technologie moderne offre des solutions pour rendre ce processus plus fluide et agréable. Aujourd’hui, nous allons explorer l’application Mobile Passport Control, un outil indispensable pour tout voyageur ayant déjà voyagé aux Etats-Unis (et qui bénéficie d’un ESTA en cours).

Qu’est-ce que (MPC) « Mobile Passport Control » ?

Mobile Passport Control est une application mobile officielle approuvée par les autorités américaines qui permet aux voyageurs de soumettre leurs informations de passeport et de douane électroniquement avant d’atteindre les points de contrôle des douanes et de l’immigration. Lancée en partenariat avec l’U.S. Customs and Border Protection (CBP), cette application vise à simplifier et à accélérer le processus d’entrée aux États-Unis pour les citoyens américains et les visiteurs internationaux. Les voyageurs munis d’un ESTA approuvé peuvent soumettre leurs informations, ainsi qu’une photo. En effectuant plus de « tâches administratives », les voyageurs gagneront du temps à l’aéroport en transmettant à la douane américaine un ticket imprimé sur place.

⚠️ Vous êtes éligible si vous vous êtes déjà rendus aux Etats-Unis avec un ESTA validé et notez également :

✔️ Que vous devez vous connecter au WIFI de l’aéroport à l’arrivée pour utiliser l’application

✔️ Que si vous avez fait une erreur lors de votre demande, il vous faudra la supprimer et en soumettre une autre

Voici la liste des aéroports aux Etats-Unis compatibles avec le dispositif MPC :

AÉROPORTS US

  • Atlanta Hartsfield-Jackson International Airport (ATL)
  • Baltimore/Washington International Thurgood Marshall Airport (BWI)
  • Boston Logan International Airport (BOS)
  • Charlotte Douglas International Airport (CLT)
  • Chicago O’Hare International Airport (ORD)
  • Dallas/Fort Worth International Airport (DFW)
  • Denver International Airport (DEN)
  • Fort Lauderdale-Hollywood International Airport (FLL)
  • Honolulu Daniel K. Inouye International Airport (HNL)
  • Houston George Bush Intercontinental Airport (IAH)
  • Houston William P. Hobby International Airport (HOU)
  • John F. Kennedy International Airport (JFK)
  • Kansas City International Airport (MCI)
  • Las Vegas Harry Reid International Airport (LAS)
  • Los Angeles International Airport (LAX)
  • Miami International Airport (MIA)
  • Minneapolis-Saint Paul International Airport (MSP)
  • Newark Liberty International Airport (EWR)
  • Oakland International Airport (OAK)
  • Orlando International Airport (MCO)
  • Philadelphia International Airport (PHL)
  • Phoenix Sky Harbor International Airport (PHX)
  • Pittsburgh International Airport (PIT)
  • Portland International Airport (PDX)
  • Sacramento International Airport (SMF)
  • Salt Lake City International Airport (SLC)
  • San Diego International Airport (SAN)
  • San Francisco International Airport (SFO)
  • San Jose International Airport (SJC)
  • Seattle-Tacoma International Airport (SEA)
  • Tampa International Airport (TPA)
  • Washington Dulles International Airport (IAD)
  • Gain de temps considérable
  • Simplicité d’utilisation
  • Sécurité des données autorités.
  • Gratuit et sans inscription préalable

Comment utiliser le MPC lors de votre road trip aux USA ?

  • Téléchargez l’application : Mobile Passport Control est disponible gratuitement sur l’App Store et Google Play. Téléchargez l’application sur votre smartphone avant votre départ.
  • Créez votre profil : Entrez vos informations personnelles, y compris les détails de votre passeport. Vous pouvez également ajouter les informations des membres de votre famille voyageant avec vous. Vous pouvez choisir votre mode d’arrivée (avion/bateau), votre lieu d’arrivée, faire la sélection des voyageurs, accepter le formulaire, répondre à six questions traduites en français (Avez-vous des marchandises ? Transportez-vous plus de 10 000 $ en liquide ? etc). A la question « la raison de votre voyage » : WT veut dire touriste (Waiver Tourist), WB veut dire business (Waiver Business).
  • Soumettez vos informations de douane : Une fois à l’aéroport d’arrivée, avant de passer l’immigration, redémarrez votre application MPC, soumettez votre demande déjà préparée. Il vous sera demandé de prendre une photo de vous et des autres personnes qui voyagent avec vous. Veillez à être seul(e) sur la photo, à enlever lunettes et chapeau. Une fois ceci effectué, et la demande soumise, vous allez recevoir très vite un QR code dans l’application à présenter, avec votre passeport, à un agent de l’immigration, dans une file dédiée (si tout se passe bien of course) appelée « Mobile Passport Control ». Vos passeports seront contrôlés à ce moment-là. Du réseau ou du Wifi est nécessaire pour envoyer les informations et recevoir le QR Code mais vous pouvez compléter votre profil hors ligne. Pour le reste, tous les aéroports US proposent du Wifi gratuit, bien que nous vous conseillons de toute façon d’avoir le forfait adapté aux USA.
  • Passez le contrôle des douanes : Dirigez-vous vers les files dédiées à Mobile Passport Control, montrez votre reçu électronique au personnel des douanes et continuez votre voyage sans tracas.

Astuces pour un voyage encore plus fluide !

  • Vérifiez la compatibilité de l’aéroport : Mobile Passport Control est disponible dans de nombreux aéroports internationaux aux États-Unis, mais pas tous. Assurez-vous que votre aéroport de destination offre ce service.
  • Gardez votre batterie chargée : Vous aurez besoin de votre téléphone pour soumettre vos informations et montrer le reçu électronique. Assurez-vous que votre appareil est suffisamment chargé à l’arrivée.
  • Ayez votre passeport à portée de main : Même si vous utilisez l’application, vous devrez toujours présenter votre passeport physique aux agents de l’immigration.

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Mobile Passport Control est une innovation qui vaut le coup d’oeil et qui rend les voyages internationaux plus simples ! En vous permettant de passer rapidement les contrôles de douane et d’immigration, cela vous laisse plus de temps pour profiter de votre destination. Bon voyage !

Vous avez planifié ou être en train d’organiser, votre futur voyage aux Etats-Unis ? Pourquoi ne pas y intégrer un match ? ou autre événement sportif ? En effet, le sport fait partie intégrante de la culture U.S et participer à une de ces rencontres est, à notre humble avis, à ne pas manquer lors de ses vacances au pays de l’Oncle Sam. Que vous soyez un fan de sport ou non, cette expérience est unique à vivre ! Découvrez en plus sur le sport, où voir vos équipes préférées et le guide pratique à ne pas oublier !

1. Quels sont les matchs de sport à aller voir durant votre voyage aux Etats- Unis ?

Voici notre sélection des sports les plus emblématiques aux USA …Nous commençons avec un sport mythique des USA : le Football Américain. Il est le sport le plus regardé et le plus populaire en Amérique. C’est avec ce sport que nous pouvons retrouver nos équipes préférées d’Amérique ! Dans la NFL (National Football League), nous pouvons retrouver des équipes emblématiques comme :

  • les Chiefs de Kansas City,
  • les Giants 49ers de San Francisco (qui ce sont d’ailleurs affrontés durant le Super Bowl 2024 !
  • les Philadelphia Eagles.

Que ce soit en regardant un match de votre équipe préférée à la télévision ou en assistant à un match en direct dans l’un des stades les plus emblématiques de la NFL, l’expérience du football Américain est incomparable.

Le Basketball est un autre sport majeur aux Etats-Unis, avec la National Basketball Association (NBA) comme ligue professionnelle phare. Les équipes sont compétitrices & offrent des matchs spectaculaires, quoi de mieux que d’aller voir les Los Angeles Lakers ?

De la mi-avril jusqu’à juin, les 16 meilleures équipes de la ligue s’affrontent dans une série de matchs à élimination directe pour déterminer le champion de la NBA. C’est à ce moment que l’intensité atteint son paroxysme, avec chaque équipe luttant pour atteindre les finales NBA. Peu importe que ce soit une petite ou grande ville, la NBA sera là pour vous faire rêver !

Comment parler du sport sans parler du Baseball ? Il est considéré comme le sport national aux Etats-Unis et c’est un vrai rite de passage que ce soit en regardant une partie de la Major League Baseball (MLB) dans un stade historique.

Soutenir les Red Sox de Boston au Fenway Park à Boston durant votre circuit Nouveau Monde Tours, les Dodgers à Los Angeles si vous optez pour un Best of West Tours ou même une Route 66, ou encore assister à un match de ligue mineure dans une petite ville pittoresque est une expérience qui promet de pimenter votre road trip !

Bien sûr, il ne faut pas oublier le Soccer (Football) qui gagne en popularité aux Etats-Unis. La Major League Soccer (MLS) est la principale ligue professionnelle de soccer aux USA, avec des équipes à travers le pays, ce qui veut dire que peu importe le circuit choisi, le soccer sera là pour vous accompagner.

2. Où aller voir vos équipes préférées ?

  • Dans l’Ouest Américain, lors d’un American Dream Tour, d’un Best of the West Tours, ou encore un Western Tours que vous soyez en auto ou en moto, vous pourrez découvrir un match de NBA des Lakers de Los Angeles au Staples Center ou encore découvrir les Golden State Warriors à San Francisco durant votre parcours qui passe par plusieurs états des Etats-Unis, quoi de mieux que de voyager et assister à des matchs inoubliables ? Vous souhaitez voir un match de Football Américain ? Pas de problème ! Les San Francisco 49ers jouent au Levi’s Stadium de Septembre à Décembre (pile pour notre départ de l’American Dream Tour en formule accompagnée !). Prenez votre moto, on vous emmène à Phoenix, pendant votre Arizona Tours pour voir un match de Baseball des Arizona Diamondbacks qui seront au stade Chase Field d’Avril à début Octobre.

  • Dans l’Est Américain, durant votre circuit Nouveau England Tours , vous pourrez assister à un match de Baseball à Boston, siroter une bière, manger un hot-dog et filer à bord de votre voiture pour aller visiter New-York et voir les New York Rangers, la fameuse équipe de hockey sur glace de NY au fameux Madison Square Garden ! Mais aussi partir à Washington DC pour voir les Commanders, une étape importante durant votre circuit Blue Ridge Tours.
  • Dans le Sud Américain, durant votre circuit Magie du Sud Tours ou le Heart Of Dixie Tours vous aurez la chance de découvrir plusieurs états du sud des US et donc de pouvoir voir jouer de grandes équipes comme à la Nouvelle-Orléans, les New Orleans Saints représentent la ville dans la NFL et passent de Septembre à Janvier ! A Florida City / Miami, les Miami Dolphins sont présents pour vous faire vivre une vraie expérience comme vous n’en avez jamais vécue. Et à Memphis, les Memphis Grizzlies vous donneront la chair de poule avec des matchs tous plus incroyables les uns que les autres.
  • Et dans le Nord Américain, vous retrouverez les Portland Trail Blazers qui jouent à la NBA depuis 1970.

3. Le guide pratique pour vous préparez à voir vos équipes préférées

Consultez le calendrier des saisons sportives pour anticiper l’achat des billets, par exemple, la NBA se joue d’octobre à avril (saison régulière), la NFL de septembre à février, la MLB d’avril à octobre, et la NHL d’octobre à avril.

Retrouvez les matchs de la saison pour votre sport favori :

Les conseils que nous avons à vous donner ?

  • Réserver vos places en avance : Les places pour les Los Angeles Lakers (NBA) ou les San Francisco 49ers (NFL) peuvent se vendre très rapidement !
  • Explorez les options de parking : les parkings se remplissent assez vite et les places sont assez chères, alors pour éviter le problème de tourner en rond, essayez de vous y prendre en avance et de regarder les parkings autour des stades, de ce fait, garer votre voiture ou moto sera beaucoup plus facile.

Pour la région de l’Est Américain, vous découvrirez New-York, Boston & Washington D.C durant notre circuit Nouveau England Tours mais aussi durant le Blue Ridge Tours. Les sports principaux sont le football Américain, le hockey sur glace et le basketball. Les conseils que nous avons à vous donner ?

  • Renseignez vous sur les conditions météorologiques : en fonction des saisons, les matchs en plein air peuvent être sujets aux intempéries, n’oubliez pas le t-shirt pour profiter du soleil ou au contraire, n’oubliez pas le k-way pour vous protéger de la pluie !
  • Pour les matchs de football Américain : la durée d’un match dure entre 3h00 et 3h30, certes vous profiterez pleinement d’une expérience magique mais pour celles et ceux qui ne s’intéressent pas plus que ça au sport, prévoyez une visite avec votre véhicule dans la ville pour découvrir ses moindres recoins.

Pour la région Nord Américaine, visitez Chicago, Minneapolis, Toronto (Canada) & Detroit. Les sports que vous retrouverez seront le Football Américain, le basketball, le baseball, le hockey sur glace ainsi que le soccer. Les conseils que nous avons à vous donner ?

  • Prévoyez votre arrivée : arriver tôt vous permet d’éviter la foule ainsi que de profiter de l’ambiance pré-match.
  • Explorez : N’hésitez pas à vous balader dans le stade pour découvrir les différents stands de merchandising ou de nourriture. Quoi de mieux qu’un bon repas pour profiter pleinement du spectacle !

Pour la région Sud Américaine, notre circuit Magie du Sud Tours vous emmène à Memphis, la Nouvelle-Orléans, Le Florida Tours vous transporte à Miami, et The Great South Tours nous fait voyager jusqu’à Atlanta. Dans toutes ces villes, les sports les plus connus sont le Football Américain, le Basketball, le Baseball et le Soccer. Les conseils que nous avons à vous donner ?

  • Respectez les règles du stade : suivez les directives du stade y compris celles concernant l’alcool, les comportements à appliquer etc…
  • Restez informé des mises à jours du match : téléchargez l’application mobile de l’équipe ou suivez sur les réseaux sociaux les stades pour recevoir en temps réel les mises à jours sur le match y compris les temps forts & les scores !

Pour finir, le paysage sportif des Etats-Unis offre une richesse et une diversité incomparable, allant de grands évènements comme le Super Bowl au séries mondiales de baseball. Que vous soyez fan de football américain, de basketball, de baseball ou de soccer, vous trouverez sûrement une expérience sportive inoubliable lors de votre voyage. Imprégnez-vous de l’énergie des stades, vivez pleinement la culture sportive unique de ce pays passionné par la compétition. Préparez vous à vivre des moments de pur enthousiasme et d’émotion dans l’un des pays les plus sportifs au monde ! Vous hésitez ? Ca tombe bien puisque nous sommes là pour vous aider à choisir LE match qui restera gravé pour toujours dans votre mémoire. N’hésitez pas à nous contacter. En famille, amis, en couple, en solo, laissez-nous créer le voyage de vos rêves !

Vous avez depuis quelques temps l’envie d’un road trip, mais à plusieurs … ? En effet, quoi de mieux que de partager ces moments de découverte et d’émerveillement avec vos amis…? Et comme vous le savez, nous sommes LE spécialiste pour vous aider à organiser ce rêve (on peut même vous proposer une formule accompagnée privative rien que pour votre groupe !). Mais avant de vous lancer, voici quelques conseils et pistes de réflexion :

1- Bien préparer son voyage entre amis

Car oui si vous voulez que le voyage convienne à tout le monde, il vaut mieux qu’il corresponde aux envies du plus grand nombre… A commencer par la destination : quand on parle de destination, cela passe par le choix du pays bien sûr, mais aussi par la région. On vous l’a déjà répété plusieurs fois, mais vous ne découvrirez pas la même chose à l’ouest qu’à l’est des USA (tout comme au Canada d’ailleurs). Déterminez également des dates convenant à tout le monde et la durée que vous pourrez consacrer à votre voyage.
La bonne idée? Organisez un apéritif (ou dîner …) avec tous les participants et dressez la liste de vos attentes… Profitez-en également pour établir la liste des étapes que vous souhaitez visiter (ex: pour un voyage dans l’ouest, est-ce que vous souhaitez passer par Monument Valley ? Passer du temps à Las Vegas ? ect …)

2- Qui organise le road trip entre potes?

Bien sûr, on va vous répondre que nous sommes les mieux placés pour organiser votre voyage:
Car déléguer l’organisation de votre voyage sera un gain de temps et d’énergie pour tout le monde et principalement pour les instigateurs qui se retrouvent le plus souvent avec une montagne de questions auxquelles ils doivent répondre et gérer – pourquoi cette étape, et combien de km, qu’est ce qu’il y a voir sur place, et on dort où?… Une responsabilité qui peut être fastidieuse et pesante. Là, vous aurez un interlocuteur extérieur à même de répondre aux interrogations de chacun et de vous guider sur les meilleures routes à la découverte des meilleurs lieux. Et si vous optez pour la formule accompagnée, vous n’avez plus qu’à vous laisser porter sur place également.

3- Quel budget pour partir ensemble?

C’est la question qui fâche et pourtant l’une des plus importante dans la phase d’organisation. Il est important d’en discuter. Parler du prix du voyage en général, mais également évoquer le budget sur place. Vous le savez maintenant un road trip se compose aussi de dépenses fixes à revoir telles que la restauration, visite, essence mais aussi souvent imprévues (autant se laisser une marge de manœuvre). Il est important de les évoquer pour ne pas déséquilibrer le groupe une fois sur place. Les moyens financiers ne sont pas forcément les mêmes pour tout le monde donc autant mettre carte sur table dès le départ et évoquer éventuellement une enveloppe commune, par exemple.

Et comme les bons comptes font les bons amis, sur place vous pouvez également utiliser des applications telles que Tricount, Splitwise, Sesterce ou Abcba, des applications pour gérer les dépenses partagées et s’assurer que chacun paie sa part. Fini les comptes d’apothicaire, l’application répartit automatiquement le montant dû par chacun.

4 – Nos conseils pour réussir un voyage de groupe entre amis:

  • savoir faire des compromis (vous n’avez pas tous les mêmes attentes)
  • savoir discuter entre vous pour être sûrs du consensus établi (et ne lésez ainsi, personne) plus vous échangerez en amont, plus vous partirez sereins le moment venu,
  • savoir se libérer du temps pour soi (même si vous partez ensemble rien ne vous oblige à rester collés tout le long du séjour). Prendre l’air permet aussi de savoir faire retomber les tensions. Ou pourquoi pas scinder le groupe en 2 à un moment de la journée si vous ne souhaitez pas faire les mêmes activités, vous aurez ainsi le plaisir de vous retrouver et à vous raconter le soir venu;

    Bref, le maitre mot est la communication! (en amont et sur place) les non-dits sont souvent les plus pesants qui peuvent amener des conflits…

Notre TOP 5 des circuits à faire en groupe

Daytona Bike Week, pour vivre ensemble l’expérience inoubliable d’une des plus grandes concentrations américaines.

La Route du Blues: pour le plaisir de partager la musique ensemble !

La Route 66: pour partir ensemble à l’assaut de la plus mythique route des USA

L’American Dream Tours: pour la découverte des plus beaux parcs de l’ouest, sur notre circuit le plus complet en seulement 18 jours seulement.

Rocky Mountain Tours: le bonheur des plus beaux virages des Rocheuses sur les trace de Buffalo Bill et Calamity Jane (sans oublier le Yellowstone)

A l’évidence, tout a augmenté, alors en cette fin d’année, nous avons décidé de vous partager nos bons plans pour économiser sur votre prochain voyage afin de réduire un peu le budget et ne pas renier sur les frais de repas ou autre sur place. Chez American Motors Travel on pense à votre porte feuille, suivez le guide👇

Voyage moto aux USA : voyager à la bonne période.

On vous l’a déjà dit, mais la période à laquelle vous allez voyager va forcément influer sur votre budget et même être déterminante. On ne le répétera jamais assez, mais un voyage au mois d’octobre ou novembre (et vice-versa en début de saison), n’aura pas le même coût qu’un voyage en plein mois de juillet/ août (voire même septembre maintenant, également en haute saison). Les billets sont moins chers (surtout cette année avec les jeux olympiques où les prix s’envolent), tout comme la location de moto ou de voiture (pas de supplément à prévoir et généralement plus de disponibilité). Cerise sur le gâteau vous aurez, en plus, moins de monde, surtout si vous envisagez une zone très touristique et souvent de très belles couleurs. Pour y voir plus clair selon les régions, reportez vous à notre article de blog > Quelle période choisir pour un road trip aux USA?

Réserver son road trip moto au bon moment

Anticiper son voyage permet de faire de belles économies, c’est la dure « loi de l’offre et de la demande » qui s’applique plus que jamais, selon le taux de remplissage. Plus vous allez attendre, plus les vols/ hébergements seront remplis et plus vous paierez cher (CQFD)! Ne comptez pas trop sur des offres de dernières minutes pour les USA, cela n’existe pas (ou à de très très rare exception …). Première étape consulter également notre article comment bien choisir son road trip aux USA?

Le bon plan pour son voyage à moto en Amérique :

LE bon plan? En réservant votre road trip moto avec AMT vous bénéficiez d’office de réductions sur les forfaits (pour les circuits guidés ou non aux USA, Canada & Afrique du Sudsauf Events et Voyage Sur Mesure), à retrouver sur notre site:
• Une réduction de 3% pour toute inscription 6 mois avant le départ,
• Une réduction de 5% pour toute inscription 9 mois avant le départ,
Et de facilités de paiement avec un acompte de 300 € par personne au lieu de 30% du montant total du voyage puis d’un règlement échelonné chaque mois sans frais jusqu’à 45 jours avant le départ.

Note: les principes annoncés ci-dessus sont également valables pour les road trip en voiture

Conseils pour bien organiser son road trip moto ou voiture:

Les principes sont les mêmes, que ce soit pour les USA, le Canada (ou même l’Afrique du sud, une autre de nos destinations phares), à moto ou en voiture, voici quelques « tips » à savoir pour faire des économies :

Pour un road trip moto aux USA

La location de moto est souvent un des point de dépense le plus important dans votre budget globale. Voici donc quelques pistes de réflexion pour votre organisation: si vous partez d’une grande ville, est-il nécessaire d’avoir un véhicule dès votre premier jour sur le territoire américain ? Des villes comme San Francisco ou Las Vegas peuvent très bien se visiter à pieds, vous économisez ainsi sur le prix de la location, mais aussi sur les parkings (nous conseillons toujours un hébergement central). A savoir également, les locations fonctionnent par tranche de 24h, si vous la prenez un soir, cela vous fera certes gagner un peu de temps le matin, mais vous payerez plus cher pour finalement la garer pour la nuit…

Autre piste à explorer, les loueurs imposent des frais de « One-ways » (en gros, des frais d’aller simple) lorsque vous prenez votre moto dans une ville et la rendez dans une autre. L’idée est donc de favoriser une boucle en optant pour un départ et une arrivée sur la même ville. Sinon, vous pouvez également surveiller les offres des loueurs: certains trajet peuvent profiter d’offres. Exemple, une location de moto pour la Route 66 dans le sens Los Angeles > Chicago permet de faire sensiblement baisser la note. Malheureusement peu d’offre pour la tout aussi légendaire « Route du Blues » de New Orleans à Chicago cette fois.

Pour un autotour aux USA

Les mêmes règles peuvent s’appliquer avec une location de voiture, ne pas forcément prendre la voiture en ville, privilégier une boucle…
A noter tout de même, en fonction de la ville de départ, il est parfois moins cher et plus avantageux de récupérer sa voiture dès l’aéroport (évitant ainsi des frais de transferts) à revoir selon votre projet donc … Nous travaillons depuis le début quasi exclusivement avec Alamo, qui depuis peu offre au départ de nombreuses villes un conducteur additionnel, idéal pour se partager le volant en autotour ou par simple sécurité (le fameux « au cas où » …) sans frais supplémentaire.

Organisation générale de son road trip

Pour les avions: outre nos précédents conseils, à savoir partir en dehors de la haute saison et réserver à l’avance, si vous le pouvez le mort d’ordre reste : la flexibilité. Partir à un ou deux jours d’écart peut avoir une incidence sur le coût du billet.
Pour les hôtels: toujours sur les grandes villes, les week-ends sont à éviter. Sur Las Vegas, par exemple, les tarifs hôteliers sont multipliés par 3 ou 4 lors des week-end. Il peut également y avoir un évènement : concert, rassemblement ou autre … qui feront gonfler les tarifs (d’où l’importance, on ne cesse de le répéter, de s’y prendre au plus tôt). Cela peut également permettre de profiter d’offres promotionnelles comme par exemple les fameux Resort Fees inclus évitant ainsi de débourser sur place entre 42 & 52$ par chambre (et frais annexes liés) ou profiter d’un surclassement.

Enfin, dernière configuration, pour les familles (idéalement à partir de 4 -5 personnes), penser au camping car. Un moyen économique de partir à plusieurs et d’économiser le prix des hôtels sur place (sur demande uniquement- nous contacter pour plus de renseignements).

Limiter le budget: comment préparer son voyage aux Etats-Unis.

Penser aux « pass »:
la plupart des grandes villes proposent aujourd’hui des City Card, un concept parfait pour découvrir une ville. En fonction des activités et visites que vous allez choisir de faire, certains City Pass peuvent vous permettre des économies jusqu’à 45% ! Attention, il faut bien vérifier ce qu’ils comprennent et la durée de votre séjour, car si vous n’êtes intéressés que par une ou deux excursions, cela peut ne pas valoir le coup. On vous en parlé dans notre article sur NYC, mais à retrouver également sur Chicago, Los Angeles, Las Vegas ou encore San Francisco .
Les options :
les loueurs vous proposent effectivement un certain nombre d’option lors de la prise en charge du véhicule, dont la location d’un GPS, mais c’est une dépense souvent onéreuse (environ 15€/jour) et sans grand intérêt compte tenu des technologies actuelles. D’ailleurs, on vous a déjà préparé un article dédié ici. La même logique s’applique pour les assurances, veillez bien à vérifier au préalable votre couverture pour éviter les doublons.
Anticiper ses besoins sur place:
Renseignez vous sur le moyens de paiement avant de partir: il faut vous interroger sur les frais bancaires, commissions et prendre en compte le taux de change qui peuvent également contribuer à faire gagner quelques $. Il est impératif de se tenir informé pour réduire ces frais ou autres commissions ainsi qu’anticiper un cours favorable (autant que possible). Tous nos conseils à ce sujet sont à retrouver sur notre article « comment payer à l’étranger ».
Difficile aujourd’hui de se passer de son téléphone, il faut donc anticiper et connaitre vos moyens de communication sur place (accès à internet, appels…). Retrouvez tous nos conseils ici. Une étape indispensable pour profiter également de notre nouvelle prestation: l’assistance AMT ou en formule accompagnée, garder contact avec votre guide et le reste du groupe.

Bons plans sur place: savoir économiser pendant votre circuit aux USA.

L’un des premiers bon plan pour un road trip dans l’ouest est bien sûr le Pass « America The Beautiful ». On vous l’a présenté dans notre article mais cela reste pour nous un incontournable quand vous partez à l’assaut des parcs nationaux et monuments américains. A prendre sur place, dès la visite du premier parc ou monument national donc.

A destination la nourriture sera l’un de vos premier poste de dépense (en tout cas, ça l’est devenu ces dernières années). L’idée pour économiser (si vous êtes en voiture): achetez une glacière au début de votre voyage et prévoyez des sacs congélation, vous pourrez ainsi vous ravitailler en glace dans les hôtels le soir et garder au frais vos salades et autres pique niques achetés en supermarchés. Forcément moins cher qu’un restaurant. Pour les motards, privilégiez les fast food ou à emporter (non il n’y a pas que de la malbouffe, rendez-vous sur notre article dédié pour vous en convaincre), vous économiserez ainsi sur la prix avec une TVA réduite, mais aussi sur le tips (le service) sans compter le gain de temps pour le déjeuner. Dernier « tips » à Las Vegas, privilégiez les buffets (idéal pour deux repas en un). Selon le parcours, un petit-déjeuner tardif permet également de se payer un excellent (et couteux) Steakhouse en fin de journée (les américains mangeant très tôt).

Revenir des USA sans avoir fait le plein pour sa garde robe est presque une gageure…😆Alors, voici la bonne démarche pour ne pas ruiner:
1- Privilégier les outlets pour les grandes marques, les américains sont plutôt champions pour vous proposer ces zones commerciales dédiées, vous en trouverez quasiment partout… Reste plus qu’à prévoir quelques heures de shopping dans le planning.
2- Autre super bon plan les magasins de déstockage/dégriffés (Ross, Marshalls ou TJ Maxx), clairement pas les dernières collections mais en fouillant un peu on peut trouver de belles pépites.
3- Les Antiquaires, vous en trouverez forcément au bord de la route, outre ceux qui vendent des pierres (si, si on vous jure), c’est aussi le bon endroit pour ramener une vrai plaque d’immatriculation ou bien un vrai goodies Coca Cola qui a du vécu, un autre charme pour vos souvenirs… Et souvent un super moment avec des propriétaires passionnés.

Voilà, vous avez maintenant tous nos conseils pour économiser sur votre prochain road trip aux USA. Bien sûr, nous sommes là pour vous aiguiller et vous aider le préparer dans les meilleurs conditions tout en vous permettant de profiter de nos meilleurs tarifs. N’hésitez pas à nous contacter. En famille, en couple, en solo, laissez-nous créer le voyage de vos rêves !

Vous rêvez de faire un Roadtrip à moto aux USA parce que c’est le meilleur moyen de voyager, mais vous ne savez pas comment vous y prendre ?  Par où commencer ? Quelle zone choisir ? … Les Etats-Unis représentent tout de même une superficie équivalente à 14 fois la France ! De quoi s’y perdre en effet. Pas de stress, on vous explique tout étape par étape, suivez le guide :

1. A quelle période souhaitez-vous ou pouvez-vous partir ?

Évidemment, en fonction de la saison certaines zones géographiques ne seront pas envisageables (particulièrement pour un voyage à moto). Cela dépendra de vos impératifs (professionnels et familials en particulier).
Certes, les mois de juillet à septembre, restent la plus haute saison aux États-Unis, mais pas de panique, nous adapterons le circuit en conséquence. Oui, il fera chaud mais n’écoutez pas les « mauvaises langues », on y survit très bien (après plus de 22 ans d’expérience, on vous le garanti !). Si en revanche vous êtes flexibles, préférez des mois « creux » majoritairement en hiver, de mars à avril ou d’octobre à fin novembre/début décembre pour profiter. Voici donc quelques idées :

  • Les États du Sud comme le Texas par exemple (à découvrir ici) ou le sud de l’Arizona, idéal de mars à mai mais également en octobre/novembre par exemple …
  • Bien évidemment, la Floride, et le sud de la Californie (L.A mais surtout la zone de San Diego)
  • La Nouvelle Orléans qui se visite toute l’année, mais y fêter le mardi gras (en février) est un must ! Tout dépend avec quoi vous souhaitez le combiner également … entre une Route du Blues et une Route 66, la « meilleure saison » n’est pas tout à fait la même.
  • Las Vegas, très agréable également en hiver, vous pourrez aussi découvrir l’Ouest autrement, rythme & paysages différents (et votre porte monnaie vous en remerciera)

Pour un circuit sur l’Ouest américain, privilégiez les périodes de fin mai à début novembre. Attention, certaines routes en altitude (souvent les plus belles) ne sont pas ouvertes toute l’année, et parfois vous demande de très longs détours si elles sont fermées…  Autre point à considérer avec la période, il y a quand même moins de touristes en mai/juin qu’en août & septembre. Si vous avez la possibilité de partir en octobre (moins de monde, des température idéales et des tarifs plus abordables), c’est toujours mieux et d’ailleurs avec de belles couleurs automnales en perspectives. La même règle s’applique sur la cote Est (nord) exclusion faite de la Floride.
Le plus simple? Lire notre article dédié « Quelle période choisir pour un roadtrip aux USA« , afin de vous aider dans votre choix.

Bref, une réflexion indispensable avant de passer à la seconde étape, que nous ne manquerons pas de souligner lors de votre demande car en toute honnêteté il nous faudrait 10 articles rien que sur la météo 😉

2. Définir quelle zone ou région vous intéresse.

Les USA c’est grand donc, avec de multiples possibilités. On veut tout voir, tout faire, mais évidemment nous n’avons pas tous 3 mois devant nous pour visiter ce magnifique pays.

Votre cœur balance, l’Ouest ou l’Est ? L’Ouest vous offrira les grands espaces et les parcs nationaux emblématiques, l’Est quant à lui, propose un large choix de grandes villes chargée d’histoire et des paysages variés, tout un programme … Il n’y a pas forcément de règles, même pour un premier voyage, tout dépend de vos envies.

Alors, vous avez fait votre choix, cela sera l’est ou l’ouest, le sud ou le nord … à moto?

3. Repérer les sites que l’on veut absolument visiter

En gros, on définit ses incontournables, c’est-à-dire ce que l’on veut absolument voir, faire, visiter … Est-ce que vous voulez vous émerveiller devant l’immensité du grand canyon ou bien les buildings de NYC ? Pour certains, cela passe plus par la définition d’une thématique, si on reprend ces deux mêmes exemples : je veux parcourir les grands espaces américains qui m’ont fait vibrer dans de nombreux films/séries/publicités ou je préfère un voyage type « city trip » de grandes villes US comme on n’en trouve nulle par ailleurs.

4. Quel budget prévoir pour un road trip moto aux USA?

Forcément, cela sera un point névralgique de votre recherche, il faudra déterminer combien de temps vous souhaitez partir, quelle catégorie d’hébergement souhaitez vous lors de votre séjour, ou encore quelles activités vous envisagez. Comptez pour une durée de 10 jours environ, pour un budget pour deux (une moto, une chambre double, pour deux personnes avec les vols) une base de 2 900 environ par personne (base 2024 en formule mototour). La formule est également décisive, retrouvez l’ensemble de nos formules ici et plus en détail notre formule accompagnée, pour voyager en toute tranquillité.

Par exemple, les hôtels Best Western ne sont pas aux mêmes prix que les hôtels Hilton (quels sont vos critères, localisation ou confort/prestations proposées …), ou encore en anticipant, il vous faudra prévoir un budget d’environ 240€ pour un survol en Hélicoptère du Grand Canyon alors que sur place les prix peuvent flamber … Toutes ces petites choses sont à prévoir dans votre étude.

Il faut déterminer également le budget à allouer sur place pour les repas, l’essence, les souvenirs …. pour information (sur la base de 2023) , nous vous conseillons de prévoir environ 100$/ jour par personne (pour repas, essence pour une moto, resort fees, parkings & visites, hors activités). Il peut être plus élevé sur l’Est (plus de musées ou sites payants dans les grandes villes où le city pass peut avoir son intérêt, Chicago/NYC …).
Pour plus d’infos sur le budget, ça se passe ici

5. Combien de temps consacrer à votre voyage ?

On ne peut pas parler de budget sans durée, ce point déterminera forcément votre temps sur place. Il s’agit également de déterminer combien de temps vous avez à consacrer à votre road trip.

Aux USA les distances sont longues, et vous ne pourrez pas tout faire, il est important de hiérarchiser les sites que vous souhaitez voir afin de profiter au maximum de votre séjour, notre conseil sera souvent d’en faire moins mais mieux, donc de se « cantonner à une zone » mais de bien la visiter. De même, en fonction de votre thématique, le temps à y consacrer ne sera pas le même: la Route 66 dans son intégralité (soit de Chicago à Los Angeles) représente environ 4000 km, il est donc nécessaire d’y consacrer entre deux semaines minimum à trois semaines, le temps de profiter de cette route mythique. A moins de faire le choix de la parcourir qu’en partie comme par exemple, avec notre « Route 66 Express » d’Albuquerque à Los Angeles (en 10 jours environ à retrouver sur notre site).

Dans l’ensemble, nous préconisons de ne pas faire de circuit inférieur à 10j (entre la durée du voyage, le décalage horaire … n’oubliez pas que 10 jours veut dire 8 nuits). La bonne mesure se situe donc plutôt entre 12 et 21 jours (et bien sûr au delà si votre budget vous le permet 😉)

5. Combien de km fait-on dans un road trip?

Tout dépend bien entendu de la durée de votre voyage et de la zone géographique. Pour vous donner une idées des distances parcourues, lors de nos circuits d’une durée entre 10 et 15 jours, vous parcourrez en moyenne entre 2000 et 3500 km. Au delà de deux semaines, comptez entre 3500 et 5000 km.

7. Choisir son voyage en fonction de son rythme.

Rouler à moto peut être beaucoup plus fatigant en fonction du vent, de la chaleur, bref de la météo. Il est important de faire attention au temps consacré à chaque étapes et aux sites à visiter. Il est fondamental de prendre en compte l’ allure que vous voulez imprimer à votre road trip et l’heure d’arrivée (pour profiter de la piscine, se détendre ou visiter la ville étape). De même, il est nécessaire de se ménager des étapes qui ne soient pas trop fatigantes et surtout de se laisser du temps pour profiter de tout ce que l’Amérique a à vous offrir ! La bonne moyenne est donc de prévoir des étapes de 3000 km et 400 km (max, selon étape) par jour pour laisser du temps aux visites.

Comme il en faut pour tous les goûts, nous vous proposons donc différents rythme. Retrouvez nos meilleurs road trip moto pour 2025 (tarifs & dates communiqués en circuits guidés).

7. Quand réserver ?

Un road trip aux USA, ça se prépare, s’étudie, se planifie, il est intéressant donc de s’y prendre le plus tôt possible. Sur certaines étapes, les hôtels ou logements insolites peuvent être pris d’assaut (par exemple à Monument Valley ou dans la Death Valley où le choix est limité). Il est donc nécessaire de s’y prendre le plus tôt possible pour bénéficier de tarifs plus avantageux, idéalement 6 à 10 mois avant votre date de départ.

Chez American Motors Travel, nous vous faisons bénéficier d’une réduction de 3% pour toute inscription 6 mois avant la date de départ, et d’une réduction de 5% pour toute inscription 9 mois avant votre date de départ (sur nos forfaits uniquement, sauf events et voyage sur mesure), et cela depuis notre création il y a déjà plus de 22 ans …

Retrouvez également tous nos voyages à moto aux Etats Unis sur notre site pour sortir des sentiers battus et découvrir une autre Amérique ! 

Dans tous les cas, nous sommes là pour vous accompagner et vous conseiller dans votre choix d’itinéraires aux USA, celui qui vous correspond le mieux et sera en totale adéquation à vos envies et besoins.

Et puisque vous n’êtes pas comme Mr et Mme tout le monde, la personnalisation reste la meilleure des solutions, même si à l’évidence nos circuits sont parfaits 🙂. Vous déterminez vos critères et nous vous montons LE voyage en fonction, pour cela rendez-vous sur notre rubrique Voyage sur Mesure.

Dans notre imaginaire, nous avons une idée bien précise des différents paysages qui composent le territoire américain. Pourtant, si vous retrouvez la plupart de ces sites dans nos circuits (Le Grand Canyon, Monument Valley, Las Vegas, San Francisco, la Vallée de la Mort mais aussi New York, Boston ou encore Washington…sans oublier la Route 66), nous sommes là pour vous faire sortir des sentiers battus et vous faire découvrir une autre Amérique! Et quoi de mieux que nos circuits accompagnés pour en profiter? Voici donc notre sélection pour 2025

1-La Daytona Bike week

Le premier de nos départs de la saison, et pas des moindres puisqu’il s’agit de la mythique concentration de Floride. Une semaine ou 2 pour en profiter à votre rythme! Avec un permanence de votre guide durant la Bike Week pour ne rien louper.

Prochain départ en formule accompagnée:
du 02/03 au 10/03/2025 (Formule n°1) ou 16/03/2025 (pour la formule n°2)

Tarif promo jusqu’au 30/08

2- Le Big Circle Tours

Un départ de Las Vegas pour une découverte des principaux parcs nationaux de l’ouest le tout en 13 jours/ 11 nuits.

Prochain départ en formule accompagnée:
Du 21 juin au 03 juillet 2025

3- La Route du Blues Tours

Un road trip de La Nouvelle Orléans à Chicago, à la rencontre de l’histoire de ces bluesmen partis en quête d’une vie meilleure. Mais aussi l’occasion de découvrir Memphis & Nashville, des villes à jamais liées à la musique, pour un voyage musical, imminent ! Un, incontournable pour les amateurs de musique, d’histoire et passionnés de rencontres inoubliables.

Prochain départ en formule accompagnée:
Du samedi 27 Avril au samedi 11 Mai 2025

4 – La Route 66 Tours

LA traversée légendaire des USA ! De Chicago à Los Angeles, un parfum de nostalgie sur près de 4000km pour revivre les grandes heures de la « Mother Road ».

Prochain départ en formule accompagnée:
Du 31 Mai au 15 Juin 2025

A découvrir également, notre formule Route 66 et parcs nationaux ou Route 66 Express

5- L’American Dream Tours

LE condensé de l’Ouest Américain : Une boucle au départ de Los Angeles pour ne rien rater des plus beaux parcs américains, , pour en profiter un maximum! Dont 2 nuits à San Francisco, le tout en 18 jours pour en profiter un maximum!

Prochain départ en formule accompagnée:
Du 23 Mai au 9 Juin 2025

6- Le Western Tours

Un de nos « Best Seller » sur l’Ouest Américain. Une boucle au départ de Los Angeles pour découvrir les plus beaux parcs de l’ouest américain en un seul voyage! Un incontournable, indémodable …

Prochain départ en formule accompagnée:
Du 1er Juin au 15 Juin 2025

7- Le Blue Ridge Tours

Au départ de Washington D.C, une traversée des Appalaches et un condensé des plus belles « Scenic drive » de l’ Est. La découverte d’une autre Amérique à ne manquer sous aucun prétexte.

Prochain départ en formule accompagnée:
Du 29 Juin au 14 Juillet 2025

8 – Le Colorado Tours

Incursion dans l’ Amérique des pionniers. Celle des villes minières, des grands espaces et des sommets des Rocheuses. Combiné avec le Nouveau Mexique, pour une vision globale de Wild West.

Prochain départ en formule accompagnée:
Du 20 Juillet au 02 Aout 2025

9- Le Rocky Mountain Tours

L’Amérique sauvage dans toute sa splendeur: Les Rocheuses et les grandes plaines qui marquent notre imaginaire du Far West. A la recherches des grandes gâchettes de l’ouest, le tout dans les décors époustouflants du Yellowstone, des Black Hills (Mt Rushmore) et des Badlands.

Prochain départ en formule accompagnée:
Du 03 Juillet au 19 Juillet 2025

10- Le Texas Tours

Voyage dans un des plus grands états des Usa, à travers l’histoire, des amérindiens à la conquête spatiale, la culture cow-boys et la nature omniprésente. Un circuit dépaysant avec les belles plages du golfe du Mexique et une vie nocturne singulière !

NOUVEAUTE 2025

Tribute to Easy Rider
De La Nouvelle Orleans à Los Angeles, sur les traces de Peter Fonda à travers les grands espaces du Sud des U.S.

Florida Tours
Un nouveau tracé pour apprécier toute la richesse de cet état. 2 nuits à San Augustine et Key West pour allier histoire farniente et découverte.

Voici seulement un aperçu de tous nos circuits, car ce n’est pas moins de 25 itinéraires que nous vous proposons sur les USA (à retrouver sur notre site),
et bien sûr pour créer le voyage qui vous ressemble, n’hésitez pas à nous consulter pour un voyage sur mesure!

Voyager autrement, c’est aussi favoriser d’autres moyens de transports que l’avion, la moto ou encore la voiture pour accéder à votre destination : et pourquoi pas le train? Un excellent moyen de transport pour découvrir les villes de l’Est des USA, il vous emmène d’un centre-ville à un autre. 

On voyage à un rythme plus doux, particulièrement adapté aux familles, à la rêverie et à un mode de vie plus responsable. Tranquillement installé dans son siège, on regarde défiler les paysages, on échange des bons plans avec ses voisin(es) de wagon, une douce introduction à la destination qu’on va découvrir. 0 stress, 100% plaisir ! Voici donc un TOP 4 des villes à découvrir en train:

BOSTON

L’une des villes où l’Amérique s’est crée. Historique et culturelle avec le charme inconditionnel de ses bâtiments en brique, sauront conquérir votre cœur. Harvard, Fenway Park, Faneuil Market… des noms qui résonnent doux à l’oreille dans l’une des plus vieilles villes des USA.

NEW YORK

Pas besoin de décrire ce que vous pourrez découvrir à NYC, mais la Grosse Pomme est idéale comme point de départ ou d’arrivée des voyages en train. Un Terminus au cœur de la ville, avec en prime un voyage dans un décor de cinéma: de la Mort aux Trousses aux Men in Black, vous avez forcément vu au moins une fois la magnifique gare de Centrale Station. Un point de plus à ajouter à votre visite de la Big Apple.

PHILADELPHIE

Ah Philly ! Un air de Rocky et de Liberté résonne sur l’ancienne capitale des USA. Ville des lumières, elle garde son esprit libertaire et sa fierté d’avoir accueilli la signature de la Déclaration d’indépendance. A moins de 2h de la frénésie et des embouteillages de New York, c’est le point de chute idéal à rejoindre en train à travers la campagne du New Jersey & de la Pennsylvanie. Une étape sur les traces de l’Histoire américaine.

WASHINGTON

Dernière étape de votre « train trip »: la capitale fédérale! On vous l’a déjà pas mal présenté dans nos précédents articles (ici & ici), donc on ne va pas vous présenter à nouveau les nombreux atouts de cette ville. Mais ce qu’il est intéressant de savoir, est qu’elle se trouve qu’à 1h30 au sud de Philly et que Union Station se trouve seulement à quelques pas du Capitol. Vous pouvez donc rejoindre directement le cœur des attractions de la Capitale, directement en descendant de votre wagon!

Et voilà, nous avons presque créé votre prochain citytrip 😀. A vous de les combiner à votre convenance, et pour un voyage 100% sur mesure adapté à vos envies et vos besoins, n’hésitez pas à nous contacter! L’ouest américain, n’est bien sûr pas en reste proposant des voyages de quelques heures à plusieurs jours pour une expérience inoubliable ! Et si vous en voulez plus, sachez que le Canada propose également une traversée de son territoire en 100H! De quoi prendre vraiment son temps… Mais ceci fera l’objet d’un prochain article😉

Vous ne souhaitez pas faire une formule accompagnée mais appréhendez de partir seul aux USA ? Pas d’inquiétude nous avons la solution en formule mototour et autotour pour les Etats-Unis & le Canada :

Notre formule en liberté, aux dates que vous souhaitez mais en toute sérénité ! Qu’est-ce que cela signifie ? Petite présentation de notre nouveau service d’assistance et conciergerie :

ASSISTANCE

L’assistance, c’est : un numéro dédié en français (accessible par différents biais), à votre disposition de 08h00 à 20h (7/7 j) pour vous assister dans votre voyage et vous permettre de passer le meilleur des voyages. Vous pourrez les solliciter pour :

  • Si votre vol est retardé, annulé.
  • Retard de bagages,
  • Documents égaré perdus ou volés,
  • Problème de location de véhicule (panne, accident …),
  • Aide, suivi et recommandations médicales
  • Logement : problème au check-in, besoin d’une relocation (en fonction de la météo) …

Un N° d’urgence 24/24h sera également communiqué par l’agence pour compléter cette aide en cas d’ultime nécessité.

CONCIERGERIE

Mais ce n’est pas tout, nous avons également inclus, le « petit » plus pour parfaire votre expérience :

  • Réservation activité, restaurant, transfert ….
  • Traduction live (en direct, si besoin),
  • Confirmation d’activité déjà réservée,
  • Toutes demandes de services : babysitting, ouverture/fermeture de route …

Un service méconnu en France, et pourtant ô combien agréable, surtout si vous n’êtes pas à l’aise avec la langue de Shakespeare … Des experts, réactifs, se feront un plaisir de vous aiguiller dans vos démarches et demandes dès votre arrivée dans le pays (même plage horaire, à savoir de 8h à 20h et cela sur l’intégralité de votre parcours).

A savoir : aucune avance de frais n’est possible, pour toute réservation payante, celle-ci devra être réglée en amont auprès de notre prestataire.

Pour bénéficier de ses services, il est indispensable de télécharger en amont WhatsApp (à privilégier) et d’avoir un forfait adapté (carte SIM prépayée US ou forfait à l’international …) =>retrouvez tous nos conseils sur la téléphonie sur notre article: Voyage aux USA: informations pratiques et conseils de pro!

A noter: nous restons à votre disposition si vous avez des demandes et questions jusqu’à votre départ. Le service d’assistance/conciergerie répondra à vos besoins dès votre arrivée à destination.

L’équipe d’AMT se tient à votre entière disposition pour toute information complémentaire et vous souhaite à toutes & à tous un excellent voyage !

Son nom ne vous dit peut-être rien et pourtant Bessie Stringfield est une des plus grandes figures motardes des USA. Portrait d’une femme au parcours atypique:

Selon sa légende, Bessie Stringfield nait en 1911 en Jamaïque avant d’immigrer aux Usa, très vite orpheline, elle possédera sa première moto à l’âge de 16 ans, une Indian Scout de 1928 qu’elle prendra à conduire seule en autodidacte. Puis, à l’âge de 19 ans, elle décide de tailler la route à travers les USA, prenant l’habitude de lancer un penny sur une carte pour décider de sa prochaine destination.

Pendant 10 ans, Bessie traversera pas moins de 48 états, une prouesse pour une époque où le racisme et le sexisme font loi ! Elle devra ainsi souvent être hébergée chez des afro américains locaux ou bien dormir sur sa moto dans des stations service, l’accès aux motels lui étant refusé. Sans peurs, elle traversera même les états du Sud, où la ségrégation fait encore rage (surtout dans les années 30-40 !)et finira même par voyager au Brésil, en Haïti et en Europe.
Il faut tout même savoir que l’American Motorcycle Association qui fut fondée en 1924 n’ouvrira ses portes aux afro-américain qu’en 1950 (et là encore la grande majorité de ses membres seront des hommes).

Pour gagner sa vie au cours de ses voyages, elle effectue des cascades à moto pendant les parades, démonstrations ou festivals déjà très populaires aux USA. Elle tentera également de participer à des courses sur pistes mais les courses étaient interdites aux femmes. Elle se fera donc passer pour un homme, se démarquant le plus souvent de ses concurrents et se faisait systématiquement refuser son prix au moment où elle enlevait son casque, relevant ainsi son sexe…

Pendant la seconde guerre mondiale, Bessie intègre l’US Army. Ses aptitudes au guidon feront d’elle l’un des meilleurs messagers, transportant le courrier confidentiel entre les différentes bases militaires du pays. Ce qui lui fera à nouveau traverser le pays pas moins de 8 fois (et il ne faut pas oublier qu’à l’époque les routes étant en beaucoup moins bon état et moins bien éclairé également) au guidon d’une Harley-Davidson Knucklehead à laquelle elle avait attaché un emblème militaire… Elle sera bien sûr la seule femme de son unité.

Dans les années 50, elle s’installe à Miami et devient infirmière. Là encore, elle ne lâchera pas la moto malgré le fait qu’elle se fasse régulièrement arrêtée et harcelée par la police locale. Elle tentera bien de passer son permis de conduire, mais elle s’entend dire à ce moment-là que « les femmes noires ne sont pas autorisées à conduire des motos ». Elle arrivera finalement par convaincre le capitaine de Police, lors d’une démonstration de ses prouesses dans un parc voisin, et ne sera plus importunée. Elle fondera le Iron Horse Motorcycle club et gagnera le surnom de The Motorcycle Queen of Miami.

Elle possédera pas moins de 27 motos et roulera jusqu’à sa mort en 1993 à l’âge de 82 ans (suite à des problèmes cardiaques).
En 2000, l’AMA (American Motorcycle Association) crée le prix « Bessie Stringfield Memorial Award » pour honorer les femmes leaders dans le monde de la moto, et en 2002, elle est intronisée à titre posthume au Motorcycle Hall of Fame (à Pickerington, Ohio). Elle avait déjà été honoré en 1990 par l’AMA au cours de l’exposition inaugurale « Heroes of Harley-Davidson », car elle avait possédé 27 de leurs motos.

Une femme qui se délectait de sa liberté que rien ne pouvait empêcher de vivre la vie sur la route qu’elle était censée avoir. N’écoutant que son envie de conduire et qui la mènera finalement à recevoir la reconnaissance des plus grands.

A quelques jours de l’ouverture de la Bikeweek de Daytona, nous faisions un petit point sur les événements motos à venir, que vous pouvez découvrir aux USA. Car oui, si on connaît très bien Daytona et Sturgis, il existe de nombreuses autres concentrations motos qui pourront vous permettre de vivre ces événements à la démesure de l’Amérique. Alors c’est parti pour un petit tour des différents rassemblements:

  • Thunder by the Bay du 17/02 au 19/02/23

Souvent le premier événement de l’année sur les belles côtes de la Floride. Trop tard pour cette année certes, mais pourquoi pas le prévoir pour l’an prochain… Rendez-vous à Sarasota pour participer à cet événement qui fêtera son quart de siècle l’an prochain. Cliquez sur notre Florida Tours pour vous donner des idées et le combiner avec une découverte de la Floride😉. Contactez-nous ensuite pour créer votre voyage sur mesure.

  • Bikeweek de Daytona du 03/03 au 12/03/2023

Premier incontournable à noter dans le calendrier, on ne présente plus le fameux rassemblement de Floride. Trop tard pour vous inscrire pour cette année, mais rappelez-vous que votre agence préférée vous propose 2 formules pour apprécier l’événement. A retrouver ici.

  • Arizona Bikeweek du 29/03 au 02/04

Depuis 23 ans l’événement rassemble les motards de l’Arizona. Concerts, bike show, et courses de Flat Track. Bref, un vrai rassemblement à l’américaine au pays des cowboys. Rendez-vous à Scottsdale en Arizona, et pourquoi pas l’ accompagner de notre Arizona Tours.

  • Thunder Beach Motorcycle Rally du 03/05 au 07/05

Autre rassemblement en Floride, et autre côte. De quoi découvrir, du coup, une autre Floride ! A combiner cette fois-ci avec notre Heart of Dixie Tours . 25 ans que le rassemblement existe donc vous êtes sûrs d’être accueilli dans les règles de l’art …

  • Republic of Texas Motorcycle Rally du 05/05 au 07/05

Une année un peu particulière pour cet événement incontournable du Texas et qui fêtera ses 25 ans. Une édition plus confidentielle (et habituellement au mois de juin), mais qui rebondira, à n’en pas douter, l’an prochain. A ajouter bien sûr à notre Texas Tours !

  • Myrtle Beach Bike Week Spring Rally 12/05 au 21/05

Direction la Caroline du Sud pour ce rassemblement qui accuse ses 84 ans! A accompagner pourquoi pas de notre Great South Tours pour découvrir toutes les beautés et le charme de ces états du sud au parfum historique. Une autre édition a lieu à l’automne (du 02/10 au 08/10), si vous ne pouvez pas partir en début d’année.

  • Laconia Bikeweek du 10/06 au 18/06

Nous vous avons déjà présenté le plus ancien des rassemblements moto dans un précédent article (à retrouver ici). Laconia reste quelque chose à vivre dans un esprit Gypsie et bon enfant et fête en plus ses 100 ans cette année ! A coupler avec notre New England tours pour un voyage à la découverte de l’Est des États-Unis inoubliable!

  • Harley Davidson Anniversary du 13/07 au 16/07

Une date à ne pas louper cette année! L’anniversaire incontournable de la marque emblématique. L’événement se déroulera sur le lieu même de la naissance de la marque, donc à Milwaukee (on vous a déjà parlé ici, par ailleurs). A coupler pourquoi pas avec une Route 66 ou une Route du Blues

  • Sturgis Motorcycle Rally du 04/08 au 13/08

Encore un incontournable des rassemblements moto aux USA. Nous n’allons pas vous faire l’affront de vous le présenter en détails ici (cela a déjà été fait dans un précédent article). Mais surtout, rappelez vous qu’ American Motors Travel vous propose depuis plus de 20 ans : 2 formules pour profiter à fond de l’événement et découvrir également le Colorado et le Midwest. Une formule en 14 jours & une formule en 17 jours à découvrir au plus vite.

  • Lone Star Rally du 02/11 au 05/11

Retour au Texas pour terminer l’année en beauté. Rendez-vous à Galveston pour une ambiance de folie à la sauce Texane. On ne va pas vous le redire mais le mieux est bien sûr de la combiner avec une découverte du Texas (l’occasion de relire notre article aussi 😊)

Avec tout ça vous devriez pouvoir accorder l’un des mythiques rassemblements moto (à la sauce US) à un road trip moto. Une pierre deux coups en quelque sorte ! N’hésitez pas à nous contacter pour créer ensemble votre projet sur mesure et d’ici là : Ride safe !

Plus de 20 ans maintenant que nous vous régalons tous les ans avec l’événement moto de l’année ! Nous nommons bien sûr la Corsica Road (un nouveau nom mais toujours aussi conviviale!). Petit retour sur votre prochain événement à noter dans votre agenda:

Découvrir la Corse à moto.

Car oui, rien de mieux que découvrir l’Ile de Beauté à moto. Et au guidon de la vôtre pour encore plus de plaisir. On vous a déjà exposé les plus belles routes de Corse à découvrir dans un superbe article à lire ou relire ici. Vous savez donc maintenant que le Corse est un formidable terrain de jeu pour les motard(e)s que nous sommes ! Alors, nous ne pouvions pas choisir de meilleur endroit pour vous proposer de vous retrouver tous les ans.

Une semaine à proximité d’Ajaccio, la ville de Napoléon (qui vous offrira de de belles visites historique si vous le souhaitez). Pour profiter de sa magnifique baie alternant criques et longues plages de sable doré. Une région idéalement située pour profiter aussi bien du sud de l’Ile de Beauté : le lion de Sartène, la jolie baie de Propriano, et même rejoindre l’antique ville de Bonifacio.
Ou bien se diriger vers le nord à la conquête des calanques de Piana ou de la paisible ville de Calvi . Sans oublier les magnifiques montagnes adjacentes qui offrent virages et courbes alléchantes. Ajoutez à cela, un magnifique coucher de soleil sur les Iles Sanguinaires, à ne pas rater assurément. Bref, vous trouverez forcément de quoi vous contenter aussi bien pour les motards que pour les accompagnants.

Corsica Road, présentation:

Séjour du 28 septembre au 06 octobre 2024

  • Notre équipe vous accueille directement sur le port de Marseille pour vous encadrer au mieux dès le début de votre séjour.
  • Vous y prendre le ferry de nuit (cabine double et repas inclus) avec votre véhicule (moto ou auto- base petite berline)
    A noter :possibilité de séjour sans transport si vous voulez rejoindre la Corse en avion – pas de transferts à l’arrivée.
  • Vous rejoindrez ensuite le Marina Viva Club dans la baie d’Ajaccio, qui vous accueille dans un domaine de 10 ha boisé de pins, d’eucalyptus, de mimosas, de palmiers, bordé par une immense plage de sable fin. Séjour en demi pension (petit déjeuner et diner)
  • Et profitez du mercredi au vendredi de concerts live au cœur de votre hôtel pour profiter au mieux de votre séjour:
    • Mercredi : Chants et guitare Corse
    • Jeudi & vendredi concert Rock

Notre équipe locale reste bien sûr à votre écoute tout au long de votre séjour, pour vous conseiller sur les meilleures routes et attractions à découvrir, tout en vous dévoilant leur petits trésors cachés …

Alors rendez-vous vite sur notre site internet American Motors Travel pour vous réserver votre séjour !

Quand on pense voyage romantique aux Etats-Unis, la première destination à laquelle on pense est souvent : New York (merci Téléphone 😏: « Un jour, j’irai à New York avec toi ») mais le choix est vaste. Au lendemain de la St Valentin, nous nous sommes dit que c’était la bonne date pour vous distiller nos conseils 😉

Découvrir les USA à deux

Oui, les USA sont vraiment une destination idéale pour voyager à deux. Et le road trip et sans doute l’une des meilleure manière de se découvrir ou de se redécouvrir. La beauté et la diversité des paysages engage à l’émerveillement. Bref, quelque soit la zone que vous visiterez vous ne pourrez que passer un merveilleux moment en amoureux. Voici quelques conseils pour passer de délicieux instants à deux:

Sachez vous organiser des moments d’émerveillement: Certes, il faudra se lever tôt ou se coucher tard, mais les USA possèdent de nombreuses réserves pour l’observation des étoiles. Alors, pensez à vous organiser une nuit à la belle étoile et prenez le temps de vous enchanter par la beauté du ciel.

Prévoyez des hébergements hors du commun: Que ce soit dans l’un des palaces de Las Vegas, dans un tipi au fin fond du Montana, ou encore dans un bed & breakfast au charme victorien, les USA regorgent d’hébergement romantiques qui sauront vous transporter dans un autre monde. Une occasion en or à ne pas louper!

Les activités à faire sur le territoire américain sont nombreuses: que ce soit lors d’une balade à cheval, lors d’une randonnée à travers les arches du Arches National Park, une virée en calèche, nager avec des lamentins, dauphins ou à la découverte des coraux, admirer les mousses espagnoles , ou encore une vue à couper le souffle depuis un rooftop, le choix est vaste… Mais chacun vous laissera un souvenir inoubliable.

Top 5 des voyages les plus romantiques aux USA

Great South Tours: Savannah, Charleston et les paysages idylliques de Cumberland Island… un air d’Autant en emporte le Vent pour une ambiance des plus poétiquesdu.

Blue Ridge Tours : Les Appalaches dans toutes leur splendeurs, de petites bourgades au charme certains, un circuit sur lequel il faut savoir prendre le temps pour apprécier toute la magie des parcs de l’Est.

New England Tours: L’enchantement de villes historiques comme Boston ou Salem, la magie de la côte Atlantique et celle des White Mountains. Un circuit à travers les petites bourgade pleines de charme de la Nouvelle Angleterre .

Colorado Tours: La beauté des villes au charme d’antan, associé à la magie des Rocheuses et aux paysages du Nouveau Mexique.

Big Circle Tours: Les plus beaux parcs de l’ouest au départ de Las Vegas, pour les plus beaux souvenirs à deux. Le tout avec un petit kilométrage.

A nouveau, ce n’est pas le choix qui manque pour offrir une multitude de prestations qui rendront votre voyage romantique. Laissez-nous le soin de vous apporter cette petite touche de magie à votre voyage. A très bien bientôt pour le plus beau de vos voyages à deux.

Même si vous nous connaissez comme un spécialiste des voyages à moto, et plus particulièrement aux Etats-Unis. Vous le savez maintenant, nous créons également vos autotours pour vous permettre de vivre le meilleur des roadtrip, quelque soit votre moyen de transport. Et quoi de mieux pour organiser votre voyage en famille qu’un expert au savoir-faire de plusieurs décennies? Voici donc quelques conseils pour commencer la préparation de vos prochaines vacances en famille. 😉

1- Voyager avec des enfants : ça se prépare en amont !

On le sait, voyager avec des enfants ne sera pas la même expérience qu’un roadtrip à moto. Il convient donc de préparer avec minutie votre parcours. Il est important de prendre en compte l’âge des enfants qui voyageront avec vous. La fatigue, l’ennui sont également à prendre en compte pour un voyage réussi. Ainsi, on ne prévoit pas de trop grandes étapes (à moins de prévoir de quoi occuper les jeunes pendant plusieurs heures), et on limite le nombre de visites dans la limite du raisonnable. La totalité du parcours sera forcément à prévoir en conséquence (vous devrez sans doute prévoir un circuit plus court). Ne cherchez pas à trop remplir votre itinéraire, cela vous permettra de vous aménager des temps de pause et de profiter de l’instant.

Choisir sa période, est aussi important et à prendre en compte, si les vacances scolaires sont, on le sait un passage quasi obligatoire, il faut bien penser que les mois de Juillet/Août sont également de la haute saison pour les américains (et une bonne partie du globe), les hébergements sont donc plus chers, il y a plus de monde dans les parcs ou aux attractions… Du coup, il peut être aussi envisagé de prévoir son road trip sur d’autres vacances scolaires. En fonction de la destination choisie, les vacances de printemps ou celle de l’automne peuvent offrir des température très agréables (et ainsi éviter les fortes chaleurs de l’été) et permettre de voyager en dehors des saisons les plus chères….

Vous pouvez relire nos articles suivants, avec quelques pistes de réflexions:
-> Comment bien choisir sont road trip aux USA
-> Quelle période choisir pour un road trip aux USA
-> ou encore voyager autrement: la solution voyager hors saison

Il est également intéressant de prendre un moment en famille en amont de votre voyage et de faire le point sur ce que chacun veut voir. Impliquer vos enfants dans le processus de création et dans l’organisation de votre voyage vous garantira d’autant plus un la réussite de votre voyage. Toutefois ne vous censurez pas non plus. Par exemple, n’évitez pas Las Vegas, même si les casinos sont interdits aux mineurs de moins de 21 ans, la ville regorge de découverte et d’activités qui sont accessibles aux enfants.

Le choix des hôtels sera aussi un élément important de votre voyage. Bien sûr, après une longue journée de roadtrip, la piscine est à privilégier. Un bon instant de détente en famille à la fin de la journée, vous assurera une belle soirée beaucoup plus calme. Aux USA, on trouve de nombreux hébergements à thème: dormir dans un tepee, dans une caravane Airstream ou encore sous la mer aux keys. Bref, l’hôtel devient une attraction en soit et une belle surprise en fin de journée.

Prévoir des activités à partager. Faire du rafting en famille, se donner le défi d’une randonnée, ou encore un parc d’attraction vous permettra de souder d’autant plus vos liens familiaux et de construire de merveilleux souvenirs! Et au top des activités qui peuvent être peu onéreuse, on retrouve bien sûr les animaux. Vous pourrez en voir dans la plupart des parcs et aller à la rencontre des animaux sauvages reste toujours une expérience! Et pourquoi pas organiser une petite chasse au trésor des traces laissées par les différents habitants ….

2- Conseils pour voyager sereinement avec des enfants.

  • Prévoir une glacière pour avoir toujours à boire et à manger
  • Prévoir une tenue de rechange à portée de main
  • Prévoir un stock de lingette ou mouchoir à portée de main dans la voiture
  • Prévoir de quoi les occuper en voiture
  • Garder des surprises: activités, hôtels…
  • Sachez donner un rythme à votre voyage. Exemple: savoir se coucher tôt pour profiter d’un lever de soleil. Etablir un planning détaillé peut permettre aux enfants de se projeter sur les différentes activités.
  • Pourquoi pas les impliquer dans l’apprentissage de l’anglais: passer une commande au restaurant, acheter des souvenirs seuls pour les plus âgés, bien sûr.

3- Notre top 5 des circuits pour voyager avec des enfants

1- Le Florida Tours : pour les parcs d’attraction, le balnéaire, de petites étapes, les sensations fortes dans les Everglades …

Le Best of the West Tours ou American Dream Tours les versions les plus complètes pour découvrir l’ouest américain : Los Angeles (et ses parcs d’attraction) Las Vegas & San Francisco, pour les ados (par exemple) : références séries & films U.S. Un petit kilométrage par jour pour le Best of the West, à adapter bien sûr en fonction de l’âge des enfants et des envies de chacun.

3- Le Far West Tours: pour le parc du Yellowstone véritable zoo à ciel ouvert, la thématique « cowboys & des indiens ».

4- L’Indian Tours pour un voyage au cœur du territoire navajo. Une approche au plus près des populations autochtones. Parfait pour s’ouvrir au monde.

Mais quelque soit la zone des USA (dont un séjour, NYC par exemple …) ou du Canada qui vous intéresse, votre agence préférée reste bien sûr à votre écoute pour vous construire le meilleur des roadtrip en famille. Nous construirons ensemble le voyage qui conviendra à tous les membres de la famille ! N’hésitez pas à nous contacter pour plus de renseignements.

Troisième plus grande ville des USA (après N.Y.C et L.A), Chicago est une ville à part dans l’imaginaire: ville d’Al Capone, de la prohibition, point de départ de la Route 66, ville d’industrie, d’architecture et de gastronomie. Bref, une ville incontournable dans l’histoire et dans les mythes fondateurs des USA. Vous envisagez de visiter cette merveilleuse ville ? Suivez le guide pour préparer votre futur voyage au cœur de « The Windy City » :

1- Présentation : une ville chargée d’histoire

Située sur les rives ouest du Lac Michigan, d’abord un fort de commerce, est devenue la plus grande ville du Middle West. Sa position centrale et le développement du chemin de fer, a permis le développement de nombreuses industries (abattoirs, machines agricoles, équipement automobiles et wagons de chemins de fer), ce qui en fera un grand pôle de migration notamment de la population noire venue chercher une meilleure vie en dehors de la ségrégation sévissant dans le Sud. En 1871, un immense incendie détruira une grande partie de la ville, et l’exposition universelle de 1893 transformerons profondément l’architecture de la ville et lui donneront son prestige actuel. D’ailleurs, c’est à Chicago que sera construit le premier gratte-ciel au monde. Toute cette effervescence entraine également un formidable bouillonnement culturel, dont Chicago joui encore aujourd’hui. La ville fût ainsi l’un des berceau du Jazz, du Blues électrique, de la Soul et de la House…. Dans les années 20, elle fut surtout réputée pour abriter la Pègre (dont on vous a déjà parlé dans cet article), mais c’est aujourd’hui une histoire révolue. En 2008, Chicago obtient le titre de « Ville de l’année » par le magazine GQ pour ses récentes innovations architecturales et littéraires, son monde de la politique, ses musées réputés, ses universités prestigieuses, et son centre-ville que l’on peut voir dans de nombreux films (notamment les Batman de Christopher Nolan).

2- Quelques incontournables de Chicago

Chicago est une ville relativement étendue et regorge de choses à voir et à faire, on vous a tout de même établi une petite liste des incontournables à découvrir (vous n’y trouverez pas tout la liste serait trop longue!)

Monter en haut de Willis Tower
L’un des emblèmes de Chicago, elle resta jusqu’en 1998, le plus haut gratte-ciel du monde (et des USA jusqu’en 2013), elle abrite d’ailleurs le siège de la United Airlines.

Arpenter le Magnificent Mile
Autrement dit Michigan Avenue, surnommée les « Champs-Élysées de Chicago ». C’est le paradis du shopping (principalement de luxe). L’avenue vaut le détour rien que par l’architecture de ses bâtiments. A noter, The Wrigley Building ou Tribune Tower devenus également des symboles de la ville.

Se balader sur le Chicago Riverwalk, une promenade arborée et aménagée le long de la Chicago River, elle est bordée par des restaurants avec terrasses, des lieux de détente, des squares. Une belle balade à l’abri des buildings. Une croisière est également possible sur le rivière pour en apprécier encore plus les charmes.

Au sud, State Street une des principales artères touristiques, c’est notamment là que l’on peut y trouver le Chicago Theatre pour une photo mémorable.

Vers les rives du lac, Millenium Park et le fameux Cloud Gate. Cette sculpture installée en 2006 est rapidement devenue un incontournable. Plus au sud, le Grant Park et Buckingham Fountain à voir également.

Les 2 parcs sont bordés par le Loop, le quartier des affaire mais aussi le nom du fameux train aérien de Chicago.

Les musées sont nombreux à Chicago: The Art Institute of Chicago, Field Museum, Adler Planetarium, Field Museum, Museum of Science and Industry, History Museum ou encore Sports Museum….vous l’aurez compris il y en a pour tous les goûts.

C’est d’ailleurs dans ce quartier (et quasiment en face de l’Art Institute) que vous trouverez le fameux panneau indiquant le départ de la Route 66 ! Si ça, ce n’est pas un immanquable !

Assister à un match est également à faire. La ville peut s’enorgueillir de posséder de très belles équipes reconnues dans le monde : les Chicago Bulls (basketball), les Chicago Bears (football américain), les Cubs (baseball), les Blackhawks (hockey sur glace)…

Passer la soirée dans un club/ assister à un concert. Chicago est reconnue pour ses clubs de Jazz et de Blues, devenue des institutions et même des incontournables. l’occasion aussi de peut être rencontrer Buddy Guy’s Legends qui y a son club.

Enfin, une dernière chose à ne pas louper: la Deep-dish Pizza aussi connue sous le nom de Chicago-style Pizza. Il s’agit d’une pizza très généreuse en garniture, cuite dans un moule à tarte, ressemblant un petit peu à une quiche. A tester sans attendre.

3- Infos pratiques

Chicago est un grand nœud aérien, donc avec un peu de chance vous ferez escale là-bas. Mais c’est surtout le départ de la Route 66 et l’arrivée de la Route du Blues, 2 routes indéniablement marquantes dans l’histoire des USA.
Toutefois, l’aéroport est largement en dehors de la ville, donc si vous souhaitez la visiter, il vous faudra prendre en hôtel en centre-ville. L’avantage c’est que vous pourrez quasiment tout faire à pied, les attractions proposées ci-dessus étant relativement concentrées autour de la Chicago River.

En raison de sa disposition, elle est aussi le point de départ idéal pour faire un tour autour des Grands Lacs et découvrir Milwaukee (la ville qui a vu naitre Harley Davidson) à seulement 1h30 de route, ou pourquoi pas Détroit, Saint Louis ou Indianapolis, chacune à environ 4h de route.

Depuis le XIX° siècle,  Chicago est reconnue comme l’essence concentrée de l’américanisme et elle incarne encore pour beaucoup la ville américaine par excellence. La visiter est donc plonger au cœur de l’Amérique même. C’est donc une ville ajouter à votre bucket-list des visites à faire et sans tarder!

UPDATE le 25/01/2023

Petit changement en cette nouvelle année pour notre Blue Ridge Tours, un circuit qui se concentre exclusivement sur les routes scéniques de l’Est américain! Vous rêviez de routes  » à motards », de nature, d’histoire, et de rock ‘n roll ? Ce circuit est fait pour vous ! Souvent méconnue la région regorge pourtant de petites pépites, surtout pour les pilotes, voici donc une petite présentation:

Votre périple commence à Washington, on ne va pas vous en reparler (on l’a déjà fait ici et), et on est sûrs que vous trouverez de quoi visiter et vous occuper dans la capitale fédérale… alors, on prend les motos, et la direction de Luray, une charmante petite bourgade aux portes du Shenandoah National Park, principalement connue pour ses magnifiques grottes. Une plongée à plus de 40m sous terre dans un monde minéral et connues pour leur « Great Stalagpipe Organ », sorte de xylophone, qui produit des sons en frappant les stalactites.

Il est maintenant temps de s’attaquer la magnifique Skyline Drive, une route scénique traversant le Shenandoah National Park. Sur 169 km, et culminant à 1120m, c’est une route faite de courbes et points de vue (pas moins de 75) sur les 22 km de sommets de la chaîne des Blue Ridge Mountains recouverte de forêt pour une vraie pause nature ! Vos arrêts peuvent aussi être l’occasion de faire une petite randonnée pour découvrir les joyaux de ce parc, comme par exemple les Dark Hollow Falls (cascade bucolique en pleine forêt) …

Vous quitterez les montagnes pour rejoindre la charmante bourgade de Staunton. Une ville au charme victorien, qui entretient encore des liens avec la vieille Angleterre. D’ailleurs, vous pouvez y découvrir la seule reproduction du Globe Theater (oui oui, celui de Shakespeare). Avant de rejoindre la petite ville de Bedford, tout aussi charmante.

Le voyage se poursuit à travers les montagnes, sur la Blue Ridge Parkway (surnommée « La route préférée de l’Amérique », rien que ça !). 755km de courbes et de virages avec toujours des panoramas à couper le souffle, pour un panorama toujours renouvelé. Mais elle se dévoilera à vous en 2 temps cette fois, pour vous laisser tout le loisir de l’apprécier. Une petit pause au Blue Ridge Music Center pour vous plonger dans la culture musical de la région et prendre une petite dose de musique avant de reprendre la route. Ou bien si c’est l’histoire qui vous intéresse, un arrêt au Hickory Ridge History Museum s’impose. Fin de journée sur Blowing rock pour une vue à 360° sur les parcs environnants et vous imprégner de sa légende indienne.

Un panorama que vous pourrez également apprécier le magnifique viaduc de Line Cove que l’on vous a déjà présenté . Lake Lure pour une pause bucolique. Vous savourez votre escapade à Chimney Rock pour voir sans doute l’une des plus belle vue sur les Appalaches et la rivière. Avant de rejoindre, Asheville, qui abrite plus d’une centaine de microbrasseries😉

Une arrêt au « Wheels Through Time Motorcycle Museum » pour parfaire votre culture motocycliste, avant de finir votre escapade sur la magnifique Blue Ridge. Celle -ci se termine en plein territoire Cherokee et au pied des Great Smoky Mountains. Vous profiterez d’une journée libre pour profiter à votre guise et découvrir le parc le plus visité des USA!

Puis, de nouveau vous reprendrez la route pour ajouter à votre liste de route scénique la Foothills Parkway et surtout The Tail of The Dragon », 18 km, 318 virages… le rêve de tout motard ! A vous de voir si vous terminerez sur le Tree of Shame (l’arbre de la honte)… Et pour bien terminer la journée ajoutez également la Cherohala Skyway, avant d’arriver en Géorgie.

Petite escapade dans l’état de la pêche et de la cacahuète avant de reprendre la direction du nord et de ses routes scéniques. Car oui vous n’avez pas finit de les découvrir, notamment la Blue Ridge Pkwy, qui vous accompagnera à nouveau un bonne partie de votre remontée mais en vous dévoilant cette fois-ci tous ses trésors. De montagnes en vignobles vous prendrez le temps d’apprécier la nature qui vous entoure.

La dernière partie de votre voyage se voudra historique à travers les bourgades qui ne semble s’être arrêter dans le temps. Arrêt à Monticello la superbe demeure de Thomas Jefferson, ou encore dans la ville de Culpeper.
C’est dans la région que c’est écrit l’histoire de l’Amérique, liée aux planteurs (et à l’esclavage) mais aussi à la Guerre de Sécession. Enfin, retour à Washington pour reprendre votre découverte de la capitale!

Un parcours de choix donc pour découvrir et surtout rouler sur les plus belle routes de l’Est Américain. Un circuit de choix pour les motards assurément ! A découvrir en formule accompagnée au mois du 17 septembre au 2 octobre 2023 !

Mise à jour le 15/11/2023

Planifier un road trip sur le territoire américain implique forcément un peu de préparation. Avec une moyenne de 3500 km sur l’ouest, il vaut mieux anticiper ses déplacements et être au courant des routes fermées ou bien des réservations obligatoires avant de partir… Nous vous avons donc préparé un petit récapitulatif des principales informations à connaitre en préparant votre voyage.

1- L’Ouest Américain

Californie

  • Joshua Tree NP

Depuis mai 2022 l’adresse du visitor center a changé, il se trouve maintenant au centre-ville de Twenynine Palms. Pour rappel, il existe 3 entrées : * une au Nord-Ouest, près de Yucca Valley et Joshua Tree, accessible via la route CA62, * une autre au Nord, près de Twentynine Palms, accessible via la route CA62, * et une dernière au Sud, accessible via l’I10. Nouvelle adresse: 6533 Freedom Way.

  • Yosemite NP

Présentation de ce magnifique parc ici .2024 marque le retour du système de réservation pour désengorger le parc. Vous serez concernés si vous souhaitez l’intégrer à votre parcours entre le 13 Avril et le 27 octobre. Pour tout comprendre et ne rien rater des subtilités de cette année , nous vous invitons à vous rendre sur notre article dédié. De plus, comme tous les ans une réservation est également demandé pour les 3 week end de février pour le Natural Firefall at Horsetail Fall (plus de renseignements et à réserver sur Recreation.gov )
Tioga Pass: la route ouvre usuellement fin Mai pour fermer début novembre en raison des neiges (le col culmine à plus de 3030 m), mais cela peut varier en fonction de la météo (en 2023, elle n’a ouvert que le 22/07!). Si vous prévoyez votre road trip avant ou plus ou moins à ces dates, nous vous conseillons vivement d’anticiper votre étape et de suivre l’ouverture des routes qui traversent le parc pour anticiper les éventuels détours.
Galcier Point Road: fermée en 2022 pour réhabilitation, elle a réouvert en totalité le 15 juillet 2023.
Note: Le parc de Yosemite est très plébiscité, en haute saison vous pouvez rencontrer des bouchons et des parkings saturés. Des navettes vous permettent toutefois de visiter le parc.

  • Death Valley NP

L’Ouragan Hilary de la mi-août 2023 a fait un certain nombre de dégâts sur les routes du parc. Si les principales artères ont réouvert à l’automne, la partie nord du parc n’est toujours pas accessible. Scotty’s Castle qui devait rouvrir en 2023 après les très importants dégâts de 2015, se trouve à nouveau touché et ne sera sans doute pas réouvert avant 2024. Si les routes du parc sont opérationnelles (la CA-190, Badwater Road (de la CA-190 à Badwater Basin), Dantes View Road, Twenty Mule Team Canyon Road, Artists Drive, Natural Bridge Road, Mustard Canyon, et Mosaic Canyon Road ont rouvert avec des restriction pour les véhicules lourds cependant), ce n’est pas forcément le cas des chemins non asphaltés qui permettaient d’atteindre certains points de vue. Le mieux est de se reporter sur le site officiel du parc qui vous donne en temps réel l’état des routes. Ce site est également à surveiller en plein été (période des orages violents), au cours de votre voyage pour être sûr de la faisabilité de votre parcours.

  • Redwood NP & State Park

Un permis est maintenant nécessaire pour visiter le site de Fern Canyon (à réserver ici ). A ne faire qu’en 4X4, bien 4 routes motrices (2 passages de gués).

  • Muir Woods NM

Il est maintenant obligatoire de réserver son parking ici pour pouvoir vous y garer. Tarif 9$, les réservations ouvrent 3 mois à l’avance. A moins que vous ne souhaitiez prendre une navette, possible depuis Larkspur ou Sausalito.

  • Lassen Volcanic NP

Certains secteurs restent fermés au public depuis l’incendie de Dixie en 2021

  • Channel Islands NP

Santa Rosa, certaines zones sont fermées au public pour protéger la faune et la flore de l’île. Renseignez–vous auprès des rangers pour respecter ces interdictions.

Rien de majeur à signaler sur: Sequoia et Kings Canyon NP, Bodie State Historic Park, Pinnacles NP, ou encore Julia Pfeiffer Burns SP, Big Basin Redwoods SP, Henry Cowell Redwoods SP, Fort Ord Dunes SP, Montaña de Oro SP en dehors des fermetures hivernales des routes.

Note: La Route One suite aux violentes tempêtes de décembre et janvier 2023 a connu plusieurs glissements de terrain et ont provoqués la fermeture de la Route 1 en plusieurs points. Il est actuellement impossible de la parcourir en entier. Si la zone de Paul’s slide devait rouvrir en juillet 2023, de nouvelles études géologique ont démontrés que la montagne bouge toujours… Pour le moment Caltrans (en charge des travaux) n’annonce aucune date d’ouverture…Consultez la carte à jour

Arizona

  • Glen Canyon National Recreation Area National Park / Lake Powell Navajo Tribal Park

Retrouvez notre article sur la zone de Page, pour ne rien manquer des activités/sites à visiter : article à lire ici.

Lake Powell : Le niveau de l’eau a fortement baissé ces dernières années, certaines rampes d’accès ne sont plus accessibles aux bateaux motorisés. Si vous avez loué des bateaux il y a quelques années, il est fort possible que les accès aient maintenant changés. Toutefois des précipitations record en 2023 ont fait un peu remonté le niveau.

Horseshoe Bend : Depuis 2019, le parking est obligatoire pour découvrir le fameux fer à cheval (10$ pour les voiture et 5$ pour les motos) et pas question de vous garer le long de la route! Le site est maintenant totalement aménagé avec panneaux informatifs, rampe de sécurité…

Antelope Canyon : Le fameux canyon est en territoire navajo (Lake Powell Navajo Tribal Park) et ne fait donc pas parti du pass « America The Beautiful« . En raison d’une forte affluence et du nombre limité de places, surtout en haute saison, nous vous conseillons vivement de réserver en avance vos places (que ce soit sur l’upper ou le lower). Les visites se font à sens unique comme depuis 2021.
A noter: en été de fortes pluie peuvent s’abattre sur la région entrainant l’annulation pure et simple de votre tour pour des raisons de sécurité. Vos places vous seront bien sûr remboursées dès votre retour.

  • Grand Canyon NP

Pas d’information notable sur le plus connu des « National Park« . A noter que le rive nord est fermé en hiver en raison des neiges sur le parc (ouvre usuellement à la mi-Mai).

  • Monument Valley

Relire notre article. Même si ce n’est pas un national parc, on ne pouvait passé à côté de cet incontournable. Depuis avril 2022, la Valley Drive est à nouveau accessible aux véhicules sans restrictions. Nous vous conseillons toutefois de prendre un tour guidé avec les Navajos pour en apprendre plus sur ce peuple et accéder à des zones non autorisé aux véhicules privés. Attention, même si elle est ouverte la Valley Drive ne doit pas s’emprunter avec une moto ou un véhicule dont le bas de caisse serait trop bas.

  • Canyon de Chelly NM

White House Overlook and Trail,  le seul sentier ouvert à la randonnée non guidée est actuellement fermé pour des raison de sécurité. La découverte du parc accompagné d’un ranger reste toujours possible.

  • Chiricahua NM

Un petit bijou inconnu que vous retrouvez dans notre Arizona Tours (que l’on vous a présenté dans notre article). Il vaut mieux savoir qu’entre la mi-juin et fin septembre de violentes pluies peuvent s’abattre sur la région (mousson), il convient donc de faire attention. Le Faraway Ranch est actuellement fermé pour rénovations.

D’autres merveilles sont à découvrir dans cet état: Petrified Forest NP, Saguaro NP, Casa Grande Ruins NM, Montezuma Castle NM, Organ Pipe Cactus NM, Sunset Crater Volcano NM, Wupatki NM, Walnut Canyon NM… rien est à signaler sur ces différents parcs.

Nouveau-Mexique

  • Bandelier NM

En haute saison, de la mi-mai à la mi-octobre, l’accès au parc se fait par l’intermédiaire de navettes de 09h à 15h. En dehors, vous pouvez accéder au site en voiture.

Rien de notable sur White Sands NP (attention au fermeture pour essai militaire), Gila Cliff Dwellings NM, El Malpais NM, Carlsbad Caverns NP en dehors des fermetures hivernales.

Colorado

  • Rocky Mountain NP

Depuis 2020, une réservation est nécessaire pour entrer dans le parc. Ce système est reconduit pour 2023 et sans doute 2024 pour toute entrée entre le 26 mai et le 23 octobre. Le système de réservation ouvrira le 01 mai puis le premier de chaque mois pour les mois suivants ( ouverture le 01/06 pour les entrées de juillet et ainsi de suite…). 2 permis sont en vente: 1 pour le Bear Lake Trailhead de 05h à 18h ou le deuxième pour tout le reste du parc entre 09h et 14h. Comme pour les autres parcs soumis à ce système, les frais sont de 2$ par véhicule (indépendamment des frais d’entrée ou de votre pass). A partir du 1° juin 2023 le parc passe au paiement sans cash aux entrées.
L’entrée de Fall River (l’une des entrées depuis Estes Park) est actuellement en travaux, une seule voie est ouverte. Il est conseillé de passer par celle de Beaver Meadows (US-36). Réservation de votre pass ici.

  • Mesa Verde NP

Spruce Tree House est toujours fermé en raison la stabilité de la roche au dessus de cet habitat troglodytique.

  • Black Canyon of the Gunnison NP 

Un permis est nécessaire pour certaines randonnées.

Rien à signaler sur le Great San Dunes NP ou le Colorado NP.

Utah

  • Arches Park NP

Relire notre article ici. Comme depuis 2022, la réservation reste obligatoire pour pouvoir entrer sur le parc entre 07h et 16h entre le 01 Avril et le 31 octobre. On vous explique tout dans notre article.
Ils ouvrent le premier de chaque mois pour le mois suivant ( le 01/02 pour le mois de Mai, le 01/03 pour le mois de Juin…). Si vous n’arrivez pas à avoir de créneau, pas de panique puisque vous pourrez tout de même accéder au parc en dehors de ces horaires.

  • Zion NP

La célèbre randonnée d’Angels Landing, est sans doute la plus réputée du parc, mais pour limiter l’affluence sur ce tronçon très étroit, elle est aujourd’hui soumise à un permis délivré sous forme de loterie. Il vous en coutera 6$ pour participer à la loterie (pour un groupe jusqu’à 6 personnes) et 3$ par personne si vous êtes sélectionné, et vous pouvez indiquer jusqu’à 7 dates différentes. Les places pour les dates allant de Mars à mai sont les premières en ligne. Celle pour les 3 mois suivants ouvriront le 01/04 et ouverture le 01/07 pour celles de l’automne. Une dernière chance peut vous être offerte la veille de votre visite. Tentez votre chance ici
A noter: En haute saison, il est obligatoire de prendre les navettes pour visiter le parc. En cas de fortes affluence, les parkings peuvent être saturés dès 9h le matin. Assurez -vous de prévoir donc plus de temps pour visiter ce parc.

Rien de majeur à signaler sur Bryce Canyon NP, Capitol Reef NP, Canyonlands NP, Kodachrome Basin SP, Cedar Breaks NM, Dead Horse Point SP, Goblin Valley SP, Goosenecks SP

Nevada

  • Valley of Fire SP

Certains secteurs peuvent être fermés en cas de fortes chaleurs (01/06>30/09). A vérifier avant votre visite.

  • Red Rock Canyon National Conservation Area

Relire notre article ici. Comme en 2023, une réservation sera sans doute obligatoire de Octobre à Mai.

  • Great Basin NP

L’entrée de Lehman Caves est payante et a augmenté suite aux travaux de réhabilitation.

A noter que certains State parc du Nevada parlent de mettre en place un système de réservation. Pas de confirmation pour le moment, affaire à suivre…

2- Nord Ouest et Wild West

Etat de Washington

  • Olympic NP

Le Hurricane Ridge Day Lodge sera fermé de mai 2023 à mai 2024 pour des travaux de réhabilitation. La zone de Hoh Rain Forest va également subir des travaux. Des ralentissements sont donc à prévoir. Lake Quinault : une portion de la North Shore rd, dans le secteur du pont, est fermée suite à des dégâts provoqués par un orage. 

  • Mont Rainier NP

Le secteur de Grove of the Patriarchs reste fermé depuis 2021 suite à un inondation. Depuis Mai 2023, le parc n’accepte que les cartes bancaires pour le paiement des frais d’entrée 

Rien à signaler sur North Cascades NP hormis les fermetures hivernales.

Oregon

  • Crater Lake NP

Même si le parc est ouvert toute l’année, le Rim Road qui fait le tour du cratère peut être amenée à être fermée en raison de neige (même en juin/ juillet qui est le début de la saison). Il vaut mieux se renseigner en amont pour ne pas se retrouver bloqué. Site officiel

Montana

  • Glacier NP

La Going-to-the-Sun road ainsi que le secteur de North Folk nécessite une réservation. Les places sont limitées donc il ne faut pas rater le créneau. Nous vous avons tout indiqué dans notre article dédié au parc ici. Certaines zones de la route peuvent encore être en travaux. Renseignez vous au Visitor Center pour connaitre l’état des routes lors de votre passage.

Wyoming

  • Yellowstone NP

Les inondations de juin 2022 ont fortement endommagé une partie des routes au nord du parc. C’est aujourd’hui quasiment réparé. La route US-89N qui été la plus endommagée a été remplacée par la Temporary North Entrance Rd (en fait l’ancienne route d’accès au parc). A noter que la plupart des routes sont fermées l’hiver en raison de la neige, elles ouvrent usuellement au fur et à mesure dans le printemps, entre mi-avril et fin mai. La Beartooth Highway (US-212) et Chief Joseph Scenic Byway (WY-296) qui permettent d’entrer dans le parc depuis l’Est, sont elles aussi soumises aux intempéries, leurs ouvertures dépendent donc de la météo.

Rien à signaler sur le parc du Grand Teton NP ou Devils Tower NM

Dakota du Sud

Rien de majeur à signaler sur les parcs du Dakota: Badlands NP, Mount Rushmore NM, Custer SP, Wind Cave NP. A noter que pour visiter le Jewel Cave national Monument, une réservation est fortement conseillée-> à réserver ici

3- Centre

Texas

  • Hamilton Pool 

Notre article sur le Texas ici. Le site est fortement plébiscité en été. La réservation est maintenant obligatoire avant de vous y rendre. Le sentier permettant de faire le tour de la piscine est actuellement fermé.

  • Enchanted Rock SP

La réservation d’un créneau est obligatoire en week-ends et pendant les vacances. Ils sont disponible jusqu’à 1 mois à l’avance. Vous pouvez le réserver ici

Assurez-vous de l’ouverture de tous les trails avant de visiter les parcs de Big Bend NP et Guadalupe Mountains NP

4- Est des USA

Maine

  • Acadia National Park

La Cadillac Summit Road nécessite une réservation pour l’emprunter entre les mois de Mai et Octobre. Il vous faudra choisir entre le billet de jour ou bien celui pour le coucher du soleil. Il vous en coutera 6$ (4$ d’entrée et 2$ de frais de traitement). Le Mail Spring trail reste fermé pour le moment suite à des intempéries.

Virginie

  • Shenandoah National Park

En haute saison, une réservation est nécessaire pour randonner dans la zone d’Old Rag Mountain du 01/03 au 30/11.

Tennesse / Caroline du Nord

  • Great Smoky Mountains NP

Depuis le 01 Mars 2023, le stationnement devient payant si vous vous garez plus de 15 min ! Pour le moment, vous pouvez les acheter en amont sur le site Recreation.gov. ou aux différents centres d’accueil. Des bornes de règlement sont en cours d’installation. Vous devrez ensuite le mettre de façon visible sur votre pare-brise. Cette mesure s’applique à tous les véhicules y compris les motos. Il n’y a pas de maximum de tickets délivrés par jour et cela ne vous réserve pas de places de stationnement. Par contre vous ne payerez qu’une seule fois le stationnement pour la journée.
Depuis 2022, la Cade Cove Loop été réservée aux cyclistes et aux piétons chaque mercredi entre le mois de mai et la fin septembre. A voir si cela est prolongé sur 2024.

Pas de notifications majeurs dans les parcs de Floride (Everglades NP, Biscayne NP, Dry Tortugas NP)

Nous ne répertorions ici que les principaux parcs, ceux que nous vous proposons dans nos circuits ou bien ceux que vous pouvez découvrir dans nos circuits à la carte. Pour plus d’informations sur les autres parcs des USA, nous consulter ou bien consulter la page officielle du National Park Service. Nous vous conseillons, dès que vous pensez en visiter plus de trois, l’acquisition du fameux « Pass America is beautiful » pour cela consulter notre article à cet effet.

Un voyage dans l’ouest américain ne s’organise pas sans le passage incontournable par certains des plus beaux parcs américains. Il serait inconcevable de passer à coté du Grand Canyon, de Zion National Park, de Yosemite ou encore de la Death Valley (des parcs dont on vous a déjà parlé et si vous ne vous en souvenez plus, cliquez dessus 😉). Bref, des immanquables dont l’entrée est payante, heureusement, il existe un pass magique, que ce soit pour votre voyage à moto ou autotour aux USA, nous vous expliquons tout ci-dessous :

Qu’est ce que le pass « America the Beautiful « ?

Il s’agit d’un pass annuel qui vous donne accès à tous les parcs, monuments et sites historiques régis au niveau fédéral par le National Park Service (NPS), donc plus de 2000 répartis dans tous le pays (qui englobe également Hawaï !).
Par contre, il ne fonctionne pas dans les State parks (régi dans ce cas par les états) et en territoire autochtone, comme par exemple à Monument Valley ou Antelope Canyon qui sont gérés par les Indiens Navajos.
Il est valable 1 an jusqu’à la fin du mois anniversaire (ex: vous l’achetez le 04 juillet 2023 pour votre voyage aux USA, il sera valable jusqu’au 31 juillet 2024), et vous donne un accès illimités aux différents parcs. Vous pourrez donc l’utiliser autant de fois que vous le souhaitez, et pourquoi pas à l’occasion de plusieurs voyages aux USA! 😊

Acheter le pass, le bon plan dans un roadtrip aux USA ou pas ?

Le pass « America the Beautiful » coûte 80$. Il est valable pour l’entrée d’une voiture/ 4 personnes ou 1 moto/ 2 personnes.
A noter, certains parcs comptent une entrée par véhicule et d’autres par personnes. Si c’est le cas, et que vous êtes plus de 4 dans le véhicule, vous devrez donc vous acquitter des entrées pour chaques passagers supplémentaires (note: l’accès au parc est gratuit pour les moins de 16 ans).

Attention, en 2024, le pass ne comportera plus qu’une seule zone de signature, il faudra donc que chaque pilote possède son pass. Cela ne change rien pour les voitures où le pass sera toujours valable pour 4 personnes dans le même véhicule.
Les pass achetés en 2023 restent valables sur l’année 2024 .

Mais est-ce un bon plan? Et bien OUI, si vous prévoyez de visiter au moins 2 ou 3 parcs ! Depuis 2020, le tarifs des entrées dans les parcs nationaux ont sensiblement augmentés, le pass est maintenant valable à partir de 3 entrées dans les parcs nationaux ! Le calcul est donc vite fait ! Exemple pour l’un de nos best seller le « Western Tours » : 1° parc: Joshua Tree National Park 30$ + 2° parc: Grand Canyon National Park 35$ + 3° parc: Zion National Park 35$= 100$…. Et voilà votre pass est déjà plus que rentabilisé, car ce ne sont pas les seuls parcs que vous aurez à découvrir.

Même si les frais d’entrée sont moins important pour les motos que pour les voitures (en moyenne 25$ contre 30$ pour les voitures), il reste tout de même valable.

Comment se procurer le pass America the Beautiful ?

Même si vous pouvez aujourd’hui le commander sur internet, nous vous conseillons vivement de ne le prendre qu’une fois sur le territoire américain. Pourquoi? Tout simplement parce qu’il vous reviendra beaucoup moins cher. En effet, les frais d’envoi et de traitement s’élèvent à 25$!

Le plus simple est donc de prendre votre pass lors de la visite de votre premier parc national auprès d’un ranger. Il peut être acheté à l’entrée ou bien au visitor center (le plus souvent en espèces (attention à prévoir l’appoint), certains acceptent le paiement par carte bancaire, cela dit.


Le ranger vous remettra alors votre pass, un support ainsi que de la documentation. Vous devrez obligatoirement apposer votre signature au dos de la carte. A chaque entrée, vous devrez présenter le pass ainsi qu’une pièce d’identité. Si le parc ne dispose pas de péage d’entrée à proprement parlé (comme par exemple dans la Death Valley), vous devrez donc accrocher le support au rétroviseur de votre véhicule avec les signatures visibles de façon à ce que les rangers puissent vérifier sur les parkings que vous vous êtes bien en règle. Pour les motos, il vous sera remis des stickers à apposer sur vos parebrise. NB : pour celles et ceux qui ont le nouveau permis, celui-ci sera idéal (format carte) et les ranchers vérifieront votre signature en un coup d’œil. Gardez donc le pass et votre permis à portée de main à chaque entrée.
Faites bien attention à votre pass, car en cas de perte ou de vol, celui-ci ne pourra être remboursé.

Sachez que si vous n’avez pas pris le pass dès votre première visite et que finalement vous souhaitez le prendre par la suite ou bien que le parc n’est pas en mesure de vous le faire (manque de carte, personnel … ), pas d’inquiétude acquittez vous simplement de vos droits d’entrée et conservez bien votre reçu, il vous sera déduit de l’achat de votre pass.

L’argent récolté lors de son achat ou lors de vos entrées dans les parcs nationaux sert à l’entretien des parcs et de leurs infrastructures. Mais également à la protection de la faune et de la Flore. Alors, en achetant votre pass, vous contribuez à la préservation des grands espaces américains que l’on affectionne tant !

Vous savez maintenant tout sur le fameux pass « America the Beautiful » et comme évoqué plus haut il serait vraiment dommage de s’en priver! Rentable à partir de 3 entrées dans les parcs nationaux (voir moins) et avec un accès à plus de 2000 sites aux USA, c’est vraiment le bon plan pour un road trip aux USA réussi!

Visiter la Big Apple reste une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie! Symbole du « self made man » = de la réussite, la Grosse Pomme avec sa Skyline est un des symboles forts de l’Amérique. Comme on vous donne toujours nos bons plans, voici les informations à connaitre pour préparer votre voyage:

Connaitre New York avant de visiter la Big Apple

Quand on pense à NYC, on pense le plus souvent à Manhattan, mais ce n’est qu’une petite partie de cette ville tentaculaire. New York City, est en fait composée d’autre « boroughs » (quartiers) que vous pouvez découvrir ci-contre. Il y a de forte chance que vous les connaissez déjà tous de nom: Manhattan, le Queens, Brooklyn, le Bronx et Staten Island. A noter que les principales attractions auxquels nous lions « la Ville debout » se trouvent bien sur l’ île de Manhattan.

L’île est elle-même divisée en districts. Là aussi, les noms ne vous seront pas inconnus: Chelsea, SoHo, Upper East ou West Side, Greenwich village… Avec chacun leur identité et leurs monuments, qui vous offriront des instant à part. En général, les visites se concentrent tout de même sur le sud de l’île, qui est la partie historique de Manhattan. Au niveau de Central Park (à visiter bien sûr), les quartiers de l’Upper sont plutôt des quartiers résidentiels, où il fait bon se balader. Et vous n’irez sans doute à Harlem que pour assister à l’une de leur fameuse messe Gospel (bien que dorénavant ce quartier regorge de petites pépites, pour un second voyage, sûrement).
On distingue souvent trois zones principales à Manhattan (du sud vers le nord) :

  • Downtown : le cœur historique de New York à la pointe sud de l’île. Elle comprend le quartier d’affaires de Financial District avec la bourse de Wall Street, ainsi que les quartiers de Chinatown et SoHo, mais aussi Little Italy, East Village et Greenwich village pour les quartiers les plus emblématiques. C’est là que s’élevaient les tours jumelles du World Trade Center avant les attentats, et que se trouve maintenant le One World Trade Center.
  • Midtown : On le fait généralement commencer dans le Sud à la 14e Rue et terminer à la limite sud de Central Park dans le Nord. On y retrouve des sites aussi représentatifs que: le Faltiron building, l’Empire State building, le Rockefeller Center ou encore Times Square. Vous pourrez également rejoindre Grand Central Terminal, la principale gare de l’île pour les trains de banlieue.
  • Uptown : les quartiers au nord, à l’ouest et à l’est de Central Park, le principal espace vert de l’arrondissement. C’est un espace majoritairement résidentiel (Upper East Side, Upper West Side, Harlem…).

La Cinquième Avenue, axe majeur de la ville, délimite pour sa part les côtés est et ouest de l’arrondissement.

Le nom des nombreux quartiers de Manhattan ne répondent à aucune convention particulière. Certains sont géographiques, comme l’Upper East Side, d’autres décrivent une réalité ethnique, comme Chinatown ; certains sont des acronymes, comme Tribeca (« TRIangle BElow CAnal Street ») ou SoHo (« SOuth of HOuston »), ou NoLIta (« NOrth of Little ITaly »). Ils dévoilent toute la diversité de Manhattan : le Lower East Side et East Village ont été longtemps associés à une « culture bohème ». Chelsea est le quartier de la vie artistique et nocturne du borough. Chinatown est, avec plus de 150 000 habitants, la plus grande concentration de Chinois du monde occidental. L’Upper West Side est souvent défini comme un quartier intellectuel et créatif tandis que l’Upper East Side, l’un des quartiers les plus riches des États-Unis.

Comment rejoindre votre hôtel depuis l’aéroport ?

Ici, nous parlons dans le cas où votre hôtel se trouverait sur la fameuse île de Manhattan, mais le principe reste le même pour les autres quartiers (attention certains shuttle ne rejoignent pas tous les quartiers et se concentrent sur Manhattan):

Si en générale, vous atterrissez à JFK (John Fitzgerald Kennedy Airport), plusieurs solutions s’offrent à vous:

  • En transport en commun : comptez 1h environ pour rejoindre le centre de Manhattan =>rejoindre le terminal 8-9 et prendre le AirTrain JFK Red – Airport et sortir à Jamaica Station pour rejoindre les stations de métro de la ville. Il est possible de prendre plusieurs lignes de métro depuis cette station, il vous faudra donc regarder quelle est celle qui conviendra pour rejoindre votre hôtel.
    Air train à 8$ + Métro à 2.75$ environ.
    A savoir chaque ligne de métro a des trains dits “Local “et d’autres dits “Express”.
    Local : veut dire que les trains s’arrêtent à toutes les stations sans exceptions (notre version omnibus). Ils sont donc un peu plus long surtout si vous faites un long trajet.
    Express : veut dire que les trains ne s’arrêtent que toutes les 2, 3, 4 ou 5 stations suivant les lieux de NY. Le bon plan est de prendre un Express quand on fait un grand trajet, car le train aura donc moins d’arrêts et arrivera plus rapidement. Le mauvais plan est de se tromper en prenant un Express quand on n’a que 2-3 stations à faire, ainsi se retrouver trop loin et être obligé de faire demi-tour.
    Il faut savoir également que les lignes de métro et bus à New York sont hyper complètes et surtout complémentaires. Les lignes de métro vont en grande majorité dans le sens Nord-Sud et font très peu Est-Ouest, alors que justement de nombreuses lignes de bus parcourent Manhattan d’Est en Ouest et inversement. Carte de métro sur : https://new.mta.info/map/5256 et bus http://web.mta.info/nyct/maps/manbus.pdf (demandez-la lors de l’achat de la metrocard, que nous évoquons ci-dessous)
  • En shuttle (navette partagée) : vous embarquez avec d’autres voyageurs et le chauffeur vous dépose à l’adresse de vos logements respectifs (du coup tout dépend des autres passagers et de leurs adresses de séjour, mais vous mettez en moyenne 30 min à 1h de plus environ qu’en taxi).
    Forfait usuel à 45$/ pers (il se peut que les shuttle ne desservent que Manhattan et non Brooklyn).
  • En taxi (jaune ou vert dorénavant) comptez entre 30 min à 1h de trajet (en fonction du trafic). Rejoignez la zone de taxi à l’aéroport et attendez votre tour.
    Estimation à 70-90$ par trajet
    A savoir vous pouvez calculer le prix d’une course sur www.worldtaximeter.com/new-york.
  • En Taxi privé ou pourquoi pas en limousine, l’avantage c’est que tout est réservé et à 5 ou 6 ou plus, cela ne revient pas beaucoup plus cher et quelle arrivée magistrale dans la Grosse Pomme!
    A récupérer habituellement au niveau du Pick Up Area, tarif en fonction du véhicule choisi.
    ou VTC (application Uber ou Lyft recommandé, à télécharger en France de préférence), connexion internet obligatoire avec géolocalisation, le montant total de la course s’affiche au moment de la réservation (il varie selon la demande et l’offre comptez entre en moyenne de 70 > 85$ environ, selon l’heure et la demande).

Se déplacer à NYC: Metrocard ou pas ?

NYC est tentaculaire, et même si l’on a envie de se balader au milieu des buildings pour ressentir le vrai cœur New Yorkais, on vous conseille tout de même de « sauvegarder » la plante de vos pieds et de profiter des transports en communs pour vous déplacer (notamment sur les grands trajets du type Times Square => Wall Street) :

Pour le bus et le métro, les tickets sont les mêmes. Le prix de base pour un trajet unique en métro et bus local est d’environ $3 et de $6,75 pour un Express Bus. Il y a plusieurs options pour payer un trajet à NY 
– la Regular MetroCard (= Pay-Per-Ride) : Vous ne payez que les trajets que vous effectuez. Vous pouvez mettre le montant que vous voulez sur une carte Regular : entre $5.50 et $100. Notez que la carte peut être utilisée par 1, 2, 3 ou 4 personnes à la fois : faites-vous passer la carte pour franchir les tourniquets dans le métro.
– la Unlimited Ride MetroCard : c’est une carte illimitée où vous effectuez autant de trajet que vous voulez. Il existe la carte illimitée pour 7 jours à $33 (en fait 32$ + 1$ pour une nouvelle carte), pour 30 jours à $127 et pour 7 jours avec les Express Bus pour $62.
=> la carte 7 jours est rentabilisé à partir de 13 trajets.

Le plus simple est de les prendre dans les stations de métro. Vous pourrez acheter votre MetroCard à un guichet en demandant à un vendeur de la MTA ou bien la prendre dans une borne automatique (qui vous permet de choisir votre langue, la plupart du temps et de prendre votre temps). Attention tout de même, car toutes les entrées de métro n’ont pas de machine ou un conseiller de la MTA. C’est d’ailleurs marqué sur le panneau à l’entrée des bouches de métro. Le débat ne se pose pas si vous la prenez dès l’aéroport … Vous pourrez payer en espèces ou par carte bancaire (à savoir les cartes prépayées peuvent être refusées, anticiper au cas où avec un autre moyen de paiement). Si vous payez avec des billets, il vous faut faire l’appoint ou vous en approcher le plus possible, car la machine ne rend pas plus de $9 de monnaie. Si vous payez avec votre CB, on vous demandera un ZIP code (c’est à dire un code postal local). Pour ceux qui vivent à l’étranger, il faut entrer le chiffre 99999 (5 fois le chiffre 9).
A savoir quand vous prendrez un métro à NY : Si vous passez une première fois votre Unlimited MetroCard, vous ne pourrez pas la repasser avant 18 minutes. Donc attention de ne pas vous tromper quand vous entrez dans certaines stations de métro qui sont divisées en 2 (un Uptown et un Downtown) et n’ont pas d’escaliers internes pour les relier. Ainsi, si vous rentrez dans la station qui emmène vers l’Uptown de Manhattan, et qu’en fait, vous vouliez faire l’inverse, il faudra donc attendre avant de pouvoir réutiliser votre carte !

Comparatif entre le taxi et le métro à New York :
Souvent on se dit que le taxi (ou Uber/ou Lyft : application à télécharger en France en revanche) est vraiment le mieux à NY. Il y a du pour (gain de temps, facilité …) et du contre (notamment le prix), c’est à vous de choisir, toutefois, faites vous tout de même un trajet en taxi histoire de vivre au moins une fois cette expérience typiquement New Yorkaise ! 

Réserver ses activités à New York, un bon plan?

Vous en avez sans doute entendu parlé, il existe à New York de nombreux pass qui vous permettent de combiner les principales activités et visites de New York. Mais est-ce un bon plan ? Et bien, OUI! Ces pass vous permettent d’atteindre des réductions allant jusqu’à 40% sur le budget que vous auriez mis en prenant les activités une à une. Mais lequel choisir? Là, est la véritable question car ce n’est pas moins de 6 pass culturels qui sont proposés sur NYC! Voici quelques pistes pour faire votre choix:

  • Le New York CityPASS vous invite à choisir 5 attractions parmi les 8, qu’il propose et qui sont sans aucun doute les plus recherchés: Empire State Building, Top of the Rock, American museum of natural History, 9/11 museum, Guggenheim Museum, Intrepid Sean Air & space museum mais aussi la Statue de la Liberté & Ellis Island ou encore une croisière circle line de 1h30. Bref, il n’y quasiment que des incontournables pour un premier voyage (avantage supplémentaire il vous permet d’entrer 2x fois la même journée à l’Empire state Building, histoire, par exemple, de photographier un coucher de soleil inoubliable)
    Comptez environ 130$ sur le site officiel. Validité 9 jours.
  • D’autres pass existent: comme le Sightseeing FLEX Pass ou le GO City Explorer Pass, vous choisissez dès le départ le nombre d’activités que vous souhaitez effectuer au cours de votre séjour (de 2 à 10 ou 12) parmi la centaine qui vous est proposée, vous n’aurez donc que l’embarras du choix et ne pourrez que trouver votre bonheur. Ils nécessitent par contre, plus de travail en amont pour déterminer le nombre d’activités que l’on va choisir. Vous pouvez également choisir ces pass si vous prévoyez un séjour relativement long, car il vous proposent des activités en dehors de Manhattan comme le Luna Park de Coney Island par exemple.
    Le tarif varie en fonction du nombre d’activités choisies, en moyenne de 95$ à 180$ pour 3 à 6 activités.
  • Il existe également un troisième type de pass: les pass illimités qui ne vous limitent pas dans le nombre d’attractions à choisir mais en nombre de jours. Ils ne sont valables que si vous prévoyez de faire beaucoup de visites en peu de jours sans vous balader, car ils sont relativement onéreux.
    Comptez de 210$ environ pour le pass 3 jours ) 345$ pour le pass 10 jours.

Vous voilà maintenant avec toutes les informations pour bien préparer et anticiper votre prochain voyage à New York. Et bien sûr, restez connecté pour découvrir prochainement notre TOP 10 des incontournables de la Grosse Pomme (si on arrive à se limiter à 10 😉).

A l’heure du numérique, il était temps pour nous également d’y passer et de vous offrir la possibilité de retrouver votre roadbook directement dans votre smartphone. Et pour cela, nous vous proposons depuis l’an dernier de l’avoir toujours sous la main, et dans votre poche. Alors, voici un petit guide pour découvrir cette nouvelle offre chez AMT :

Les informations de votre voyage à portée de main.

Votre roadbook digital vous permettra de retrouver toutes les informations relatives à votre voyage dans une seule application. La Timeline reprend jour par jour votre voyage et surtout vos hébergements pour toujours savoir quelle sera votre prochaine étape. Voici étape par étape la présentation de votre application:

Voici votre première page, avec les différences informations à découvrir.

1- Les informations de votre voyage

Vous y retrouverez les points d’intérêt que vous avez ajouter à votre voyage. vous permettant de retrouver facilement ceux que vous aurez repéré en amont de votre voyage.

2- Les informations pratiques

Un récapitulatif des informations pratiques sur votre destination. Des articles à lire avant votre départ pour vous préparer au mieux, en complément de nos articles bien sûr 😎

3- La timeline de votre voyage : jour par jour

Vous y verrez chaque jour votre hébergement, vos activités ou encore vos locations de véhicule… Mais aussi les points d’intérêt que vous aurez repéré.

4- Les points d’intérêts

Les points d’intérêts sont répertoriés pour vous permettre de repérer de ce que vous souhaitez visiter lors de votre voyage. Plus vous zoomez plus vous découvrirez de point d’intérêts.

Cliquez sur le point d’intérêt, cela vous permettra d’en apprendre plus avant de visiter.

5- La navigation jour par jour

En bas de votre écran vous pouvez également suivre chaque jour vos étapes.

Et si vous cliquez sur la petite maison, vous retrouverez l’adresse de votre hébergement ou encore celle de vos excursions.

Voilà, vous avez tout en main pour profiter de votre application digitale et préparer votre voyage. Sans oublier que celle-ci vous permet également une fois sur place de repérer les restaurants ou bar à proximité de vous tout au long de votre séjour. Mais aussi de vous servir du GPS offline (via maps). Le compagnon parfait donc à tout moment dans votre poche.

Plus que quelques jours avant que le Père Noël dépose le contenu de sa hotte au pied de votre sapin et s’il vous manque encore quelques idées pour les motard(e)s que vous êtes ou bien si tout simplement vous voulez ajouter une petite chose à votre liste, voici quelques idées qui vous permettront également de préparer votre prochain voyage !

1- Des sacoches souples pour une meilleure organisation de votre roadtrip moto.

Si vous êtes des lecteurs assidus de notre blog, vous savez que l’on vous a déjà parlé des sacoches souples (dans notre article sur les bagages) qui s’intégreront parfaitement aux sacoches rigides présentes sur votre moto de location (donc à choisir bien sûr en fonction du modèle que vous aurez choisi). Un gain de temps considérable lors de votre roadtrip moto aux USA: de 1. vous savez déjà quelle capacité vous pourrez mettre dans votre moto, de 2. fini le déballage de vos affaires sur le parking de votre hôtel le soir, vous n’aurez plus qu’à prendre votre sac.

2- Des sangles pour ajouter des bagages et pouvoir ramener pleins de souvenir de votre voyage.

Si vous n’avez pas assez de places dans les sacoches prévues, vous pourrez toujours ajouter un sac supplémentaire, sur votre topcase si vous en avez un ou bien sur le porte paquet (toujours en fonction de votre modèle). Pensez donc à prévoir des sangles ou araignée pour les fixer, au cas où. Et si vous redoutez les vols lors de vos arrêts, sachez qu’il en existe avec des antivols.

3- Une sangle pour transporter votre casque lors de vos visites.

Vous prévoyez d’emmener votre casque mais ne souhaitez pas le laisser sur la moto à chacun de vos arrêts?… Cette sangle est donc pour vous, elle vous permet de l’emmener partout avec vous sans avoir les mains encombrées. Plus pratique que le traditionnel porté sur le coude 😉.

4- Une sacoche de jambe, pour tout garder à portée de main.

Fini les poches trop pleines ou le sac à dos qui passe difficilement sur le blouson de cuir. Là, tout devient accessible directement, sans descendre de moto. Vous pourrez loger tout ce qui est indispensable à votre roadtrip (comme votre carte « America the Beautiful » pour visiter les parcs par exemple, permis, portefeuille … ).

5- Un support pour votre téléphone.

Encore une chose que l’on aime bien avoir à portée de mains, surtout pour retrouver tous les conseils d’AMT pour son voyage ou bien pour enclencher l’un des GPS que nous vous conseillons (ici) , alors quoi de mieux que de l’accrocher sous ses yeux sur le guidon….Et il existe maintenant de nouveaux supports magnétiques qui vous permettent de prendre très rapidement en main votre appareil pour prendre LA photo inoubliable de votre roadtrip.

6- Un lexique pour se faire comprendre dans toutes les situations.

Pour profiter pleinement de votre roadtrip et ne pas stresser de la barrière de la langue pourquoi ne pas prévoir un petit lexique illustré (il en existe sous plusieurs format, à vous de trouver celui qui vous convient). Les créateurs français de Black Oleum vous les proposent même sous forme de foulard pour ne jamais êtres pris(e) au dépourvu !

7- Des livres pour préparer votre voyage.

Car oui, pour profiter de votre voyage, le mieux est de le préparer en amont. Aujourd’hui, vous trouverez de nombreux de livres pour en apprendre plus sur vos prochaines étapes (un complément éventuel de votre roadbook, bien sûr 😁). Et puis, cela permet de rêver avant de les découvrir en vrai.

8- Prévoir une protection de pluie pour son voyage.

Même si l’on vous conseille toujours les meilleures périodes pour partie en voyage, on est jamais à l’abri avec la météo. Alors, pour anticiper toutes les situations le mieux est de prévoir un protection à mettre dans son top case!

9- La Corse en cadeau !

Et si vous mettiez la Corse au pied du sapin ? Avec notre Corsica Road, vous offrez une semaine de folie entre balades, concert et repas locaux. Et bien sûr, l’amitié et l’ambiance avant tout! A découvrir ou redécouvrir dans notre rubrique événement

10- The must: LE BON CADEAU CHEZ AMT, bien sûr!

Sans aucun doute le meilleur des cadeaux 2023 😎

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est banniere-blog-RBT-2-1024x512.png.

Bonus- Pour les grands enfants que vous êtes…

Des motos à monter soi-même… histoire de s’occuper en même temps que les enfants.

Rouler sur la Mother Road un rêve que beaucoup souhaite réaliser, mais avant de vous retrouver derrière le guidon de votre Harley Davidson ou Indian, sur cette route mythique, vous devez préparer votre voyage et surtout vous proposer une question primordiale : Pourquoi a-t-on envie de faire un tel périple ? Car il s’agit tout de même d’une traversée des Etats-Unis, représentant au bas mot, près de 4000km. Si les longs trajets, traversées des grandes plaines de l’Illinois et du Missouri ne vous attirent pas, que vous appréhender un peu « au bout de la 5eme station-service », je risque d’en avoir marre, c’est peut-être que ce voyage n’est pas fait pour vous. Dans ce cas, nous vous proposerons sûrement de n’en faire que quelques tronçons. Par contre, si vous êtes à la recherche d’une chasse aux trésors, au cœur de l’Amérique profonde, sur un fond de nostalgie, alors vous êtes au bon endroit, voici donc comment bien préparer votre voyage à moto:

1- Savoir équilibrer ses étapes pour un road trip sur la R66

Comme on vous le dit plus haut, la Route 66 fait exactement 3940 km de long. Si cela n’est pas insurmontable (on sait que vous avez déjà fait des road trip plus longs 😊) , il faut tout de même prendre en compte le facteur temps et fatigue. Même si de nombreux arrêts sont à prévoir pour découvrir les trésors de la « Mère des Routes », ici les arrêts seront (certes nombreux) mais relativement courts. Donc le mieux, est de prévoir une moyenne de 350-400 km par jour, pour vous permettre de faire tous les arrêts que la R66 a à vous offrir, mais aussi pour vous ménager (et votre postérieur aussi 😉). Vous en apprécierez d’autant plus votre road trip sur la Main Street of America !

2- Un voyage sur la Route 66 : les États-Unis hors du temps.

Parcourir la route la plus mythique des USA, c’est faire un voyage dans le temps, plonger dans la nostalgie des années 50, 60… aux grandes heures de l’Amérique. Mais apprécier la « Road 66 » c’est aussi savoir lui donner du temps. La « Mother Road » se mérite, et bien souvent elle se cache et se dérobe vous laissant devant une barrière infranchissable et vous obligeant à faire demi-tour. Et puis, il y a toutes ces petites choses qui attirent l’œil et vous tente à vous arrêter. Ici un diner vintage, là une statue ou un musherman (vous savez ces immenses bonshommes publicitaires qui font eux aussi parti de l’histoire de la Route) ou encore une ville fantôme à explorer… autant de vestiges qui impliquent de prévoir du temps (et une marge de manœuvre). Il faut aussi prendre conscience que vous traversez 8 états (soit presque 14% du territoire américain, qui n’est clairement pas aux proportions de la France). A cet effet, nous vous recommandons de prévoir de 16 à 21 jours environ (en fonction de votre rythme et surtout de vos envies).

3- La période idéale pour un voyage à moto sur la Route 66

La période idéale sera le printemps ou l’automne. Pourquoi ? tout simplement parce que vous traversez 8 états et qu’il ne fait pas du tout le même temps à Chicago qu’au Texas ou en Arizona ! Pensez qu’à Chicago la neige peut encore être présente en début de saison (mai) et qu’en été les températures du Texas peuvent attendre facilement les 40°C.

C’est pourquoi il vaut mieux privilégier les saisons intermédiaires, idéalement à la fin mai/ début juin et de septembre jusqu’à octobre. Cela sera également un petit plus pour votre portefeuille (sauf sur septembre, un supplément haute saison est à prévoir).

4- Nos circuits guidés sur la Route 66

Pour encore plus de tranquillité d’esprit (et éviter de chercher toute la journée la fameuse route, ou son tronçon le plus intéressant) et confort, le mieux reste bien évidemment nos circuits guidés ! Notre guide/accompagnateur est là pour vous indiquer le bon embranchement, où se trouve telle ou telle roadside, l’attraction à ne pas louper et s’occupe de vos bagages, traduction, logistique ainsi que de l’assistance. Et vous ? Vous n’avez plus qu’à apprécier votre traversée hors du temps, sereinement.

Route 66 Tours

Vous pouvez également compléter votre découverte de la Route 66 en y ajoutant celle des parcs nationaux avec notre « R66 et Parcs nationaux Tours « 

Voici vos premières pistes de réflexion pour vous lancer à l’assaut de cette traversée mythique mais Rouler sur la Mother Road n’est pas réservé qu’aux motards ! Vous pouvez la découvrir au volant d’un voiture (voir notre formule autotour), en famille, ou même un combiné voiture/moto. Notre formule mototour est parfaitement personnalisable : nous nous chargeons de l’organisation de votre voyage: vol, réservation de vos hôtels et de votre véhicule et vous n’aurez plus qu’à suivre votre roadbook… et bien sûr si aucune des formules ci-dessus ne devaient vous convenir, contactez-nous pour une formule sur-mesure, nous restons à votre disposition pour vous conseiller et construire avec vous votre voyage aux Etats-Unis sur la Route 66, idéal. Ne manquez pas également notre article sur « Quelle moto pour faire la Route 66 »? pour faire votre choix

Il ne nous manquait plus qu’à vous présenter destinations latines afin de compléter la découverte de toute notre gamme. Car on ne vous a pas encore parlé du Mexique et de Cuba que nous vous proposons également, pour ne pas être pris au dépourvu, voici toutes les infos à savoir:

Formalités à prévoir

Cuba

Pour un voyage à Cuba, il faudra vos munir de :

  • Votre passeport valide pour la durée de votre séjour (on vous conseille tout de même qu’il soit valide un peu plus longtemps)
  • D’une carte touristique (nominative) délivrée, à titre payant, par le consulat de Cuba à Paris.
  • De votre billet aller/retour.
  • Depuis le 1er janvier 2022, un nouveau formulaire digital doit être rempli dans les 72 heures précédant l’arrivée à Cuba. Il peut être présenté sous format digital, mais son impression peut faire gagner du temps à l’arrivée.
  • Souscrire à une assurance voyage prenant en charge les frais d’hospitalisation , une attestation doit être produite, sinon vous devrez souscrire à une assurance en arrivant sur place. Si vous souhaitez vous assurer via votre carte bancaire, vous devrez faire les démarches pour les attestations.
  • Vous pouvez être soumis à un dépistage aléatoire à votre arrivée

A noter que les relations entre Cuba et les USA se sont quelques peu tendues. Aujourd’hui, il est très compliqué de voyager à Cuba depuis les USA (même pour un transit). De même dans l’autre sens: les voyageurs qui se sont rendus à Cuba depuis le 12 janvier 2021 et qui désirent se rendre aux États-Unis ne peuvent pas bénéficier du régime de l’ESTA et doivent obligatoirement faire une demande de visa auprès d’un consulat américain avant d’entreprendre un voyage aux États-Unis, et ce, même s’ils bénéficient d’un ESTA précédemment approuvé, sous peine de voir celui-ci annulé par les agents de la police aux frontières 

Mexique

Pour voyager au Mexique, il vous faut:

  • Votre passeport valide pour la durée du séjour.
  • Votre titre de transport aller/retour
  • Un justificatif d’hébergement ( un bon d’échange que nous vous fournirons suffit)
  • A votre arrivée, vous répondrez à un court entretien et un formulaire migratoire vous sera remis, conservez le bien vous devrez le remettre aux autorité compétents à votre retour.

Informations pratiques

Voici quelques informations à connaitre pour préparer votre voyage:
– Le décalage horaire pour Cuba est de -6 h en hiver et -4h en été. Pour le Mexique, il est de -6h quelque soit la saison (pour le Yucatan, attention au décalage horaire avec le Quintana Roo).
– Langues parlées: dans les deux pays la langue officielle est l’espagnol. Il existe également des langues amérindiennes qui sont encore parlées au Mexique mais peu usité.
Argent: A Cuba, le Peso cubain est désormais l’unique monnaie nationale. Ne prenez pas de dollars US, il vaut mieux privilégier l’euro. Les règlements ou retrait par carte bancaire ne sont possible que à la Havane (parfois dans les villes de province ais de manière sporadique). Vous devrez donc partir avec une certaine somme pour couvrir vos dépenses que place, ce qui reste plus avantageux que de faire un retrait, facturés en dollars américains vous subirez une majoration de 3.25% en lus de la commission de votre banque. En Décembre 2022, 1 € = 25.30 pesos cubain. Si il vous reste de l’argent pensez à le changer avant de rentrer, il ne pourra être changé en France (ou tout autre pays).
Pour le Mexique, c’est le Pesos mexicain qui est utilisé. La carte bancaire est tout de même moins utilisée, il vaut mieux prévoir des espèces. Attention, soi vous faites des retraits dans les banques plutôt que du change, les banques mexicaines vous imposent une commission en plus de celle de votre banque. En Décembre 2022, 1 € = 20.80 pesos cubain, mais le signe est également le $. Faites également attention dans les zones touristiques qui peuvent proposer les prix en dollars américains ($US) ou en pesos ($ME) car le prix n’est évidemment pas le même.
Le pourboire est courant à Cuba comme au Mexique. Au restaurant la coutume est de laisser 10% de l’addition et pour le taxi on arrondit à la dizaine supérieure, soit un pourboire de quelques centimes d’euro.
– Prévoyez un adaptateur (au moins) au format Amérique du Nord (soit avec 2 fiches plates). Car ils ne sont pas si faciles à trouver sur place. A cuba, vous trouverez des fiches plates comme des fiches rondes ( format comme en France) et du 110 comme du 200 volts il vaut donc mieux prévoir quelques adaptateur ou bien un multiprise.
– Climat: Cuba comme le Mexique sont régit par un climat tropical : une saison sèche de Novembre à Mai et une saison humide de Juin à Novembre où les températures sont plus élevées et le taux d’humidité dans l’air également. A noter, que les deux pays connaissent un période d’ouragan situé en générale sur septembre- octobre.

Vous avez maintenant toutes les informations pour préparer votre voyage au soleil. N’hésitez pas à nous demander conseil pour un voyage sur mesure ou notre mototour au Mexique et profitez de Cuba au cours d’un voyage avec tout l’encadrement nécessaire.

Plus vraiment besoin de vous présenter cette marque légendaire, mais nous voulions tout de même vous rafraichir un peu la mémoire avant votre prochain voyage au guidon d’une Harley 😀. Retour sur l’histoire de ce constructeur emblématique pour souffler ses 120 bougies!

Harley Davidson, un symbole américain depuis 1903.

Car oui, c’est bien cette année là, à Milwaukee que commence l’aventure Harley Davidson. William Harley et Arthur Davidson construisent ainsi leur premier prototype de bicyclette motorisée dans la cuisine de la mère de Davidson, avant d’intégrer un abri de jardin plus propice à la mécanique. A l’époque, il s’agit de vélos dotés de moteur, un cylindre de 409 cm3, d’une puissance de 3 chevaux et dont la transmission est assurée par une courroie en cuir. Les 2 premières années, ils ne produisent que 3 de ces motocyclettes. Mais les commandes commencent à affluer, ils fondent ainsi officiellement leur compagnie le 28/08/1904 sous le nom de « Harley-Davidson Motor Company », et partent s’installer sur Juneau Avenue (qui est toujours le siège social de la compagnie, par ailleurs) dans un bâtiment plus adapté pour répondre à leur succès. En 1908, Harley Davidson fait ses débuts en compétition : Walter Davidson, s’engage sur plusieurs courses d’endurance, qu’il gagne allégrement en parcourant 188 miles avec un gallon d’essence. Suite à ces victoires, les concessionnaires voient les ventes s’envoler. Le monocylindre délivre 4 ch et atteint 45 mph (75 km/h environ). La même année William Harley, met au point un moteur V-Twin qui pourra rivaliser avec leur principal concurrent qu’est Indian, ou encore la Fort T lancé la même année, dont la production en série (faisant baisser le prix) et permettant d’emmener toute la famille frappe la jeune industrie américaine de la moto. Pour contrer cela, Arthur Davidson se lance dans les commandes publiques pour relancer l’entreprise: en 1914, c’est le service postal qui sera équipé en Harley Davidson, avant une commande de 20 000 motos entre 1917 & 1918 pour équiper les contingents engagés en Europe. En 1920, c’est la police qui sera équipé par la belle américaine, notamment pour contrer les Bootleggers (vous pouvez revoir notre article sur la prohibition), qui circulent principalement à moto pour justement échapper aux force de l’ordre. Un succès pour la firme et surtout un impact très important en terme d’image. En parallèle, sera créé le premier MC club motard par les vétérans de la Grande Guerre qui pérennisera l’attachement à leurs motos. En 1920, Harley-Davidson est officiellement le plus grand fabricant de motos au monde. Les motos de la marque sont distribuées dans 67 pays pour un total de 28 189 machines. En 1921, une Harley-Davidson est la première à gagner une course à une moyenne supérieure à 160 km/h.

Harley Davidson, rebel et libertaire.

Seule Harley et Indian survivront à la Grande dépression de 1929. Harley- Davidson s’en sort en privilégiant l’export, notamment au Japon. Dans les années 30-40, ce sont les acteurs d’Hollywood qui plébisciteront la Harley comme l’acteur Clark Gable, par exemple. En 1948, la « Panhead Chopper » voit le jour, une moto que l’on peut customiser selon son goût. « Chopper » venant du terme « taillé » et devient le synonyme d’anticonformisme et défit à la loi, bref de rebel. A la fin des années 60, la grande époque du Rock n’Roll et le modèle « Shovelhead » relance la compagnie dans le cœur des américains. En 1969, le film « Easy Rider » sera une publicité sans précédent pour Harley Davidson, le biker n’est plus un rebelle sans cause: il devient un fils de l’Amérique à la recherche de son identité et de celle de son pays. Les motards sont les nouveaux cowboys en blouson de cuir. Mais ces années- là marquent aussi les années chaotiques pour Harley, qui se fait racheter par AMF (American Machine & Foundry) et ne représente plus que 4% du marché américain.

Ce n’est que dans les années 80 que Harley fera son grand retour, notamment grâce à son nouveau moteur  » Evo » de 1340 cm3, plus fiable que les moteurs produits par AMF. Et surtout en 1983, Harley Davidson crée les premiers  » Harley Owners Group » (HOG), qui renforceront la loyauté indéfectible des clients à la marque : une véritable révolution, à l’époque. C’est encore aujourd’hui, le plus important club motard au monde avec plus d’un million de membre.

Voyager aux Etats-Unis sur une moto emblématique.

Car oui, nous ne cessons de le dire et le redire, quoi de mieux qu’une américaine pour arpenter le bitume des routes U.S, tout un symbole. Que ce soit dans les films : « Easy Rider »,  » L’équipée Sauvage » ou même « Indiana Jones » ou « Captain America » pour les occurrences plus récentes, la Harley reste synonyme de liberté, de voyage et de Rock’n Roll. Et si vous aussi vous viviez le frisson américain au guidon de votre Harley Davidson?

Les 120 ans Harley Davidson, un événement à ajouter à votre road trip

Du 13 au 16 juillet 2023, participez au grand anniversaire d’Harley Davidson. 4 jours de festival de musique, de balade lié au monde d’Harley au cœur même de sa ville natale. Un événement à ajouter à votre agenda, que vous pouvez facilement combiner avec notre Route 66 Tours (avant votre traversée de l’Amérique) ou en extension à notre Route du Blues ! Milwaukee ne se trouve qu’à 1h30 de Chicago! Vous pouvez également l’ajouter à votre circuit sur mesure…Vous n’avez plus qu’à choisir l’itinéraire, retrouvez toutes nos idées de circuits à moto et laissez vous guider pour le reste …

Et vous, les Etats-Unis au guidon de votre Harley, c’est pour quand ?

« Je n’reconnais plus personne en Harley Davidson,
J’appuie sur le starter
Et voici que je quitte la Terre »

On a tous vu au moins une fois l’un de ces films américains où les protagonistes traversent les USA dans un but quelconque (ou sans d’ailleurs). Mais c’est surtout à cette occasion que vous avez découvert les plus beaux paysages du pays de l’Oncle Sam. Et si on complétait un peu votre liste pour vos soirée d’hiver? Avant de concrétiser tout ça bien sûr lors de votre prochain road trip.

1- Forrest Gump

Un condensé des paysages américains (rappelez-vous notre article sur ce film mythique) de l’Alabama à Monument Valley, du Maine au Montana… Bref, un seul film pour trouver votre prochain état à visiter…

2- Thelma & Louise

L’un des plus célèbre roadmovie américain. Une course folle sur les routes d’Arizona, des motels, du désert et un final inoubliable qui en fait se trouve en Utah… Bref, un film à regarder de toute urgence pour se remettre dans l’ambiance.

3- Easy Rider

Sans doute le plus connu des road trip à moto. De Los Angeles à La nouvelle Orléans, un trajet d’anthologie pour tous les motards. Les années Woodstock et l’Amérique profonde en toile de fond…Et qui dire de la B.O qui fait bien sûr parti des morceaux à mettre à fond dans vos haut-parleurs lors de votre roadtrip. Booooorn To Be Wiiiiild!!!!!

4- Green Book: sur les routes du Sud

En 1962, en pleine ségrégation, la traversée des USA, de New York au sud profond, d’un pianiste de grande renommée et son garde du corps italo-américain du Bronx. Le Green Book est en fait le livre sur lequel s’appuient les gens de couleur pour trouver des hébergements où les gens de couleurs peuvent être accueillis… Une plongée dans l’histoire et dans l’âme humaine.

5- Little Miss Sunshine

Un road trip familial d’Albuquerque à Redondo Beach (un peu au sud de Los Angeles) pour emmener la petite Olive à un concours de beauté dans un combi Volkswagen hors d’âge. Un pitch simple et pourtant, on s’attache à ces personnages qui déambulent dans le sud de la Californie.

6- Rain Main

De l’Ohio à Los Angeles en passant par les mythiques scènes de Las Vegas. Vous reconnaitrez forcément une partie des paysages traversés. Ne serait-ce que les fameuses éoliennes près de Palm Springs

7-Sur la route

Basé sur la nouvelle du même nom de John Kerouac. Une traversée des USA au cœur des années 50 sur fond de liberté des mœurs. Mais surtout une nouvelle vision des paysages américains.

8- Blues Brothers

Un incontournable que l’histoire de ces 2 frères prêt à tout pour réunir l’argent qui sauvera leur orphelinat. Bref, pas besoin de vous refaire le speech, mais surtout une dose de musique et de road trip. Sans compter le casting d’anthologie.

9- Bagdad Café

Une solide amitié féminine qui se développe dans un motel minable entre Disneyland et Las Vegas, sous fond de magie et de relais routier. Une histoire surtout sur la Route 66 et un décor à découvrir dans votre prochain roadtrip. Sans oublier la B.O « I’m calling you « …

10- Into the Wild

Ok, c’est presque un bonus, mais on ne pouvait pas passer à coté de ce bijou sur la nature en Alaska. Juste pour vous mettre l’eau à la bouche de ce que l’on peut retrouver dans le nord de l’état de Washington ou dans l’ouest du Canada (que l’on propose également…). On y retrouve aussi les paysages de l’Arizona et du Dakota du sud.

  • Bonus:
  • Les Raisins de la colère: un vieux film certes, mais une adaptation d’un des plus grands livre de la littérature américaine, donc à voir notamment pour comprendre l’histoire de la Route 66.
  • Wild: Des paysages à couper le souffle sur le Pacific Crest (le fameux sentier de randonnée qui traverse les USA de la frontière du Mexique)
  • The Muppet Movie: de la Louisiane à Los Angeles pour visiter la cité des Anges
  • Dumb & Dumber: clairement pas du grand cinéma mais une belle traversée du Maine à Aspen.
  • Sailor & Lula: Nicolas Cage dans un road trip déjanté à travers la Californie pour échapper aux tueurs de sa belle.
  • Bande de sauvages: la version comique du roadtrip en Harley. De quoi passer un bon moment, mais si vous pouviez éviter de nous faire la même chose sur votre roadtrip, ça nous arrangerait 😂
  • The World’s Fastest Indian: L’histoire de Burt Munro qui détient encore aujourd’hui le record de vitesse sur son Indian modifiée

Pour organiser nos road trip, nous sommes la plupart du temps attirés par le printemps et l’été. Parfois, par obligation, souvent par habitude … Pourtant si vous en avez la possibilité, partir hors saison peut être très avantageux! Explications:

Voyager hors saison pour payer moins cher

La raison principale pour voyager hors saison? Le coût, bien sûr! La demande est moins forte sur les périodes creuses et cela se ressent sur tous les postes: les billets sont moins chers, les hébergements également, ainsi que la location. Partir hors saison, c’est pouvoir bénéficier de tarifs imbattables. Attention, pas de dernière minute pour un voyage aux Etats-Unis, il faut malgré tout s’y prendre en avance, pour obtenir le meilleur rapport qualité prix.

Voyager hors saison pour voyager plus « cool »

Moins de monde, implique donc forcément plus de souplesse sur les visites. Vous pourrez profiter pleinement des attractions comme vous le souhaitez avec en plus un accueil plus authentique et plus de disponibilités. Fini la queue, et à vous les petits restaurants typiques bien souvent complets en haute saison. L’assurance donc de vous éviter du stress et remplir vos journées uniquement des merveilles qui vous attendent.

Voyager hors saison pour un voyage plus authentique

Les hébergement (a)typiques sont généralement de petites structures, ne proposant que quelques unités pour garder leur authenticité. Prises d’assaut pendant la pleine période, elles sont bien souvent complètes plusieurs mois (voir 1 an) avant votre voyage. Les structures hotellières plus conséquente, telle que « The View » (seul hébergement en plein cœur de la réserve Navajo) affichent également complets de nombreux mois à l’avance. Et pourtant hors saison, elles peuvent proposer des prix attractifs et vous permettre de vous offrir une véritable expérience. Retrouvant leur tranquillité, c’est aussi s’assurer d’un service plus personnalisé et d’une attention plus soutenue.

Quand partir et où?

Les USA, et on ne le répétera jamais assez, c’est grand, c’est vaste et offre pleins de possibilités. Alors même si on vous déconseille nos circuits dans les Rocheuses (Far West Tours & Rocky Mountains Tours) ou les Appalaches (Blue Ridge Tours) en dehors des périodes d’été, pour une question d’ enneigement, le reste du pays peut vous offrir un voyage inoubliable à toutes les périodes de l’année. Bien sûr, la météo reste une des composantes inhérente au voyage parfait mais heureusement nous avons qu’il vous faut:

– En plein hiver, privilégiez le sud.

Le Texas et l’Arizona, sont deux alternatives très intéressantes : vous évitez les grandes chaleurs et profitez ainsi du meilleur de ces états. A noter toutefois que certains sites de l’Arizona se trouvent en altitude et donc méritent une petite laine. Retrouvez nos deux nouveaux circuits pour les découvrir : Texas Tours et Arizona Tours sur notre site. Autres états à mettre sur votre liste: la Louisiane, le Mississippi, l’Alabama ou encore la Géorgie. Des états visité par nos Magie du Sud Tours ou Heart of Dixie Tours. Et notre dernier né : Great South Tours, période idéale pour gouter aux charmes du vieux sud et son ambiance typique d « Autant en emporte le vent« . La Floride, quant à elle est une des meilleures destinations pour l’hiver (on vous propose d’ailleurs notre Florida Tours pour la découvrir), mais comme il s’agit de la meilleure saison pour la découvrir, les prix s’en ressentent forcément et le nombre de touristes sur place également. Pour plus de tranquillité, privilégiez les mois d’octobre novembre ou janvier & février. Moins de queue aux parcs d’attractions et une météo plutôt clémente. Le carnaval est également considéré comme de la haute saison à La Nouvelle Orléans.

– En début de saison, prévoyez votre road trip dans l’ouest américain.

Les mois d‘Avril et Octobre & Novembre peuvent réellement être un bon plan, on est en début ou en fin de saison, la foule n’est pas encore présente ou déjà partie et on peut clairement profiter de températures clémentes. Ainsi, on atteint facilement les températures de 20 à 25° à Los Angeles. Les sites comme le Grand Canyon, Bryce ou Zion peuvent clairement garder encore des traces de neige (en début de saison), mais cela ajoute encore la magie à votre voyage, non ?

Par contre, vous pourrez rayer Yosemite de votre programme car les routes seront encore fermées et à San Francisco il fera encore très frais. Mais pour le reste, vous n’avez plus qu’à profiter. Autre alternative, prévoir votre voyage au départ de Las Vegas. Cette période permet d’autant de profiter la ville en évitant les chaleurs harassantes de l’été. Un occasion pour profiter de la Valley of Fire avec ses plus beaux couchers de soleils.

A noter que l’hiver l’organisation de votre road trip doit se faire tôt dans la journée, le soleil se couche plus tôt l’hiver mais vous offre des couchers de soleil à couper le souffle qui ne sont pas écrasés par la chaleur étouffante du plein été.

Le mieux si vous avez encore un doute est de nous en faire part et de nous laisser préparer votre voyage sur mesure. A vos claviers 🙂 l’Equipe d’AMT se tient à votre disposition à cet effet …

Première fois aux USA? Vous ne vous sentez pas à l’aise avec la langue de Shakespeare ? ou tout simplement pour vous laisser porter et profiter au maximum de votre circuit à moto? Vos envies sont légitimes et c’est la raison pour laquelle nous avons créé pour vous et avec vous la formule idéale :

Un circuit guidé pour voyager autrement.

Nos accompagnateurs, passionnés et expérimentés ils sont là pour vous indiquer les arrêts photos immanquables, les petits bars et restaurants hors du temps et surtout le meilleur itinéraire (en privilégiant les routes sinueuses évidemment) qui vous mèneront hors des sentiers battus. Il aura également pour mission de veiller à la bonne harmonie du groupe et faire de ce voyage, un rêve éveillé.

Un véhicule à votre disposition pour le transport de vos bagages.

Car oui, un des premiers avantages : ne plus vous préoccuper de faire rentrer vos bagages dans vos sacoches moto… Et puis, cela permet également, de pouvoir ramener tous les souvenirs qui vous feront envie sur place.

De petits groupes moto pour la convivialité et la flexibilité.

Nous limitons le nombre de moto dans nos groupes, pour vous permettre de profiter au maximum de votre voyage aux Etats-Unis. La taille moyenne (hors privatisation) est d’environ 5 motos /10 personnes et jusqu’à 8 motos/ 16 personnes maximum, donc une réelle flexibilité dans l’organisation de vos étapes. Dont l’accessibilité de petites structures [hébergements & petits restaurants (a)typiques] ainsi qu’une attente réduite … Bref, la configuration idéale pour apprécier votre road trip à moto.

Un van pour permettre aux passager(e)s de se reposer.

Même si le plaisir de rouler en Harley Davidson ou Indian (entre autres), reste le thème principal de votre voyage, votre passager(e) appréciera sûrement, ponctuellement, le confort d’un siège climatisé ou tout simplement être au sec. Nous gardons systématiquement une à deux places assises à cet effet.

La liberté et l’indépendance, même en voyage organisé.

Chez nous, pas de contraintes horaires, pas de file indienne, pas d’arrêt à la pompe imposé : vous êtes libre de suivre ou non le groupe. Vous vivez le voyage que vous souhaitez et restez maître de vos vacances ! Il suffit de prévenir votre accompagnateur qui vous conseillera sur votre chemin et de déterminer un lieu de rendez-vous, pour faciliter la logistique. Bref, la meilleure manière de découvrir le pays : libre tout en étant encadré.

Nos prochaines dates de départ de voyage moto aux USA :

Daytona Bikeweek Formule N°2: du 02 Mars au 16 Mars 2025
LA concentration pour découvrir des préparations moto plus folles les unes que les autres, les courses et les shows à l’américaine, les concerts et une ambiance de folie sous le soleil de Floride. Votre accompagnateur assurera une permanence pendant la Bike Week pour ne rien louper sur place ! Vous fera ensuite découvrir le « Sunshine State », en ajoutant à votre voyage la découverte de la côte ouest, des keys et de Miami !

Route du Blues Tours: du 27 Avril au 11 Mai 2025
De la Nouvelle Orléans à Chicago, dans les pas des pionniers du Blues. Un itinéraire musical où votre accompagnateur saura vous organiser les meilleures soirées au cœur de la musique U.S que l’on affectionne tant.

Route 66 Tours: du 11 Mai au 26 Mai 2025
La Mother Road dans toute sa splendeur. LA traversée mythique de Chicago à Los Angeles, sur les traces de l’histoire américaine. Une route qui se cache et se mérite, surement l’un des itinéraires les plus complexes des USA, votre accompagnateur saura toujours vous remettre sur le droit chemin!

Big Circle Tours: du 21 Juin au 3 juillet 2025
Un départ de Las Vegas, pour une boucle à la découverte des principaux parcs nationaux de l’ouest américain, avec un kilométrage quotidien d’environ 300km. En formule accompagnée, votre guide vous fera emprunter meilleures routes scéniques pour les relier.

Best of The West Tours: du 21 juillet au 08 Aout 2025
19 jours avec un rythme idéal pour profiter un maximum du grand ouest américain. Avec 2 nuits à Moab et une nuit au cœur de la Death Valley, vous avez trouvé la meilleure manière de profiter des parcs nationaux tout en prenant votre temps. L’occasion pour votre accompagnateur de vous faire profiter de toutes ses connaissances et vous emmener hors des sentiers battus.

Sturgis Rally : du 01 Août au 17 Août 2025
LA concentration mythique de l’ouest américain. L’un des plus grands rassemblements moto du monde, combiné à la découverte du Far West: Un immanquable pour tous les bikers ! Votre accompagnateur assurera une permanence quotidienne pour vous indiquer les bonnes adresses et les bon plans à ne pas manquer. Une formule au départ d’Albuquerque pour y ajouter la Route 66, Santa Fe et la traversée du Colorado.

Far West Tours: du 17 Août au 31 Août 2025
Une immersion au pays des cowboys & des indiens, en y ajoutant les splendeurs de Yellowstone et du Mont Rushmore. Le parcours rejoint l’Utah, pour vous permettre de compléter votre découverte de l’ouest américain, un des incontournables de l’Ouest à ne pas manquer.

Vous ne trouvez pas votre bonheur aux USA ?

Notre formule accompagnée est disponible sous le même format en Afrique du Sud :

Route 62 Tours: du 17 Octobre au 01 Novembre 2025
La découverte d’un autre continent, d’une autre culture avec les plus belles routes d’Afrique: la Toute des Vins, la Route des Jardins, la route des Baleines… En y ajoutant le souvenir inoubliable d’un safari à la rencontre des éléphants et des autres animaux de la savane.

Elle est également disponible au Canada, ou encore l’Amérique Latine (Cuba, Argentine et un combiné Chili/Argentine, mais sous un autre format pour voyager dans les meilleures conditions). Ou bien en Voyage sur Mesure dans le cadre d’une privatisation. Si nos dates de départ ne vous convenaient pas ou pour la création de votre propre itinéraire à moto? Consultez nous sans tarder !

On n’ y pense pas forcément et pourtant c’est la saison idéale pour partir au Canada! Mais pour vous convaincre, on vous a préparé 5 raisons pour penser votre voyage au Canada en Automne !

1- Pour les belles journées de l’été indien

Loin des journées étouffantes de l’été (on ne dirait pas, mais les températures estivales montent bien souvent au dessus de 35° en été🥵) et de celles glaçantes de l’hiver (où là on tourne au -35°C🥶!) , l’automne permet donc de profiter de températures en journée autour des 20°-25°. Idéale donc pour rouler ou faire une randonnée dans les parcs nationaux !

2- Pour les couleurs

Et oui, cette période s’appelle comme ça, chez nos cousins québécois! La saison des couleurs: quand l’ érable vire au rouge et le bouleau au jaune embellissant chaque kilomètre que vous ferez sur votre parcours. Attention, elle s’étend en général de mi-septembre à mi-octobre et varie bien entendue selon la météo (si il fait plus ou moins beau) et selon votre latitude (plus vous irez vers le sud, plus elle sera tardive). Il ne faut donc pas rater le coche!

3- Pour les animaux

Ours, orignaux, castors… tous se préparent à affronter le dur hiver canadien en faisant des provisions. L’occasion est donc d’autant plus belle pour les observer dans leur milieu naturel! Prenez le temps de la randonnée pour voir le castor construire son abri ou entendre le brame de l’orignal qui est en pleine période de rut (attention toutefois à ne pas trop vous en approcher pendant cette période). Le Canada est très attentif à sa faune et vous pouvez trouver plusieurs parcs animalier qui vous présentent la faune locale et vous permettent de vous en approcher (comme le parc Omega près d’Ottawa)

4- Pour la cueillette des pommes

Une vrai tradition automnale québécoise. Ainsi les week-end d’automne, les familles se rendent dans les vergers avoisinants pour pratiquer l’auto-cueillette. L’occasion aussi de goûter le cidre doux et le cidre des glaces bien souvent proposés à la boutique du producteur. C’est aussi l’occasion de fêtes et animations locales, multipliant les tartes aux pommes et autres mets à base de… pommes

5- Fêter Thanksgiving au Canada

Car ce n’est pas à la même date qu’aux USA, l’action de grâce au Canada célébre les récoltes et rend grâce des bonheurs reçus pendant l’année. D’où les décorations faites de cornes d’abondance, de citrouilles et autres symboles de récoltes abondantes. Cette fête tombe toujours un lundi ce qui, permet au Canadien de se retrouver en famille pour se faire « un chalet » (en gros vous louez un chalet au bord d’un lac pour y réunir famille et amis). Là encore, fêtes et défilés viennent ponctuer ce jour férié. Il a été fêté en 2022 le 10 octobre.

En bonus- 6 c’est le début de la saison de hockey

Qui coïncide en général avec Thanksgiving (cette année donc le 07/10). Bref, l’occasion à ne pas louper pour assister à un match du sport favori des canadiens!

Ah ! Qui n’a jamais rêver d’avoir la tête dans les étoiles? Et s’il y a un endroit où l’on peut s’en approcher, c’est bien au Kennedy Space Center. Le centre de la NASA est aussi un musée/ parc d’attractions/centre de lancement, qui saura ravir tout le monde. Une excursion à ne pas manquer quand vous visiter la Floride! Alors forcément, nous vous avons préparé un guide :

Le Kennedy Space Center Bus Tour

Le site est avant tout le centre de lancement de la NASA. Créé en 1959, c’est de là que partent tous les grands projets spatiaux : des premiers pas sur la Lune au dernier robot sur Mars. Vous ne ferez peut être pas un grand pas pour l’humanité mais en tout cas vous marcherez dans ceux qui ont écrit l’histoire! 14000 personnes travaillent (dont les astronautes) sur le site qui a été choisi pour son emplacement stratégique: tout autour il n’y a que de l’eau (à l’ouest le Golfe du Mexique et à l’est l’océan atlantique). Les opérations sont quant à elles supervisées depuis Houston (une autre excursion à ajouter, que l’on retrouve dans notre Texas Tours! ). Aujourd’hui, en collaboration avec le Smithonian, le site accueille expositions, reconstitutions et attractions pour une immersion totale. Ainsi, vous côtoyez les navettes de près, vous pouvez discuter avec les astronautes et même tester la simulation d’un lancement de navette.

On vous conseille de ne surtout pas omettre le tour bus (très très recommandé) car il vous permet de faire le tour de tout le complexe dont plusieurs sites sont très éloignés et même d’accéder aux « restricted area » et ainsi découvrir la totalité du site. Les bus partent tous les 1/4 d’heures et vous permettent aussi d’en apprendre plus, grâce aux sympathiques commentaires des chauffeurs, qui bien sûr connaissent le site comme leur poche et vous donnent quelques anecdotes. Ils permettent notamment de vous approcher des lunch pad (les pas de tir) d’où vous aurez peut être la chance d’apercevoir la préparation du prochain lancement. Les bus font plusieurs haltes vous permettant ainsi de prendre le temps que vous souhaitez sur chaque arrêt.

Vous commencez par passer devant les quartiers des membres d’ équipage puis le mythique bâtiment d’assemblage des fusées (un des plus grand bâtiment du monde!) avant de rejoindre les pas de tir. Votre bus traverse ensuite une partie du parc de Merrit Island, l’occasion donc pour observer la faune et la flore qui semble s’être accommodée des lancement. Puis le Appollo-Saturn V center, où vous revivrez le lancement de la mythique fusée, pour la découvrir ensuite exposée dans son hangar (impressionnant!), et enfin dans le cinéma vous serez plongés sur la surface lunaire pour revivre l’alunissage. Dernière étape l’International Space Station center, qui est une reconstitution de la station spatiale internationale, l’occasion de voir ce qu’à vécu notre Thomas Pesquet national ! Vous reviendrez ensuite au visitor complex .

INFOS Bus:
Les tour en Bus sont inclus dans votre billet d’admission. Ils commencent à 10h et se termine 2h et demi avant la fermeture (soit à 15h30 quand le complexe ferme à 17h). Vous trouverez la station de départ tout de suite à droite en rentrant dans le complexe.
Comptez 2h à 3h pour le parcours entier et selon le temps que vous souhaitez passer aux divers arrêts suggérés le long du parcours (toutes les étapes sont facultatives mais bien sûr recommandées, à moduler selon votre timing).
Avant de démarrer vous pourrez louer un audioguide, sachez que ceux-ci ne retranscrivent que ce qui est inscrit sur le panneaux en anglais. Il peut être intéressant si vous n’êtes pas à l’aise avec la langue de Shakespeare.
Petit Plus: pour le trajet aller, asseyez vous à droite dans le bus car la majorité des points d’intérêts s’y trouvent.

Le Visitor Complex

Vous y trouverez toutes les expositions et attractions pour en apprendre plus sur la conquête de l’espace. Voici ce que vous y trouverez :
Heroes & legend : un hall of fame des astronautes, la présentation de « mission control » et surtout l’occasion de discuter avec un véritable astronaute (sans billet supplémentaire)!). A la sortie, le Rocket Garden, une reconstitution de toutes les fusées qui on été envoyé dans l’espace, Impressionnant! Visites guidées possibles à heures fixes.
NASA Now+ Next: se concentre sur les futures missions et notamment celles pour aller sur Mars [vous pourrez être recruté 😉]
Space Shuttle Atlantis: zone d’exposition interactive qui abrite le Shuttle Launch Experience: un simulateur qui permet de vivre le lancement d’une navette spatiale dans les conditions “réelles » ! Dans un décor plus vrai que nature, vous êtes coaché par de véritables astronautes pour une expérience à sensations fortes (mais toutefois sans commune mesure avec celle des parcs d’Orlando). Si vous ne souhaitez pas le faire, vous pouvez tout de même y assister depuis l’ « observation room » (1.20 m minimum, déconseillé aux femmes enceintes et aux personnes cardiaques- entrée inclus dans vote billet).
Cinéma IMAX: Deux films sont disponibles tous les jours dans l’espace 3D des cinémas, repérez dès votre arrivée au centre, les horaires de séances. Découvrez la Terre et l’espace comme vous ne les avez jamais vus.
A noter également, le Space Mirror Memorial qui rend hommage à tous ceux qui ont perdu la vie pendant la conquête spatiale.

Infos Vistor Center:
Il n’y a pas véritablement d’adresse, renseignez Kennedy Space Center Visitor Complex sur votre GPS ou application (en fonction de vos choix), n’hésitez pas à demander sur place. Ouvert généralement de 09h à 17h ( plus tard l’été et en période de vacances scolaires). Comptez 2-3 heures également pour profiter de toutes les attractions. Il fau donc prévoir une grosse demi-journée ou une journée entière en fonction de votre attrait pour l’Espace.
Des audio-guides en français sont disponibles à la location (au niveau du pôle Information à gauche de l’entrée). Par contre, les différents films projetés en 3D ne sont pas traduits. Le KSC SmartGuide est une petite tablette qui permet une visite accompagnée d’audio. Différentes langues sont disponibles, dont le français. Ce guide offre aux visiteurs des informations pour chaque attraction et exposition y compris dans le bus du Kennedy Space Center Tour.  Location $9.
Une application gratuite (Kennedy Space center- en anglais) est également téléchargeable, vous y retrouvez toutes les attractions, carte du site, horaires de spectacles et informations (une connexion Wi-Fi gratuite est disponible dans l’ensemble des locaux).
Le parking est payant : 10$ pour les voiture et 5$ pour les motos.
Nous vous conseillons de prévoir un pique nique pour la journée, les restaurants ne sont pas fameux et plutôt chers (un espace est dédié dans le complexe).

Le Kennedy Space Center sur trouve à environ 1h à l’est d’Orlando et 1h au sud de Daytona Beach. Comptez environ 30 min pour rejoindre le complexe si vous logez à Cocoa Beach. Le site est situé en zone fédérale, donc attention aux limitations de vitesse et au code de la route sous peine d’une amende très salée.
Les lancements sont réguliers au Kennedy Space center, dans ce cas certaines zones ne sont pas accessibles, mais vous aurez accès à la plupart des attractions. Si vous souhaitez y assister depuis la zone de lancement, il faudra prendre un billet en plus. Les lancements sont en général annoncés quelques semaines avant et la fenêtre de tir environ 15 jours avant sur le site officiel.

Bonne visite 🙂

Quitte à traverser les océans pourquoi ne pas combiner deux destinations aux USA pour agrémenter votre séjour ? Que vous vous soyez plutôt ville ou plage, les Etats-Unis sont assez grands pour contenter tout le monde. Petit tour des principales extensions possibles :

Extension Balnéaire, un peu de farniente sur la plage pour terminer votre road trip moto en beauté.

La Floride

Une destination phare pour une extension balnéaire aux USA. Le Sunshine State, regorge de destination pour « chiller » en toute tranquillité. Avec Miami en tête de proue, à vous les cocotiers et les eaux turquoise léchant le sable blond. Et/ou bien Orlando et ses parcs d’attractions (que l’on vous a déjà présentés ici). Si vous souhaitez un peu plus de tranquillité d’autres stations balnéaires sont également possible en majorité sur la côte ouest telles que Siesta Beach, Sanibel Island … mais il vous faudra pour les rejoindre reprendre une location de véhicule (idéalement un Cabriolet). Sinon les Keys, avec un point de chute (2 nuits recommandés) sur Key West, idéalement combinable avec une escapade nature dans le parc national de Biscayne ou les Everglades. Le petit plus, vous pourrez même profiter d’une vol retour direct (de Miami à destination de Paris).

Hawaï pour allier plage et autre culture

Une des plus belles extension à ajouter à votre séjour, vu que c’est déjà une destination en soi (on vous invite d’ailleurs à en prendre plein les yeux dans notre article précédent que vous pouvez relire ici). Hawaï est en fait une archipel, donc on vous préconise plutôt de vous concentrer sur une seule île s’il s’agit d’une extension (voire 2 maximum, mais la seule solution sera de prendre un avion, une superbe expérience en plus). Situé à environ 5h30 de vol de Los Angeles et 5h de San Francisco, c’est la destination idéale pour découvrir une autre culture à la fin de votre road trip et surtout le clore au pied des volcans, avec une richesse de paysages et d’activités qui feront pâlir d’envie votre entourage …

San Diego

Nous n’y pense pas assez, mais cette ville du sud de la Californie peut être une vrai pause en fin de road trip. Avec une densité de population bien moindre que sa grande sœur, Los Angeles, permettant en plus de profiter pleinement de la plage. On y retrouve également un old town datant de la fin du XIX° siècle, l’un des plus grand zoo du monde et un aquarium/ parc d’attraction, si vous avez peur de vous ennuyer. La plage quant à elle est considérée comme l’une des plus belles des USA et le front de mer est très bien aménagé (l’eau y sera plus chaude qu’à L.A). Situé à moins de 2 h au sud de la Cité des Anges, c’est une extension qui ne nécessite pas de reprendre l’avion (on déconseille toutefois de repartir de San Diego directement, ce qui vous rajouterait une escale). Et cela peut être également l’occasion de passer par la Temecula Valley que l’on vous a présenter ici ou les alentours.

Un City trip pour une autre vue de l’ Amérique

New York

Sans doute la reine des extensions pour un séjour aux USA, la « Big Apple » a toujours la côte. La ville vous offrira son atmosphère sans pareil et vous permettra de vivre un autre voyage (surtout si vous la couplez avec le grand ouest américain, par exemple). Par contre, même en se concentrant exclusivement sur Manhattan, beaucoup de choses sont à découvrir donc comptez quand même 4/5 jours sur place pour avoir le temps d’en profiter.

Washington

Après tout pourquoi ne pas ajouter la capitale fédérale à votre road trip ?Sans doute plus calme que NYC, elle possède tout de même pas mal d’atouts qui peuvent vous convaincre : à commencer partir sur les traces historiques de l’Amérique. La maison Blanche, le Capitole, le Lincoln Memorial … Tous ces lieux qui ont façonnés et façonnent encore les Etats-Unis sont à portée de main, sans parler des 19 musées du Smithonian. On a d’ailleurs déjà écrit plusieurs fois sur le blog à propos de cette ville, que nous affectionnons particulièrement, donc si vous voulez avoir un petit aperçu, retrouvez nos articles sur Washington D.C et ses alentours.

Et les autres villes américaines ?

Car oui, il y a bien d’autres villes qui méritent d’être découvertes aux USA… De Seattle à Dallas en passant par San Francisco ou Chicago, chacune vaut le détour peut être ajouter à votre circuit. Tout dépend de ce que vous allez vouloir faire et découvrir. Un conseil : parfois l’idéal reste de rendre la moto et d’opter pour un vol interne et d’arpenter la ville à pied …

Le mieux reste encore de nous demander conseil à travers un voyage sur mesure qui vous ressemblera vraiment.

Derniers conseils pour choisir votre extension:
Réfléchissez d’abord à ce que vous souhaitez faire. Repos à la plage ou visite en ville pour ajouter un voyage différent à votre séjour ? Cela dit il est tout à fait envisageable de faire les deux, farniente et visite ne sont pas totalement incompatibles …
Combien de temps? Essayez d’anticiper la durée totale de votre séjour, en prenant en compte les temps de trajet, changement de fuseau horaire, fatigue etc.

Mais si vous avez le temps, vous vivrez deux expériences distinctes en un voyage, le must, non ?

Aujourd’hui, les évènements pour Octobre Rose * doivent résonner plus fort que jamais et comme vous nous connaissez maintenant vous savez que la place des femmes dans le monde de la moto nous tient particulièrement à cœur. C’est pourquoi nous vous proposons cette semaine l’interview d’une femme bikeuse dans le monde de la moto, pour prouver à toutes et tous que ce n’est pas un monde réservé à la gente masculine.

AMT: « Tout d’abord merci d’avoir accepté notre invitation, nous mettons un portrait de femme motarde en avant et sommes ravies de pouvoir vous compter parmi elles, en particulier en cet Octobre Rose  :

Déjà, peux-tu te présenter et à quel âge as-tu commencé la moto ? :

Je m’appelle Hanny, j’ai commencé la moto à 42 ans, j’en ai 60 maintenant…

Et qu’est-ce qui t’en a donné l’envie ? 

J’ai été longtemps le « sac de sable » (passagère) de mon conjoint, et c’est lui qui m’a donné confiance et soutenue pour passer mon permis. Je pensais vraiment que ce n’était pas pour moi car je ne mesure qu’un mètre 55 et bien que sportive, toutes les motos me semblaient trop lourdes pour moi.
A l’époque il y avait encore assez peu de femmes motardes.

Le super conseil de Fab, mon conjoint : acheter d’abord une 125 pour se lancer. Il m’a dit : « si tu te sens bien mais que tu en as marre de te faire doubler par les camions, alors tu es prête à passer ton permis » !  J’ai acheté une YAMAHA Dragstar que j’ai eu à peine un an… Je me souviens encore d’un Paris – Montpellier qui m’a fait comprendre que OUI j’allais devenir motarde coûte que coûte ! Le permis n’a pas été simple (dont un essai où même mon moniteur m’a dit que visiblement j’étais victime de sexisme !), j’ai failli renoncer mais Fab m’a encouragée à changer d’école et à recommencer, et puis le grand jour est arrivé après 2 tentatives !

Sur quelle moto roules tu ?

Après de nombreuses années en Kawasaki (ER6 N puis F), j’ai fait un road-trip aux Etats Unis (avec nous NDLR😏), et à mon retour j’ai craqué pour une INDIAN Scout (le custom que j’avais loué là-bas). Aujourd’hui, je suis toujours sur une INDIAN : la Chief Bobber Dark Horse. Un gros moteur, avec un look très américain mais une conduite facile et du pur bonheur à piloter !

Dans ce monde masculin en tant que femme motarde, as-tu eu du mal à te faire une place ?

J’ai été très agréablement surprise, dès le début, par la réaction des copains motards. J’ai beaucoup roulé en club et j’avoue avoir toujours été soutenue, aidée, encouragée. Je provoquais plutôt l’admiration que l’amusement et j’en étais très fière !

Fab m’a pas mal appris et m’a consacré des heures d’apprentissage à mes tous débuts (démarrage en côte, freinage d’urgence, évitement…), je lui dois beaucoup dans cette aventure.

As-tu constaté une évolution ces dernières années ? (gabarit moto, choix des vêtements, équipements …)

D’un point de vue tout à fait personnel je me sens bien dans le monde des motards aujourd’hui. Il y a beaucoup plus de choix de motos qui me sont accessibles, sans doute que l’expérience y est pour quelque chose. Mais surtout, je ne suis pas obligée d’avoir ce look très masculin de mes débuts ! J’ai personnalisé ma Chief et j’adore son look, idem pour le blouson ou les bottes, j’ai toujours un petit accessoire très féminin et je me sens bien comme ça !

Tu es la première présidente d’un Club « groupe de rider Indian » (NDR: IMRG : Indian Motors Riders Group) à Montpellier, les « Oc Riders », toutes nos félicitations ! Peux-tu nous en préciser les circonstances, as-tu hésité avant d’accepter le poste ?

La présidence des Oc Riders (IMRG Montpellier) n’a pas été évidente pour moi, même si le nombre de motardes chez les Oc est supérieur a beaucoup de clubs (6 actuellement) on ne peut pas nier que cela reste un monde très masculin. J’ai été la trésorière du club pendant pas mal d’années et c’était bien ainsi. Mais quand le précédent président a décidé de démissionner, j’ai œuvré pour lui trouver un remplaçant, sans imaginer un instant que je pouvais prendre cette responsabilité. Je ne le souhaitais pas vraiment mais visiblement pour pas mal de copains du club, c’était une évidence (et sans nul doute, une facilité !).

Je suis très attachée à mon club (j’étais là à sa création), alors je n’ai pas dit non, embarquant avec moi dans cette aventure mon copain.

Animer un groupe de plus de 50 adhérents, cela représente beaucoup d’heures de travail… pour donner de la vie à notre passion commune. Il faut préparer des roads, anticiper un programme annuel, être à l’écoute des attentes, faire vivre aussi la convivialité et la tolérance, innover… Cela va bientôt faire un an et je suis assez fière du chemin parcouru. J’ai réussi à impliquer davantage de monde même si nous manquons encore de bonnes volontés, à imposer une organisation, à faire des projets (comme un road-trip américain).

Les présidents IMRG de France m’ont super bien accueillie. Aujourd’hui une fille motarde est prise au sérieux. Beaucoup d’adhérents Oc Riders se disent fiers d’avoir une présidente mais savent qu’on ne peut pas parler mécanique avec moi !!!

Quelle serait la moto de tes rêves ?

La moto de mes rêves est celle que je pilote aujourd’hui, très sincèrement ! Si je devais changer un jour, ce serait pour une autre INDIAN, plus légère peut-être, mais je suis tellement fière de piloter un 1900, moi la petite Hanny !!!

Quels sont tes meilleurs souvenirs à moto ? 

Dans la catégorie « mes meilleurs souvenirs à moto » il y a beaucoup de choses… Tout d’abord notre road-trip américain bien sûr, avec AMT, en 2016. Comment pourrait-il en être autrement ? C’était tout simplement MAGIQUE ! La Corse aussi : un rêve pour les pilotes dans un cadre sublime.

En 2019, j’ai participé au Women Riders World Relay (WRWR); Il s’agit d’un relais « cycliste » féminin mondial, couvrant même les régions les plus reculées et les plus vastes de notre monde. Les femmes passent le flambeau d’un « voyage » à travers le monde, par exemple : Londres à Paris, Paris à Berlin. Pour ma part j’ai roulé avec 10 femmes pour passer le relais de Montpellier à Menton. Il y avait plein de motos différentes et des motardes très attachantes. Mais, je l’avoue, la mixité c’est mieux !

J’ai la chance de partager cette passion avec mon copain. On peut décider à tout moment de s’évader tous les deux. C’est comme ça que nous avons fait un « tour de France à moto » riche de rencontres et de découvertes. A l’époque nous étions tous les deux en KAWA.

Et notre région (Montpellier) offre tellement de possibilités à moto, avec un climat plutôt clément, qu’une virée dans les Cévennes, sur la côte ou dans l’arrière-pays sont à chaque fois un vrai plaisir.

Quels conseils donnerais-tu à de jeunes motardes ? Une moto de prédilection pour débuter ?

Si je devais donner des conseils à une jeune motarde je dirais qu’il faut bien choisir sa moto. Être à l’aise et se sentir en sécurité sont des points essentiels pour progresser, alors il faut se faire la main sur une bécane sans prétention (au niveau puissance, poids, garde au sol) avant d’opter pour la monture de ses rêves. Et puis : rouler, rouler et encore rouler. A mon avis, l’adhésion à un club ne doit se faire qu’après quelques années en solo ou en duo. En effet, il n’y a rien de pire que de vouloir « suivre à tout prix » ! Chacun son rythme, chacun ses petites faiblesses, et on en a tous ! Mais par-dessus tout : CROIRE EN SES RÊVES !

AMT: Merci beaucoup Hanny de nous avoir accordé cette interview, qui ne manquera pas d’inspirer de futures motardes (à n’en pas douter) et à bientôt sur les routes ✌️

* Pour rappel octobre rose est une campagne annuelle de communication destinée à sensibiliser les femmes au dépistage du cancer du sein et à récolter des fonds pour la recherche. De nombreuses manifestations sont organisées durant tous le mois d’octobre, et notamment des événements « motardes », comme les balades moto qui ont eu lieu dans plusieurs villes de France.

A l’occasion du « Custer State Park Buffalo Roundup » (ce 29 septembre), il est temps pour nous de vous parler du Dakota du sud et de ses merveilles. Que vous y alliez à l’occasion de la Sturgis Bike Week, dans le cadre de notre Rocky Mountain Tour ou bien lors d’un voyage sur mesure, voici ce qu’il ne faut pas louper :

Que faire dans le Dakota du sud à moto?

Visiter le Dakota du sud, c’est faire un bon dans le temps: entre les villes au allures de BD de Lucky Luke, et les troupeaux de bison que vous croiserez, croyez nous, vous serez dépaysés ! Alors par où commencer?
La plupart des sites que l’on veut voir au Dakota sont plutôt concentrés dans l ‘ouest de l’état, ça tombe bien cela permet de facilement les combiner avec les états du Wyoming et du Montana voisins.

Le Mont Rushmore

Sans doute, l’image emblématique du Dakota. La tête des 4 présidents (Washington, Jefferson, Roosevelt et Lincoln) gravées dans la pierre, reste un des emblèmes des USA à ne pas manquer.
L’accès du site est gratuit mais le parking est payant (10$). Si vous y êtes en fin de journée, sachez que chaque soir (de mai à octobre) les statues sont illuminées au son de l’hymne patriotique. Autre vue possible du Mont Rushmore : depuis une route scénique des Black Hills. Un magnifique parcours qui dévoile le Mont Rushmore dans toute sa splendeur.

Le Crazy Horse Memorial

Construit comme le pendant du Mont Rushmore (un peu la réponse des indiens aux cow-boys, en somme). La sculpture débute en 1948 et reste encore à ce jour en cours d’élaboration. A terme cela devrait être la plus grande sculpture du monde (tout du moins de l’Amérique), et représentera le chef indien sur son cheval.
L’entrée est payante mais les fonds servent à financer l’avancée de la sculpture et vous donne également accès à un musée sur les cultures indiennes.

Custer State Park

Situé au sud des Black Hills, c’est le meilleur endroit pour observer les bisons et les animaux sauvages. D’ailleurs une de ses 3 routes scéniques s’appelle la « Wildlife Loop« , ce n’est pas pour rien! chiens de prairie, cerfs, ânes sauvages ou encore mouflons peuplent le parc.
L’ accès au parc est payant (puisque c’est un parc d’état et non national). Préférez organiser votre visite tôt le matin, pour multiplier vos chances de voir les animaux qui se font plus discrets en journée.

Badlands National Park

Littéralement « mauvaises terres » ( d’ailleurs ce sont des français qui les ont nommés ainsi), un décor presque lunaire où les roches semblent avoir été déchiquetées par les éléments … Le résultat est bluffant et offre un horizon à couper le souffle avec d’incroyables dégradés de couleurs.
Prévoyez une journée si vous souhaitez profiter pleinement du parc et faire l’aller retour depuis les contrée plus habitées. Le must sera évidemment d’y passer la nuit …

Visiter les villes du farwest

La conquête de l’ouest s’est faite ici, et ça se ressent bien ! Les villes gardent encore les traces de leur passé glorieux, et nous transportent 200 ans en arrière. Deadwood (connue pour avoir été le théâtre du meurtre de Wild Bill Hickok et pour être le lieu de sépulture de Calamity Jane) en reste la figure de proue. Pour une visite plus historique (mais plus touristique puisque payante) vous pouvez découvrir 1880 Town qui rassemble de vieux bâtiments pour les conserver.

Profiter des routes scéniques

Car oui un des intérêts du Dakota du Sud ce sont ses routes scéniques! Dans les Black Hills notamment : Iron Mountain Road, Needles highway, Spearfish Canyon, Peter Norbeck Scenic Byway … Des noms à retenir et à ajouter à votre carnet de route

Vivre comme les cowboys

Etat cow-boy par excellence, vous trouverez sans mal des ranchs qui accueillent les touristes. Appelés Dude ranch, vous pourraient participer aux activités attenantes à celui-ci ou bien faire une balade à cheval. Bref de quoi compléter votre expérience typique far west !

Et qu’est ce que le Custer State Park Buffalo Roundup?

Une fois par an aux portes de l’automne (le dernier vendredi du mois de septembre), le troupeau d’environ 1400 bisons qui paissent paisiblement dans le Custer Parc sont rassemblés par les cow-boys & girls. Regrouper une fois par an le troupeau permet de réguler la gestion des bisons sur le parc (qui ne peut en abriter qu’un certain nombre), les bêtes sont donc triées et certaines seront ensuite vendues aux enchères.

La journée se déroule comme un vrai show et une vrai expérience à vivre au moins une fois dans sa vie, et qui nous rappelle que ces majestueux bestiaux étaient autrefois chassés en troupeau. L’événement est gratuit mais vous aurez intérêt à vous lever tôt. Les parkings ouvrent dès 6h30 pour un début de round up à 09h30 en générale vers 11h30 les bisons sont rassemblés dans le corral. Bien sûr vous trouverez d’autres animation durant le week end du Roundup.

Il ne vous reste plus qu’à faire le plus dur : choisir sur ce que vous souhautez privilégier et nous demander conseils pour peaufiner votre propre liste de chose à découvrir dans le Dakota …

S’il y a bien une image qui nous vient en tête quand on parle de l’ouest américain, c’est bien Monument Valley ! Mis en avant par les films de John Ford, c’est dans l’imaginaire collective l’image même du décor de western. Un incontournable lors d’un voyage dans l’ouest américain à moto, qu’il convient de mieux connaitre pour le découvrir pleinement.

De son nom complet Monument Valley Navajo Tribal Park (Tsé Biiʼ Ndzisgaii de son vrai nom signifiant valley of the rocks, en Navajo), le parc comme son nom l’indique est situé en pleine réserve indienne, au cœur du territoire Navajos, à cheval entre l’Utah et l’Arizona.

Que faire à Monument Valley ?

En pratique Monument Valley est donc géré par la nation Navajo, ce qui signifie que le « Pass America the Beautiful « n’y est pas accepté et que vous devrez vous acquitter du droit d’entrée sur le parc (voir ci-dessous). La visite commence dès le Visitor center qui vous offre une terrasse avec une vue à couper le souffle sur les mesas les plus connues ! Vous trouverez également d’autres points de vue aux alentours du Visitor Center, comme le John Wayne’s view point ou le Taylor Rock View Point, qui vous permettent de découvrir d’autres vues sur la valley et de multiplier les clichés souvenirs.
Ensuite, votre visite dépendra de votre véhicule, car pour visiter Monument Valley il faut emprunter une piste appelée Valley Drive. Une boucle de 17 miles (27 km) qui permet de voir les mesas et les buttes de plus près. Donc si vous êtes à moto, il vous faudra prendre un tour guidé. De même, si vous avez une voiture avec une garde au sol plutôt basse, le début de la piste étant plutôt en mauvais état et en pente. Comptez environ d’1h30 à 3h pour faire le tour, en fonction du tour choisi et de vos envies.

Le premier se fera auprès de 3 des formations les plus célèbres de Monument Valley, West Mittens Butte, Merrit Butte, East Mitten Butte ajoutez y Sentinel Mesa. Viennent ensuite Elephant Butte et Camel Butte. Ou encore John Ford’s Point, un point de vue incontournable que le cinéaste américain a immortalisé dans La prisonnière du désert. Très souvent un indien prend la pose sur son cheval pour un cliché inoubliable. Petit plus, pour quelques dollars, vous pouvez prendre la pose vous-même sur la monture !  Ensuite les différents point de vue sur les formations rocheuses se multiplient, mais on ne va pas tout vous spoiler ici…

Comment visiter Monument Valley ?

Si vous optez pour un tour guidé, vous serez donc dans des 4×4 conduits par les Navajos. Ouvert à l’arrière, vous ne manquerez rien du paysage par contre prévoyez tout de même de quoi vous couvrir la bouche et le nez de la poussière. Les principaux tours proposent la même visite de la Valley Drive avec les bons arrêts photos. Mais d’autres tours sont également proposés par les Navajos et vous permettent, même si vous êtes en 4×4, d’accéder à des zones qui ne sont pas accessibles sans guide Navajo. Comme par exemple le Mystery Valley Tours ou le Backcountry Tour.
Une dernière façon de découvrir Monument Valley est de la parcourir à cheval histoire de se plonger encore plus dans l’ambiance Far West !

Si vous souhaitez faire la randonnée, il existe 2 randonnées possibles au départ du Visitor Center. Assez facile, comptez environ 2 h pour effectuer chacune. Elles vous permettront d’approcher de plus près les buttes et mesas.

Enfin, le must d’une visite à Monument Valley est d’assister en plus du crépuscule sur la Valley : le lever de soleil, quand le soleil point juste derrière les buttes. Suivant votre parcours, vous pouvez loger au cœur du parc dans une des cabines vous offrant une vue à couper le souffle sur les Mittens (en supplément, demandez nous conseil, réservation requise au moins 9 mois avant le départ, disponibilité limité) ou à proximité.

Même si vous ne dormez pas au cœur du parc, faites un tour, lors de votre passage, au Goulding’s Lodge, qui accueille un petit musée sur l’histoire du cinéma à Monument Valley et surtout sur sa relation avec John Wayne’s (entrée 2$ en 2022).

Infos pratiques :
– Très facile d’accès puisqu’il n’y a qu’une seule route pour y accéder : le US-163.
Attention aux heures si décidez de réserver un tour. Bien qu’en Arizona, le territoire navajo observe les horaires de l’Utah donc quand il est 13h à Page, il est 104h à Monument Valley.
– Le droit d’entrée est de 8$ par personne, 20$ pour une voiture/ 4 personne.
– Monument Valley est ouvert toute l’année (sauf Noël et Nouvel An) et là encore attention aux horaires. Le parc est ouvert de 06h30 à 19h30 (d’avril à septembre) mais la Valley Drive est elle ouverte de 06h30 à 17h00 (dernier véhicule à entrer sur la route), vous devez donc commencer votre visite avant la fermeture de celle-ci. Vous aurez ensuite jusqu’au coucher du soleil pour parcourir la piste et ressortir. En hiver, il vous faudra emprunter la piste entre 08h00 et 14h00.
– Pour un tour guidé comptez entre 60 et 90$ par personne en fonction du tour que vous allez choisir (pensez à prévoir le tips en plus pour le guide). Pour le tour en cheval, comptez entre 70 et 100$ pour 1h à 2h de balade dans le parc.

Enfin, quand vous venez du sud (de Kayenta donc) parcourez 24 km après l’entrée pour un arrêt photo au maintenant fameux Forrest Gump Point. Et oui, c’est bien là qu’il décide d’arrêter sa course et faire demi-tour. Alors armez vous de patience en haute saison touristique et vous aussi repartez avec votre photo mythique, et surtout un superbe dernier cliché de cette vallée unique au monde.

Monument Valley n’a maintenant presque plus de secret pour vous, mais au- delà d’une visite de parc c’est surtout une expérience de vie et une rencontre avec les nations indiennes qui vous attend.

Le média US News a recensé les 30 sites incontournables des USA, et vous savez quoi ? Vous pouvez en retrouver une très grande majorité dans nos circuits! Du Grand Canyon à Boston en passant par la Nouvelle Orleans, de Seattle à Miami, on a créé pour vous des circuits signatures qui vous permettent de découvrir tous ces sites et bien plus encore! Alors, voici le TOP 5 des circuits avec nos prochains départs 2023:

1- La Route du Blues Tours

Un itinéraire de La Nouvelle Orléans à Chicago à la rencontre de l’histoire de ces bluesmen partis en quête d’une vie meilleure. Mais aussi l’occasion de découvrir Memphis & Nashville, des villes à jamais liées à la musique, pour un voyage musical, imminent ! Un road trip incontournable pour les amateurs de musique, une expérience de vie et des rencontres inoubliables.

Prochain départ en formule accompagnée:
du 23/04 au 07/05/2023

Votre voyage avec American Motors Travel:
15 jours /13 nuits dans le respect du sens historique de New Orleans à Chicago avec : 2 nuits à la Nouvelle Orléans, Memphis et Nashville pour profiter un maximum de l’ambiance, et de la vie nocturne. Ainsi que 2 autres routes légendaires => la « Natchez Trace Parkway » et la fameuse « Route 66 ».

2- Le Western Tours

Un de nos « Best Seller » sur l’Ouest Américain. Une boucle au départ de Los Angeles pour découvrir les plus beaux parcs de l’ouest américain en un seul voyage! Un incontournable, indémodable …

Prochain départ en formule accompagnée:
du 07/05 au 22/05/2023

Votre voyage avec American Motors Travel:
15 jours /13 nuits pour combiner la « Mother Road », la « Route One » et les parcs nationaux et sites les plus emblématiques de l’ouest américain dont Grand Canyon, Antelope Canyon, Monument Valley, Zion, Death Valley et Yosemite …

3- Le Best of The West Tours

LE condensé de l’Ouest Américain : De Los Angeles à San Francisco avec un petit kilométrage pour en profiter un maximum! Agrandissez votre voyage jusqu’à Moab pour ajouter Arches Park, Canyonland et Dead horse Point à votre liste!

Prochain départ en formule accompagnée:
du 06/06 au 25/06/2023

Votre voyage avec American Motors Travel:
19 jours/17 nuits avec une nuit inoubliable au cœur de la Vallée de la Mort, 2 nuits sur San Francisco et Los Angeles pour découvrir ces villes iconiques avec Las Vegas ainsi que 2 nuits sur Moab à la découverte des plus beaux parcs de l’Utah (dont Bryce Canyon, Capitof Reef en plus de Zion).

4 – La Route 66 Tours

LA traversée légendaire des USA ! De Chicago à Los Angeles, un parfum de nostalgie sur près de 4000km pour revivre les grandes heures de la « Mother Road ».

Prochain départ en formule accompagnée:
du 26/05 au 10/06/2023

Votre voyage avec American Motors Travel:
16 jours/ 14 nuits sur le vrai tracé de cette Route si mythique avec des étapes équilibrées pour vous permettre de profiter de toutes les « roadside attractions » qui vous attendent. Un guide amoureux de la « sixty-six », qui la connait mieux que quiconque et saura toujours vous remettre sur le droit chemin.

5 – Le Far West Tours

Immersion au pays des cow-boys dans cette boucle au départ de Denver. Le meilleur du Colorado et du Wyoming, en passant par le Dakota du sud, le Montana, l’Idaho et l’Utah. Bref, un concentré de paysages époustouflants à la sauce farwest.

Prochain départ en formule accompagnée:
du 15/07 au 30/07/2023

Votre voyage avec American Motors Travel:
15 jours/ 13 nuits combinant les grandes plaines, le mont Rushmore, le parc de Yellowstone aux parcs de l’Utah. Un voyage qui complète parfaitement notre Western Tours pour une découverte toujours plus approfondie de l’Amérique.

Du coup, si vous avez consulté la liste de US News, vous voyez bien qu’une bonne partie est déjà réunie dans les circuits présentés ici 😉. Pour le reste rendez-vous sur notre site, ou bien demandez-nous un voyage sur mesure

Parce qu’on ne vous propose pas que les USA, et que pour être complet on vous propose aussi des destinations trails. Voici deux pays qui répondront à vos attentes: L’ Argentine et le Chili. Deux circuits parmi les plus beaux paysages du monde et des passages par les cols eux aussi, parmi les plus hauts au monde ! Voici donc toutes les informations pour voyager dans ces deux merveilleux pays :

Formalités à prévoir

L’ARGENTINE

Pour un voyage en Argentine, il faudra vos munir de :

  • Votre passeport valide pour la durée de votre séjour (on vous conseille tout de même qu’il soit valide un peu plus longtemps)
  • Votre pass sanitaire attestant que vous avez bien reçu 2 doses de vaccins depuis plus de 14j.
  • Présenter la déclaration sur l’honneur relative à la COVID 19 dans un délai maximum de 48h avant le vol. La confirmation doit être présenté à la compagnie aérienne.
  • Souscrire à une assurance voyage prenant en charge les frais d’hospitalisation et d’isolement pour COVID-19, sans exclusions ou limitations pendant la durée du séjour.

LE CHILI

Les formalités pour le Chili sont un peu plus exigeantes à ce jour, il convient donc de s’y prendre en avance:

  • Votre passeport valable pour l’ensemble de votre séjour (comme pour l’Argentine on vous conseille d’avoir une validité un peu plus longue) En arrivant sur le territoire chilien, les autorités locales remettent une « Tarjeta Unica Migratoria ». La conserver pendant tout le séjour, elle sera exigée à la sortie du pays.
  • À partir du 1er septembre, pour entrer au Chili, les étrangers non-résidents devront présenter soit un certificat de vaccination complet (3 doses) contre le COVID-19 OU soit un test PCR négatif effectué maximum 48 heures avant le départ de leur pays d’origine. Ils pourront ensuite se déplacer librement dans le pays.
  • Souscrire à une assurance voyage prenant en charge les frais médicaux en cas de COVID-19 n’est plus obligatoire mais toutefois recommandé.

Le port du masque reste recommandé dans les lieux fermés.

Informations pratiques

Voici quelques informations à connaitre pour préparer votre voyage:
– Le décalage horaire pour l’Argentine est de -4 h en hiver et -5h en été (enfin le notre). Pour le Chili, il y a 4h de plus à Paris qu’au Chili en Hiver et +6h en été
– Langues parlées: dans les deux pays la langue officielle est l’espagnol (avec un bon accent quand même). Il existe également des langues amérindiennes qui sont encore parlées.
– La monnaie est le peso Argentin pour l’Argentine et le peso Chilien pour le Chili (jusque là tout va bien) . En Septembre 2022, 1€ = environ 139 pesos argentin et 1€ = environ 892 pesos chilien, donc attention au taux de conversion quand vous passez la frontière. Les cartes de crédit sont acceptées dans la plupart des endroits. Pour le retrait d’argent, vous trouverez de nombreuses banques qui vous permettront de retirer facilement (attention ouverte que le matin et privilégiez les grosses banques internationales). Pour connaître le cours rendez-vous ici ou autres sites de conversion.
Le pourboire est courant en Argentine comme au Chili. Au restaurant la coutume est de laisser 10% de l’addition et pour le taxi on arrondit à la dizaine supérieure, soit un pourboire de quelques centimes d’euro.
– pas besoin d’ adaptateur pour voyager en Argentine et au Chili ! Les prises électriques sont les même qu’en France.
– Climat: les hémisphères sont inversés par rapport à la France l’été sera donc de Décembre à Février et l’hiver de Juin à Septembre. Le Chili comme l’Argentine sont tout en longueur et subissent donc des climats différents entre le nord et le sud. Il faut également penser que les passages par les Andes, vous feront monter en altitude, donc il faudra penser à se couvrir! Globalement , les meilleures saisons restent les saisons intermédiaires, soit Octobre-Novembre et Avril-Mai.

Plus rien de vous retient pour nous demander conseils sur nos circuits trail en Argentine sur la Route 40 ou notre combiné Chili/Argentine !

Point de départ de plusieurs de nos circuits, capitale du Colorado et maintenant accessible en vol direct (en été) avec Air France/ Delta, Denver est définitivement une ville à découvrir ou redécouvrir! Alors, suivez le guide:

Comment visiter Denver ?

Ancienne ville minière pendant la Ruée vers l’or, Denver était la porte du Grand Ouest pour tous les américains partis chercher fortune. D’ailleurs, elle fut choisie comme capitale du Colorado en 1876, car c’était déjà à l’époque la plus peuplée. Appelée aussi « Mile High City » en raison de son altitude établie à 1 mile, soit 1609 m. Le point exacte se trouve sur les marches du Capitole.

Denver est une ville très agréable à visiter. En partie piétonne dans son centre-ville, elle se divise en plusieurs quartiers pour vous offrir des expériences toujours renouvelées:

En premier le Lower Downtown, appelé aussi LoDo, est le quartier historique. Construit autour de la gare qui a plus d’un siècle, le quartier regorge d’art contemporain, c’est là notamment que vous croiserez le fameux Ours Bleu (Blue Bear), un géant de 13 m de haut, qui est devenu l’un des symboles de la ville. Il se trouve au niveau de Convention Center (700 14th Street). Levez la tête entre la 14th et la 15th, des sculptures de chats vous appellent et égayent votre passage. Et vous voilà à Larimer Square, le cœur même de la ville et la première construite à Denver, ce qui lui donne un charme indéniable. La rue est piétonne et accueille bon nombre de restaurants et bars branchés ou même boutiques de cowboy, qui sauront vous satisfaire, un lieu idéale pour une soirée mémorable.

Au nord, la gare Union Station. Continuez encore sur Blake Street pour passer devant le Coors Field le fameux stade de baseball de la ville. Au bout vous atteindrez RiNo (River North Art District), un quartier artistique qui regorge de murales époustouflantes. Pour déjeuner, Denver Central Market est un bon plan.

Au sud, le Downtown qui est dominé par les gratte-ciel. Il est surtout traversé par la 16th street. Sans doute la 2° rue la plus célèbre de Denver. Cette rue piétonne de 1 km de long est le centre du shopping et de la détente. De nombreuses boutiques, cafés, restaurants et terrasses permettent de flâner paisiblement …

De l’autre côté de Colfax Avenue ( la plus longue rue de Denver et des USA !) se trouve le Capitole et le Golden District Museum, où vous trouverez des musées d’art et d’histoire mais aussi de très belles demeures historiques.

Pour vous balader et visiter les différents quartiers, pensez aux transports en communs notamment aux tramways, trolleys et bus (gratuit en centre-ville) ou aux vélos en libre service.

Activités et découvertes à Denver

Une des caractéristiques de Denver est son Beer Trail, vous pourrez en trouver le guide gratuit au Visitor Center, avec un itinéraire qui inclut la visite libre de 32 brasseries et micro-brasseries (sur les 150 que compte la ville et la région). Par ailleurs, on trouve à Golden (dans la banlieue de Denver et au charme du Far West), la brasserie Coors qui est la plus grande des USA. Une sorte de tradition historique, puisque la légende veut que la première structure permanente construite à Denver fut un saloon!

Et pour retrouver l’ambiance et l’esprit du Far West, plusieurs visites s’imposent : au History Colorado Center, ou encore au Buffalo Bill Museum avec la tombe du légendaire William Frederick Cody (en périphérie de Denver à Golden) qui vous offrira également une superbe vue sur la ville (depuis Lookout Mountain).

Toujours en extérieur de la ville, le Red Rocks Amphitheater, est également un incontournable. Un amphithéâtre naturel creusé dans la roche qui a accueilli les plus grandes stars : les Beatles, U2, Depeche Mode, Bob Dylan,  Jimi Hendrix, Grateful Dead … Le must: assister à un concert ou show lors de votre passage. Consulter le programme pour passer une soirée inoubliable !

Enfin, Denver est idéalement placée : à moins de deux heures des Rocheuses. Un formidable terrain de jeu pour les sportifs et surtout pour les motards en quête d’interminables lacets dans les montagnes avoisinantes dont les Rocky Mountains, et qui font une superbe toile de fond à la ville.

Ce sont pour toutes ces raisons que nous l’avons choisi, comme point de départ de nos circuits du Great West dont le Rocky Mountain Tours, ou encore le Far West Tours et surtout pour le must des bikers avec l’événement annuel incontournable : Sturgis Rally. Bref, vous l’aurez compris, une option à considérer si vous optez pour un voyage sur-mesure.

A l’occasion des 45 ans de la mort du King (le 15 Août 1977) et de la sortie du film « ELVIS », nous en profitons pour vous emmener dans les pas d’Elvis Presley, l’un des artistes solos ayant vendu le plus d’albums (retrouvez notre article sur son histoire ici). Alors direction les états du sud des USA, pour revenir sur la vie trépidante du King.

Tout commence à Tupelo…

Pour commencer, direction Tupelo, petite ville du Mississippi, à environ 2h au sud-est de Memphis. C’est là que naquit le 8 janvier 1935 Elvis Aaron Presley. Aujourd’hui, la minuscule maison (on s’approche plus de la cabane en bois d’ailleurs…) se visite, tout comme l’église pentecôtiste qu’il fréquentait et un musée exposant des objet remontant au tout début de sa carrière.

adresse : 306 Elvis Presley Dr, Tupelo, MS 38801

Un peu avant de rejoindre le centre-ville, vous pouvez également vous arrêter au Johnnie Drive In, un diner comme on les aime, qui n’a pas beaucoup changé depuis l’époque du King. D’ailleurs si la table en face de la porte d’entrée est libre, asseyez -vous! C’était la préférée d’Elvis qui s’installait toujours à la même (le panneau Elvis Booth vous l’indique).


adresse : 908 E Main St, Tupelo, MS 38804

Puis, prenez la direction du centre-ville pour pousser la porte du Tupelo Hardware Co. Là où sa mère lui acheta sa première guitare pour ses 11 ans et lança sans doute sa carrière (d’ailleurs on se félicite qu’elle n’ai pas cédé à ses premières envies : un fusil ou une bicyclette). N’hésitez pas à pousser la porte du magasin qui reste encore dans son jus et où vous pourrez vous tenir au même endroit que le King (marqué par une croix).

adresse : 114 W Main St, Tupelo, MS 38804

Vous pourrez également découvrir en ville, son école élémentaire (la Lawhon Elementary school, 140 Lake St) et son collège (Milam Junior High School, 720 W Jefferson St). Si vous vous trouvez en ville début Juin, ne manquez pas le Tupelo Elvis Festival (qui fêtera d’ailleurs ses 25 ans en 2023).

…Direction Memphis pour l’ascension du King

A l’âge de 13 ans, ses parents déménagent à Memphis en quête d’une vie meilleure. Après avoir habité dans une pension de famille, il emménagent aux Lauderdale Courts (des logement sociaux) qu’ils occuperont du 1949 à 1953. L’appartement a été conservé en l’état, mais il faut prendre RDV pour le visiter (au 252 N. Lauderdale Courts) et les places sont vite prises.


adresse : 185 Winchester Ave, Memphis, TN 38105

Rejoignez le Sun studio, là où sa carrière à vraiment commencé. Une visite incontournable de Memphis, où ont enregistré les plus grands (Johnny Cash, Roy Orbison ou encore Jerry Lee Lewis…). C’est là qu’il sera repéré en enregistrant son premier disque « That’s all right Mama » un cadeau qu’il destinait à sa mère. Vous pourrez même vous tenir dans la salle d’enregistrement derrière le micro utilisé par le King en personne!


adresse : 706 Union Ave, Memphis, TN 38103

Le clou du spectacle pour une visite de Memphis reste bien sûr Graceland, Le manoir qu’il acheta (en 1957 à seulement 22 ans!) un peu en périphérie de la ville pour accueillir toute sa famille. L’occasion de rentrer dans l’intimité du King car une grande partie de la demeure se visite (une visite en français grâce à une tablette et un audio guide). Vous pourrez d’ailleurs vous recueillir sur sa tombe dans le jardin de méditation. On vous en fait déjà fait le tour détaillé ici

Sur le trottoir d’en face ce n’est pas moins de 7 salles d’exposition consacrées à Elvis qui vous attendent (ses costumes, ses disques d’or, ses voitures et même ses avions privés!) et tout autant de boutiques. Alors si avec tout ça vous ne ramenez pas un petit souvenir…

adresse : 3717 Elvis Presley Blvd, Memphis, TN 38116

Il existe bien d’autres endroit dans Memphis pour partir sur les traces du King :

  • Le Peabody Hotel (149 Union Ave): également l’un des plus vieux de la ville. C’est dans cet hôtel de luxe qu’Elvis signa son premier contrat avec la RCA (une salle lui est dédiée). Le petit plus, si vous y allez à 11h ou à 17h vous pourrez assister à la marche des canards qui viennent se prélasser dans la fontaine du lobby. Là encore un incontournable!
  • Lansky Brothers: (126 Beale Street, sous le Hard Rock Café et au rez de chaussée du Peabody Hotel) C’est là qu’Elvis s’habillait, il a d’ailleurs été surnommé « l’habilleur du King ». Alors pour une chemise à la « Elvis » c’est là qu’il faut aller.
  • Stax Sudios (926 E. Mclemore Ave.): Plutôt consacré à la soul, Elvis y enregistra 3 albums (« Good Times », Raised on rock », « Promise Island »

Pour manger comme Elvis :
L’Arcade Restaurant (540 S Main St) : un des plus vieux restaurant de ville où Elvis avait pris ses quartiers. Sa table? Première salle à gauche le long de la baie vitrée, pour observer l’extérieur.
Colleta’s Restaurant (1063 South Parkway East) : une adresse italienne, authentique. Direction la salle qui lui est consacrée, vous trouverez au fond de celle-ci la table sur laquelle il mangeait.
Hernando’s (3210 Old Hernando Road): un roadhouse où Elvis s’est produit.
Marlowe’s restaurant (4381 Elvis Presley Bvd): un spécialiste des Ribs où Elvis aimait aller manger (cherchez la plaque qui indique sa table)

Dans le reste des USA

Si le King a passé une majeur partie de sa vie à Memphis, d’autres sites sont à voir si vous souhaitez compléter votre pèlerinage:

Le lien entre la ville Las Vegas et Elvis est indéniable. Il y a donné plus de 800 concerts à guichets fermés au Las Vegas Hilton (devenu aujourd’hui le Westgate Las Vegas) entre 1969 et 1976. Mais c’est aussi dans la ville du péché qu’il épousera Priscilla Beaulieu en 1967 dans la chapelle de l’Aladdin Hotel (en partie détruit aujourd’hui et devenu entre temps le Planet Hollywood). Il y avait également tourné le film  » Viva Las Vegas  » en 1963, dont la fameuse chanson sera l’un de ses tubes.

L’île d’Oahu, à Hawaii l’un des endroit préféré d’Elvis qui y passera ses vacances mais y donnera également des concerts, notamment le cultissime  » « Aloha from Hawaï  » qui fut retransmis par satellite. Pour être sûr de marcher dans ses pas, réservez une chambre au Hilton Hawaiian Village Waikiki Beach Resort.

Et bien sûr son étoile sur le Walk of Fame (au 6777 Hollywood Blvd) à Los Angeles.

De son enfance à sa mort le King a laissé des traces, il ne vous reste plus qu’à les suivre…Et si vous êtes un grand fan, n’hésitez pas à nous demander conseils pour adapter votre prochain circuit sur-mesure !

Direction une autre de nos destinations phares l’Afrique du Sud, située à la pointe méridionale du continent africain, qui réunit plus de 50 millions d’habitants issus d’une multitude de cultures différentes. Plus grande que l’Allemagne, la France et l’Italie réunies, le territoire couvre une superficie de 1 221 037 km2. Le pays possède environ 3 000 km de côtes, baignées par l’océan Atlantique à l’ouest et l’océan Indien à l’est. L’Afrique du Sud peut être grossièrement divisée en deux régions principales, un plateau intérieur et une plaine côtière. Les deux régions sont séparées par un grand escarpement, composé de collines et de massifs montagneux, dont le fameux Drakensberg, qui culmine à 3482 mètres. Voici notre petit guide pour voyager dans ce somptueux pays :

Formalités à prévoir

De quoi avez vous besoin pour voyager en Afrique du sud:

Votre passeport valable 30 jours après la date de retour avec 2 pages vierges disponibles. (un permis de séjour de 90 jours sera délivré à la frontière et à l’entrée sur le territoire sud-africain)

Et c’est tout! Plus de test PCR ni de certificat de vaccination à présenter aux autorités. Nous vous conseillons toutefois d’être vacciné contre la Covid pour voyager dans le pays. Et également d’être à jour dans les vaccinations classiques.

Informations pratiques

Voici quelques informations à connaitre pour préparer votre voyage:
– Le décalage horaire n’est que d’une heure entre la France et l’Afrique du Sud. (+1h en hiver et 0 en été).
– Langues parlées: il existe pas moins de 11 langues parlées en Afrique du Sud, mais pas d’inquiétude, l’une des langues officielles est l’anglais.
– La monnaie est de Rand que vous trouverez pour l’abréviation R ou ZAR pour « Zuid-Afrikaanse rand ». L’unité monétaire est le Rand divisé en 100 Cents. Les billets représentent les 5 grands animaux (Big Five) : 10, 50, 100, 200  Rands. Les pièces de monnaies sont de : 5, 10, 20, 50 Cents et 1, 2 et 5 Rands. Pour connaître le cours EUR – ZAR rendez-vous ici ou autres sites de conversion. En Août 2022, 1€ = environ 17 ZAR. Les cartes de crédit sont acceptées dans la plupart des endroits. Pour le retrait d’argent, vous trouverez de nombreuses banques qui vous permettront de retirer facilement. Le coût de la vie est environ 30 fois moins élevé qu’en France.
Tout comme aux USA , il est de coutume de laisser un pourboire, notamment au restaurant où le salaire des serveurs est très bas. Prévoyez de laisser 10% à 15% du montant total. Normalement, le pourboire n’est pas inclus à la note et ce sera à vous de le calculer, mais vérifiez quand même votre note, car certains établissement l’incluent automatiquement (auquel cas, cela sera indiqué). Il faudra également prévoir un pourboire pour le pompiste, prévoyez 10 Rand, mais pas d’inquiétude le litre d’essence est aux alentours de 15 à 17R (soit entre 0.88 et 0.99cts)
– Il vous faudra prévoir un adaptateur pour voyager en Afrique du Sud, les prises électriques comportant 3 fiches rondes. par contre pas de problème pour le voltage qui est le même qu’en France.
Climat: les hémisphères sont inversés par rapport à la France l’été sera donc de Décembre à Février et l’hiver de Juin à Septembre. L’Afrique du Sud est très étendue et subit donc des climats différents entre le nord et le sud. Globalement , les meilleures saisons restent les saisons intermédiaires qui permettent d’éviter les pluies, soit Octobre-Novembre et Avril-Mai.

Vous voilà avec toutes les informations nécessaires pour organiser votre séjour. Mais bien sûr le mieux reste de prendre conseil auprès de votre agence préférée, si vous avez la moindre question!

Ca y est, vous êtes fin prêt pour un superbe voyage aux USA, mais juste avant de démarrer enfin votre Roadtrip il vous faudra affronter votre vol long-courrier. Un voyage aux Etats-Unis, représente minimum 7h de vol (pour la côte Est, pour Los Angeles en revanche il faut compter 11-12h). Pas de panique ! Nous vous avons sélectionné LA liste des indispensables pour survivre aux longues heures de vol :

1- Le cadenas TSA

En préparant vos bagages, pensez à prendre un cadenas TSA, si votre bagage ne comporte pas déjà une système à code. Ces cadenas sont reconnus par l’administration américaine et peuvent être ouverts par les douaniers. A clés ou à codes, il vous évitera de voir fracturer votre cadenas …

2- Un coussin tour de cou

Accessoirement appelé aussi « coussin d’avion » donc peu de chance de vous louper dans votre choix. Après à vous de voir, à mémoire de forme, ergonomique, gonflable, avec des poches… Il y en a pour tous les goûts, mais le gonflable remporte notre adhésion pour être facilement logeable dans la moto pendant le voyage. Un indispensable surtout pour votre vol retour qui se fera de nuit.

3- Des écouteurs ou un casque sans fil

Certes, la compagnie fournie souvent une paire, mais vu leur qualité si vous souhaitez profiter des films, séries, documentaires … qui vous seront proposés, nous vous conseillons vivement d’investir si ce n’est pas déjà fait. Les références en connectés/Bluetooth : Bose, Sony, Jabra, JBL Liv… A noter si vous êtes en Bluetooth, il vous faudra un adaptateur pour vous connecter.

4- Un masque de nuit

De quoi vous isoler de la lumière de vos voisins ou des écrans avoisinants … Histoire de prolonger un peu votre voyage dans les bras de Morphée et arriver ainsi en pleine forme à destination. A savoir, la majeure partie des compagnies régulières en fournisse un.

5- Des bouchons d’oreilles

Si vous avez l’habitude de dormir dans le plus grand calme, les bouchons deviendront vos meilleurs amis. Sans parler du bruit que peuvent faire vos voisins, ils vous permettront de vous isoler du bruit des réacteurs. Certains sont même faits pour vous aider au moment de la descente et éviter que vos oreilles se bouchent (appelé FlyFit), d’autres permettront de réduire et/ou isoler le bruit … A noter que pour les motards ils peuvent également servir sur la route si besoin.

6- Des chaussettes de contention

Même si vous n’avez pas de problème de circulation, les chaussettes ou bas de contention offrent un réel confort (pas très Glam’ certes, mais fort utile). Hormis le fait qu’elles peuvent littéralement vous sauver la vie (en vous évitant une phlébite), elle permettront surtout que vous n’atterrissiez pas avec les chevilles/pieds gonflés.

7- Un kit d’hygiène

De quoi vous rafraichir un peu avant d’atterrir. Pas vraiment besoin de description de ce que vous pouvez faire avec, on est sûr que vous saurez vous en servir :), idéalement prenez également une tenue de rechange au cas où.

8- Une couverture

Si vous voulez passer la meilleure des nuits en avion, pourquoi ne pas partir directement avec sa couverture? Car oui en avion, les températures ne sont pas des plus chaudes et avec la fatigue vous le ressentirez d’autant plus… Certes la compagnie vous donnera une sorte de plaid (parfois seulement au retour pendant le vol de nuit). Donc à l’aller, on vous conseille plutôt de bien vous couvrir et de voyager confortable.

9- Hamac ou coussin repose pieds.

Bon pas le plus indispensable mais un véritable petit plus pour le confort. Là en l’occurrence surtout pour celles et ceux qui ont des problèmes de dos ou une mauvaise circulation sanguine.

10- Un bon livre et des chewing-gums

Ca, vous pourrez le trouver directement à l’aéroport. Si vous ne souhaitez pas regarder de films, prévoyez un bon bouquin, magazines … pour passer le temps. Un autre incontournable, un paquet de chewing-gum, pour après le repas, certes, mais surtout pour la montée et descente, mâcher vous permettra de faire fonctionner vos mandibules et de déboucher vos oreilles. Histoire de passer un bon voyage jusqu’au bout!

Et voilà avec tout ça, vous ne devriez pas voir passer vos heures de vols. Même si clairement l’étude de votre guide personnalisé AMT, application digitale ou tout autre document personnalisé, restera le meilleur des passe-temps! Un dernier conseil: reposez-vous bien malgré votre excitation de voyager et ce même dans le vol aller qui est un vol de jour. Il vous faudra être en forme dès votre arrivée pour profiter un maximum de votre voyage et vous caler rapidement sur un nouveau fuseau horaire.

En bon français épicurien, la nourriture est l’une de nos préoccupations principales lorsqu’on part en voyage et surtout aux USA. Au royaume de la malbouffe on appréhende un peu de ne trouver que des burgers. Alors pour vous aider dans vos recherches (car en baroudant toute la journée, vous n’avez plus envie de passer 2 h à chercher un restaurant), voici notre guide détaillé où nous vous distillons une nouvelle fois, notre précieux conseil :

Pour commencer, le mieux est de faire le point sur les différents moments de la journée :

  • Le breakfast : l’équivalent du petit déjeuner, mais beaucoup plus copieux aux USA (et variant du PDJ anglais), composé le plus souvent des fameux pancakes nappés de sirop d’érable et accompagnés de myrtilles (ou autres fruits), mais on trouve aussi des french toast (pain grillé), des céréales, des hash browns (sorte de galette de pomme de terre) et bien sûr des œufs et bacon (ou saucisses, jambon …). Sans oublier leur jus de chaussettes, un café très très allongé et le plus souvent proposé à volonté (ou thé/chocolat chaud).
ŒUFSVIANDEPAIN
Scrambled BrouillésBaconbaconwhite pain de mie 
Sunny side up au platJambonhamwhole wheat blé complet
Over easyretourné et cuits légèrementSaussices américainessausage French baguette
Petit lexique pour commander

Vous pouvez aussi choisir des haricots (beans) dans une sauce sucrée, du fromage en tranche type Cheddar (Cheddar Cheese), des flocons d’avoine (Oatmeal), des muffins (à la myrtille, à la framboise…), des donuts, des fruits coupés (fruits), ou encore des gaufres (waffles), avec souvent un large choix: nature ou au bacon, à la noix de coco, à la noix de Pecan ou avec des fruits…

Bref, ça reste un bon plan pour commencer la journée le ventre plein (pour pas cher et peut être même en version brunch, pour des économies afin de réduire à 2 repas par jour).

Quelques adresses incontournables:

  • Ihop: carte à la fois sucré et salé, c’est le spécialiste du pancake mais vous y trouverez également omelettes, french toasts, saucisses… Rappelez-vous de quoi expérimenter un petit dej à l’américaine!
  • Waffle House: la « maison de gaufre à la sauce américaine », l’ambiance typique des diner américain, à ne pas louper…
  • The Original Pancake House: authenticité et identité nationale, pancakes, crêpes mais aussi omelette pour commencer la journée du bon pied !
  • Cracker Barrel: c’est la cuisine de » maman « typique, mais aussi un general store où l’on trouve de la déco, de la nourriture et de la musique purement américaine, le tout dans un décor western.
  • Perkins Restaurant and Bakery: spécialiste du petit déjeuner, du sucré du salé, vous en trouverez pour tous les goûts!
  • Denny’s: C’est le restaurant du petit déjeuner aux USA depuis 1953, ouvert 24h sur 24 avec pancakes et café à volonté ! Valable aussi pour le reste de la journée, vous y trouverez de quoi manger de tout et à toute heure (mais restez quand même plutôt sur les p’tit dej).
  • Applebees : idem restaurant de style américain qui propose de tout : de quoi manger un bon petit déj mais aussi ribs, steaks, hamburgers, fajitas, poisson. Il y a également des pâtes, des salades. Impossible de ne pas trouver son bonheur.

Le Lunch : notre déjeuner, mais le plus souvent pris sur le pouce aux USA, l’occasion pour eux d’avaler une salade (avec une liste longue comme de bras de différentes sauces pour agrémenter) ou un sandwich, et peut être, pour vous l’occasion de tester l’un des nombreux food trucks présents en ville ou les food court typiques (sorte de cafétéria notamment présentes dans les centres commerciaux où vous retrouvez toute sorte de restauration autour d’une place centrale, ainsi chacun mange ce qu’il veut !).
Alors, pour votre pause déjeuner, on vous conseille de suivre leur exemple pour gagner du temps et de l’argent! Dans ce type de restaurant, pas de tips et des taxes réduites et surtout cela vous permettra de manger et de repartir à l’assaut de la route plus rapidement.

Voici donc quelques chaînes que vous trouverez sur votre route:

  • Inn-N-Out Burger (l’un des plus vieux fast food et dont Barack Obama raffole)
  • Five Guys (qui commence à arriver en France)
  • Shake Shack (initialement à NYC mais s’étend sur le territoire)
  • Wendy’s (3eme plus grande chaine aux USA, après McDonald’s et Burger King, que nous connaissons),
  • Panda Express (fast-food asiatique),
  • Tacobell (hispanique, pour ses burritos entre autres),
  • Sbarro (style italien, pour les pâtes, pizzas & salades) ou encore Olive & Garden,
  • Red Lobster & Joe’s Crab Shack : produits de la mer (homard ou crabe donc),
  • Chaine de restaurants (ceux déja cités : IHOP, Denny’s, Applebee’s puis T.G.I. Fridays, Ruby’s, également un « diner » vous avez le choix avec des burgers, sandwiches, salades, soupes, omelettes et pancakes, également réputé pour ses glaces & milkshakes. Ou encore Outback Steakhouse) … Renseignez vous éventuellement sur les Today’s specials, l’équivalent de notre plat du jour, pour découvrir la gastronomie locale.

N’hésitez pas à prévoir un pique-nique, les parcs ont des aires plutôt bien aménagées: dans ce cas privilégiez Subway, Jersey Mike’s Subs ou en supermarché : Target, Wal-Mart et particulièrement Whole Foods Market (supermarché bio avec salade bar, plats …).

Le Diner : notre dîner, attention, les américains mangent beaucoup plus tôt, les restaurants sont en général ouvert à partir de 17h/17h30 et la plupart ferment vers 21h ! Ne vous faites pas piéger ! Vous pouvez privilégier la formule ALL YOU CAN EAT (buffet à volonté). Quelques chaînes déjà évoquées proposent des formules de ce genre: Applebee’s Denny’s… mais les champions en la matière restent les restaurants des hôtels de Las Vegas ! Attention à ne pas confondre avec self-service buffet (pas illimité, justement comme au Whole Foods Market, par exemple).

Sans oublier les OWNED RESTAURANTS, qui n’appartiennent à aucune chaînes, mais qui n’en sont pas moins intéressants, ne vous inquiétez pas on les a repéré pour vous, et vous les retrouverez dans vos guides personnalisés ou en formule accompagnée selon la recommandation de votre guide/accompagnateur.

APPETIZERS (entrées)
Clam chower velouté de palourdes (typique à San Francisco)
Coleslawsalade choux/ carotte (Souvent proposé en accompagnement)
Caesar’s salad salade garnie de croûtons avec une sauce à l’ail
MAIN COURSES
(plats principaux)
Sirloin Steackfaux-filet de Bœuf
T-boneEntrecôte complète
Chicken Breast Blanc de poulet 
Shrimps & scallops crevettes et coquilles St Jacques 
Quelques mots de vocabulaire

Mais voici également quelques noms de chaînes pour trouver rapidement de quoi manger le soir et éventuellement manger un peu plus tard, pour la plus part dans un esprit pub :

  • Lucille’s Smokehouse BBQ : comme son nom l’indique c’est plutôt un restaurant de viande mais à l’inspiration du Sud, ainsi même en Californie, vous pourrez goûter aux fameux jambalaya ou Gumbo de la nouvelle Orleans…
  • Lazy Dog : on y trouve également de tout avec les inspirations du monde, à noter, ils brassent leur propre bière.
  • Yard House : à l’origine une chaîne de bar sportifs typiquement américain, mais cette fois-ci avec une cuisine élaborée que celle d’un pub classique : burger à la dinde, à l’agneau ou aux truffes, poulet à l’orange et plat traditionnels vous attendent mais surtout ils proposent pas moins de 100 bières à la pression !
  • Bj’s restaurant Brewhouse : là encore la carte est immense et vous trouverez forcément votre bonheur ! Entrée, soupe, salade, steak, pâte, burger, pizza et ribs. Ils brassent également leur bière qui a été plusieurs fois primée aux world beer cup et au Great American Beer Festival (de Denver).
  • Marie Callender’s : cuisine américaine plus typique, vous trouverez notamment les traditionnelle « pie » (tarte ou tourte), d’ailleurs le nom complet c’est Marie Callender’s restaurant & bakery.
  • Hooters : là on est dans le typique américain (le pub avec de quoi grignoter : wings, tacos, sandwiches, burgers…) la chaîne est surtout connue pour les serveuses « en uniformes légers » (mini-short et tee-shirt échancrés) avis aux amateurs et équité oblige aux serveurs dénudés !
  • Buffalo Wild Wings : plutôt « bar à sports » que dans un restaurant mais on y goûte l’ambiance typiquement américaine un soir de match,
  • Red Robin : même ambiance pour cette chaîne avec un très grand choix de burgers (au saumon, à la dinde, à la viande au poulet, garniture aux champignons, aux fromages, au Chili…),
  • Karl Strauss : une carte bien remplie pour accompagner votre bière.

Spécialiste de la mer :

  • Red Lobster : une des chaînes les plus connue pour les produits de la mer (n’oubliez pas votre fameux bavoir), vous y trouverez toutes les formes d’associations et même des plats « terre & mer » et pour les inconditionnels, on y trouve quand même des steaks.
  • Joe’s Crab Shack : chaîne également dédié aux produits de la mer dans un esprit décontracté. PS : faites un tour par la boutique.

Spécialiste de la viande : amoureux de la viande, welcome, pas besoin de détailler, mais voici la liste des spécialistes :

  • Black Angus Steakhouse
  • Famous Dave’s
  • Sizzler : plutôt un spécialiste de la viande (il y a aussi du poisson) mais vous y trouverez également un bar à salade et à dessert.
  • Dickey’s Barbecue Pit : restaurant dédié à toutes les viandes fumées (boeuf, porc, saucisse, dinde…)
Pour la cuisson :
well doneBien cuit
medium cooked/ medium rareà point 
raresaignant 

En ce qui concerne l’alimentation, la nourriture américaine est riche des différentes cultures et de l’immigration qui la compose donc, vous trouverez beaucoup de nourriture asiatiques ou mexicaines, très présentes dans l’ouest. D’une certaine manière la nourriture américaine est un peu la synthèse des différentes cuisines du monde, dont les influences perdurent jusqu’à nos jours.

En Louisiane, goûtez à la cuisine cajun (gumbo, jambalaya, po-boy…). En territoire navajo, laissez-vous tenter par le fry bread traditionnel. Sur les côtes atlantique et Pacifique, la cuisine de la mer est reine : clams, Chowder, jumbo shrimps (beignets de crevettes), fish & chips, crabe et écrevisse… Dans le Wyoming ou au Colorado, osez les célèbres Rocky Mountains oysters (non, il ne s’agit pas d’huîtres… mais de testicules de taureaux fries !) et si vous êtes moins téméraires tentez les steaks de bison ou de wapiti. A Chicago, tentez la stuffed pizza locale et au Texas, le corn dog ! Et surtout ne manquez pas les fameux steackhouse et BBQ locaux. Pour les desserts, essayez les différentes tartes : Key lime-pie en Floride, Peach Cobbler et le pecan pie dans le sud-est, ou encore le fameux cheesecake à New-York, et bien sûr en automne la tarte à la citrouille ! Et si vous avez une âme d’aventurier, tentez les pâtisseries chargées de crème et de sucre (les américains étant particulièrement friands de cannelle).

En version rapide et pour changer des burgers, vous pouvez vous laisser tenter par :

  • California Pizza Kitchen : des pizzas à toutes les sauces, mais également des pâtes, soupes, powerbowl ou encore salades.
  • Mimi’s Café : Cocorico pour cette chaîne à l’inspiration française ! bon c’est un mix avec la culture américaine donc la soupe à l’oignon côtoie la corn chowder mais on y trouve croque-monsieur et quiche lorraine bien de chez nous.
  • Macaroni Grill : là encore d’inspiration italienne, mais on y trouve de tout : soupe, salade, pâte, viande, poulet, poisson et pizza.  
  • Luna Grill Fresh Mediterranean : comme son nom l’indique inspiration méditerranéenne pour cette chaîne. Falafel, pain pita, feuille de vignes farcies et salade à la feta sont au menu.
  • Elephant Bar : inspiration du monde pour cette chaîne (mexicaine, indienne, thaï…) mais aussi menu américain.
  • Buca Di Beppo : retour en Italie sous le signe du partage, les portions sont pour 2 au 3 personnes. Pâtes, pizzas, salades, lasagnes, cannellonis au menu.
  • Benihana, Sakura : ce sont deux chaînes de Tepaniaki les plus connues. Cette cuisine japonaise où l’on utilise une plaque chauffante pour cuire les aliments et où le chef dédié fait le show. De quoi passer une très bonne soirée !

Et pour le Dessert :

  • The Cheesecake Factory : pour les fans de série vous avez déjà vu à quoi cela ressemble (The Big Bang Theory). Alors bien sûr le restaurant est spécialisé dans le cheesecake, mais vous y trouverez également de quoi vous restaurer : burger, pâtes, pizzas, salades …
  • Dunkin Donuts : pas vraiment besoin de détailler, des donuts en veux-tu en voilà, à tout les goûts à l’américaine!
  • Cinnabon: le fameux Cinnamon Roll (roulé à la cannelle), c’est une institution aux USA au point d’avoir sa propre chaîne consacré !
  • Smoothie King, Yogen Fruz….En gros chaque spécialité a sa chaîne aux USA, donc vous ne manquerez pas de choix pour un dessert ou un goûter…
Un peu de vocabulaire :
Je ne mange pas de viande : I don’t eat meat Allégé : Diet (pour un coca) ou Low fat
Chaud : HotFroid : Cold 
Sur place : To stay / Here A emporter : Take away 
Encore un peu, s’il vous plait : Can I have some more, please?L’addition s’il vous plait: The bill/check please

Bref, vous l’aurez compris il y en a pour tous les goûts & tous les budgets, vous aurez l’embarras du choix. Le système de chaîne est très répandu mais cela ne veut pas dire que l’on ne peut pas bien y manger, cela veut surtout dire se restaurer rapidement (à l’américaine donc) pour continuer nos aventures et profiter pleinement !

https://www.american-motors-travel.com/

Un endroit mythique si il en est, un passage incontournable entre Las Vegas et San Francisco cela va sans dire et une découverte indispensable. Bref, si vous rejoignez la côte depuis la « ville du pêché », vous n’y couperez pas et surtout on vous conseille de ne pas passer à côté! Petite présentation de l’un des endroits les plus connu de l’Amérique.

Pourquoi visiter la Vallée de la mort ?

Pour la petite histoire, le nom vient d’un groupe de pionniers de la Ruée vers l’or, les 49’ers (puisqu’ils ont commencé leur périple en 1849). La dernière étape était Salt Lake City avant d’attaquer la Sierra Nevada (et ses neiges), et rejoindre ainsi les mines de la Californie. De précédents convois avaient déjà fait les frais du climat rude des montagnes de l’est, et les histoires à faire frémir restaient encore dans les mémoires. Les pionniers décident donc de tenter d’autres chemins mais finissent par se retrouver aux portes de la Death Valley. Ils restèrent bloqués plusieurs mois dans cette vallée dépourvue à première vue de vie animale ou végétale et c’est lorsque les derniers furent enfin secourus, qu’une femme se serait retournée et aurait lancé : « Goodbye, Death Valley » (« Au revoir, Vallée de la Mort »), donnant au lieu son nom glaçant. En fait, personne n’est mort lors de cette expédition à part un homme, âgé et malade. Le parc sera classé National Parc en 1933 par le Président Hoover.

Tout simplement parce que on ne pas passer à côté ! Vous voilà dans l’endroit le plus chaud le plus sec, le plus bas des USA et l’un des plus grands parcs nationaux ! C’est surtout une terre de contrastes entre les montagnes et notamment le Mont Witney (4 400m) qui gardent leurs sommets enneigés en hiver, les dunes de sables dorées ou encore les déserts de sel. Bref de quoi en prendre plein les yeux en faisant quelques miles à travers ce joyaux.
Et puis, ce parc n’est qu’à 2h15 de Las Vegas et un peu plus de 3h de Mammoth Lake clairement de quoi passer d’un extrême à l’autre!

Que voir dans la Death Valley ?

La Vallée de la Mort regorge d’attractions et de point de vue et il faudrait plus d’une journée pour tout découvrir. Mais voici déjà une première liste de ce que vous trouverez sur votre chemin:

MESQUITE FLAT SAND DUNES
C’est là que l’on trouve les dunes de sables dont on vous parlait plus haut. Un paysage de mirage en plein été qui semble irréel, comme posé là. Elles ont d’ailleurs été utilisé dans de nombreux films (dont Star Wars)

ZABRISKIE POINT
Sans doute un des points de vue les plus connus du parc et un incontournable. Des formations géologiques qui se sont formées avec l’érosion donnant aujourd’hui l’impression que la colline coule. Le lieu était autrefois utilisé dans l’exploitation du Borax, et il est tellement incroyable que le réalisateur Michelangelo Antonioni donna son nom à son film de 1970. S’y rendre au lever ou au coucher du soleil permet d’en apprécier toute la beauté.

DANTE’S VIEW
Une vue à 360° sur une grande partie de la Death Valleyy. C’est là qu’on se sent tout petit à plus de 1500 m d’altitude. Vous apercevez en bas Badwater qui est le point le plus bas du parc.

ARTIST’S DRIVE ET ARTIST PALETTE
Si il y a bien un endroit où la nature expose tout ce qu’elle a de magique, c’est ici . Le rouge, le rose, le jaune, le turquoise, se mélangent et teintent la pierre pour vous offrir des vues et des photos à couper le souffle.

DEVIL’S GOLF COURSE
Pas de golf ni de diable mais un lac asséché laissant à l’air libre des formations de sel aux arrêtes tranchantes et aux formes fantastiques.

BADWATER 
C’est là, le point le plus bas des USA (d’ailleurs un panneau vous indique le niveau de la mer 86 m au dessus de vous sur la paroi rocheuse). Il y a 3000 ans il y avait un lac mais aujourd’hui, il ne reste plus que la croute de sel dû à l’évaporation… Il reste tout de même quelques flaques où vous pourrez voir des insectes, comme quoi la vie trouve toujours son chemin (pour ceux qui ont la référence)

FURNACE CREEK
C’est la localité principale de la Vallée de la Mort, et quasiment son centre. C’est surtout une halte bienvenue pour cette oasis (artificielle) au milieu du désert. Vous y trouverez le Visitor Center, 2 hôtels (Furnace Creek Inn et Furnace Creek Ranch. Le seul autre, le Stovepipe Wells se trouve quelques kilomètres plus au nord), quelques boutiques, un terrain de golf, une station-essence (très chère), un bureau de poste, et le Borax Museum (pour en apprendre plus sur l’exploitation de ce minerai qui amenait un peu de vie dans la Vallée).

La liste ici n’est clairement pas exhaustive, et vous verrez des indications pour des canyons et d’autres vallées lors de votre passage mais croyez nous c’est déjà pas mal quand les températures atteignent leurs extrêmes!

Conseils pour visiter la Death Valley

Vous l’avez compris maintenant et vous le savez surement dans la Death Valley il fait chaud , très chaud! Elle détient d’ailleurs toujours le record de température mondiale avec 56.7°C relevé en 1913. Et sans aller jusqu’à ce pic, les températures en juillet et Août peuvent atteindre 47° à 50°c sans problème. Donc visiter la Death Valley en été cela s’organise!

  • Ne prévoyez pas de faire des randonnées durant les mois d’été, les petites marches pour rejoindre les points de vue vous éprouveront suffisamment.
  • Prévoyez d’avoir suffisamment d’eau à votre disposition pour vos visites ou votre traversée. Il est extrêmement important de s’hydrater.
  • Pour les motards, le t-shirt manche longue est de rigueur pour éviter les brulures du soleil (même si évidemment une veste restera plus sécuritaire) et on prévoit forcément une pause à Furnace Creek pour reposer les corps & moteurs (le loueur préconise à cet effet d’éviter de la traversée de fin juin à la fin août).
  • Pour les conducteur de 4 roues, utilisez la clim avec parcimonie (attention au contraste important et lorsque vous solliciterez de trop votre véhicule) et pensez à vérifier vos niveaux avant de partir.
  • On n’aime pas le GPS, mais là il est nécessaire de l’avoir à portée de main. Vous ne pouvez pas vous permettre de vous perdre. Ne quittez jamais votre véhicule en cas de panne.
  • Et dernier conseil: privilégiez les visites à la fraiche le matin ou le soir pour ceux qui ont la chance de dormir au cœur du parc. Le reste du temps, profitez de la piscine des hôtels 😉

Mais il ne faut pas non plus avoir peur de la visiter car si 1 million de touristes par an s’y rende, c’est bien qu’il y a des choses qui valent le détour… Suffit de bien y être préparé (et nous sommes justement là pour ça).
Le prix d’entrée est de 30$ par voiture /25$ par moto (mais elle fait partie du pass America The Beautiful)
. Bonne visite !

A notre humble avis, la musique est un élément essentiel à ne pas négliger lors d’un road trip sur l’ouest américain. Les distances peuvent être longues, on a donc compilé sous un seul et même lien les indispensables (selon nous) à écouter sur les routes américaines !

https://open.spotify.com/playlist/4FaiBuCKw0j6K0KA9oB2uS?si=eOjqBA9iQkKBTGoTd2xkvw&utm_source=copy-link

Que ce soit dans votre voiture de location ou au guidon de votre moto (pour celles qui sont équipées de radio) ou encore dans vos écouteurs, vous voilà avec quelques heures d’écoute !

Vous voilà dans la « Sin City », un incontournable des road trips dans l’ouest américain, mais qui conserve quelques subtilités à connaitre. Si on vous a déjà fait un article sur les immanquables à visiter (à retrouver ici), voici les aspects plus pratiques pour profiter de votre séjour:

Les Resorts Fees & parkings à Las Vegas

Les Resort Fees : en traduction, de « frais de villégiature ou frais d’établissement ». Cela fait plusieurs années que les Resort Fees existent maintenant, indépendants du prix de la chambre, ils sont à régler sur place. Ces frais donnent accès à des choses aussi différentes que le Wifi, le téléphone, la piscine, les journaux du jour, la salle de fitness, les serviettes pour l’extérieur …La liste ici n’est pas exhaustive et dépend quasiment de chaque établissement. Et même si vous vous dites que vous n’avez pas besoin de toutes ces choses pour une seule nuit à Las Vegas, vous ne pourrez malheureusement pas y couper. Ils sont facturés par nuit et par chambre, nous vous conseillons de les régler dès le check-in (prise de votre chambre) en espèces de préférence (sauf si vous n’avez pas de frais bancaire avec un paiement en CB), vous pourrez ainsi rendre la clé magnétique dans la box prévue à cet effet sans avoir besoin de repasser au comptoir.

Deuxième chose qui a changé ces dernières années : les parkings. Si auparavant ils étaient gratuits pour les joueur du casino et les « guests » de l’hôtels, c’est maintenant chose révolue sur la plupart des hôtels du Strip. Il peut être judicieux de se renseigner avant de choisir votre hôtels à Las Vegas !

Astuce: il vaut mieux éviter de séjourner à Vegas en Week-end. Les prix sont multipliés par 4 voire 5. Alors, si vous souhaitez séjourner dans un Palace c’est l’occasion ou jamais, mais en semaine.

A savoir : La large majorité des hôtels/resort de Las Vegas utilisent des capteurs dans les minibars des chambres. Du coup, même sans consommer quoique ce soit dorénavant ils peuvent facturer de 75$ à 450$ ne serait-ce que pour l’ouverture ou l’utilisation personnelle du mini bar (car ils devront réinitialiser ses capteurs si vous avez utilisé le minibar en y mettant vos boissons par exemple) en plus de tout article retiré, même si celui-ci n’a pas été consommé. Notre conseil reste évidemment de ne pas y toucher et de privilégier un seau à glaçons pour conserver vos articles au frais pendant votre séjour, vous évitant ainsi quelques mésaventures.

Liste des hôtels que nous recommandons à Vegas

Voici la liste des hôtels avec lesquels nous avons l’habitude de travailler, on a essayé de vous détailler un maximum d’informations pour vous aider à établir votre voyage sur mesure par exemple (liste et information transmise à titre indicatif, ces frais peuvent être modifiés à tous moment par l’hôtelier) :

Sur le Strip ou à proximité (liste non exhaustive, par ordre alphabétique):

Bally’s devenu le Horseshoe Las Vegas (3645 S Las Vegas Blvd)

Resort fee : $45.35/ chambre et par nuit. Comprenant : WIFI haut débit pour un appareil, Accès au centre de conditionnement physique pour deux personnes par jour, Appels locaux gratuits.
Parking : Première heure gratuite, 1-3 heures 12 $, 3-24 heures 15 $. Plus de 24 heures 15 $ de plus par jour. Service de voiturier (valet parking) possible.
Entrée : depuis le Strip, prendre Flamingo Rd.

Bellagio (3600 S Las Vegas Blvd)

Resort fee : $51.10 / chambre et par nuit. Comprenant : Accés Wifi dans la chambre et dans le resort, appels locaux illimités, accès quotidien au centre de remise en forme (des frais supplémentaires peuvent être demandé pour le SPA), impression des cartes d’embarquement.
Parking : La première heure est gratuite. 1-4 heures 15 $. 4-24 heures 18 $. Plus de 24 heures 18 $/jour + le nombre d’heures que vous êtes restés en plus. Service de voiturier (valet parking) possible.
Entrée : depuis le Strip, tourner sur Bellagio Dr et suivre les indications.

Best western Plus Casino royale (3411 Las Vegas Blvd S)

Resort fee : PAS DE RESORT FEES
Parking : GRATUIT
Entrée : passer l’hôtel puis tourner à droite après le Walgreens

Caesars Palace (3570 S Las Vegas Blvd) 

Resort fee :  $52.15/ chambre et par nuit. Comprenant : Accés Wifi pour un appareil, appels locaux illimités, accès au centre de remise en forme pour 2
Parking Première heure gratuite, 1-3 heures 15 $, 3-24 heures 18 $. Plus de 24 heures 18 $ de plus par jour. Service de voiturier (valet parking) possible.
Entrée : deux entrées depuis le Las Vegas Blvd.

Cosmopolitan (3570 S Las Vegas Blvd) 

Resort fee :  $51.10/ chambre et par nuit. Comprenant : Accés Wifi dans la chambre et dans le resort, appels locaux illimités, accès au centre de remise en forme et au terrain de tennis, accès aux journaux numériques, services de notaire, impression gratuite des cartes d’embarquement
Parking Gratuit. Service de voiturier gratuit pour les clients.
Entrée : Prendre la voie entre le Cosmopolitan et le Bellagio

Excalibur (3850 S Las Vegas Blvd)

Resort fee :  $39.75/ chambre et par nuit. Comprenant : Accès Wifi dans la chambre et dans le resort, appels locaux illimités, accès au centre de remise en forme, services de notaire,
impression gratuite des cartes d’embarquement
Parking La première heure est gratuite. 1-4 heures 12 $. 4-24 heures 15 $. Plus de 24 heures est de 15 $ par jour + le nombre d’heure que vous êtes restés en plus. Service de voiturier possible.
Entrée : dpeuis le strip prendre Reno Dr, puis Luxor Dr

Flamingo (3555 S Las Vegas Blvd)

Resort fee : $45.35 / chambre et par nuit.
Comprenant : Accès WIFI pour un appareil, les appels locaux illimités, accès au centre de remise en forme pour 2,
Parking :La première heure est gratuite. 1-4 heures 12 $. 4-24 heures 15 $. Plus de 24 heures est de 15 $ par jour + le nombre d’heure que vous êtes restés en plus. Service de voiturier possible.
Entrée : sur Audrie Lane entre le Flamingo & Cromwell

Harrah’s (3475 S Las Vegas Blvd)

Resort fee : $45.35 / chambre et par nuit.
Comprenant : Accès WIFI pour un appareil, les appels locaux illimités, accès au centre de remise en forme pour 2,
Parking :La première heure est gratuite. 1-4 heures 15 $. 4-24 heures 18 $. Plus de 24 heures est de 18 $ par jour. Service de voiturier possible.
Entrée : tourner après The Linq hotel

Luxor (3900 S Las Vegas Blvd) 

Resort fee : $39.75/ chambre et par nuit. Comprenant : Accès Internet haut débit dans la chambre et dans tout l’établissement Appels téléphoniques locaux et sans frais illimités dans la chambre. Impression gratuite des cartes d’embarquement. Accès au centre de remise en forme pour les adultes.
¨Parking : La première heure est gratuite. 1-4 heures 12 $. 4-24 heures 15 $. Plus de 24 heures est de 15 $ par jour + le nombre d’heure que vous êtes restés en plus. Service de voiturier possible.
Entrée : depuis le Strip, prendre Mandala Bay Rd et tourner sur Luxor Dr

MGM (3799 S Las Vegas Blvd)

Resort fee : $44.22$/ chambre et par nuit. Comprenant : Accès Wifi dans la chambre et dans le resort, appels locaux illimités, accès au centre de remise en forme, services de notaire, impression gratuite des cartes d’embarquement.
Parking : La première heure est gratuite. 1-4 heures 12 $. 4-24 heures 15 $. Plus de 24 heures est de 15 $ par jour. Service de voiturier possible.
Entrée : sur Tropicana avenue prendre Audrie St

Mirage (3400 S Las Vegas Blvd) 

Resort fee : $44.22par chambre et par nuit. 
Comprenant : Accès Wifi dans la chambre et dans le resort, appels locaux illimités, accès au centre de remise en forme, services de notaire, impression gratuite des cartes d’embarquement.
Parking : La première heure est gratuite. 1-4 heures 12 $. 4-24 heures 15 $. Plus de 24 heures est de 15 $ par jour + le nombre d’heure que vous êtes restés en plus. Service de voiturier possible.
Entrée : depuis le Strip ou depuis Spring Mountain Rd

New York-New York (3790 S Las Vegas Blvd)

Resort fee : $41.99 / chambre et par nuit.
Comprenant : Accès Wifi dans la chambre et dans le resort, appels locaux illimités, accès au centre de remise en forme, services de notaire, impression gratuite des cartes d’embarquement. et avec l’achat d’1 ticket Big Apple Roller Coaster, un second est offert.
Parking : La première heure est gratuite. 1-4 heures 12 $. 4-24 heures 15 $. Plus de 24 heures est de 15 $ par jour + le nombre d’heure que vous êtes restés en plus. Service de voiturier possible.
Entrée : depuis le Strip (Las Vegas Blvd) ou sur New York Blvd (accessible depuis Tropicana Av)

Palazzo at the Venetian (3325-3355 S Las Vegas Blvd)

Resort fee : $51.10 par chambre et par nuit.
Comprenant: Accès au centre de remise en forme complet pour 2, Accès illimité WIFI dans la chambre, appels locaux illimités, journaux quotidien, Impression gratuite des cartes d’embarquement.
Parking gratuit
Entrée : depuis le Strip ou depuis Koval Lane pour le Venetian, depuis Sand av pour le Palazzo.

Paris (3655 S Las Vegas Blvd)

Resort fee : $52.15/ chambre et par nuit.
Comprenant : Accès WIFI pour 1 appareil par chambre , les appels locaux illimités, accès au centre de remise en forme pour 2,
Parking : La première heure est gratuite. 1-4 heures 12 $. 4-24 heures 15 $. Plus de 24 heures est de 15 $ par jour. Service de voiturier possible.
Entrée : depuis le Strip (Las Vegas Blvd) tourner entre l’hôtel et le CVS

Planet Hollywood (3667 S Las Vegas Blvd)

Resort fee : $45.34/ chambre et par nuit.
Comprenant : Accès WIFI pour 1 appareil par chambre, les appels locaux illimités, accès au centre de remise en forme pour 2,
Parking : La première heure est gratuite. 1-4 heures 12 $. 4-24 heures 15 $. Plus de 24 heures est de 15 $ par jour + le nombre d’heure que vous êtes restés en plus. Service de voiturier possible.
Entrée : depuis le Strip (Las Vegas Blvd) prendre Paris Drive puis Audrie St ou via Harmon Av

The Linq (3535 S Las Vegas Blvd)

Resort fee : $45.34/ chambre et par nuit.
Comprenant : Accès WIFI pour 1 appareil par chambre, les appels locaux illimités, accès au centre de remise en forme pour 2,
Parking : La première heure est gratuite. 1-4 heures 12 $. 4-24 heures 15 $. Plus de 24 heures est de 15 $ par jour
Entrée : Entrée entre The Linq et The Harrah’s

Treasure Island (3300 S Las Vegas Blvd)

Resort fee :  $44.22/ chambre et par nuit.
Comprenant : Accès WIFI dans la chambre, appels locaux illimités, accès au centre de remise, impression des cartes d’embarquement, copie et fax (10 max), 1 cocktail acheté / 1 offert (1 par séjour), journal quotidien
Parking gratuit
Entrée : une petit route d’accès qui se prend depuis le Strip ou Spring Mountain Rd

Tropicana (3801 S Las Vegas Blvd)

Resort fee :  $41.99/ chambre et par nuit.
Comprenant : Accès WIFI dans la chambre, appels locaux illimités, accès au centre de remise, Deux petites bouteilles d’eau gratuites dans la chambre par séjour, accès à la piscine et au jacuzzi, impression des cartes d’embarquement, copie et fax (10 max), cocktails gratuits,
Parking gratuit
Entrée : par Tropicana avenue

Vdara (2600 W Harmon Ave)

Resort fee :  $51.10 chambre et par nuit.
Comprenant : Accès WIFI dans la chambre et dans le resort, appels locaux illimités, service de notaire, impression des cartes d’embarquement
Pas de parking, mais vous pouvez vous garer à Bellagio et prendre le  tramway ARIA Express gratuit jusqu’à l’hôtel. Service de voiturier possible.
Entrée : via Harmon avenue pour le dépose minutes

Wynn (3131 S Las Vegas Blvd) 

Resort fee :  $51.10 par chambre et par nuit.
Comprenant : WIFI illimité appels locaux illimités, un accès pour 2 au centre de fitness par jour, accès prioritaire au club
Parking gratuit. Service de voiturier possible.
Entrée : depuis le Strip, juste après Sands avenue

Dans le Downtown (idem, liste non exhaustive, par ordre alphabétique):

Circa Resort (8 Fremont Street Experience)

Resort fee :  $44.82 par chambre et par nuit.
Comprenant : accès WIFI; accès au centre de fitness et au piscines, appels illimités
Parking 25$ par jour
Entrée : depuis N Main St

Four Queens (202 E Fremont St) 

Resort fee :  PAS DE RESORT FEES
Parking Gratuit pour les clients de l’hôtel. Sinon, 2 $ par demi-heure jusqu’à trois heures, puis de 1 $ pour chaque heure supplémentaire, avec un maximum quotidien de 10 $.
Entrée : par E Bridger Ave, S 3rd St puis E Carson ave.

Golden Nuggets (129 E Fremont St) 

Resort fee :  $40.86 par chambre et par nuit.
Comprenant : Accès WIFI pour 2 appareil par chambre, accès au centre de remise en forme pour 2, 2 bouteilles d’eau, impression des cartes d’embarquement, journaux
Parking gratuit pendant trois heures avec validation. Sinon, le coût est de 5 $ de l’heure ; 20 $ max.
Entrée : pour le parking par E carson Ave et S 1 st St

Plaza Hotel (1 N Main St) 

Resort fee :  $31.78 par chambre et par nuit.
Comprenant : Accès WIFI, appel locaux, 2 bouteilles d’eau, impression des cartes d’embarquement, stationnement
Parking Parking gratuit pour les clients de l’hôtel inclus dans les frais de service. Tarif forfaitaire de 5 $ pour les non-invités jusqu’à 5 heures. 10 $ pour plus de 5 heures; 10 $ maximum par période de 24 heures.
Entrée : sur North main Street

Vous voilà paré pour faire votre choix, car la plupart du temps dans nos différentes formules, nous vous laissons le choix entre plusieurs de ces hôtels pour que vous puissiez choisir votre propre expérience de Las Vegas. N’hésitez pas également à regarder l’ambiance des chambres, les piscines, le casino…. pour trouver celui qui vous conviendra, et bien sûr à nous demander conseils si vous n’arrivez pas à vous décider .

Après Los Angeles et ses alentours, cap au nord pour découvrir ceux de San Francisco ! Après avoir fait les incontournables (de notre article que vous pouvez retrouver ici), vous voici en panne d’inspiration ? Pourtant les idées ne manquent pas et les alentours de SFO proposent une multitude de choses à faire. En voici quelques unes pour vous donner des idées:

1- Sausalito & Tiburon, une autre vue de la ville.

Juste à traverser le pont pour changer d’ambiance! Et quel pont puisque l’aventure commence par la traversée du Golden Gate Bridge, rien que ça! Une fois de l’autre côté, il convient tout de même de se retourner pour observer la superbe vue sur la baie depuis Battery Point, un des meilleurs point de vue sur le Golden Gate, assurément!
Direction ensuite Sausalito, ancien village hippie aujourd’hui investi par les artistes et banlieue chic de la ville. Le plus sympa? Vous balader au milieu des house-boats, ces maisons flottantes typiques de la ville. Elle regorge en plus, de restaurants et cafés branchés pour passer un bon moment.
Si vous poussez jusqu’à Tiberon, vous aurez une nouvelle vue sur la baie de Frisco, et surtout vous pourrez prendre un ferry pour rejoindre Angel Island, pour une vue encore plus spectaculaire et une incursion dans l’histoire de la Californie. Le site a abrité pendant plus de 30 ans, une station d’immigration (comme celle d’ Ellis Island à New York) où les candidats asiatiques à l’immigration, attendaient leur validation ou leur expulsion. L’île a aussi abrité un important site militaire encore visible aujourd’hui. C’est également un sanctuaire pour la faune et la flore locale: de belles randonnées vous attendent.

2- Napa Valley & Sonoma valley, à la découverte des vignobles californiens.

Une fois n’est pas coutume pour nous (mais on sait que vous aimez ça aussi 😉), nous voilà à vous présenter à nouveau des vignobles. Et pas n’importe lesquels, car il s’agit sans doute des plus connus de la Californie : la Napa Valley. Quelques kilomètres au nord-est de San Francisco et vous voilà dans une superbe campagne digne de nos vallées bourguignonnes ou bordelaises. A vous les dégustations de Chardonnay ou de Cabernet Sauvignon, les cépages les plus emblématiques de la région. Toutefois, la vallée est aujourd’hui très touristique (c’est la deuxième destination touristique de la Californie après Disneyland !), avec des salles de dégustations les plus exubérantes et des hôtels très chics. Elle abrite également plusieurs restaurants étoilés au guide Michelin (donc vous l’aurez compris, ce n’est pas la région la moins onéreuse pour votre porte-monnaie). Avant de quitter la région, arrêtez-vous au Public Oxbow Market pour faire le plein de produit frais et locaux.
Pour une ambiance un peu plus décontractée, vous pouvez vous rendre dans le comté de Sonoma (un peu plus à l’ouest et beaucoup plus étendu), qui regroupe petite bourgades, vignobles locaux et autres fermes. De nombreux wine tours vous seront proposés. A Santa Rosa, réveillez votre âme d’enfant au Charles M. Schulz Museum, qui rend hommage à Charlie Brown et aux Peanuts. 

4- Point Reyes, un air d’Angleterre et la côte du Pacifique

Pour une pause nature à quelques encablures de San Francisco, le Point Reyes National Seashore est une vrai bouffée d’air frais. Les côtes escarpées de calcaire blanc et les petites plages rappellent les côtes de l’ Angleterre. Mais c’est surtout un véritable sanctuaire pour la faune et la flore. Des baleines (observable depuis la terre en hiver) au Wapiti nain, sans parler des colonies d’oiseaux qui peuplent la presqu’île, vous trouverez forcément votre bonheur et une balade des plus agréables au milieu des fleurs sauvages en plein été. Sans compter que sa proximité de l’océan Pacifique permet d’offrir les meilleurs restaurants de fruits de mer de la Région. Un incontournable: Hog Island Oyster Company.

3- Muir Woods, balade nature au pays des séquoias

A seulement une vingtaine de kilomètres au nord du Golden Gate, c’est plus de 10 kilomètres de chemins de randonnée qui vous attendent au cœur d’une forêt de Séquoia géants. Ils ont en moyenne entre 800 & 900 ans et peuvent mesurer jusqu’à 150 m de haut, pour un diamètre compris entre 5 & 7 m! bref, on s’y sent tout petit mais c’est une superbe alternative si vous n’avez pas eu le temps d’en voir à Yosemite ou bien au Sequoia national Park (attention la réservation du parking en amont est nécessaire).
Si vous avez encore de l’énergie à revendre, vous pouvez vous lancer dans l’ascension du Mont Tamalpais (ou des différents points de vue avoisinants). Il vous offrira la plus haute vue sur la baie de San Francisco et le Golden Gate. De quoi faire une jolie photo et compléter votre collection commencée plus haut. Par contre, abandonnez l’idée si vous voyez que le temps est brumeux, vous ne verrez rien. Pour une balade un petit peu plus tranquille, le Muir Beach overlook, vous offre une superbe vue sur le Pacifique.

5- De l’autre côté de la baie: Berkeley, université et liberté artistique.

Quitte à vivre l’expérience américaine pourquoi ne pas vous lancer dans la visite de l‘une des plus prestigieuses université des USA (voir la N°1 selon le magasin Forbes) en vous rendant à Berkeley. Sur un campus de plus de 3000 hectares, vous pourrez monter au sommet de la Sather Tower pour en apprécier toute l’étendue (et un petit coup d’œil au film le Lauréat pour y replongera). Mais il n’y a pas que l’Université à Berkeley, la ville ne manque pas de charme et surtout est très vivante et cosmopolite grâce sa proximité avec celle-ci. Elle s’est toujours distinguée par sa ferveur et sa liberté d’expression, ce qui fait que l’on y trouve aujourd’hui une scène culturelle, artistique, et gastronomique riche. On y trouve pleins de bars restaurants, et boutiques avec une très bonne ambiance. Et surtout, pas mal de micro-brasseries… Cela peut être également l’occasion d’assister à un match universitaire où la ferveur du public ne démérite pas de celle des grands matchs de ligues! Et si vous voulez ajouter une autre vue à votre palmarès des plus belles vues de San Francisco, grimpez jusqu’au sommet du Grizzly Peak !

Pour les fans de Star Wars

Les bâtiments de Lucasfilms se trouvent dans le quartier du Presidio à San Francisco (au Letterman Digital Arts Center), l’occasion de passer dire bonjour à Maître Yoda qui trône fièrement sur sa fontaine, le lobby de Lucasfilms (fermé à la rédaction de cet article) abrite de belles statues de Dark Vador, R2D2 et autres stormtroppers. Et sinon, vous saviez que le fameux Skywalker Ranch (l’ancienne maison et site de production de Georges Lucas) se trouvait à seulement 50 km au nord de San Francisco dans la ville de Nicasio ? Mais c’est une propriété privée.
Les sites de tournage de la fameuse saga aux USA se trouvent malheureusement plutôt éloigné de San Francisco, mais peuvent être sur votre route si vous faites le grand tour:
– La Death Valley pour les décors de Tatooine (épisode IV « Un Nouvel Espoir  » et l’épisode VI « Le Retour du Jedi« )
Redwood National Park pour la planète d’Endor, domaine des Ewoks (épisode VI « Le Retour du Jedi« , des scènes du Monde Perdu de Jurrasic Park y ont également été tournées)
– Le Désert de Yuma (épisode VI « Le Retour du Jedi« ) pour la scène avec Jabba le Hutt et le Sarlacc.

Pour les fans de technologie

Comment ne pas penser aux géants du net quand on passe dans la Silicon Valley? Ils ont tous là! Bon, il y a de grande chance que vous ne puissiez pas visiter le magnifique campus de Google (à moins de connaitre un googler qui puisse vous y faire rentrer) mais vous pouvez par contre vous rendre au siège d’ Apple à Cupertino pour y trouver une visite 3D du site et surtout une boutique avec des produits vendus exclusivement là-bas. Sinon rendez-vous au Tech Museum pour une expérience interactive!

Un peu plus loin… ou si vous retournez sur Los Angeles.

Le Sud de San Francisco regorge également de merveilles à découvrir. Après avoir passé Palo Alto et l’université de Stanford (qui se visite également et fait également partie des plus grandes universités américaines.), vous voilà donc prêt à rejoindre la fameuse Route One (à laquelle on a déjà consacré un article ici) vous y retrouverez Santa Cruz, Monterey, Carmel-by-the-Sea… des étapes incontournables de la One-O-One (oui oui, c’est comme ça qu’on l’appelle là-bas).

Maintenant le plus dur va sans doute de faire un choix car il est rare que l’on ait 2 semaines à consacrer à San Francisco et ses alentours. Et entre les incontournables de la ville (qui ne sont qu’un petit aperçu des choses à découvrir) et ce que l’on vient de vous présenter (et là encore on a réduit la liste), quel dilemme … Mais votre agence préférée est là pour vous aider alors n’hésitez pas à nous demander conseil avant votre voyage pour organiser au mieux votre séjour.

Suite à tous nos conseils sur ce qu’il y a à découvrir à Los Angeles (article que vous pouvez retrouver ici), vous avez coché toutes les cases et vous souhaitez découvrir les alentours? Alors voici une petite pépite à ajouter à votre « to-do list »: la Temecula Valley, nichée au cœur des Palomar Mountains, quasiment à mi chemin entre Los Angeles et San Diego, voilà un petit détour qui vaut le coup d’œil. Un bout de campagne californienne, de vignobles et un downtown au charme atypique qui en font une excursion des plus agréables pour faire une pause dans la frénésie de Los Angeles. Présentation:

Une étape gastronomique

Car oui, c’est la principale activité de cette jolie vallée: vous proposer une dégustation de vins parmi les meilleurs de Californie. Le climat méditerranéen est propice à beaucoup de cépages : du cabernet sauvignon au syrah en passant par le sangiovese et le vermentino. Avec 525 hectares de vignes et près 40 vignobles, il y en donc pour tous les goûts! En solo, accompagné d’un guide, ou même en side-car, vous pourrez profiter de la beauté des vignobles. Et si vous n’êtes pas fans du vin, ne vous inquiétez pas, la vallée est également reconnue pour ses micro-brasseries (une bonne quinzaine). Avec des breuvages primées comme la Blood Orange Wit de la Refuge Brewery.


C’est également une destination reconnue pour sa gastronomie, au E.A.T market place, lors d’un repas « ferme à la table » ou lors d’une balade au marché fermier. Vous l’aurez compris on y mange bien et locale. Et le petit plus, vous y trouverez les desserts les plus décadents qu’il soit, de quoi terminer en beauté!

Un voyage dans le temps.

Outre la gastronomie, se balader dans la vieille ville est déjà un voyage en soit. Construite au milieu des années 1800 avec l’établissement d’un bureau de poste sur la liaison postale entre Saint-Louis (Missouri) et San Francisco, la ville a gardé son côté farwest typique des petites villes de l’ouest. Au Vail Headquarter, vous retrouverez les bâtiments originaux d’un ranch (datant des années 1860) aujourd’hui restaurés, qui accueillent de nombreuses manifestations historiques, pour vous plonger dans la passé de la ville. Pour rester dans l’ambiance, passez votre soirée dans un des deux speakeasy (bar caché de la prohibition)!

Des activités à profusion

La deuxième marque de fabrique de Temecula après les vignes sont les montgolfières, qui au petit matin s’élèvent dans le ciel. Une activité des plus agréables pour découvrir les les chaines de montagnes et collines environnantes, tout en survolant les vignes. Et si vous y êtes début juin , ne manquez pas le Temecula Valley Balloon and Wine Festival, pour allier les 2 activités. Vous pourrez également faire des balades à cheval, profiter des terrains de golf ou encore faire un tour pour découvrir les machines à sous du casino. Ou bien partez à l’assaut de la réserve écologique de Santa Rosa pour découvrir les Palomar Mountains.

Bref , vous l’aurez compris Temecula est un petit bijou, intimiste, historique et à seulement quelques miles de Los Angeles. Une destination à ajouter dans votre découverte de la Californie (et pour sortir des sentier battus).

Traverser le Glacier National Park , c’est découvrir la nature dans toute sa splendeur. Montagnes, lacs, cascades, faune et flore abondante… Bref, une vrai bouffée d’air frais au cœur de votre road trip moto. Petite présentation du parc:

Glacier national Park, la nature à l’état brut.

Passionnés des grands espaces, Welcome! Vous êtes ici au bon endroit. Alors, une petite présentation s’impose: Glacier park est un parc immense avec 4101 km², l’un des plus vieux parcs nationaux des USA (puisque créé en 1910), et il rejoint le patrimoine mondiale de l’UNESCO en 1995. Il est bordé au nord par les provinces Canadienne de l’ Alberta et de la Colombie-Britannique et forme avec le parc national canadien des Lacs-Waterton, le premier Parc International de la Paix Waterton-Glacier (depuis 1932).
Voilà pour la carte d’identité, mais dans la réalité, ça donne quoi ? Et bien ça donne un parc composé de dizaines de glaciers, de montagnes, de lacs, de rivières, de cascades… Et surtout une faune abondante protégée, qui est ici en son royaume, donc ne soyez pas surpris si on vous parle de grizzlis, d‘ours noirs, de loups ou encore de lynx. Cela dit vous aurez plus chance de croiser des chèvres des montagnes, des élans, des mule-deers et surtout des marmottes pendant votre découverte du parc.

Comment visiter le Glacier National Park?

Le parc est divisé en 3 parties principales: Many Glacier au nord-est, Two Medicine au sud-est et le cœur névralgique du parc qui est la Going-to-the-Sun Road, une route longue de 85 km qui traverse la parc de part en part d’Est en Ouest. Les 3 zones ont des accès différents, les deux premières sont accessibles par des routes se terminant en cul de sac, et sont surtout destinés aux randonneurs souhaitant se rendre sur ces 2 zones. C’est pourquoi on va plutôt se concentrer sur la Going-to-the-Sun, qui est une véritable merveille à parcourir à moto. Prévoyez tout de même une journée pour la parcourir, vous arrêter aux nombreux point de vue et éventuellement faire de courtes randonnées pour accéder aux nombreuses cascades et autres torrents. Petit descriptif de ce que vous pourrez voir, même si les visitor center restent le meilleur moyen de récupérer toutes les informations nécessaires à une bonne découverte du parc (vous en trouverez 3 tout au long de la route : St Mary, Logan Pass et Apgar)

St Mary Visitor center: vous trouverez pour commencer votre périple un lac de 16 km de long avec plusieurs points de vue.

Wild Goose Island : l’une des vues les plus connues et les plus photographiées du parc,

Sunrift Gorge : une courte balade pour rejoindre une jolie gorge creusée par l’eau.

Jackson Glacier Overlook : la voilà votre vue sur l’un des glaciers depuis la route.

Logan Pass : c’est le col le plus haut du parc à 2026 m, il est situé le long de la Continental Divide ( ligne de partage des eaux) c’est aussi le départ de plusieurs randonnées, par exemple celle de Hidden Lake Overlook pour une jolie vue sur le lac et meilleur spot pour les chèvres des montagnes (1h30 aller-retour), vous y trouverez un visitor center pour prendre toutes les informations nécessaires ; 

Big Bend : une vue époustouflante sur le Mt. Cannon, le Mt. Oberlin, Heavens Peak and le Weeping Wall ;

Cascade de Weeping Wall : pas besoin de randonnée pour voir cette cascade qui se jette littéralement sur la route, formant un mur d’eau ;

Avalanche Creek : l’une des destinations les plus populaires du parc, et le point de départ du Trail of the Cedars, au coeur d’une forêt de cèdres pour certain vieux de 500 ans. La boucle de 1 km vaut sans aucun doute le détour.

Lake McDonald : vous voilà au point terminal de votre parcours, au McDonald Creek Overlook, vous pourrez voir une jolie cascade, puis longez le lac pour profiter des nombreux points de vue ou alors y faire un tour en bateau.

  • La sortie se fera par le Agpar Visitor center ou inversement par St Mary.

Informations à savoir pour organiser votre visite

Pour organiser votre visite, le parc a mis en place une nouvelle fonctionnalité: le RAD (Récréation Access Display), qui vous donnera des informations sur la météo en différents points de la route ou bien sur le remplissage des parkings. Vous pourrez retrouver cette application ici

Les glaciers (d’où le parc tire son nom) quant à eux sont plutôt visibles dans la zone de Many Glacier, mais ne soyez pas déçus, car malheureusement si ils étaient plus de 150 en 1850 ils ne sont plus que 26 de nos jours et au rythme où ils fondent, il se pourrait qu’ils aient totalement disparus d’ici 2030! Alors, visiter le Glacier National Park, c’est un peu un pèlerinage sur les traces des derniers géants d’Amérique du Nord.

Comme pour Arche Park, une réservation est maintenant nécessaire pour traverser le parc et notamment emprunter la Going-to-The-sun road (et donc traverser le parc). Cette restriction est applicable entre le 24 Mai et le 08 Septembre 2024 (c’est à dire quasiment sur toute la période d’ouverture de la route) pour toute entrée entre 6h du matin et 3h de l’après-midi ( à partir du 01/07 pour la zone de Many Glacier).
Nouveauté 2024: il n’est plus nécessaire de faire une réservation pour l’entrée Est de la Going to the sun road (entrée par St Mary).
Pour prendre votre pass, rendez-vous sur le site Recreation.gov pour réserver votre entrée, un ticket est nécessaire par véhicule au tarif de 2$. Celui-ci est valable pour la journée
Les places sont restreintes et partent très vite, il est important de s’y prendre très tôt. (90 jours avant votre passage)

De plus, en raison de la position élevée du Logan Pass, elle est fermée à la circulation une grande partie de l’année. Elle ouvre généralement de la mi-juin au début du mois d’octobre, et peut donc conditionner votre traversée du parc, il est donc très important de vous organiser avant de vous lancer à l’assaut des glaciers. Vérifier l’ouverture ici

Et si certaines vues vous paraissent familiaires, c’est aussi que le parc a servi de toile de fond pour Forrest Gump, (souvenez-vous on vous en a déjà parlé ici ) ou encore dans The Shining.

Los Angeles, ville tentaculaire au cœur de l’industrie cinématographique et télévisuelle en Californie (du Sud). Point de départ idéal ou étape incontournable lors d’un road trip dans l’ouest américain des Etats-Unis. Découverte et conseils pour appréhender au mieux la cité des anges ! C’est par ici le guide :

Nos incontournables de la cité des Anges

A savoir: La ville est très étendue et divisée en quartiers, les transports en commun existe mais être véhiculé est préconisé à Los Angeles, nous vous conseillons de regrouper vos visites.

  • Photographier le panneau « Hollywood » : Signe immanquable de toute visite dans la « cité des Anges » (vous saviez qu’à l’origine en 1923 il a été installé pour promouvoir un ensemble immobilier ?). Mais si l’apercevoir est plutôt simple, s’en approcher pour la meilleure photo l’est un tout petit peu moins… Nous vous conseillons pour un bon point de vue, de rejoindre Mulholand Drive (autre route mythique qui surplombe Los Angeles et traverse les quartiers des stars). La route fait pas loin de 80 km, et vous trouverez plusieurs points de vue intéressants sur la ville et sur le panneau. De quoi ramener de jolis clichés.

  • Chercher les étoiles sur Hollywood Boulevard: passage incontournable par le Walk of Fame et son parterre d’étoiles bien sûr …. Partir à la recherche de l’étoile de sa star préférée est forcément un immanquable de L.A, non ? Un peu plus loin faites un stop devant le Chinese Theater qui accueille les grandes premières des films depuis les années 20. Bienvenue au cœur d’Hollywood!
  • Faire un petit tour aux studios : qui dit film dit tournage et les grands studios mythiques sont tous dans le coin. Que ce soit aux Paramount Studios, aux Warner Bros Studios ou encore à Universal Studios, ils vous proposeront tous des « studios tours » qui vous permettront de découvrir les coulisses de vos films et séries préférées. Les durées de visites allant de 2 h à la journée, il s’agit tout de même de définir combien de temps vous souhaitez y consacrer.

Et pourquoi pas le combiner avec un parc d’attraction? Universal, Disneyland, Six Flags ou encore Knott’s Berry Farm (qui a ouvert en 1940, ce qui en fait le premier parc d’attractions des USA)… Le choix ne manque pas pour les amateurs de sensations fortes, la Californie est une véritable zone d’Entertainment. Alors, si vous voulez ajouter un de ces parcs à votre liste de choses à faire sur Los Angeles, prévoyez une journée de plus et de prendre vos billets d’entrée à l’avance afin éviter les queues aux guichets.

  • Profiter du luxe de Beverly Hills: des immenses maisons de stars aux boutiques de luxe de Rodeo Drive et Melrose Avenue, c’est là que vous pourrez jouer aux paparazzis à la recherche du moindre indice sur vos stars préférées. Et puis déambuler sur Rodeo Drive, ça ne vous rappelle pas quelqu’un ? L’occasion de revoir « Pretty Woman » …
  • Parcourir Sunset Boulevard : c’est l’image emblématique de Los Angeles, bordé de palmiers immenses, des affiches de cinéma XXL qui le borde, bref le symbole même de L.A.
  • Prendre l’air au bord du Pacifique. En journée, rejoignez la délirante Venice, ainsi appelée pour ses canaux creusés à l’image de Venise au début du siècle (et qui restent la partie calme de la ville), elle est plutôt aujourd’hui reconnue pour son extravagance. Vous pourrez y observer les bodybuildeurs (rendez-vous sur Muscle Beach qui a vu les débuts d’un certain Schwarzy…) ou trouver votre prochain t-shirt démentiel (sur l’Ocean Front Walk où l’excentricité fait loi).
    Puis, allez à Santa Monica pour vous balader sur son fameux Pier. Cette jetée bien connue pour son parc d’attraction marque aussi la fin de la mythique Route 66. Vous y trouverez restaurants, boutiques de marque et artistes de rue pour parfaire votre soirée.
  • Vivre le meilleur des couchers de soleil au Griffith Observatory : c’est dans le Griffith park que l’on retrouve les fameuses lettres Hollywood, mais c’est surtout qu’à flanc de colline, c’est l’une des meilleures vues sur Los Angeles que vous pourrez avoir. Outre le fait que l’on y stationne gratuitement (ce qui est plutôt appréciable), il ne faut pas hésiter à prendre du temps pour visiter le planétarium, y voir les expositions en cours et regarder à travers des télescopes.
    Pour une autre vue à couper le souffle de « la cité des Anges », vous pouvez également vous rendre au Getty center. Un complexe culturel avec collections permanentes, expositions temporaires et centre de recherche. Le parking est payant mais l’entrée au centre est gratuit.
  • Prévoir une session shopping. Et les bonnes adresses ne manquent pas, entre les Mall (comme The Grove par exemple), les outlets (Citadel Outlets ou encore Pike Outlets à Long beach), vous trouverez forcément de quoi remplir votre valise. Et croyez nous, ça reste un incontournable!

Et pour sortir des sentiers battus à Los Angeles ?

  • Explorer le downtown: souvent assimilé au quartier des affaires avec ses grandes tours, le downtown de Los Angeles regorge de curiosités : en commençant par El Pueblo : le centre-ville historique de Los Angeles. Retour aux temps où Los Angeles était mexicaine, dans Olvera street, aujourd’hui rue piétonne et reconnue comme le lieu de naissance de la ville. A quelques pas de là, changement d’ambiance à Union Station, la gare principale de Los Angeles, faite de marbre et de lustres majestueux et si différente des autres gares du pays. Après avoir pris le petit funiculaire de la Plaza California, restaurez-vous au Grand Central Market, véritable temple du mélange des cultures et des cuisines qui font l’identité de Los Angeles !
    Au sud, quelques pas de plus et vous voilà à Little Tokyo qui abrite la plus importante communauté nippo-américaine du continent. Et au nord, Chinatown (qui se trouvait jusqu’en 1938 sur le site de Central Station), véritable temple de la culture et de la gastronomie asiatique. Prévoyez donc une grosse demi journée pour en profiter.
  • Découvrir Los Angeles par le Street Art: Vous trouverez un peu partout de superbes tags aux couleurs vives. Mais 2 sites notables: Arts District, avec ses entrepôts transformés en galeries (ou brasseries ou boutiques vintages, ce qui est tout aussi intéressant😉) qui regorge de fresques dont les fameuses « Angel Wings » de Colette Miller (il y a aussi d’autres versions à travers la ville) et The Great Wall situé au nord de la ville. Cette peinture de 800 m de long, dépeint toute l’histoire de la région de la préhistoire à nos jours.
  • Se faire un musée. Car oui il n’y a pas que le cinéma qui compte à Los Angeles, la ville est très culturelle et on y trouve de magnifiques musées reconnus mondialement. Si on a déjà évoqué le Getty Center plus haut (musée d’art dont les collections vont de l’antiquité au XIX° siècle), on peut également parler de The Broad (musée d’art contemporain), du MOCA (Museum of Contemporary Art, le pendant du MOMA de NYC) ou encore de petite perle comme le Petersen Automotive Museum. Un bâtiment à l’architecture folle qui abrite une magnifique collection de voitures et motos toutes plus rares les unes que les autres (comme des premières éditions d’Harley Davidson). Bref, un moment culturel à ajouter à sa to do list de L.A.
  • Assister à un match de sport. Clairement quelque chose à vivre aux USA en générale. Même si vous ne connaissez pas les règles du baseball ou du football américain sur le bout des doigts, cela reste une expérience, d’assister à un match. Vous y verrez un véritable show (cheerleaders, concerts, mascottes…), l’ambiance est folle et vous passerez forcément un bon moment. Pour vous aider dans votre choix, voici une petit récapitulatif des saisons en fonction du sport:
    Baseball: d’avril à octobre
    Basketball: de fin octobre à mi avril
    Hockey sur glace: de octobre à avril
    Football américain: de septembre à décembre
    Soccer: de mars à fin octobre
    N’hésitez pas à nous consulter pour ajouter votre place à votre road trip!

Et si avec tout ça vous avez besoin de verdure pour échapper à la frénésie de la ville, vous trouverez dans los Angeles et aux alentours de nombreux parcs qui pourront vous ravir : comme par exemple Echo Park, une oasis de verdure où vous pourrez profiter depuis les abords du lac d’une vue splendide sur le Skyline de L.A. et le quartier de Silver Lake qui le borde, peut mériter le détour. Un quartier bohème et créatif où artistes, écrivains, scénariste viennent y chercher l’inspiration dans les petits cafés trendy. A l’ouest, la Kenneth Hahn State Recreation Area, offre de jolies balades tout en appréciant une vue spectaculaire sur la ville.

En vous baladant à travers la ville, vous verrez que chaque quartier a son identité propre, avec son architecture, sa végétation, son ambiance… Vous pourrez donc avoir l’impression de changer de ville à chaque fois, vous aurez donc de quoi faire pendant votre séjour à Los Angeles ! Une des étapes immanquables de la Californie, que vous pouvez retrouver dans nos road trips à moto ou en autotour -> American Motors Travel

La question nous est souvent posée, et elle mérite réflexion. Bien qu’à titre personnel nous ne soyons pas fan de son utilisation quotidienne dans un road trip moto aux USA, nous comprenons également le besoin de se rassurer surtout dans un grand voyage à l’étranger comme celui-ci. Du coup, voici nos conseils:

Le GPS, pourquoi et quand ?

Soyons honnêtes nous avons tous, au moins une fois, utilisé ce petit appareil magique qui nous sort d’interminables détours, et nous permet de trouver facilement notre chemin. Fini les arrêts au bord de la route à essayer de se repérer, les minutes perdues à ne pas être d’accord avec son/sa copilote (aucun jugement et oui nous sommes pour la paix dans le couple). Alors oui, le GPS a bien une utilité, mais il altère un peu le charme même de votre road trip, non ?

La plupart des motos touring (dans la gamme Harley & Indian) en sont équipées et vous serez forcément tentés de les utiliser, mais rappelez vous une chose, les américains aiment les grandes routes et le GPS vous ramènera toujours dessus! Par contre, ils peuvent clairement être utilisés à l’approche d’une grande ville, pour vous permettre de repérer rapidement votre hôtel, ou bien si vous avez un impératif horaire dans votre journée (visite d’un musée avant sa fermeture etc…). Mais pour rouler et organiser votre journée, notre conseil, le laisser de côté !

Comment faire sans GPS ?

Il existe beaucoup de moyen de faire sans ! Déjà, vous trouverez beaucoup d’indications et d’informations dans le « roadbook » (papier ou digital) ou sur votre application. Par ailleurs, sur demande de votre part, nous pouvons vous fournir une carte routière (avec le tracé préconisé). Donc repérez déjà en amont ce que vous souhaitez faire et voir, puis repérer votre itinéraire, en étudiant bien votre parcours, sur place cela sera un gain de temps non négligeable. Nous vous invitons également à consulter notre article sur les routes U.S pour vous repérer plus facilement.
Ensuite, si vous êtes équipés d’un smartphone (peu de chance que vous ne le soyez pas aujourd’hui, cela dit), il existe de nombreuses applications gratuites, toujours pour le au cas où …. Et surtout, la plupart peuvent être utilisées hors connexion (c’est à dire sans utiliser vos datas à l’étranger et éventuellement vous couter très cher -> revoir notre article sur les informations pratiques pour nos conseils sur la téléphonie). Après étude de votre parcours et de votre roadbook, en voici quelques-unes à télécharger:

Google Maps

Vous pouvez très bien utiliser la fameuse application si vous y êtes habitués pour préparer votre road trip. Il vous faudra pour cela un compte Google, et télécharger en amont les différentes cartes pour y avoir accès hors connexion. Pour cela, voici les manipulations à faire :

Les + : un visuel que l’on a l’habitude de manipuler, accès aux informations des magasins ou restaurants (à proximité), plusieurs itinéraires possibles.
Les – : téléchargement limité en terme de km², informations limitées sur les établissements (pas de photos ou avis).

Maps.me

Fonctionne sur le même principe avec téléchargement de cartes (villes, états, ne pas télécharger tout le territoire US) et itinéraires, l’avantage est que l’on télécharge des surfaces beaucoup plus grande. Elle fonctionne à 100% en mode hors ligne, donc pas de perte d’informations…

Les + : indique les points d’intérêt à proximité de votre position et de plus grandes surfaces téléchargeables
Les – : Un peu moins intuitif, compliqué de mettre plusieurs étapes en même temps.

MagicEarth

Là encore même principe: cartes à télécharger en amont chez vous pour en profiter sans connexion, création d’itinéraire, ajout de point d’intérêt…

Les + : plus intuitif pour la prise en main du GPS, permet facilement de créer plusieurs étapes, indications avec panneau et nombre de voies et propose plusieurs itinéraires.
Les – : peu de descriptif des autres points d’intérêts.

Notre conseil: téléchargez plusieurs applications (au moins 2, attention à la place qu’elles peuvent prendre dans votre téléphone par contre), prenez en possession, familiarisez-vous avant le départ et voyez celles qui vous conviennent le mieux … Il en existe de nombreuses autres: HERE WeGO, OsmAnd…. à vous de trouver la votre. Et avec ce genre d’application, vous avez toujours un GPS dans la poche, ce qui peut être aussi pratique dans les parcs nationaux par exemple, ou bien quand on se balade en centre-ville, sans son véhicule. Ou même pour trouver le restaurant que l’on vous a recommandé … alors à vos smartphones pour découvrir tout ça! Et pour votre voyage pensez à ajouter dans la valise votre support habituel moto et votre câble USB 🙂

Votre départ approche, mais il vous reste un dernier casse tête à résoudre: comment organiser au mieux mes bagages pour un voyage à moto aux Etats-Unis ? Alors pour ne rien oublier, préparer et garder la tête froide pendant cette étape, voici nos recommandations pour cette phase au combien importante pour vivre le meilleur des road trip moto (avec votre agence préférée bien sûr).

Comme on vous a déjà donné les grandes pistes dans notre précédent article (à retrouver ici ). On ne va donc pas revenir sur les vêtements ou choses à prévoir avant de partir mais plutôt sur l’organisation, autre point indispensable avant de préparer ses bagages.

1- Avec quel bagage partir à moto🏍?

Comme vous l’avez déjà lu la semaine dernière, en voyageant à moto, il ne faut surtout pas s’encombrer. Prévoyez plutôt de petits sacs souples susceptibles d’être rangés facilement dans les sacoches latérales. Evidemment tout dépendra également du modèle choisi, avec ou sans topcase, porte-bagages ? Sans topcase, il existe des sacoches/sacs pour sissi-bar, avec une contenance moyenne de 50-60 L mais pouvant aller jusqu’à environ 80L selon le modèle choisi ( à choisir étanche dans la mesure du possible).

L’idéal donc vous l’aurez compris, étant de directement adapter votre bagagerie en fonction du modèle de moto choisi (vérifiez donc la dimension des sacoches latérales et équipements de base pour votre bagagerie adaptée). Et ne prendre que deux bagages cabine avec vous, vous gagnerez du temps : pas d’enregistrement, pas d’attente à l’arrivée et vous serez sûrs que votre bagage ne sera pas égaré ou endommagé.
Sur la plupart des compagnies aériennes, vous avez le droit entre 10 kg et 12 kg en bagages cabine, mais attention à bien respecter les dimensions demandées par chacune (nous vous invitons à vérifier ces informations sur le site internet de la compagnie avec laquelle vous voyagerez, en général ils doivent faire 56x22x35 ). Si vous le souhaitez, vous pouvez tout de même prendre un bagage à roulettes, plus facile pour le transport (dans lequel vous aurez vos sacoches déjà prêtes) que vous laisserez ensuite en consigne chez le loueur (si votre voyage fait une boucle et que vous ramenez les motos au point de prise en charge)
Petit conseil : prévoir un sac souple et pliable supplémentaire que vous pourrez mettre en soute à votre retour (pour le shopping, les souvenirs …). Les billets d’avion de nos formules incluent forcément un bagage en soute (sauf mention contraire dans le devis).
Attention, si vous souhaitez prendre votre casque avec vous en cabine, il est possible que certaines compagnies aériennes ne l’acceptent pas pour des raisons de sécurité (dans ce cas il faudra demander à le mettre en soute mais en précisant fragile, préciser à l’agent que le moindre choc sur votre casque le rend inutile et qu’il faut absolument qu’il soit acheminé avec soin).

Vous avez également le droit avec votre bagage cabine de prendre un accessoire (petit sac à dos, sac à main, sacoche appareil photo…), celui-ci comptera par contre dans le poids global de vos bagages. Prévoir un petit sac à dos, vous permettra de l’avoir à disposition pour vos visites de parcs ou bien pour faire les courses le midi. Nous vous conseillons donc d’y réunir tout ce qui pourrait vous servir pour voyager et les avoir à portée de main, à savoir:

  • Votre passeport,
  • Votre ESTA
  • Votre permis de conduire
  • Vos billets d’avion
  • Votre porte feuille avec éventuellement des dollars à disposition
  • Votre téléphone portable et tout autre appareil contenant une batterie au lithium (qu’il est interdit de mettre en soute et doivent être chargés pour être vérifiables le cas échéant).
  • Des écouteurs ou casque pour profiter de votre écran individuel dans l’avion, bien que la compagnie aérienne en fournisse, ils ne sont pas de super qualité (attention à bien prendre les anciens formats avec fils et prise jack, compatible avec le système de divertissement, le nouveau format Bluetooth ne pourra être synchronisé avec).
  • Vos médicaments, si vous devez en prendre durant le voyage (bien prévoir de prendre avec vous vos ordonnances de moins de 3 mois, avec éventuellement une traduction anglaise au cas où).
  • Votre premier bon d’échange hôtel pour l’adresse (qui peut vous être demandé à l’immigration),
  • Et éventuellement quelques produis d’hygiène de base pour vous rafraichir avant votre arrivée (attention liquide moins de 100 mlvoir ci-dessous),
  • Et surtout tous nos supers conseils, roadbook ou application à étudier et vous feront déjà voyager pendant vos heures de vols.

Prévoyez également une photocopie de tous ces documents en cas de perte ou de vol cela facilitera les démarches, à mettre bien sûr dans un autre endroit que les originaux. De même, ne mettez pas tout votre argent au même emplacement.
Enfin si vous avez opté pour un bagage en soute (de 23 kg maximum), au cas où prenez toujours un change dans votre bagage à main (utile si vos bagages ne vous attendent pas à l’arrivée).

Quelques conseils pour charger sa moto

Si votre voyage est itinérant (ce qui la majeure partie du temps le cas), nous vous recommandons d’organiser vos sacoches latérales avec votre trousse de toilette à disposition (que vous prendrez donc tous les jours) puis chaque soir, une tenue pour le lendemain et votre petit sac de linge sale. Vous n’aurez ainsi pas à défaire l’intégralité chaque jour et refaire chaque matin, mieux vaut prendre un peu de temps à votre arrivée à l’hôtel pour en gagner le lendemain et reprendre la route le plus rapidement possible. Ensuite, essayez de :

  • répartir le poids de façon équilibrée,
  • disposer les éléments lourds le plus bas possible,
  • et évidement prendre le nécessaire pour bien sécuriser vos sacs sur le porte-bagages : tendeurs, filet-araignée … Si c’est celui au dessus du topcase, attention au poids et qu’aucun frottement ne vienne endommager celui-ci.

Pour rappel, votre bagage en soute doit pouvoir être ouvert par la douane américaine, il est donc conseillé de prendre avec vous un cadenas TSA (sauf si votre valise en est déjà équipée).

Retrouvez notre article Voyage aux USA : informations pratiques et conseils de pro! , pour savoir ce que vous devez prévoir dans votre bagage. Et ajoutez éventuellement à votre liste : intercom si vous voyagez à plusieurs, support téléphone au besoin, prise allume-cigare USB, serviettes microfibres, bouchons d’oreille/Boules Quies …

⚠️ Restrictions relatives aux liquides et aérosols

Si vous prévoyez de ne prendre qu’un bagage à main, pensez bien à la restrictions sur les liquides en vigueur dans les avions. Sous peine de voir tous ses beaux produits être mis à la poubelle par les douaniers.
Vous ne pouvez emmener que 1L de produit comme capacité maximale (soit environ 10 produits maximum).
Les produits doivent être regroupés dans un contenant transparent et refermable (type sac congélation réutilisable, peuvent être fournis à l’aéroport) et les contenants ne doivent pas excéder la capacité de 100 ml par produit. Attention, ce sont bien les contenant qui ne doivent pas dépasser 100 ml et non le contenu, même si vous avez un fond de crème, de parfum ou autre lotion dans un contenant plus grand, cela se terminera immanquablement à la poubelle. Le sac doit pouvoir être sorti facilement car il vous sera demandé aux postes de contrôle. C’est pourquoi, nous vous conseillons de prendre un maximum de choses sous le format solide (aujourd’hui quasiment tout est trouvable sous ce format en supermarché ou magasins spécialisés: dentifrice, déodorant, shampoing…).

Vous voilà avec un maximum d’informations pour faire votre valise, bagage, sac … en toute sérénité. Nous vous conseillons toutefois de vérifier les dimensions et restrictions sur les différents sites des compagnies avant de faire ou d’acheter vos bagages:

La compagnie avec laquelle vous voyagerez est indiquée sur votre confirmation d’inscription puis sur votre billet électronique. Bon préparatif 😊

Vous voilà bientôt prêt à partir? Vos valises sont presque prêtes et pourtant vous vous posez encore des questions sur votre voyage? Quel budget prévoir? … Nous sommes là pour vous donner toutes ces infos :

1- Faire sa valise pour partir aux USA

Quand on part en voyage on ne sait jamais quoi emmener va-t-il faire chaud ou froid quelles sont les températures moyennes … Et on connait toutes (ou tous) ce fameux « au cas où » qui vous prendra plus de la moitié de votre bagage sans que vous le sortiez une seule fois. Pour un road trip, il vaut mieux prévoir de voyager léger (voir très léger si vous êtes à moto), déjà parce que justement un road trip implique itinérance et donc de défaire & refaire ses bagages quasi quotidiennement (on vous donne quelques astuces plus bas à ce sujet d’ailleurs) et parce que vous êtes aux Etats-Unis, où le shopping est roi (et reste encore très avantageux).

Le mieux est de prévoir plusieurs couches que de gros pulls qui seront encombrants (dont au moins un vêtement qui conserve la chaleur en cas d’humidité) et de prévoir une couche imperméable. Si vous partez dans des Etats chauds, privilégiez une veste d’été ou mi-saison (avec protections et dorsale), des hauts en coton (ou lin), pantalon en textile type mesh (aéré) ou large. A savoir, il existe des vêtements Anti-Canicule au même titre que les vêtements thermiques respirants, qui vous permettrons de bien être isolé du chaud comme du froid. Pensez également à prendre un t-shirt aux manches longues (même en plein été). Pour le reste, le climat dépendra de votre voyage, mais rappelez-vous que les USA représentent près de 17 fois la France, on y trouve donc tout type de climat (du subtropical en Floride au climat de type alpin dans les Rocheuses). Tenez compte des altitudes que vous allez traverser pour prévoir en conséquence. Enfin, pensez également à prendre vos gants (soit mi-saison avec des sous gants si votre parcours vous mène en altitude), bottes et éventuellement une paire de chaussure ouverte pour le soir … Ainsi qu’une casquette, chapeau ou autre couvre-chef. Mais n’en emmenez pas trop, des laveries seront présentes sur votre parcours et sinon c’est une bonne excuse pour tester les fameux outlets ou se refaire une petite garde-robe.

LA chose à ne pas oublier de mettre dans votre bagage est (au moins) un adaptateur pour les prises US. Les prises américaines fonctionnent en 117 volts (contre 220 pour les nôtres), idéalement optez pour un universel (vous évitant ainsi à chaque voyage de devoir faire un choix, avec au moins un port USB, pratique lorsque l’on a plusieurs appareils à charger, ce qui est de plus en plus le cas).

Pour la trousse de toilette, vous pouvez privilégier les formats solides pour un gain de place & de temps (vous évitant ainsi les bagages en soute). Par ailleurs, vous retrouverez dans la quasi totalité des hôtels des produits de base (savon, shampoing…) à votre disposition.
Prévoyez également éventuellement une petite trousse de premier soin (paracétamol, contre les maux de ventre, pansements … et autres basiques) sachant que vous retrouverez le tout très facilement et vente libre dans les « General Store » ou les « Pharmacy« .

La bagagerie moto peut être la solution la plus pratique. Il existe des sacoches adaptées aux dimensions de votre modèle, il vous suffira de prévoir une sacoche « vêtements » et une autre avec la/les trousses de toilettes et le reste de vos affaires. Vous aurez ainsi votre bagage directement à la bonne taille, et vous n’aurez pas à refaire 3x le rangement de votre sacoche pour la fermer 😁

2- Quel budget prévoir pour un road trip aux USA ?

Sans parler de vos souvenirs et autres achats de vêtement évoqués ci-dessus, votre budget aura 2 principaux poste de dépenses: la nourriture et l’essence.

Budget carburant

A noter qu’il y a très peu de diesel aux USA (regardez quand même la notice de constructeur au cas où quand vous prenez le véhicule, surtout pour les plus gros SUV/4X4). A la pompe, vous aurez donc le choix entre 3 types d’essence :
– Regular (87) = sans plomb régulier
– Super (89) = super sans plomb
– Premium (91-93) = très bonne qualité.

Le loueur moto préconise du premium. Même si l’essence a quelque peu augmenté ces derniers temps, cela reste toujours moins cher qu’en Europe. Rappelez-vous que les prix sont exprimés en gallons (soit environ 3.80L). Le prix varie d’un état à l’autre en fonction des taxes. Par exemple : elle sera moins cher en Utah qu’en Arizona et au Nevada. Comptez en moyenne entre 3,50$ et 4,50 $ le gallon sur l’ouest américain (sauf en Californie, actuellement aux alentours de 6.50$). Pour un séjour d’environ 15 jours (et donc environ 4000 km), comptez entre 350 à 500$ de budget carburant à moto.

Budget restauration

Là, l’estimation sera beaucoup plus aléatoire en fonction de vos envies: entre un Fast Food & un steak house le prix peut varier x 10. Pour vous donner une moyenne, comptez 12$-15$ pour un petit déjeuner américain (c’est à dire avec œufs, bacon, … ), 15$ à 25$ pour un déjeuner (léger du coup) et 35$ à 65$ pour le repas du soir. Même si le mot fast food peut faire peur, la variété et la diversité des restaurants proposés aux USA est telle que vous aurez le choix entre des plats asiatiques, indiens, mexicains, italiens… (pour varier les plaisirs) et une dépense moindre que dans un restaurant classique (où il faudra ajouter les fameux tips à la note finale). Et surtout, ils vous permettront de gagner du temps pour privilégier vos visites. Vous pouvez également choisir de vous faire des sandwichs en allant dans les supermarchés ( Wal-Mart, Target…) ou manger sur le pouce lors d’une halte à la station-service.

3- Sur place

Téléphone et poste

Avant de partir, renseignez-vous auprès de votre opérateur téléphonique pour savoir si vos appels à l’étranger sont inclus dans votre forfait (sinon attention à la note à votre retour) et demandez le prix pour l’option nécessaire (téléphonie + internet ou en fonction des préférences, l’un ou l’autre). A savoir, depuis fin février 2022, les opérateurs américains (notamment l’opérateur partenaire de Free : AT&T) arrêtent leurs réseaux 3G (info ici). Free mobile propose un forfait 5G (210 Go) à 19.99 €/mois (sans engagement ou 15.99€/mois pour les abonnés Freebox) incluant les appels illimités vers mobiles et fixes aux USA (+ 25 Go/mois en 4G aux USA).

Ou acheter une carte SIM (T-Mobile, Lyca …) prépayée (ex: données Internet 4G illimitées-> environ 35-40 €). Pour les grands consommateurs de Data, consultez sim-usa.mobi (société française)

Sur place, vous pourrez également acheter un téléphone local avec 30 min d’appel par exemple ou une carte prépayée (même operateurs que ceux cités ci-dessus) dans un Best Buy ou Target par exemple …

Si vous comptez arriver après 19h à votre hôtel, vous vous conseillons de les appeler afin qu’ils conservent votre chambre. Aux USA, les numéros de téléphone comprennent 7 chiffres et sont précédés d’un indicatif régional (que vous trouverez parfois entre parenthèses). Pour appeler en Europe, composez le code à l’international (011) suivi du code national (33 pour la France) puis les 9 chiffres suivant (numéro de tel sans le 0).

Si vous souhaitez envoyer des cartes postales à vos proches, un conseil faites le dès le début de votre séjour. Une lettre met 7 à 14 jours pour arriver en Europe (Ecrivez AIR MAIL sur votre enveloppe, cela peut permettre de gagner du temps). Pour l’Europe, comptez environ 50c pour une carte postale, 60cts pour 12g et 1$ pour 25g puis 4cts du g supplémentaire.
Les bureaux de Poste sont ouverts du lundi au vendredi de 09h à 17h (parfois ouverts le samedi matin). Sinon, postez-les en extérieur, les boites aux lettres américaines sont bleues et portent la mention MAIL ou en fonction de votre hôtel, déposez-la au comptoir.

Achats et taxes

Vous trouverez de nombreux outlets (magasins d’usine) pour remplir votre valises de vêtements à prix imbattables (c‘est pour cela qu’il faut partir léger 😉). Et pour faire vos achats à prix dégriffés, rendez-vous dans l’une des chaines Ross, Marshalls ou encore T.j. Maxx. Par contre attention, les prix indiqués sont toujours hors taxes. Celles-ci peuvent varier d’un état à un autre … Ces « sales taxes » (l’équivalent de notre TVA) sont ajoutées au prix final à la caisse et varient entre 3% et 11.5%, la moyenne national tourne autour des 7.5%. Toutefois, les villes et les comtés peuvent percevoir une taxe supplémentaire. Une information à garder à l’esprit pour éviter les mauvaises surprises. Et pour la bonne surprise privilégiez les Etats qui n’appliquent pas de taxes sur les ventes tels que l’Alaska, le Delaware, le Montana, le New Hampshire et l’Oregon ou encore le New Jersey. Le Minnesota et la Pennsylvanie, n’appliquent pas de taxe de vente sur les vêtements … Enfin la Louisiane et le Texas autorisent les ventes hors taxes pour les visiteurs étrangers. Pour connaitre le taux en vigueur, consultez : https://www.taxadmin.org/current-tax-rates.

Enfin, n’oubliez pas que dans les restaurants ou autre domaine de service (bars, taxi ….), les pourboires ne sont pas compris et obligatoires (c’est une grosse partie du salaire de votre serveur/euse, chauffeur de taxi, coiffeur/euse…). Prévoyez entre 15% et 20% à ajouter à votre note. Si vous payez en carte de crédit, n’oubliez pas de cocher la case « tips ou gratuity » sur la facture. Il est très mal vu de ne laisser aucun pourboire. Toutefois, dans certaines zone touristique, le « tips » peut être inclus directement ou si vous être une table de 6-8 personnes. Regardez bien la note avant de régler.

Bien sûr vous n’avez là qu’une partie des conseils que nous vous distillons dans nos carnets de voyages & guides, mais au moins vous voilà avec une idée du budget à prévoir et quelques informations & conseils avant votre départ pour anticiper un peu les préparatifs. La sérénité de voyager avec un pro!

Louer une moto à l’étranger peut amener à se poser plusieurs questions surtout en ce qui concerne les assurances et la prise en charge du véhicule. On connait nos assurances personnelles pour notre monture, mais qu’en est il à l’étranger, comment est-on couvert? Et surtout quelles sont les informations à vérifier lorsqu’on loue une moto. Toutes nos réponses à vos questions ici :

1- Choisir quelle moto louer aux USA

Comme on vous en a déjà parlé dans nos précédents articles, le choix de votre modèle est important dans la réussite de votre voyage. Pour valider votre choix, n’hésitez pas à vous reporter à nos articles précédents: Quelle moto choisir pour faire un road trip dans l’ouest américain ou bien Quelle moto pour faire la Route 66 et nous contacter en cas de doute. Ils vous apporteront déjà quelques pistes sur les principaux modèles proposés pour une location aux USA (en fonction de votre itinéraire). La bonne idée pour préparer au mieux votre voyage est de vous rendre en concession afin de faire un test. Cela vous permettra déjà de vous rendre compte de la position de conduite, de la prise en main et d’avoir éventuellement quelques explications en français avant de rejoindre nos homologues américain. Et s’y rendre avec sa passagère (ou passager), permet d’autant plus d’anticiper.

2- L’assurance moto en voyage aux États-Unis.

Rentrons dans le vif du sujet, voici le point névralgique sur lequel on vous demandera de faire un choix important lors de votre inscription. Sans assurances, vous êtes responsable à 100% en cas de dégâts ou de vol (et croyez nous, la note peut être très salée, surtout pour un custom). C’est pourquoi, nous ne proposons tout simplement pas de location de moto sans assurances. Par contre, nous vous demandons de faire un choix sur les deux type d’assurances que nous vous proposons (assurances proposées en fonction du circuit choisi ou du lieu de prise en charge, nous consulter ou bien se reporter à la rubrique « nos prix comprennent » sur notre site internet ).
Lors de la location une autorisation par carte de crédit sera faite au moment de la prise en charge à titre de caution (le montant est bloqué mais non débité), c’est pourquoi vous devez présenter une carte de crédit (international de type Mastercard ou Visa) au nom & prénom du pilote (et éventuellement lever les plafonds de votre carte en fonction du montant). Le choix de votre assurance a également un impact sur le montant de la caution demandée :

ASSURANCE INCLUSIVE PLUS : franchise de 2000$ en cas de dommages et à 5000$ en cas de vol – caution de 750$
ASSURANCE INCLUSIVE ZERO : Pas de franchise en cas de dommages causés à la moto (sauf infraction & négligence de votre part et sur présentation d’un rapport de police) et 1000$ en cas de vol (pas de remplacement possible) – caution de 100$ le jour de la prise de la moto

Nous vous proposons donc le choix entre Inclusive Plus + Roadside Assistance, (assistance avec frais de remorquage illimité) ou l’Inclusive Zero. Evidemment, si vous optez pour la Roadside Assistance en supplément (à 15 € / jour) la couverture Inclusive Zero s’appliquera d’office vous permettant à la fois d’avoir réduit la franchise, être couvert en cas de crevaison ainsi que les frais de remorquage (avec l’assistance routière dédiée).

Attention, que ce soit pour l’assurance inclusive ou bien pour l’Inclusive Zéro, la prise en charge ne se fera que sur présentation d’un Police report (appelez le 911 à cet effet) et ne sera pas applicable en cas d’infraction ou négligence de votre part). A noter également, qu’en cas de gros dommages ou de vol de la moto, cela correspondra à une rupture contrat auprès du loueur. Aucun remplacement de la moto sera possible.

3 – De quelle assurance puis-je déjà bénéficier ?

Un dernier choix s’impose à vous pour valider votre location de moto. Celui de la SLI (Supplemental Liability Insurance), une responsabilité civile complémentaire à celle déjà incluse dans la location. En effet le loueur comprend obligatoirement le minimum state, c-à-d le minimum de prise en charge imposé par l’Etat (pour chaque état, le montant diffère). Elle permet de couvrir les dégâts matériels et les blessures corporelles que vous pourriez causer à autrui lors d’un accident. Par exemple, avec une réservation en Californie inclut donc :

  • $15,000 pour blessure/décès d’une personne.
  • $30,000 pour blessure/décès de plus d’une personne.
  • $5,000 pour dommages matériels.

La SLI (est une couverture supplémentaire) optionnelle qui vous permet d’être couvert à hauteur de 300 000$.

Cette assurance est en supplément, elle peut être déjà incluse dans votre propre assurance moto (de moins en moins le cas en France, en revanche assez fréquent pour nos voisins Belges & Suisses). Consultez en amont votre contrat ou assureur pour savoir si vous l’avez déjà ou non et si oui à quelle hauteur (précisez bien dans le cadre d’une location aux Etats-Unis ou Canada et non avec votre moto).

4- Les conditions de location d’une moto aux usa

Pour louer une moto aux USA, il faut avoir minimum 21 ans et être titulaire du permis de conduire (A) et donc avoir passé la fameuse passerelle A2 > A passé 2 ans de permis) pour accéder à la totalité des véhicules en location. Le permis national suffit, il faut évidemment que celui-ci soit valide et bon état. Pour les nouveaux formats, type carte de crédit, il est important de vérifier la date de validité.

A savoir : nous pouvons vous joindre l’intégralité des termes & conditions du loueur (en anglais). Il est vivement conseillé d’en prendre connaissance ou nous consulter en amont, en sachant dès à présent, les règles d’usage suivants :

  • La moto est sous vous entière responsabilité pendant toute la durée de location. Vous devez vérifier les niveaux d’huile moteur et signaler immédiatement les pannes mécaniques au loueur. Vous pouvez être tenu responsable des dommages mécaniques dus à une négligence dans l’utilisation de la moto ou au manque d’entretien normal.
  • Restriction routière : les motos de location ne sont pas autorisées sur les routes de gravier, les plages, les exploitations forestières ou autres routes non publiques. Les clients ne peuvent pas entrer au Mexique avec une moto loué aux USA, sans autorisation écrite préalable. De plus, une assurance complémentaire est requise. Et une autorisation est requise si vous comptez traverser la frontière pour le Canada.
  • La roadside assistance vous couvre pour les frais de remorquage, au garage le plus proche (et pas de votre choix). Il faut impérativement contacter le centre de location (à travers le N° communiqué à la prise de la moto) l’assistance routière avant toute intervention, en cas de panne ou problème mécanique (même si la moto peut démarrer).

Vous devez restituer la moto au centre de location à la date et à l’heure spécifiées dans votre contrat, et dans le même état avec le plein d’essence. Si celle-ci est restituée après les heures de fermeture du centre de location, vous restez responsable de la perte et de tout dommage au véhicule jusqu’à ce qu’elle soit inspectée par le centre à l’heure d’ouverture indiquée sur vos vouchers. L’entretien ou le remplacement de pièces ou d’accessoires pendant la location doit avoir leur accord préalable. Si la moto est remise dans un autre centre pour x raisons, les frais de rapatriement au point d’origine seront à votre charge.

  • Un casque peut être fourni, mais il préférable d’emmener le vôtre pour une question de confort (adapté à votre taille). Les casques de prêt sont des bols en large majorité (ce sont des casques américains s’arrêtant au dessus des oreilles), il faudra nous communiquer votre taille lors de la demande d’inscription ou au moins 2 avant le départ.
  • Bagages: la plupart des modèles en location ont des sacoches fournies avec la moto (souples ou intégrées). Des consignes sont également disponibles chez le loueur pour stocker vos excédents de bagages (sous votre responsabilité & possible si vous ramenez la moto au même centre que celui de prise en charge). A noter que si la moto est prise et rendue dans 2 stations différentes (comme c’est le cas pour notre Route 66 ou notre Route du Blues par exemple) les frais appelés « One Way fee » s’appliquent et sont systématiquement inclus dans nos tarifs.

Et bien sûr si cela vous parait encore complexe, que vous avez un doute ou avez la moindre question, nous restons bien évidemment à votre entière disposition pour vous aiguillez. Les conditions d’assurances ne sont pas les mêmes pour nos autres destinations ainsi que la location de voiture (nous consulter pour plus d’informations).

A seulement une vingtaine de minutes à l’ouest de Las Vegas se trouve un petit joyau que l’on oublie souvent, Red Rock Canyon. Des roches rouges, des randonnées accessibles et des paysages comme on les aimes … loin du tumulte de « Sin City ». Bref, une petite pépite que l’on vous fait découvrir ici 👇

Red Rock canyon, à moto le must pour s’aérer l’esprit

Si vous passez quelques jours à Las Vegas (au moins 2 nuits pour profiter de la ville avant d’explorer les alentours), le Red Rock Canyon peut être une belle alternative pour s’échapper, un peu, de la ville du péché. Un havre de paix, pour lequel vous pouvez prévoir de consacrer au moins 2 ou 3 heures (ou plus si vous souhaitez faire des randonnées plus longues dans le parc).
Une scenic drive en sens unique de 13 miles (21 km) vous emmène sur les principaux points de vue et sur les aires de stationnements. Un bel aperçu des formations géologiques typiques du désert de Mojave à découvrir.

Il peut aussi être un joli détour sur la route pour rejoindre ou au retour de la Death Valley.

Nouveauté Red Rock Canyon : à savoir

Si on vous en parle, c’est surtout que tout comme d’autres parcs de l’ouest américain (Yosemite, Arche Park dont on vous a déjà parlé…), il impose depuis fin 2020 une réservation afin de réguler l’affluence du parc en haute saison. Détails & informations pratiques ci-dessous :

De Octobre à Mai donc en saison d’hiver propice au soleil agréable du Nevada, il est nécessaire de réserver un créneau horaire si vous souhaitez emprunter la jolie route panoramique qui le traverse. Si vous prévoyez de la faire entre 8h du matin et 17h. Pour les « lève-tôt » pas besoin de réservation (le parc ouvre à 6h toute l’année et ferme entre 17h et 20h suivant la saison). Cela dit nous vous conseillons de le faire en fin de journée pour son jeu de couleur (et un superbe coucher de soleil en prime).

Et en pratique, comment ça se passe?

Rendez-vous donc sur le site de Recreation.gov pour prendre son ticket. Comme pour Arches Park, il vous faut déterminer une heure d’arrivée approximative, à savoir le ticket reçu est valable pour toute la journée. Bonne nouvelle, ce ticket d’entrée est gratuit ! (si vous avez le « Pass America the Beautiful » sinon 10$ pour les motos et 15$ pour les voiture ). Il serait quand même dommage de passer à coté de cette bouffée de nature (si vous avez le temps), juste pour une question de logistique….

Que faire à Red Rock ?

Tout d’abord, nous le recommandons pour chaque parc, rendez-vous au Visitor Center (ouvert tous les jours de 9h à 16h30). Véritable mine d’informations, vous pourrez : y demander conseil sur place, vous renseigner sur les conditions d’accès, découvrir les expositions intérieures et extérieures, récupérer une carte, accéder aux toilettes, faire le plein d’eau ou quelques emplettes (en effet s’y trouve également une petite boutique souvenirs). De nombreuses randonnées sont possibles dans le parc, étudiez en amont le site officiel qui vous détaillera également les informations essentielles, à savoir : la durée et la difficulté. Pour n’en citer que quelques unes : Calico I & II avec Calico Hills (de difficulté moyenne, est modulable selon vos envies et timing), Petroglyph Trail (facile environ 30 min), First Creek Canyon (environ 2h pour faire les 4 miles) …

Est-ce que Red Rock Canyon sera ajouté à votre bucket list de choses à faire à Las Vegas ?

Vous êtes nombreux à vous poser à la question et donc à nous la poser: comment je fais pour régler mes achats à l’étranger? Même si la réponse dépend au final de chacun, voici quelques pistes à explorer pour bien préparer son voyage:

Avec une carte Bancaire

On y pense pas toujours ou on ne le sait pas (c’est souvent les toutes petites lignes du contrat), mais la plupart des banques imposent des frais bancaires à chaque retrait ou règlement à l’étranger. Et la note peut vite monter, car vous avez le plus souvent un montant fixe et un montant en pourcentage, avec parfois des frais de change en plus! Du coup, il vaut mieux se renseigner à l’avance pour ne pas avoir de mauvaises surprises !
Certaines banques proposent des forfaits voyage pour éviter les frais lors de paiement à l’étranger, un forfait par mois à régler pour être tranquille, mais attention ils demandent souvent un an d’engagement pour ce type de forfait qui ne peut devenir intéressant que si vous voyagez plusieurs fois dans l’année. D’autres, peuvent avoir des accords avec des réseaux internationaux, qui peuvent être intéressants. En gros tout dépend de votre banque et du contrat que vous avez signer avec elle. N’hésitez pas à prendre contact avec votre conseiller pour en connaître tout les détails.

Une alternative possible : les banques en ligne. Soit en ouvrant un compte, soit en prenant seulement une carte que vous chargerez au fur et à mesure depuis une application mobile (cela vous engage donc à avoir un accès à internet pour effectuer une recharge). Plusieurs spécialiste des cartes « voyage » comme N26 ou Revolut, vous proposent même des cartes basiques gratuitement. Attention, ces cartes peuvent avoir un nombre de retrait en espèce limité (usuellement 200$). Mais elles vous serviront surtout à régler vos achats en carte bancaire sans frais de commission. Vous créditez votre compte en euros et vous réglez dans la monnaie locale (selon de le taux de change en vigueur au moment de l’achat). A noter toutefois, ces cartes demandent une autorisation systématique, elles peuvent ne pas fonctionner sur certains sites ou pour certains achats comme les péages, les locations de vélo certaines pompes à essences par exemple…

Idéalement, on vous conseille toujours de prendre aux moins deux cartes bancaires. Ainsi, si l’une de vos cartes ne passe pas, si vous la perdez, si on vous la vole ou si vous atteignez votre plafond de retraits, vous pourrez toujours utiliser l’autre.

En espèces

Là encore il s’agit de faire un choix. Souhaitez vous partir avec des espèces avant de quitter la France ?

Si vous souhaitez faire le change en France: renseignez vous auprès de votre banque si elle vous propose l’achat de devise à un bon taux. Il suffit pour cela de vérifier le taux du jour (sur des applications/sites comme XE.com par exemple), mais également le taux de commission pris par votre banque.
Autre solution retirer des euros (ou Franc Suisse) et passer par un bureau de change. Solution facile pour les parisiens et ceux qui habitent dans les grandes villes, mais il est beaucoup plus difficile de trouver un bureau de change en province.
Dans tous les cas, ne prévoyez pas d’emmener plus de 3000$/ couple, pour éviter les désagrément en cas de perte, vol …

Si vous souhaitez changer sur place, vous le pourrez aussi facilement. Mais on vous déconseille de le faire à l’aéroport, où le taux de change est souvent peu avantageux. Certains hôtels peuvent également le proposer mais avec une commission. Le mieux est encore de se rendre dans une banque ou un bureau de change en ayant effectué les vérifications précisées ci-dessus au préalable.

Vous pouvez également choisir de retirer des espèces avec votre carte auprès d’un distributeur (ATM). Idem, idéalement si vous n’avez pas de frais bancaires. Mais attention certains, (ceux en supermarchés ou dans les casinos notamment) appliquent plus de frais que d’autres et limites le montant (environ 200$ pour les plus petits). Il faut donc être attentif. Si vous souhaitez faire des retraits à l’étranger, préférez de « gros » retraits que de petites sommes à chaque fois.

Pour faire simple:
* Prévoyez 2 cartes pour partir en voyage pour le « au cas où », renseignez vous auprès de votre banque des frais ou choisissiez de prendre une carte voyage en plus.
* Changez votre espèce en France ou sur place en vérifiant les taux de change mais pas plus de 1500$ / personne pour ne pas avoir trop de cash sur soi… quitte à opter pour un retrait (même avec frais) pour un montant conséquent (de préférence) sera toujours mieux que d’avoir trop d’espèces sur vous.

Comme pour les USA , nous vous avons créé un petit guide des formalités pour votre prochain séjour au Canada, voici donc les démarches à suivre pour rejoindre nos cousins canadiens:

1. Avoir un passeport individuel

Pas de besoin de format biométrique ou électronique pour les ressortissants français, belges ou suisses (ceci dit, ils le sont tous maintenant) pour voyager au Canada, mais la validité de votre passeport doit dépasser d’au moins 1 jour la date de votre retour. Afin de parer à toute éventualité, on veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis ou suffisant (généralement 3, dont 2 en vis-à-vis).

2. Remplir et avoir reçu l’autorisation AVE

Comme pour les USA, une autorisation de voyage est à remplir sur le site officiel du gouvernement: au prix de 7$CAD par personne (si un montant plus conséquent vous est demandé, vous n’êtes pas sur le site officiel). Vous devez faire une demande par personne si vous êtes plusieurs à partir en voyage, il faudra faire à chaque fois une demande et un nouveau paiement pour chaque personne. Elle est valable 5 ans, liée à votre passeport et à sa validité, si vous changez de passeport, vous devrez donc la refaire.

Pour information:

• Aux frontières terrestres (entre le Canada et les Etats-Unis), vous devrez vous acquitter d’une taxe de US$6, payable uniquement en espèces (à régler en $ américain) et remplir le formulaire vert I94W à compléter pour entrer aux USA, il vous sera remis sur place. Vous devrez également présenter votre passeport (valable pour entrer sur le territoire américain), votre ESTA (à faire avant votre départ -21$, voir notre article sur les formalités aux USA ), AVE (voir ci-dessus), votre billet de retour ainsi qu’une preuve de solvabilité.

Toutefois dans le sens USA -> Canada, l’AVE n’est pas requis.

A l’occasion de nos 20 ans d’existence (techniquement nous sommes plus vieux, mais c’est la date de création ici qui fait foi), nous voulions revenir sur nos origines, notre histoire et nos services. Alors, qui sommes-nous ? Comment fonctionne-t-on ? Pourquoi choisir AMT ? La réponse tout de suite 👇 :

Une entreprise familiale intimiste, spécialisée dans les voyages à moto

La société créée en 2002 par Roger avait d’abord vocation d’emmener tous les motards vivre l’un des plus grands événements moto au monde : la Daytona Bike Week. Et pour répondre à la demande, quoi de mieux qu’un tour-opérateur ? Car, il faut faire la distinction : si le tour opérateur est créateur du voyage, l’agence de voyage en est seulement le revendeur. Nous sommes bien un tour opérateur, donc sans intermédiaire, pour vous proposer le meilleur rapport qualité-prix.

Charlène (sa fille) a ensuite rejoint l’entreprise familiale en 2011. Elle aussi fan de moto (au guidon d’une Indian Scout) et des USA. Suite à de nombreux voyages de reconnaissance, elle est à même de vous conseiller au mieux pour vos voyages et vous donner tous ses petits « conseils » indispensables qui apporteront une réelle plus-value à vos roadtrip U.S. Enfin vos interlocuteurs(rices), également passionné(e) de moto et d’Amérique, dont moi-même (Wendy, qui vous écrit chaque semaine pour vous donner toujours plus d’inspirations et d’informations, au guidon d’une CB650F). Vous voyez donc que l’on partage les mêmes passions que vous, que nous restons (délibérément) une petite entité, pour une approche plus humaine et personnalisée à votre voyage ! Et si vous voulez nous rencontrer, nous avons « pignon sur rue » au cœur de Montrouge (sud de Paris, à 5 min de la porte d’Orléans) pour vous accueillir. Ou bien sûr, sur l’un des nombreux salons auxquels nous participons au court de l’année!

Spécialiste destination

Nous n’avons pas voulu proposer de multiples destinations (au détriment forcément de notre expertise) et préférons rester focalisé sur notre cœur de métier (initialement l’Amérique du Nord avec les Etats-Unis et le Canada), tout en sachant s’adapter et évoluer au grès des années. Nous restons donc principalement dédié aux voyages en Amérique :

  • USA, nous proposons pas moins de 23 circuits différents + 2 événements « Bike Week »,
  • Canada, avec 2 circuits pour découvrir l’Est comme l’ouest (un troisièmes à venir d’ailleurs),
  • Ainsi qu’au Mexique pour un dépaysement au cœur de la civilisation Maya (que Charlene a lancé en 2015).
  • Mais aussi à Cuba (qui a suivi peu de temps après), pour allier également culture & farniente,
  • Puis, plus récemment, l’Argentine et un combiné Chili/Argentine à travers les Andes (en Trail).

Bref, de quoi satisfaire tout le monde !

PS : Après plusieurs voyages, nous avons également développé peu de temps après notre création, un circuit en Afrique du Sud avec l’incontournable Route 62 (à laquelle nous avions déjà consacré un article, une destination unique sur le continent africain, qui a su nous charmer et si vous vouliez nos raisons, vous les retrouverez ici.)

Voyage sur-mesure : notre expertise à votre service

Nous pouvons aussi construire VOTRE voyage. Du sur-mesure, totalement à la carte, pour correspondre pleinement à vos envies et besoins. Que ce soit au guidon de votre moto ou au volant d’une voiture, nous créerons votre roadtrip aux USA, Canada, Mexique ou Afrique du Sud selon vos critères. Une liberté et autonomie pour vivre une autre expérience, tout en restant encadré. A savoir, nous pouvons également vous proposer une formule accompagnée sur-mesure avec la privatisation d’un guide-accompagnateur.

Une agence française aux garanties rassurantes

  • Restons chauvins, et consommons français 🇫🇷, avec nous, vous êtes au bon endroit. Notre siège social (et donc notre agence) est à Montrouge. Vous avez donc une adresse physique où vous adresser, et si vous le souhaitez, pour nous rencontrer en personne. De plus, vous n’aurez pas de décalage horaire, et donc des réponses rapides à vos éventuelles interrogations.

  • Les Agences Françaises sont régies par la loi et le code du Tourisme. Une activité extrêmement règlementée, c’est pourquoi, nous devons être titulaire d’une licence d’état. Un numéro délivré par la préfecture de police (commençant par IM et suivi de 9 chiffres) qui offre des garanties de qualité, d’engagement et de responsabilité.
  • Une autre obligation des agences et tour opérateur français est de présenter une garantie financière, qui permet aux clients d’être remboursés en cas de défaillance. Nous sommes pour notre part, membre de l’APST (Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme).
  • Avoir un Agrément IATA n’est pas obligatoire, mais cela indique que vos billets d’avion sont directement émis et gérés au sein de l’agence, et qu’elle est en contact direct avec les compagnies aérienne. Un vrai gage de réactivité, et compétitivité tarifaire (de meilleur tarifs, fort d’une négociation de contrat annuelle et sans intermédiaire).
  • Et bien sûr, tout au long de ces 20 années, nous avons une réputation à la hauteur de nos services (il est toujours bon de vérifier les avis clients via notre livre d’or, attention selon les plateformes, à vous de bien faire le tri)

Notre plus-value : au delà des services dès l’élaboration de votre voyage, c’est surtout en cas de soucis sur place que l’on se rend de compte de la nécessité de passer par un professionnel. Nous avons un service d’assistance dédié aux USA et un N° d’urgence en France disponible 24/24h – 7/7j. Cerise sur le gâteau, en fonction de votre formule, vous pouvez même profiter d’un service de conciergerie pour bénéficier d’une aide appréciable sur place dans l’organisation, la réservation et la gestion de vos activités, restauration … Un vrai bonus qui vous permet de voyager serein surtout lors d’un road trip à moto (consulter notre article sur les avantages de passer par une agence de voyage spécialisée).

Une tarification préférentielle avec des offres exceptionnelles

Halte aux idées reçues, de nombreux clients peuvent en témoigner, cela ne coûte pas forcément plus cher de passer par un Tour opérateur. Avec un volume d’affaire plus important, nous profitons de tarifs négociés auprès de partenaires de choix. Nous ne dévoilerons pas tous nos secrets mais de façon quasi systématique, nous avons pu constater être moins chers que si vous réserviez vos billets, location et hôtels via les plateformes conseillée des voyageurs blogueurs type Booking, Hotels.com …
Nous vous faisons, par ailleurs, bénéficier d’avantages tarifaires indéniables avec nos remises d’office (que nous proposons depuis notre création) sur les forfaits de nos circuits aux USA, Canada & Afrique du Sud, (sauf Events et Voyage Sur Mesure donc) :
• Une réduction de 3% pour toute inscription 6 mois avant le départ,
• Une réduction de 5% pour toute inscription 9 mois avant le départ,
• Et un règlement échelonné chaque mois sans frais jusqu’à 45 jours avant le départ, avec un acompte de 300 € par personne au lieu de 30% du montant total du voyage. 

Un spécialiste, pour le savoir-faire et la flexibilité

Quoi de mieux que de profiter des conseils et bon plans d’un spécialiste et passionné ? Rien? Alors, en un clic entrez dans la légende AMT 😊. Nos nombreux voyages de reconnaissance et l’accompagnement de nos clients pour suivi, nous permettent de mettre à jour régulièrement nos services, petites adresses, et autres bons plans pour sortir des sentiers battus.
De plus, comme nous revoyons votre séjour avec vous, tout est adaptable et ajustable en fonction de vos attentes. Du choix des étapes, de la compagnie aérienne (régulière, pas de low-cost), du véhicule ou encore la catégorie des hôtels. Nous créons avec vous le voyage de vos rêves, personnalisé, et au meilleur prix.

Voilà, vous savez maintenant tout sur nous, et si vous avez encore des questions, on reste à votre disposition, du lundi au vendredi , de 09h30 à 12h30 et de 14h à 18h30, ou bien par courriel , contactez-nous pour organiser dès à présent votre futur voyage!

Car oui, il n’y a pas pas que la moto que nous vous proposons et pour correspondre à toutes les envies, l’autotour peut aussi être une alternative, surtout pour les familles ou bien pour accompagner un groupe sans se poser la question des bagages. Comme la semaine dernière on vous a donné des conseils pour la conduite à moto, voici quelques conseils pour la voiture:

Tout d’abord la quasi-totalité des voitures de location sont des automatiques (avec une pédale pour accélérer et une pour freiner, seul votre pied droit sera à utiliser), il faudra vous familiariser avec les commandes de base.

  • P (Park) : à enclencher quand vous êtes garés (sinon cela risque de biper). Ce mode empêche de bouger le véhicule. Attention, cela ne fait office de frein à main (surtout avec un dénivelé important). 
  • R (Reverse) : correspond à la marche arrière
  • N (Neutral) : le point mort (vous êtes donc en roues libres)
  • D (Drive) : marche avant (les vitesses se passent toutes seules). Sur de long trajet, n’hésitez pas à utiliser le « Cruise Control » (régulateur de vitesse).

Les autres modes L ou S peuvent être un mode manuel, souvent sur des SUV 4×4. Utile lors de routes de montagnes (enneigées) ou de la piste (sable).
Pour démarrer, appuyez sur la pédale de frein, passez le mode D, désactivez le frein à main et c’est parti !

Formalités

Tout comme pour la moto, le permis français suffit pour faire une location de voiture aux USA (du moment que votre séjour ne dépasse pas les 3 mois). Vous pouvez si vous le souhaitez faire un permis international en préfecture, mais il n’est pas obligatoire. Il facilite seulement les échanges avec les autorités qui ainsi, trouvent plus facilement les informations qui les intéressent. Il peut également servir de pièce d’identité pour prendre un verre, acheter des cigarette ou autres.

La ceinture de sécurité

Elle est obligatoire (Buckle up. It’s our law) pour tous les passagers du véhicule. Il est également interdit de téléphoner au volant (comme en France, en somme).

Sur Autoroute ou voie rapide

Le routes américaines sont plutôt en bon état et agréables à rouler, donc pas d’inquiétude vous vous y ferez très vite 😉. Tout comme pour les motos, nous vous conseillons sur les interstates, de conserver votre place dans la voie du milieu. Cela vous évitera de vous retrouver dans une voie où la sortie est obligatoire (exit only) ou bien une voie réservée au covoiturage (carpool lane ou HOV lane, le plus souvent la voie la plus à gauche). Et même en voiture, les camions américains peuvent être impressionnants. Comme ils se placent le plus souvent dans la voie de droite, ils seront donc moins perturbants pour vous. Et pas d’inquiétude, vous ne générez personne puisque aux USA on double aussi bien par la gauche que par la droite !

Le stationnement

Pour s’éviter une contravention voir un tour à la fourrière, il est important de respecter les règles que nous vous avons indiqué dans notre précédent articles (La conduite aux USA :les règles de base). Quelques subtilités sont pourtant à rajouter, comme par exemple dans les rues en pente de San Francisco, où vous avez obligation de braquer vos roues vers le trottoir lors de votre stationnement, sous peine d’amende. Et bien garder en tête qu’on ne se gare jamais devant un panneau NO PARKING, si on veut revoir sa voiture au retour de son excursion.

Essence

Comme en France, les tarifs de l’essence varient d’un état à l’autre et d’une station à l’autre. Mais pas de façon très significative, donc pas a besoin de vous mettre en quête de la station la moins chère sur une partie de votre après-midi, cela reste bien moins cher qu’en France (surtout en ce moment) de toute façon. Comptez 3.50$ à 5$ le gallon (soit pour 3,785 L) selon le type de carburant. Pour vous aider dans votre choix à proximité, vous pouvez également utiliser les sites et applications qui vous permettent de trouver les stations les moins chers : GasBuddy Geico, Gas Guru, Fuelzee … Vous pourrez en profiter aussi pour faire une pause, tout comme nos stations d’autoroute, la plupart proposent à manger ainsi que de quoi faire quelques courses et bien sûr des toilettes toujours bienvenues. La plupart des voitures fonctionnent au Regular (mais référez-vous au manuel de votre véhicule, certains SUV peuvent fonctionner au diesel). Vous trouverez plusieurs formules (85, 88, 91 ou même 93), mais sauf mention contraire de la part du loueur, le moins cher fait très bien l’affaire.

Vous pourrez soit, prépayer votre plein en espèces en demandant une certaine somme directement au comptoir, (rendez vous dans la station et demandez : « Hi, I would like …$ on pump …, please ») ou bien payez directement par carte à la pompe (il s’agira de prêtez attention aux frais bancaires qui peuvent s’appliquer selon votre banque). En actionnant la petite gâchette sous la manette cela permet d’avoir une fonction « main libre », cela s’arrêtera automatiquement soit une fois le montant atteint soit lorsque le plein sera atteint.

Alcool au volant

Pas de tolérance pour les Américains de ce côté là. Le taux dans le sang est limité de 0.08 à 0.1g/L selon les états, autant dire à 0. Si vous ne respectez pas cette loi, vous risquez entre 3 jours à 6 mois de prison, et une amende de 400 à 1000$ et un retrait de permis. Donc plutôt salée comme addition.

Et voilà, vous verrez très vite que le pays a été fait et pensé pour se déplacer en véhicule, donc il est très facile de s’y adapter, pas vraiment qu’inquiétude de ce côté-là. Bien sûr, si il vous reste des interrogations, nous sommes là pour y répondre.

Maintenant que vous connaissez les subtilités de la conduite aux Etats Unis (voir notre article précédent), et que vous avez révisé votre code la route. Vous voilà fin prêt, mais comme on est aussi motardes et que dans la communauté il faut partager, voici toutes les conseils de conduite, pour profiter au mieux de votre road trip!

Formalités : permis

Pas d’inquiétude, pour les séjours de moins de 3 mois, le permis français suffit pour conduire une moto aux USA. Le permis international (qui n’est pas exigé) est en fait une traduction de votre permis de conduire, il ne remplace pas votre permis original. Cette traduction permet surtout aux policiers de mieux comprendre notre cher papier rose auquel ils ne sont pas habitués. Il est gratuit et se fait en préfecture, par contre les délais peuvent être un peu long surtout en ce moment et n’est pas valide à vie. Pour nos amis belge et suisse, ils sont payants. Pour ceux qui ont le nouveau format (carte), c’est encore mieux, ce format ressemble plus aux « driver’s licence » américain et déroute un peu moins les « policemen ». Il vous servira également d’ID (identification) pour prendre un verre, faire le check-in …

Le port du casque

Même si il n’est pas obligatoire dans tous les états, pour les américains, il le sera pour vous. Les assurances fonctionnent en fonction de votre permis: en France, le port du casque est obligatoire donc vous devez le porter pour être couvert. A savoir le port des gants est vivement conseillé mais seules les lunettes sont obligatoires à moto (nous vous conseillons d’ailleurs d’opter pour de bonnes lunettes de soleil, coupe-vent, sécurisées et ajustables).

Freinage et distances de sécurité

Pour ceux qui ne seraient pas habitués à conduire une américaine, on vous rassure, c’est comme le vélo 🙂 en revanche il faudra être vigilant pendant les manœuvres et au freinage. Il convient donc de garder ses distances, surtout si vous roulez en groupe. Petit rappel des signes et de leurs significations:

Trucks et placement dans les voies

Aux USA, on double aussi bien par la gauche que par la droite donc ne vous laissez pas surprendre !

Les camions américains sont beaucoup plus longs et beaucoup plus grands que nos traditionnels camions européens et peuvent impressionner, surtout quand ils sont juste à coté. Le mieux pour ne pas se laisser surprendre quand vous vous retrouvez sur une route à plusieurs voies est de rester sur la voie du milieu. Les camions se placent le plus souvent à droite mais peuvent être amenés à avoir une limitation de vitesse plus élevées que les véhicules légers ou motos. Souvenez-vous aussi de leurs angles morts, il vaut donc mieux garder une distance de sécurité avec eux, et essayer de rester visibles dans leurs rétros ou bien les doubler le cas échéant.

Stationnement

Pour une raison pratique pensez toujours à la façon dont vous allez repartir. Le mieux est encore comme en voiture, de vous garer en arrière. Ca tire sur les jambes et c’est clairement pas aisé parfois, mais finalement vous serez bien content après avoir marché quelques heures en ville ou dans les parcs de pouvoir repartir facilement…

Alcool au guidon

Les américains ne plaisantent pas avec ça : le taux dans le sang est limité de 0.08 à 0.1g/L selon les états, autant dire à 0. Et on vous conseille plutôt de respecter cette loi: vous risquez entre 3 jours à 6 mois de prison, une amende de 400 à 1000$ et un retrait de permis.

Essence

Aux Etats-Unis, vous avez globalement les mêmes types de carburant : le Diesel (peu utilisé sauf pour les camions, camping car ou très gros SUV), le 85 (ou regular), le 88, 91 et rarement le 93. A savoir également les tarifs affichés sont pour un gallon (soit environ 3,785 L) et ils différent d’un Etat à un autre (parfois de façon significative, le plus cher sera en Californie). Comment faire son plein d’essence ? Il faut, pour l’ouest américain, en majorité, d’abord aller prépayer (en espèces surtout pour éviter les éventuels frais bancaires sinon si la CB est acceptée et que vous n’avez pas de frais payer directement à la borne). Pour cela rien de plus simple, vérifiez le numéro de la pompe et demandez « Hi, I would like …$ on pump …, please », avec un s’il vous plait et un bonjour c’est toujours mieux 🙂. Globalement comptez un plein pour environ 15-30$, mettez toujours plus, vous irez récupérer le change au besoin. Ensuite, sélectionnez votre choix (le loueur demande du 91 normalement, vu la hausse des prix le moins cher fera très bien l’affaire), et appuyez sur « Push me »: il n’y a plus qu’à remplir votre réservoir (astuce : mettez la manette, bien à la perpendiculaire de la moto). En actionnant la petite gâchette sous la manette cela permet d’avoir une fonction « main libre », cela s’arrêtera automatiquement soit une fois le montant atteint soit lorsque le plein sera atteint. A savoir: il y a quelques sites et applications qui vous permettent de trouver les stations les moins chers : GasBuddy Geico, Gas Guru, Fuelzee … , sinon utilisez les applications de navigation comme  Waze ou Google Maps pour vérifier les prix de l’essence dans votre voisinage. Profitez-en également pour faire une pause, quelques courses (déjeuner rapide, sandwich, hotdog, boissons énergisantes en cas de forte chaleur …), elles font aussi souvent office de supérette avec des WC.

Vous voilà prêt à affronter les routes américaines en tout sérénité, même si on restera toujours là pour vous prodiguer nos derniers conseils personnalisés & avisés avant votre départ, d’ici là nous restons à votre disposition, si besoin !

Ça y est LE roadtrip aux Etats-Unis tant rêvé et si minutieusement planifié, se rapproche ENFIN, vous vous interrogez dorénavant sur la conduite aux Etats-Unis ?
On vous rassure les règles de conduite sont sensiblement les mêmes qu’en Europe, on vous précise ci-dessous les subtilités à connaitre. La conduite se fait à droite et de manière générale est plus « relax » qu’en France (compte tenu des longs trajets qu’ils sont amenés à faire les américains roulent tranquillement) vous constaterez qu’ils respectent le code de la route (il y a toujours des exceptions, évidemment), la politesse, le respect sont de rigueurs et rares sont ceux qui klaxonnent. Suivez notre FAQ pour en savoir plus :

1.Comment conduire aux USA ?

Règle de base sur la route:

C’est souvent le premier conseil donné aux conducteurs néophytes : Attention aux feux de circulation. Vous avez l’habitude de vous arrêter quasiment au pied du feu, parfois quelques mètres avant s’il y a un sas vélo. Aux Etats-Unis, les feux sont de l’autre côté (ou au-dessus) de l’intersection. Si vous vous arrêtez au pied du feu, vous serez donc au milieu de l’intersection !

Le « No Turn on red » : il peut être autorisé (sauf mention contraire comme ci-contre) de tourner à droite même si le feu est rouge (à condition de marquer un arrêt et de ne gêner personne).

Les panneaux Stop et intersections : la règle est simple: premier arrivé, premier qui passe. Si vous arrivez à 2 véhicules en même temps, la courtoisie fait la différence.
Si deux véhicules se font face et souhaitent tourner à gauche, au lieu de tourner autour d’un rond imaginaire comme en Europe, elles se passent devant, allant au plus court (à l’indonésienne). Dernier cas de figure le panneau YIELD, qui correspond à notre panneau de céder le passage (c’est quasiment le même panneaux que chez nous, mais triangle est inversé).

Priorité à droite : elle est très rare aux USA, elle sera le plus souvent indiquée par un panneau stop ou un feu.

Sens unique: Attention, les rues en sens unique sont nombreuses en ville et n’ont pas de panneaux sens interdit comme en France ou en Europe, il faut donc bien repéré le panneau avec la flèche indiquant le sens de circulation.

Passage piéton: il est obligatoire de ralentir sa vitesse et de s’arrêter pour céder le passage aux piétons (qui sont, on vous le rappelle, prioritaires). D’ailleurs, vous pourrez voir parfois le mot « Xing Ped » peint sur la route, à traduire par « Pedestrians Crossing » signifiant que la priorité est donnée aux piétons qui traversent la route. Le non- respect de cette régle peut vous couter cher, l’amende s’élevant à plus de 200$.

Autobus scolaires: il est STRICTEMENT INTERDIT de les doubler quand ils sont à l’arrêt et qu’ils déposent des enfants. Si le bus a allumé ses feux clignotants, que vous soyez dans le même sens ou bien dans le sens inverse, vous devez obligatoirement vous arrêter à plus de 5 m de l’autobus.

Ce panneau indique un passage à niveau, il s’agit de bien y être attentif car la plupart de ces passages n’ont pas de barrière. Même si les conducteurs de train signalent leur arrivée en « sifflant », soyez toujours prudents avant de croiser une voie ferrée.

Sirène: arrêt obligatoire et immédiat. Si une voiture de police vous suit avec les gyrophares et sirènes allumés, arrêtez-vous immédiatement sur le bas-côté et laissez vos mains en évidence.

Dans la plupart des états, les véhicules d’urgence (avec sirènes hurlantes et lumières) ont une priorité absolue. Si l’un de ces véhicules (pompiers, forces de l’ordre ou ambulance) arrive, vous devez impérativement vous arrêter et vous ranger sur le bas côté ou sur la droite. Qu’il soit dans votre voie ou dans celle d’en face.
Si vous voyez un véhicule de police en intervention même loin devant vous et sur la bande d’arrêt d’urgence, il vous est demandé de laisser une voie d’écart (si c’est possible, bien sûr) pour éviter un accident.
Si vous ne respectez pas ces règles, vous vous exposez à une amende (plutôt salée d’ailleurs).

2. Comment me repérer facilement aux USA ?

Le territoire américain a surement le réseau routier le plus important qui se constitue :
=> d’Interstate Highway (désignée « I »)  autoroutes inter-états,
=> United States Highway (indiquée en « US ») autoroutes et routes secondaires,
=> States Highway (usuellement la contraction de l’état ex pour Utah UT),

Elles sont clairement indiquées et sont identifiées par des N° accompagnés d’un point cardinal (Nord => North, Sud => South, Ouest => West et Est => East) ou simplement la première lettre.
A savoir : Les Interstates qui portent un numéro pair vont d’est en ouest, celles qui portent un numéro impair vont du nord au sud. L’ensemble est numéroté dans un ordre croissant en allant vers l’est et le nord. Les itinéraires nord-sud commencent sur la côte Ouest avec la I-5 et s’achèvent sur la côte Est avec la I-95. L’itinéraire est-ouest le plus au sud est la I-4 en Floride, le plus au nord est la I-94, qui relie le Montana au Wisconsin. Les numéros à trois chiffres signalent les branches d’interstate (par exemple, la I-285 est une branche de la I-85). Il s’agit souvent d’une bretelle de contournement d’une grande agglomération.

Le numéro de sortie d’une autoroute se situe complètement en haut (centré ou à droite). Il sera par exemple indiqué “Exit 42”, qui correspond au nombre de milles parcourus sur l’autoroute. Si par exemple, vous devez prendre la sortie 42 et que vous passez devant la sortie 32, il vous reste 10 miles à parcourir (utile pour bien anticiper). Attention, sur la voie de droite « Exit Only » ou « Right lane must turn right », vous obligent à prendre la sortie, si vous le réalisez trop tard, évitez les changements de voies brusques, les américains n’y sont pas habitués, au pire vous la récupérez un peu plus loin, rien de bien grave. Il peut y avoir également one car at a time, c’est-à-dire un feu vert ou rouge pour fluidifier l’insertion sur une route à voie rapide (autoroute ou route secondaire).

Les routes payantes ( “toll roads”, « tollway » ou “turnpike”) : 95% des routes sont gratuites aux USA, à savoir les péages sont majoritairement à l’est (et particulièrement en Floride) elles peuvent être indiquées comme suit : Turnpike/ Parkway/Thruway/Bypass/Beltway/Tollway.
Comment payer : déjà dans la mesure du possible, évitez-les (merci à notre GPS et sa fonction éviter les péages) sinon, soit en payant en amont (ex : Golden Bridge), en prévoyant des espèces le Jour J (ex : Bay Bridge toll, en arrivant sur San Francisco via I-80; les autres ponts seront payants aussi, prévoir 4-6$), sinon par lecture de plaque (dans ce cas c’est la compagnie de location qui recevra la note et vous débitera directement sur votre CB). Ou via un télépéage, il est recommandé par exemple pour la Floride (Sunpass).

Enfin, il y a également les voies express Expressway ou Fast line => qui peuvent être payantes (le tarif est indiqué en $) vous serez flashé et idem le centre de location recevra la facture qu’il vous débitera ou vous renverra (avec généralement leur frais en sus).

A ne pas confondre avec les Carpool lanes (appelés aussi HOV lanes), voie réservée aux  véhicules avec plusieurs passagers (carpool généralement 2 et + sinon c’est indiqué 3+, 4+ …). Usuellement à gauche, elles permettent de désengorger les freeways bondées d’américains seuls et poussent donc au co-voiturage. PS : pour les motards c’est indiqué si vous pouvez les emprunter, même seul.

3. Comment se garer ?

Comme en Europe l’arrêt et le stationnement se fait sous certaines conditions, interdiction de stationner devant :
– entrée/ sortie de garage / parking ou panneau interdit
– autoroute
– trop près d’un passage piéton, d’un arrêt de bus ou d’une intersection.
– sur les lignes diagonales
– dans un tunnel
– sur un pont
– en double- file
– à contre sens de la circulation
– devant une borne incendie ou une caserne de pompiers.

Tout manquement à ces règles vous expose de manière quasi systématique à une contravention voire à un tour à la fourrière.

En agglomération, certaines règles spécifiques sont indiquées soit par des panneaux, soit par la couleur des bordures :
 – vert : parking autorisé pour un temps limité (indiqué sur le panneau).
jaune : arrêt uniquement pour chargement/déchargement (livraison) mais peut également signifier stationnement interdit.
blanc : arrêt minute pour déposer une personne ou récupérer quelqu’un
rouge : interdit (souvent fireline, accès pompier …).
bleu : autorisé mais souvent pour personnes handicapées.
Il y a également des règles concernant les bouches à incendie. Il est Interdit de se garer devant (ce qui est considéré comme une grave infraction à la loi) et, il faut également laisser 5m. Idem pour les angles de rues : interdiction de se garer trop près d’un angle. Mais la distance diffère suivant les états. Souvent, un marquage sur le trottoir permet de matérialiser cette distance.

Pour le parcmètre, ayez toujours des quarters (25 cents) sur vous ou bien téléchargez l’application paylib (ou autre) pour gérer avec votre smartphone. Attention à la saisie, si cela doit être votre plaque d’immatriculation, en cas d’erreur, vous devrez tout de même régler l’amende pour défaut de paiement. Particularité à San Francisco, dans les rues en pente il faut orienter ses roues vers le trottoir.

Si vous avez un doute demandez à quelqu’un de vous guider ou dirigez-vous vers un parking public ou payant pour quelques $ de plus, vous serez tranquille.

4. Quelles sont les limitations de vitesse ?

Comme vous le savez sans doute les USA ne comptent pas en KM/H mais en miles/ heure -> MPH, il est en de même pour vos compteurs sur les véhicules. Sur les routes les limitations vont de 20 miles/h (30 km/h) à 70 miles/h (113 km/h). Le plus simple est de suivre les panneaux qui vous donnent la vitesse maximale à respecter (les panneaux blancs sont les limites de vitesse, les panneaux jaunes la vitesse recommandée). En générale, la vitesse est de 25mph (40km/h) en ville, 55 mph (88km/h) sur les routes et 65mph (105 km/h) avec une dérogation à 70mph (113km/h) sur les interstates traversant les zones rurales. La vitesse maximale de tout le pays se trouve au Texas avec 85 miles par heure (137 km/h) sur la Texas State Highway 130. 

Quelle que soit la vitesse indiquée, nous vous conseillons fortement de la respecter : 1- vous ferez des économies de carburant, 2- vous éviterez une contravention. Les radars et les policiers américains, très efficaces sur ce point, laissent peu d’excès de vitesse impunis (et ils savent très bien se cacher). Parfois, vous verrez également des vitesses minimales à respecter ou des vitesses de nuit. A savoir, les poids lourds peuvent avoir une limitation de vitesse différente et plus importante.

Vous voilà fin prêt pour affronter les routes du territoire américain ! Même si le code de la route peut différer d’un état à un autre, vous avez ici les grandes constantes qui vous permettront d’aborder tranquillement et sereinement votre road trip.

On vous en déjà parlé il y a quelques temps déjà pour vous le présenter, le Yosemite National Park est un des joyaux de la Californie (vous pouvez retrouver notre article ici). Et maintenant que l’on peut à nouveau voyager, et le découvrir de ses propres yeux, il y a quelques subtilités à connaître avant de s’y engager. Mais comme d’habitude, votre super équipe est là pour vous donner tous les renseignements nécessaires:

Un point névralgique de votre road trip dans l’ouest américain

Yosemite reste un incontournable d’un road trip dans l’ouest. Tout simplement parce que le parc abrite le fameux Tioga Pass avec l’une des routes les plus importante de la Sierra Nevada. Elle vous permet, non sans vous offrir des paysages à couper le souffle, de traverser ces montagnes sans devoir en faire le grand détour. Et on vous le dit assez souvent les détours aux USA peuvent vite s’avérer longuets, et dans cette partie des USA il est vivement déconseillé de rouler de nuit. Il s’agit donc d’anticiper le passage par cette route ou non à la construction de votre road trip. Car oui, la subtilité est qu’elle n’est pas ouverte à l’année! En raison de son altitude élevée (plus de 3030 mètres, tout de même!), elle est recouverte de nombreux mois par la neige et donc souvent fermée à la circulation. Elle ouvre en générale de (fin) Mai à (début) Novembre, retrouvez ici ses dates d’ouverture et fermeture les années passées. A noter qu’en 2023 en raison de neiges abondantes en hiver, elle n’a ouvert qu’ à la fin juillet !

A savoir pour profiter de votre voyage à Yosemite

Edit 2024: suite à une affluence record en 2023, les autorités ont décidé de remettre en place le système de réservation pour entrer sur le parc. On vous explique tout ici 👇

En 2024, il vous faudra donc faire une réservation pour l’emprunter. En effet, afin de réguler les entrées dans le parc et décongestionner certaines zones prise d’assaut, les autorités ont remis en place un système de réservation pour entrer dans le parc (comme à Arches Park, dont on vous a déjà parlé ici ) ou même juste le traverser. La période de restriction s’étend entre le 13 Avril et le 27 octobre (soit pendant toute la haute saison), pour toute entrée entre 05h du matin et 16h. Avec toutefois la petite subtilité suivante:

  • du 13 avril au 30 juin : réservation obligatoire de 5h à 16h, les samedi, dimanche et jours fériés (27 mai et 19 juin)
  • du 1er juillet au 16 août : réservation obligatoire de 5h à 16h, tous les jours 
  • du 17 août au 27 octobre : réservation obligatoire de 5h à 16h, les samedi, dimanche et jours fériés (2 septembre et 14 octobre)

Cette réservation vous permet de profiter du parc pendant 3 jours consécutifs, pour information.

Dans les faits, ce système de réservation sera disponible dès le 05 Janvier 17h (heure française) sur le site Recreation.gov . A cette date, l’intégralité des créneaux seront ouverts, et la vente restera en ligne jusqu’à ce que tous les créneaux soient vendus, si d’autres créneaux sont amenées à être disponibles (en cas de désistement ou autre) ils seront mis à la vente une semaine avant. Contrairement à Arches Park, par contre, vous n’aurez pas à réserver de créneau horaires, la réservation est valide pour toute heure entre 05h et 16h ou (nouveauté de cette année) seulement pour l’après midi (à partir de 12h). Le prix de la réservation est de 2$ par véhicule (que ce soit pour une voiture et tous ses occupants ou bien pour une moto, si vous êtes plusieurs en moto, il vous faudra faire une réservation par véhicule.) Le jour J préparez votre pièce d’identité et la preuve de votre réservation. Si vous n’avez pas de réservation, vous pourrez toujours traverser la Sierra Nevada en empruntant le Sonora Pass, mais ça vous fera faire un joli détour et ne vous permettra pas de profiter des sites de Yosemite.
Note vous n’êtes pas obligés d’attendre le 05/01 pour vous créer un compte, vous pouvez le faire dès à présent et ainsi être dans les starting-blocks pour faire votre réservation le Jour J

Pour profiter de votre séjour au maximum dans le Yosemite National Park.

La fameuse Glacier point Road, est enfin réouverte après près de 2 ans de travaux. Ceux-ci étaient nécessaires pour retravailler la route qui datait de 1936. Vus avez de nouveau accès à la superbe vue sur Glacier point (donc sur le Half Dome et la vallée), mais cela ne semble pas avoir régler le problème des parkings, il vous faudra donc prendre votre mal en patience…

Vous voilà fin prêt pour profiter de ce bijou naturel immanquable dans un road trip faisant la jonction en San Francisco et la Death Valley. Et si vous le retrouvez dans la plupart de nos circuits, c’est bien qu’il y a une raison !

Parce que vous n’avez pas forcément envie de faire le même voyage que « Mr et Mme Tout le Monde » … Nous avons développé il y a de nombreuses années déjà, LA solution pour adapter son voyage à ses envies, besoins et budget : le sur-mesure (de quoi personnaliser l’intégralité de votre projet). Bref, un voyage qui vous correspond totalement. Et rien de mieux que de choisir un spécialiste pour construire avec vous le meilleur des voyages ! Alors pourquoi choisir cette formule ?

Pour la tranquillité 🧘‍♀️

On ne le sait que trop, créer un voyage sur-mesure demande de l’organisation et beaucoup de recherches : réserver le vol, choisir les bons hôtels et activités à faire, mais c’est surtout le choix de l’itinéraire et des étapes qui sont déterminantes pour votre road trip (sans oublier la location de la moto et ses assurances), bref cela peut devenir un vrai casse-tête. Et surtout si vous l’organisez pour un groupe! En passant par une agence de voyage spécialisée, à vous la tranquillité et la sérénité! Et cela ne vous coutera pas plus cher, les tour opérateurs ont le volume pour négocier des tarifs avec leurs prestataires sans que cela impute forcément votre budget. Vous profitez donc d’un accompagnement de A à Z sans casser votre tirelire!

Pour la liberté 👌

Vous voici prêt à vivre votre voyage, celui qui vous correspond pleinement ! Une fois que vous avez déterminé ce que vous souhaitez faire et voir lors de votre road trip, nous revoyons chacune de vos étapes avec vous, en détails, pour vous apporter notre expertise et les meilleurs conseils afin de préparer au mieux votre voyage. En somme, créer le road trip le plus adapté à vos envies & besoins.

Pour voyager en tout autonomie ✈️

Si vous ne souhaitez pas suivre un groupe et dépendre des horaires des autres participants, c’est la formule idéale. Vous souhaitez faire une grasse matinée sur l’une de vos étapes ? Ou bien rester plus longtemps sur un site? Ce sont des choses qui peuvent être intégrées à votre séjour, pour le construire d’autant plus à votre image. Une liberté et une autonomie pour vivre vos propres expériences. A savoir, nous pouvons bien évidemment également vous proposer une formule accompagnée sur-mesure lors de la privatisation d’un guide-accompagnateur.

Pour l’expertise d’un spécialiste 🕵️

Une road trip moto ne se construit pas comme un voyage en bus, camping-car ou même voiture. Les étapes doivent être bien équilibrées et vous permettre de faire des pauses au besoin. On le sait bien, à moto on est beaucoup plus tributaire de la météo qu’en voiture et c’est à prendre en compte. Avec un avis d’ expert, vous serez guidé dans cette démarche et votre road trip sera entièrement dédié à vos besoins et attentes spécifiques. Comme il connait très bien la destination, il vous permet d’ éviter les visites « attrape-touriste » pour vous proposer une alternative plus authentique et plus proche de la population locale. De plus, il vous prépare un carnet de voyage sur mesure en corrélation avec vos envies (suite à de nombreux échanges pour apprendre à vous connaitre et ajuster ainsi ses recommandations). Une façon totalement différente de voyager !

Voilà vous avez toutes les cartes en main pour prendre une décision. Etes vous plutôt formule accompagnée (dont vous retrouvez les avantages ici), formule mototour (ou autotour) ou sur-mesure? ( vous pouvez également retrouver le récapitulatif de ces formules ici). Si votre cœur balance encore, vous pouvez aussi nous contacter ou bien prendre rendez-vous à l’agence (avoir un interlocuteur en face, c’est encore plus conviviable) pour que l’on vous aide à faire votre choix.

Après votre étape magique à Page, vous en voulez forcément encore. Plus que quelques miles et vous voilà en Utah. Un état dont on tombe facilement amoureux tellement il regorge de trésors et de parcs à découvrir! Une nature sauvage, majestueuse et remplie de routes scéniques, bref un pur bonheur ! Et pour vous donner l’eau à la bouche, petite présentation des parcs que vous pourrez découvrir, et qui doivent forcément figurer dans vos road-trip! En partant de Moab :

Arches National Park

Après un arrêt OBLIGATOIRE à Monument Valley (il y a tellement à dire sur cette merveille en territoire Navajo qu’on vous fera un article dédié), vous rejoignez à nouveau le Colorado (le fleuve pas l’état, bien sûr) pour entrer dans la sympathique ville de Moab. Car c’est la porte d’entrée pour les 2 superbes parcs suivants. Commencez par Arches qui possède la plus grande concentration d’arches naturelle au monde! (près de 2000). Vous pourrez les découvrir soit depuis la selle de votre monture, soit en vous engageant sur l’un des nombreux sentiers que compte le parc. Une route panoramique dessert tous les principaux secteurs du parc. Park Avenue, Les Trois Commères, Double Arch, Delicate Arch… autant de noms évocateurs à découvrir ou à redécouvrir puisqu’on ne s’en lasse pas. La route scénique qui traverse la parc vous offre 29km de paysages sculptés par la nature. Ne manquez pas le secteur « The Windows » avec la magnifique Double Arch que vous avez forcément déjà vu. Mais si vous savez, dans « Indiana Jones et la dernière croisade », revoyez le tout début du film (quand Indiana est encore enfant) et vous verrez Arches dans toute sa splendeur !

L’affluence augmentant d’années en années et pour protéger le site, il faut maintenant il faut obligatoirement réserver pour visiter Arches Park (2$) entre 6 heures du matin et 16 heures (en haute saison d’avril à octobre). Les places sont ouvertes 3 mois à l’avance (le 1° de chaque mois) et sur le principe du premier arrivé / premier servi, il ne faut donc pas le rater !
Le plus simple pour faire la réservation est de vous créer un compte et de vous connecter sur le site Recreation.gov. et choisir le créneau horaire qui vous convient. Vous avez une heure pour rentrer dans le parc mais pas de panique, vous pouvez y rester autant de temps que vous le souhaitez ensuite et même sortir et rerentrer dans le parc si vous souhaitez.
Le parc est ouvert 24h/24, du coup on vous préconise d’arriver sur le parc plutôt en fin de journée, vous éviterez la foule et profiterez des belles couleurs du sunset pour vos photos !
C’est le parc le plus proche de Moab à seulement 5.5 miles.

Canyonland National Park

Canyon, arche, rivières, cratère… On retrouve à peu près tout à Canyonland! Le parc, assez grand il faut se l’avouer, est divisé en 3 parties : Island In the Sky (tout un programme), The Needles et the Maze, mais vous n’aurez sans doute pas le temps (ou l’équipement, puisque sans 4×4 impossible de rejoindre le dernier secteur) de tout faire. Alors concentrez-vous sur le secteur d’ « Island in the sky » qui propose déjà de belles surprises: vues imprenable sur le canyon, Mesa Arch ou encore cratère sont à portée de main. Une route panoramique vous permet de rejoindre les principaux points de vues depuis le Visitor center, il vous faudra parfois marcher un peu pour atteindre les sites, mais ce sont des randonnées faciles et facilement accessibles.

Même si vous êtes très motivé, vous ne pourrez pas faire les 3 parties en une seule journée, les canyons et rivières formant des barrières naturelles infranchissables. Pour découvrir un maximum du parc, vous pouvez également prendre l’une des nombreuses excursions en 4×4 proposées.
Le parc est à environ 33 miles de Moab, compter 45 min à 1h pour rejoindre le Visitor center d’Island in the Sky .

Dead Horse Point State Park

En route pour Canyonland, un petit State Park vaut le détour. Il ne fait pas parti du Pass « America is beautiful » mais vaut bien les 10$ d’entrée. Même si il est à proximité de canyonlands, il offre tout de même des points de vues différents, notamment sur les méandres du Colorado. Son nom « Dead Horse Point », littéralement point du cheval mort, pas très engageant, viendrait d’une légende selon laquelle la mesa était utilisé par les cowboys comme un enclos naturel, pour une raison inconnue, ils seraient morts de soif alors que le Colorado n’étaient qu’à quelques km. Une route scénique de 6 km vous permet d’admirer les principaux point de vue, pour les autres il faudra prévoir de randonner. Avant de rejoindre le parc à proprement parlé, la UT-313 vous offre déjà de très beaux points de vues. Et puis, vous vous souvenez de la fin de « Thelma et Louise » ? Voilà la vue que vous pourriez retrouver, ça donne envie, non? (cherchez Fossil Point une fois dans le parc, mais n’essayez pas de reproduire la scène😉)

A noter, si vous êtes en 4×4, plusieurs pistes s’offrent à vous pour combiner les parcs, comme par exemple la Potash Road qui rejoint Dead Horse Point et Canyonlands.

Et ce ne sont là que les principaux, car Moab, est vraiment le point de départ de nombreuses routes scéniques, comme la UT 128 qui longe Arches Park et le Colorado et vous offre la possibilité de rouler au cœur d’un canyon, de sorties en 4×4, de sorties en rafting sur le Colorado. De nombreuses activités sont possibles sur Moab, qui comme Page , se trouve au cœur d’une concentration de parcs plus beaux les uns que les autres.

Les frontières ont réouvert depuis novembre dernier et le resteront, vraisemblablement pour 2022. Destination toujours très largement plébiscitée, on sent bien que ça vous démange de repartir sur les routes américaines. Mais vous hésitez encore ? Lequel choisir parmi nos 25 circuits proposés ? Pour vous aider, voici le TOP 5 des road trips incontournables (donc à faire au moins une fois) aux Etats-Unis.

1- Le « BEST OF THE WEST TOURS »

LE condensé des parcs nationaux de l’Ouest Américain, 19 jours répartis sur des étapes moyenne de 350km par jour, pour profiter au maximum de votre road trip ! Vous y découvrirez, entre autres:

  • Les villes de: Los Angeles, Las Vegas et San Francisco,
  • Les grand classiques des parcs américains: Grand Canyon, Monument Valley, Vallée de la Mort et Yosemite ainsi que Arches Park, Canyonland, Zion et Bryce Canyon (pour ne citer qu’eux),
  • Les moins connus: Capitol Reef, Joshua Tree National Park, Goblin State Park, Dead Horse Point, Alabama Hills…
  • Tronçons de la légendaire Route 66.

Les + AMT: un petit kilométrage pour profiter pleinement des merveilles de l’Ouest, la découverte de petits parcs d’état ou sites peu connus, une nuit au cœur la Vallée de la Mort et 2 nuits sur San Francisco en fin de séjour pour découvrir au mieux la plus européenne des villes américaines !

Prochain départ en formule accompagnée : du 14 Mai au 01 Juin 2022

2- Le « ROUTE 66 TOURS »

LA traversée mythique des USA en 16 jours ! Un parfum de nostalgie sur près de 4000km pour revivre les grandes heures de la « Mother Road » : le rêve pour tout motard !

  • Le véritable tracé de Chicago à Los Angeles,
  • Des étapes adaptés à un road trip moto,
  • Traversée de 7 états (vous découvriez pas loin de 14% du territoire américain en un seul voyage),
  • Une immersion totale dans une Amérique authentique,

Les + AMT: nuit possible dans un véritable motel des années 50, un guide amoureux de la 66 qui saura toujours vous remettre sur la « sixty-six » et vous faire partager tous ses secrets.

Prochain départ en formule accompagnée : du 16 Juin au 01 Juillet 2022

3- Le « ROUTE DU BLUES TOURS »

Road trip moto sur 15 jours, pour un voyage à travers le temps, aux racines de ce « blues » que l’on aime tant. Un itinéraire musical au départ de la Nouvelle Orléans pour suivre la migration de ces pionniers qui ont marqués l’histoire de la musique à travers le monde!

  • Respect du sens historique : Nouvelle Orleans -> Chicago,
  • Découverte des sites majeurs de la naissance de ce courant musical,
  • Deux autres routes légendaires : étape sur la mythique « Natchez Trace Parkway » et la fameuse « Route 66 »,
  • Soirées dans les meilleurs « juke joint », concert live quasiment chaque soir …

Les + AMT: visite possible dans les bayous, ou plantations créoles, vie nocturne incontournable à New Orleans (2 nuits), Memphis (2 nuits) pour vraiment vous imprégner de ce berceau de la musique américaine, tout comme à Nashville. Petit détour par la distillerie Jack Daniel’s, une culture riche emplie d’authenticité.

Prochain départ en formule accompagnée : du 24 Avril au 08 Mai 2022

4- Le « ROCKY MOUNTAIN TOURS »

Cap sur le Far West de l’ouest américain. Partez sur les traces de Buffalo Bill, Calamity Jane et autres grands noms légendaires qui ont marqué l’Histoire. Un itinéraire en 17 jours pour les amoureux des grands espaces et des routes sinueuses, en plein cœur des Rocheuses.

  • Parcs : Yellowstone, Rocky Mountain, Badlands et Grand Teton National Park,
  • Sans oublier le Mont Rushmore, le Crazy Horse Memorial ou encore le Devil’s Tower National Monument,
  • Des routes panoramiques à plus de 3700m d’altitude pour des points de vue à 360°,
  • Des villes datant de la ruée vers l’or encore dans le jus.

Les + AMT: nuits dans des hôtels historiques ayant vu passer les fines gâchettes de l’ouest, une nuit en plein cœur du paysage lunaire des Badlands et de superbes lacets, un must pour un biker.

Prochain départ en formule accompagnée : du 16 Juin au 02 Juillet 2022

5- Le « BLUE RIDGE TOURS »

Une découverte des Appalaches de la Virginie au Tennessee au travers des plus belles routes scéniques de l’ Est américain. Un retour au temps des pionniers et des premiers colons.

  • Appalaches : Skyline Drive, Blue Ridge Parkway, et la mythique Tail of the Dragon (318 courbes et virages sur 18 km!)
  • Parcs : Shenandoah National Park, Great Smoky Mountains National Park (parc le plus visité des USA),
  • Visite de la capitale américaine Washington, DC ainsi que de Nashville (capitale de la Country),
  • Halte à la légendaire distillerie Jack Daniel’s

Les + AMT: Plus de 1000 km sur les plus belles routes panoramiques de l’est, 2 nuits sur Washington & Nashville, étape en plein cœur du territoire indien Cherokee, sans oublier la musique qui vous accompagnera tout le long de votre voyage. Le tout en « hébergements atypiques » (biker ou intimiste :B&B / guest house ou encore historique).

Prochain départ en formule accompagnée : du 17 Septembre au 01 Octobre2022

En BONUS : NOS EVENTS

Incontestablement incontournable pour chaque motard(e), et donc hors catégorie (impossible de leur assigner une place) nos évènements sont une expérience en soit, au-delà de la zone géographique concernée. Voyager lors d’une concentration moto aux USA est une occasion unique de vivre un rassemblement, le plus fou, le plus intense qu’il ne vous sera jamais donné. Voici une liste non exhaustive (à étudier au moins 1 an avant le départ) à intégrer à vos road trip moto, ou même au cœur de votre voyage à moto :

  • Daytona Beach Bike Week :on vous en déjà largement parlé dans nos précédents articles (ici & ici), en Mars à combiner avec les plages & parcs de Floride.
  • Republic of Texas Motorcycle Rally, à Austin au début du mois de juin, l’occasion rêvé pour y aller lors de notre Texas Tours,
  • Laconia Motorcycle Week, (rappelez-vous notre article ici) mi-juin à Laconia dans le New Hampshire, d’ailleurs notre programme New England Tours y passe !
  • Sturgis Rally: (là encore on vous a déjà fait un article sur l’événement ici) deux formules en 14 ou 17 jours pour allier la découverte des plus beaux sites des Rocheuses et des Blacks Hills, à la folie de ce rassemblement hors normes! (début Août).
  • Las Vegas Bikefest comme son nom à l’indique à Las Vegas vers la fin septembre, à coupler avec n’importe lequel de nos circuits sur l’ouest américain!
  • Lone Star Rally, un autre rassemblement au Texas mais à Gavelston cette fois (début Novembre), c’est également une étape du Texas Tours.
  • Biketoberfest: si vous avez manqué le rassemblement de Mars, voilà une occasion de vous rattraper, également à Daytona à la mi-octobre.

Et voilà, vous êtes paré pour faire votre choix, même si bien sûr vous ne trouvez ici qu’un tout petit aperçu de ce que les USA peuvent offrir.  De nombreuses pépites, moins connues (donc potentiellement une fois les incontournables visités) peuvent être ajouter à votre liste: la Floride (Florida Tours), l’Alabama (Heart of Dixie Tours), la côte Est (Nouveau Monde Tours et New England tours), l’Oregon (Pacific Coast Tours)… Sans oublier nos dernières nouveautés, le Texas (Texas Tours), l’Arizona (Arizona tours) et la Géorgie (Great South Tours). Le tout à découvrir ou redécouvrir sur notre site! Evidemment, on vous le rappelle, notre force est d’être en mesure de pouvoir personnaliser l’intégralité de votre itinéraire, contactez-nous pour un devis gratuit.

Page est une étape presque incontournable dans un road trip moto au cœur de l’ouest américain. Un halte bienvenue qui vous permettra de découvrir plusieurs merveilles naturelles. Alors en route pour découvrir tout ce que cette ville a à offrir:

Si en soit la ville n’a pas grand intérêt, elle est surtout un point de départ parfait pour plusieurs sites à visiter ou bien faire une pause baignade dans les eaux du Colorado. L’un des plus grands attraits est notamment sa proximité avec le fameux Antelope Canyon! Mais si, vous savez, ce canyon étroit, on ne peut plus « instagramable » aux couleurs chatoyantes. C’est d’ailleurs le N°1 de ce guide:

1- Antelope Canyon

C’est en fait un « slot canyon », un canyon étroit qui s’est formé par le ruissèlement de l’eau. Formé de 2 parties: le « Upper » et le « Lower », le site n’est pas visitable par soi-même. Il est au cœur du territoire Navajo et est par conséquent géré par la tribu ( il ne fait donc pas parti du Pass « America is Beautiful »), vous serez donc obligatoirement accompagné par un guide Navajo. Il n’existe aucun tour permettant de visiter en même temps les deux canyons, il faudra donc prendre un billet pour chacun si vous souhaitez en faire la visite. Ils sont en même temps assez semblables et pourtant différents. Voici quelques indices pour faire votre choix:

Upper Antelope Canyon : plus facile d’accès et les parois sont plus larges (avis aux claustrophobe), ce qui permet aux rayons du soleil d’y pénétrer aux plus hautes heures de la journée. Ces rayons rendent la visite encore plus féérique. Par contre, c’est un cul de sac, vous serez donc obligés de revenir sur vos pas (et de croiser ceux qui ont fait la visite avant vous) pour sortir. Le meilleur moment pour le visiter est quand le soleil est au zénith mais ce sont forcément les horaires les recherchées et donc avec le plus de monde. Le mieux est donc de le visiter le matin dans les premiers tours. Prévoir environ 1h30 à 2h, l’approche du site se fait en 4X4 (Pour 2022, en raison des mesures sanitaires, le retour ne se fait plus à travers le canyon mais par des passerelles en extérieur, ainsi qu’une marche d’environ 1,2 km pour rejoindre les 4×4, prévoir donc un peu plus de temps ).

Lower Antelope Canyon : est un peu plus aventureux. Vous y descendez à l’aide d’échelles et d’escaliers en fer, fixés à la paroi. Les parois sont également plus étroites, donc pas de faisceau lumineux (ou très peu)… Mais il est également moins couru que l’Upper, la visite est donc un peu plus tranquille. La visite se fait en sens unique, vous rentrez d’un côté et ressortez de l’autre. Prévoyez environ 1h de visite, elle se fait directement à pied.

A noter: en cas de pluie, les sites sont fermés en raison de crues possibles.

Le site est très demandé, surtout en été, il est donc indispensable de réserver en avance votre visite. Et surtout, n’hésitez pas à nous demander de l’ajouter à votre road trip moto!

2- Horseshoe Bend

Est-il encore nécessaire de présenter le fer à cheval le plus célèbre des USA? Il est seulement à quelques minutes de Page, donc impossible de ne pas aller y faire un tour! Ce méandre du Colorado, à la forme évocatrice et aux eaux vertes émeraudes est un site splendide. A découvrir au plus haut de la journée (le soleil magnifiant la couleur du Colorado) ou bien au coucher du soleil pour le jeu de couleur.

Depuis avril 2019, il faut payer 10$ (par voiture et 5$ par moto) pour accéder au parking et au site. Une plateforme est maintenant aménagée pour vous protéger d’une chute dans le fleuve quelques 340m plus bas ! Elle se trouve au milieu du fer à cheval mais pour les plus aventureux, les autres abords ne sont pas protégés, histoire de garder un peu de sauvage dans ce site majestueux.

Attention, il est interdit de stationner au bord de la US-89, si le parking est complet, il vous faudra revenir plus tard.

3- Le Lac Powell

Formé par la construction du barrage de Glen Canyon, le lac Powell est une attraction en soi. Faisant presque 300 kilomètres de long pour 650km², c’est le deuxième lac artificiel du pays. On y compte pas moins de 96 canyons, des grottes, des ruines amérindiennes, des îles et des formations rocheuses, dont la plupart sont inaccessibles depuis la terre ferme comme par exemple, le Rainbow Bridge National Monument que l’on ne peut voir qu’après avoir fait 2h de bateau. Une des plus belles vues sur le lac se situe au Wahweap overlook.

Le lac fait parti du Glen Canyon National Recreation Area qui propose toutes sortes d’activités pour profiter de la zone: jet-ski, location de bateau, survol en avion, en l’hélicoptère… Bref une ribambelle d’activités qui permettent d’avoir de très belles de vues sur les abords du lac. Auxquelles vous pouvez ajouter la visite du barrage en lui-même. Pour 5$, vous embarquez pour une visite de 45 min qui vous permettra de descendre 160 m plus bas pour prendre conscience de la bête ! (c’est bien sûr gratuit pour le voir et rouler dessus).

Là encore, vous pouvez ajouter ces activités dès la réservation de votre road trip, n’hésitez pas à nous demander conseils !

Vous n’avez là que les principaux sites à découvrir quand vous séjournez à Page, si vous avez un peu plus de temps sur place vous pouvez également sortir des sentiers battus, il y a à quelques miles de là de nombreuses pépites, peu connues qui ne demandent qu’à être explorer …

Quoi qu’il en soit Page garde une position privilégiée dans un road trip dans l’ouest, la ville se trouve à : 2h de Monument Valley ou de Zion National Park / 2h30 du Grand Canyon, de Bryce Canyon National Park ou du Canyon de Chelly. Un halte toute trouvée donc au milieu de ces merveilles!


On se pose toujours la question de savoir quels sont les documents requis pour voyager dans un pays. Alors pour vous aider dans vos recherches, nous avons créé LE guide des formalités à connaitre pour voyager aux USA. Voici les documents à présenter:

1. Avoir un passeport individuel biométrique ou électronique en cours de validité

Pas d’inquiétude, depuis 2010 les passeports sont forcément biométriques (sauf pour les ressortissants belges) : ils comportent le petit signe de la puce (un cercle dans un rectangle – signifiant qu’il est électronique) et sur le devant et le mot passeport est souligné (signifiant qu’il est biométrique). Il doit par contre être valide durant tout votre séjour.

Faut-il 6 mois de validité sur son passeport pour entrer aux États-Unis ? 
Non, ce n’est pas une obligation. La France et de nombreux pays ont passé des accords avec les États-Unis pour faire partie du programme d’exemption de visa. Afin de parer à toute éventualité, on veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis ou suffisant (généralement 3, dont 2 en vis-à-vis).

2. Remplir et avoir reçu l’autorisation ESTA

Depuis 2007, la France, ainsi que la Belgique, le Luxembourg et la Suisse sont exempté de visa pour se rendre aux USA. Il faut par contre, remplir une autorisation électronique de voyage (ESTA) sur le site officiel du gouvernement. Depuis le 26/05/2022, le prix est passé de 14$ à 21$ par personne (si un montant plus conséquent vous est demandé, vous n’êtes pas sur le site officiel). Il est valable 2 ans mais est lié à votre passeport et à sa validité. Si vous changez de passeport, vous devrez donc le refaire. Pour le remplir sereinement, nous vous avons préparé un manuel pas à pas pour bien remplir votre demande, suivez le guide ici.

Attention, si vous vous êtes rendu à Cuba depuis le 12 janvier 2021, il vous faudra faire un visa et non plus un ESTA. Les délais d’obtentions sont très très longs, il est donc important de s’y prendre bien en avance. Pour rappel, depuis 2015 vous devez également obtenir un visa si vous avez voyagé en Iran, Iraq, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et ou Yémen

NOMS A UTILISER POUR LES FEMMES MARIEES :
Les autorités américaines demandent aux ressortissants français d’utiliser leur nom tel qu’il figure sur leur passeport français. Les femmes mariées doivent donc renseigner leur nom de jeune fille. Si les personnes scannent leur passeport sur le site internet officiel de l’ESTA (nouvelle option), c’est le nom de jeune fille qui sera priorisé sur le document final. Pour éviter tout problème, nous demandons maintenant de nous fournir votre nom de jeune fille dès la réservation de votre dossier, ainsi les billets et l’ESTA coïncideront.

Nouveauté 2023: vous pouvez maintenant télécharger l’application ESTA sur votre mobile ou tablette pour remplir votre demande.

3. Avoir un billet aller-retour

L’autorisation d’exemption de visa vous engage à rester moins de 90 jours sur le territoire américain, vous devez présenter votre billet retour prouvant que ne resterez pas aux USA au delà de ce délais (qu’importe le lieu d’entrée ou de sortie).

4. Présenter une preuve de solvabilité

Cela peut vous être demandé par la douane à votre arrivée sur le territoire américain (bien que cela soit extrêmement rare). Vous devez être en mesure de présenter un moyen de paiement valide prouvant donc que vous pouvez subvenir à vos besoins sur place.

Pour information:

• Aux frontières terrestres (entre le Canada et les Etats-Unis, et entre le Mexique et les Etats-Unis), vous devrez maintenant être en possession d’un ESTA en cours de validité. La taxe de 6USD correspondant à l’autorisation I-94 est toujours demandée. Le formulaire I94 peut être rempli et payé au passage de la frontière, mais pour gagner du temps, il est conseillé de l’obtenir à l’avance en ligne à l’adresse suivante : https://i94.cbp.dhs.gov/

Location de véhicule aux USA

Le permis français suffit pour louer un véhicule aux Etats-Unis, il est à noter toutefois que si vous vous êtes en possession du nouveau format (format carte de crédit) la date de validité sur le recto de la carte ne doit pas être expirée. Dans ce cas faire une demande renouvellement sur le site de l’ANTS.

De plus, la plupart des loueurs de voiture exigent que le conducteur présente une carte de CREDIT. Surtout si votre location est d’une catégorie supérieur à l’intermédiate (SUV, 4×4 ou van par exemple).

Pour la location d’une moto, il est indispensable d’avoir un permis A (pour les permis récents en A2, il vous faudra passer la passerelle et obtenir votre permis avec la mention A, obligatoire, prenez en compte les délais) ainsi qu’une carte bancaire au même nom et prénom que votre réservation, permis et carte bancaire (pour la caution). Retrouvez notre article sur la location de moto aux USA ici. Nous nous tenons à votre disposition pour tout complément d’information.

Il est indispensable de s’interroger sur les assurances voyages (à ne pas confondre avec les assurances liées à la location). Il convient en premier lieu, de savoir si vous êtes couverts par vos propres assurances ? Nous sommes en effet, souvent assurés à de multiples reprises à travers nos différentes assurances obligatoires : transport, habitation… et surtout nos moyens de paiements (carte gold ou premier au minimum). Vérifiez donc vos contrats, il se peut qu’une assurance voyage y soit incluse. Dans ce cas, étudiez bien les conditions & garanties.

En effet, si vous réglez avec une carte bancaire (de type Visa Premier ou Mastercard Gold au minimum) pour bénéficier de celles-ci, nous vous conseillons vivement de prendre connaissance des garanties du contrat auprès de votre carte bancaire directement (soit via leur site internet, en communiquant votre N° de CB, soit en appelant au dos de celle-ci: service assistance – demander le tableau des garanties qui vous indiquera rapidement la plupart des informations), pour être sûrs que leurs conditions d’applications correspondent à vos attentes et besoins (notamment concernant : l’annulation, l’assistance [frais médicaux] et la couverture liée éventuellement au rapatriement ). Pour vous aider au mieux dans cette recherche (fastidieuse, avouons-le) voici un petit guide vous poser les bonnes questions :

  1. Que dois-je étudier en priorité ?
    L’annulation : compte tenu des montants élevés, il est vivement conseillé de s’assurer qu’en cas d’infaisabilité de voyage vous serez remboursés dans la quasi-totalité (une franchise s’applique souvent, on vous en parle plus bas). Ne vous focalisez pas sur le cas ou nous ne serions pas en mesure de vous faire partir (même si cela semble appartenir au passé : COVID ou impossibilité de voyage lié à un confinement / fermeture des frontières…), car c’est un des nombreux avantages de passer par une agence de voyage ou un tour opérateur : vous serez pris en charge et intégralement remboursés. Etudiez plutôt en cas décès d’un proche, maladie/blessure, refus de congés, déménagement/mutation … et tous les autres cas de figure, en fonction de votre situation personnelle. Par ailleurs, il convient de s’assurer du plafond (usuellement aux alentours de 6.000-6.500 € / personne, par dossier annuel) et si la prise en charge peut être en complément d’une autre assurance ex: j’ai une assurance annulation avec ma carte bancaire et mon assurance habitation, sont-elles complémentaires, ou pas ? (c’est rarement le cas, il faudra choisir celle qui vous couvre le mieux).
    Assistance : le rapatriement est souvent sur frais réels, il faut donc regarder en particulier les frais médicaux (vous n’êtes pas sans savoir qu’aux USA, entre autres, ceux-ci peuvent être très élevés), parfois à distinguer des frais d’hospitalisation, interruption de voyage et du coup la couverture liée à la pandémie. Idem, vérifiez les plafonds (usuellement aux alentours de 155.000 > 165.000€, conditions, franchise … et surtout si ceux-ci devront être avancés, ainsi que la procédure, il est d’usage de les contacter avant toute prise en charge).

La pandémie semble derrière nous, mais au cas où, il convient tout de même de faire un point avec vos assurances :

Qu’en est-il de ma prise en charge si je présente des symptômes liés au Covid avant mon départ ? Quelle est la prise en charge en cas de COVID ou maladie contracté sur place ? Différent cas de figure peuvent s’opérer en fonction de la destination, isolement ou pas ? La poursuite du voyage est-elle possible ou non? Et au retour ? En cas de test positif avant mon retour (vers mon pays d’origine) quelle est la prise en charge de l’assurance pour la prolongation de mon séjour sur place (puisque je ne serais pas en mesure de prendre l’avion) ?

Et concrètement quels critères dois-je analyser ?


Notre conseil reste de regarder le tableau des garanties (qui résume les services) dont :
Les montants : plafonds (montant maximum pris en charge par assuré ou famille),
Les franchises (déductions faites sur ma prise en charge),
– Puis, les exclusions,
– Ainsi que la procédure de prise en charge à suivre (ex : dans la mesure du possible déclarer ou ouvrir le dossier litige auprès de l’assurance avant une hospitalisation),  

Pas de panique, nous connaissons la complexité des dizaines de pages de conditions croulant d’informations (avec un jargon bien spécifique pas si facile à déchiffrer). Nous avons fait donc une sélection de 2 prestataires d’assurances pouvant couvrir vos besoins, dont voici un tableau récapitulatif (Tableau comparatif assurances voyages ) de leurs principales garanties :

Ce comparatif a pour seul objectif d’étudier rapidement et déterminer celle qui correspondra au mieux à vos attentes & besoins (attention, une fois votre sélection faite, il reste impératif que vous étudiez en détail les points évoqués ci-dessus, dont les exclusions et procédures requises pour éviter toutes mauvaises surprises. Notre tableau n’est pas exhaustif et a été établi selon les conditions en vigueur lors de son élaboration). Des tarifs de groupe (à partir de 10 personnes) peuvent être proposés sur demande, pour cela contactez-nous (à savoir cela dit : il convient tout de même que chacun détermine, de façon individuelle, à quelle hauteur il veut être assuré, vous n’êtes pas toutes et tous dans la même situation et n’avez donc pas forcément les mêmes besoins).

Voici les liens des conditions de chacune des options proposées et citées dans le tableau :

Enfin, en souscrivant via notre intermédiaire, la couverture sera forcément liée aux prestations souscrites chez AMT. La souscription aux options 1 & 2, devront impérativement être faites le jour même de la réservation du voyage et seront soumis à un devis avec les noms prénoms et date de naissance des participants.


Nous restons à votre disposition si besoin en sachant que nous ne sommes pas assureur mais ferons le maximum pour vous aiguiller dans vos recherches. N’hésitez pas si vous avez un doute sur un cas de figure particulier de les contacter directement même avant souscription.

 » If you’re going to San Francisco – Be sure to wear some flowers in your hair…. » (oui, on préfère commencer par cette chanson que celle de Maxime Le Forestier, mais c’est vous qui voyez 😉. PS si vous voulez vous la mettre en tête: San Francisco de Scott McKenzie, et on est sûres que vous allez reconnaitre). Car oui, ville emblématique de la période hippie, elle garde ce charme à l’européenne qui nous conquit à chaque fois. Et puis, il y a tellement de choses à faire à San Francisco! Vous n’aurez probablement pas le temps de tous les faire, alors c’est parti pour les incontournables et apprécier au maximum de cette ville emblématique de l’ouest Californien !

1- Le Golden Gate Bridge


Image emblématique de San Francisco, une étape obligatoire de tout séjour dans la ville. De toute façon vous ne pourrez pas le louper (sauf si il y a beaucoup de brouillard et c’est assez souvent sur San Francisco…). En voiture, à pied, en vélo, vous pouvez le traverser pour vivre la magie à l’américaine. D’ailleurs, on vous conseille de le faire car les meilleurs spots photos se trouvent de l’autre côté de la baie. Et puis, c’est aussi l’occasion de faire un tour à Sausalito (une petite ville très mignonne)

2- Alcatraz


C’est l’autre emblème de San Francisco, et vous l’avez déjà certainement vu dans votre écran vu le nombre de film qui y ont été tournés (on se rappelle « le prisonnier d’Alcatraz » et « Rock » pour ne citer qu’eux)… Et pourtant ce n’est qu’un petit aperçu de ce que vous pourrez y vivre. L’aventure commence par une croisière pour rejoindre le fameux rocher (et profiter d’une superbe vue sur la ville), et n’oubliez pas de prendre un audio-guide pour vivre un peu plus l’ambiance de la prison au travers d’anecdotes. Attention il faut mieux réserver plusieurs mois à l’avance votre excursion, le nombre de place par jour est limité !

3- Les Painted Laidies


Non, ce ne sont pas des femmes mais bien des maisons de style victorien et édouardien (d’ailleurs ce ne sont pas les seules à en porter le nom , mais sans doute les plus connues). Là encore, vous avez déjà dû les apercevoir dans des films comme emblème de la ville. Pour une petite pause nature, rendez-vous en face à Alamo square, qui offre une superbe vue sur ces « vieilles dames ». On peut d’ailleurs considérer que la « maison bleue » de maxime le Forestier en est une (elle se trouve à quelques rues dans le quartier de Castro).

4- Lombard Street

Attention, vous vous attaquez là, à la rue la plus tortueuse du monde (rien que ça !). Bon, on connait les américains et leur propension à l’exagération, mais on doit reconnaitre qu’elle est quand même très pentue avec des virages en épingles. En vrai, elle ne s’étend que sur un bloc et est composée de 8 virages, mais elle est joliment colorée de nombreuses fleurs. Un détour à faire avant de vous rendre au Fisherman’s Wharf.

5- Fisherman’s Wharf

Vous y passerez forcément puisque c’est le point de départ des croisières pour rejoindre Alcatraz. C’est surtout une zone touristique dédié à l’Entertainment, mais cela reste quand même un port et donc l’occasion de déguster de fabuleuses fruits de mer ultra fraiches. et surtout ne quittez pas là zone sans être passé au Pier 39! Et oui, surprise, une colonie de « sea lions »(otaries) y a élu domicile dans les années 90 et n’a depuis plus quitté l’endroit. On a presque l’impression qu’elles posent pour la photo!

6- Faire un tour en cable car

Un autre grand classique mais qui peut se révéler pratique pour économiser ses semelles de chaussures et pas mal d’efforts (San Francisco est construit sur des collines et les pentes peuvent atteindre 31% de dénivelé)! Il ne reste que 3 lignes encore en service, mais elle desservent plutôt bien les sites touristiques donc pas de soucis. Et ce sont les derniers tramways à traction par câble encore en service. D’ailleurs, assister à leur retournement est déjà une attraction en soit. Bref, un trajet historique et amusant qui en plus offre de superbes vues depuis le haut des collines.

7- Faire une pause au Golden Gate park

C’est le 3° plus grand parc des USA et peu de gens le savent mais il est même plus grand que le Central Park de New York. 412 hectares de verdure au cœur de San Francisco qui permettent de faire une pause verdure. Totalement dédié à la nature, vous y trouvez un parc à thé japonais, un conservatoire de fleurs, la California academy of science, un aquarium, un planétarium, un musée d’histoire naturelle et même des animaux et un troupeau de bisons…. Bref, que quoi vous occuper sans aucun doute !

8- Explorer et flâner dans les quartiers de San Francisco.

Parce que oui c’est déjà une excursion en soit ! Que ce soit dans le Chinatown: le plus vieux quartier chinois d’Amérique du Nord, Little Italy pour prendre un ristretto ou une pâtisserie, explorer les rue colorée de Castro, le plus grand quartier gay des USA, retrouver les maisons victorienne bariolées dans le quartier hippie de Haight-Ashbury. Il y en a pour tous les goûts et toutes les communautés, c’est aussi ça le charme de Frisco.

9- Faire du Shopping à Union Square

Un autre quartier dont on ne vous a pas encore parlé mais qui peut valoir le détour, par contre assurer vous d’avoir encore le portefeuille bien garni car vous voilà dans le temps de shopping. Macy’s, Saks, Tiffany &Co, Gucci Bulgari tous les grands noms sont là ! Mais blague à part le quartier est plutôt agréable avec de grandes places, des rues piétonnes, et de nombreux restaurants et magasins.

10- Se faire un musée

Car oui il y en a beaucoup à San Francisco qui est très culturelle. Le plus connu est le Palace of Fine Art, c’est même l’un des bâtiments les plus photographié avec son théâtre antique. Un endroit charmant! Mais il y a aussi le musée Disney (dédié à la vie de Walt), l’Exploratorium ( dédié à la science avec de nombreuses expériences à faire), SF Moma (le musée d’arts modernes de la ville), le Young Museum (qui présente des œuvres d’art d’Amérique du Nord mais aussi d’autres expositions)… donc un maximum de choses à faire du plus culturel au plus insolite !

BONUS : se balader aux alentours

Regardez bien la carte et vous verrez qu’il y a pleins de choses à faire aux alentours de la city by the bay -> la Silicon Valley, Oakland, la Nappa Valley, Muir Woods, Monterey… Bref, San Francisco est un incontournable en Californie et un bon moyen de finir en beauté votre Road Trip !

A retrouver bien sûr dans nos circuits:

California Tours

Western Tours

American Dream Tours

Best of the West Tours

et Pacific Coast Tours

En ces temps d’hiver, rien de mieux que de rêver aux chaudes plages de sable blond de la plus grande ile des Antilles: Cuba. Une île enchanteresse au passé tumultueux et au charme indéniable. Alors en route pour un voyage hors du commun.

Une histoire riche à découvrir au guidon de votre Harley Davidson

Parcourir Cuba à moto, c’est remonter le temps, revenir aux riches heures coloniales, croiser des voitures antiques qui pourtant fonctionnent toujours et profiter de la nonchalance de ses plages immaculées. Longtemps espagnole (elle fut découverte par Christophe Colomb), Cuba conserve de nombreux vestiges et bâtiments coloniaux qui vous transportent dans le temps. Que ce soit dans le Habana Vieja (le vieux quartier de la Havane) à Ciefuegos ou à Trinidad, le temps semble figé dans ces magnifiques villes, dans lesquelles résonnent seulement le bruit des sabots des chevaux. Pour les amateurs d’histoire plus récente, direction Santa Clara, le cœur de la révolution cubaine pour marcher dans les pas du « Che ». Du coup, quelque soit la ville ou l’étape, vous tomberez sous le charme de cette île hors norme.

Au cœur de la nature luxuriante et au contact des cubains.

Cuba, c’est également une nature à couper le souffle. Que ce soit à l’intérieur des terres, comme dans la vallée de Viñales, particulièrement réputée pour les fabriques des fameux cigares. Où sur la presqu’île de Zapata, et sa célèbre Baie des Cochons. Entre caféiers, plantations de Tabac et plages paradisiaques, vous ne saurez plus où donner de la tête. Faites donc attention de rester concentré sur la route ! Et comment ne pas parler des superbes plages de sables blancs léchés par les eaux turquoises sur tout le littoral.
Les cubains sont également réputés pour leur gentillesse. Habitués à se débrouiller avec peu, ils sont avenants et ne manqueront pas de vous rendre service et de venir à votre rencontre. Alors n’hésitez pas à leur demander les meilleurs adresses pour pimenter vos balades à moto. Car il est indéniable que les échanges avec les locaux restent le meilleur moyen de découvrir les joyaux cachés d’un pays. Arpenter les routes du pays au guidon d’une américaine reste bien évidemment atypique et ne manquera pas de piquer leur curiosité. Et puis, vous êtes au pays de la salsa et du Buena Vista Social Club, cela ne peut que être engageant ! Cela vous donnera également l’occasion de découvrir la qualité de son rhum et pour les amateurs de leur fameux cigares.

Cuba en Harley Davidson

Forcément avec le passé entre l’île et les Etats Unis, il peut paraître surprenant de rouler au guidon d’une Harley. Mais si on vous dit que vous pouvez être accompagné par l’un des fils du « Che » (Ernesto Guevara), cela passe tout de suite mieux. Si le père a parcouru l’Amérique latine en Norton dans les années 50, c’est bien au guidon d’une Harley que le fils parcourt les routes et que vous pouvez maintenant le rencontrer sur les routes de la République cubaine. Quoiqu’il en soit vous bénéficierez des meilleurs guides, puisqu’ils sont tous locaux, avec à la clé, une expérience riche donc forcément inoubliable.

Si vous aussi, vous avez envie de vivre un road trip à moto incomparable, rendez-vous sur notre site internet pour découvrir nos deux programmes pour l’île « du crocodile vert » (surnom lié à sa forme): Cuba Tours & Havana Tours

La Floride est reconnue comme un des états où l’Entertainment est roi, raison de plus pour en profiter pour ajouter un peu d’adrénaline et de fun à votre prochain séjour. Et pourquoi pas lors de votre participation à la prochaine Bike Week de Daytona ! Des places sont encore disponibles mais il va falloir se dépêcher! Alors, voici le guide pour ne rien louper et faire votre choix dans la jungle des parcs d’attractions.

Disney, la figure de proue.

C’est en 1971 que Disney inaugure l’un des plus grands parcs d’attractions du monde et lance le développement des environs d’Orlando. Et si vous voulez ajouter celui-ci à votre liste, il va falloir prévoir de bonnes chaussures. Car ce n’est pas 2 parcs (comme en France) mais 4 parcs qui composent le complexe de Disney World (+2 parcs aquatiques)!
D’abord, Magic Kingdom, sensiblement le même qu’en France, le château, les princesses, Frontierland, Tomorrowland, Fantasyland… Les attractions sont quasiment les mêmes à quelques détails près, mais vous y retrouverez la magie du monde de Mickey.
Disney’s Hollywood Studios, là encore de nombreuses similitudes avec celui de France, un petit air de Californie et de soleil en plus à notre goût.
Epcot (Experimental Prototype Community Of Tomorrow), là on attaque le vif du sujet, celui là n’est pas présent en France, et représente le projet éducatif cher à Walt Disney. Construit autour d’un lac, il met en avant la culture de 11 pays différents et un ensemble futuriste pour imaginer le monde de demain et prendre une bonne dose d’adrénaline dans ses attractions!
Et enfin Animal Kingdom, l’un des plus grand du complexe avec 230 hectares de superficie! Un mélange de parc zoologique et d’attractions, le tout bien sûr en rapport avec plusieurs films de la firme. Un parcours dans une nature fantasmée et une pointe frisson dans les rollercoaster.

Universal, le monde du cinéma à votre portée.

Forcément vous ne pourrez pas passer à coté lors de votre séjour en Floride, le deuxième fleuron de la région consacré au cinéma a lui aussi écrit ses lettres de gloire en Floride. Là encore, 2 parcs pour vous offrir un maximum de sensations ! Jurassic Park, Spiderman, La Momie, Hulk, mais aussi Popeye et les cartons des années 50. Les studios Universal vous feront vivre des sensations au cœur de vos films préférés… manger un donuts aussi grand que ceux de Homer Simpsons, croiser les Blues Brothers se baladant au volant de leur voiture de police, et même prendre le fameux Poudlard Express pour passer d’un parc à l’autre. Des madeleines de Proust et des moments magiques à vivre pour les petits comme pour les grands! Aussi magique que Disney!

Seaworld, un parc dédié au monde marin

Si Seaworld se rapproche de notre Marineland d’Antibes, il a pourtant rien à voir. Bien sûr par la taille, il est beaucoup plus grand, mais aussi par le fait qu’entre deux spectacles aquatiques, vous pourrez profiter de roller coaster à couper le souffle. Comme par exemple, Manta qui vous bascule à plat ventre avant de vous lancer dans des loopings renversants ou Kraken qui vous fait monter à 45m de hauteur. A noter que chaque ticket acheté participe à la protection et au sauvetage d’animaux marin.

BushGardens, un mélange de safari et de rollercoaster

Pas à Orlando mais à Tampa, ce parc propose l’un des plus longs rollercoaster au monde: Cheetah dure plus de 3 min et traverse le parc de part en part, c’est à dire au plus près des animaux. Et on vous l’assure, passer à coté de buffles, félins et éléphants alors que vous êtes dans un roller coaster reste une expérience à faire. On peut également y faire un safari dans la benne d’un camion et donner à manger aux girafes par exemple. Un vrai parc à l’américaine, qui sait mélanger les styles et vraiment vous offrir un grand moment de divertissement.

Ce sont là les plus importants, mais c’est toute la zone des lacs d’Orlando qui abrite des parcs d’attractions, tous plus fous les un que les autres, comme par exemple Holy Land qui est maintenant fermé mais qui était dédié à la bible… Legoland dédié au monde de la petite brique ou bien Gatorland, le plus vieux parc de la zone et accueille un grand nombre d’espèce de crocodiles. Vous l’avez compris vous aurez le choix ! Orlando reste une étape incontournable pendant un séjour en Floride, et ne croyez pas que ces parcs sont réservés aux enfants, vous verrez clairement les américains de tous âges se précipiter sur les attractions les plus prisées avec ou sans enfants. Le parc d’attraction est vraiment quelque chose de culturel aux USA et quelque soit l’état que vous traverserez, vous en croiserez au moins un durant votre séjour.

Alors n’hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez ajouter l’un des ces parcs à votre prochain séjour, que ce soit pendant votre Florida Tours ou bien la Bike week de Daytona !


Passer le cap de la nouvelle année peut être une expérience inoubliable à condition de savoir où passer le meilleur des Nouvel An. Pas de panique on est là pour vous présenter les incontournables et les petites pépites dignes des USA.

New York, un incontournable

On a tous vu dans les séries ou les films qui nous ont bercés, cette fameuse nuit du Nouvel An sur Times Square avec la fameuse descente de la boule à minuit. Mais soyons clair, si vous êtes agoraphobe, cette soirée n’est clairement pas pour vous! Car pour être bien placé il vous faudra patienter quelques 12h au cœur d’une foule de plus en plus dense (avant les temps de Covid bien sûr)

Atlanta, l’alternative du sud

Vous aimeriez tout de même voir la descente d’une boule pour la nouvelle année? Alors, rendez-vous à Atlanta pour la descente d’une pêche géante (de plus de 350kgs tout de même) cette fois-ci déclenchant le feu d’artifice finale. Vous aurez pu auparavant assister à de nombreux concerts et animation au cœur de « The A »

La Nouvelle Orléans, au cœur de la fête.

On ne peut pas renier la réputation de la Nouvelle Orléans qui reste une destination phare pour faire la fête! Alors pour le passage à la nouvelle année, la ville met forcément les petits plats dans les grands, concerts, pluie de lys dans les rues à minuit et feu d’artifice au dessus du Mississippi ne sont que les prémices d’une soirée de folie sous les températures clémentes du sud de la Louisiane. Dépaysement assuré pourtant au cœur du French quarter!

Los Angeles, pour en profiter sur 2 jours

Certes la soirée du Nouvel an à Los Angeles vaut le détour, là encore concerts, feux d’artifice et soirées courues dans les clubs (on peut également faire la fête à bord du fameux Queen Mary!). Mais le plus intéressant se passe le lendemain dans les rues de Pasadena. Depuis 127 ans, les habitants assistent et participent à la Parade des Roses, un défilé de char fleuris composés uniquement de matériaux naturels. Une ambiance charmante et typique pour un lendemain toujours animé.

Hawaï, pour un nouvel an à la plage

Qui n’en rêve pas ? Passer à la Nouvelle année les pieds dans le sable chaud léché par les eaux turquoises. Alors, direction Honolulu! Commencez la soirée en assistant à un Luau (fête traditionnelle) ou bien à la grande fête de la Saint-Sylvestre qui se tient à l’ Aloha Tower Marketplace. Manèges, camions-restaurants, DJ, concerts en attendant le feu d’artifice. Et quel feu ! une fusée est tirée toutes les minutes à partir de 23h55 avant d’enflammer le ciel Hawaïen de forme les plus folles.

Nashville, pour la musique

Passer la Saint-Sylvestre en musique reste un incontournable et forcément « Music City  » coche toute les cases de ce côté-là. Sans compter les soirées spéciales organisées comme au Ryman Auditorium par exemple, c’est toute la ville qui s’anime et se trémousse. Une superbe scène musicale (comme au Jack Daniel’s City Midnight,) est offerte aux fêtards pour le réveillon, avec bien sûr feu d’artifice et pluie de confettis pour compléter le tableau. Et pour garder l’ambiance, rendez-vous le lendemain au traditionnel match de la NFL au Nissan Stadium!

Et pourquoi pas le passer à Disney?

On le sait Mickey sait mettre les petits plats dans les grands et on peut dire que c’est la destination idéale pour un Nouvel An en famille aux USA. Menus spéciaux, soirée dansante et feu d’artifice devant le château de Cendrillon … Le tout en t-shirt pour profiter des superbes températures de la Floride en hiver. Une touche de magie indéniable pour la fin d’année.

Cette liste n’est clairement pas exhaustive : San Francisco, Las Vegas, San Antonio, les stations de ski… chacun de ces sites rivalisant d’intérêts et rentrant en rivalité pour la meilleure des soirées. Et vous, quelle est la soirée qui vous attire le plus ?
Nous pouvons bien sûr vous organiser vos prochaines fêtes de fin d’année au pays de l’oncle Sam, il suffit pour cela de remplir le formulaire sur mesure sur notre site.

Et en attendant, toute l’équipe d’AMT vous souhaite de passer le meilleur des Nouvel an et une très belle année 2022 !

Et voilà l’hiver est là, et si le froid et le mauvais temps se font ressentir, nous sommes toujours là pour vous faire voyager et vous proposer des solutions. Alors, présentation de 3 de nos circuits que vous pouvez envisager quand le temps passe au maussade:

Le Texas Tours

Une de nos dernières créations chez AMT. Cet état du sud, à l’histoire riche et à l’esprit cowboy est idéal pour un road trip moto en début et en fin d’hiver (mars-avril- et octobre-novembre) pour des températures douces, en évitant les grosses chaleurs de l’été. En plus, le sud de l’état au bord du Golfe du Mexique, offre des températures très agréables pour de belles balades au bord de l’eau.

L’Arizona Tours

LE dernier né de votre agence de voyage préférée! Un état du sud, aux portes du Mexique, ensoleillé et plutôt aride l’été, mais qui offre des températures clémentes en hiver (notamment en début et en fin de saison comme le Texas). Par contre, attention en raison de l’altitude élevée d’une bonne partie de l’état, la neige recouvre souvent les reliefs durant les mois d’hiver.

Le Florida Tours

C’est bien sûr le must de la saison d’hiver! A vous les plages de sable de clair et les températures plus que parfaites en cette saison. Une parenthèse au soleil pour découvrir « The Sunshine State » et ses trésors. Un incontournable pour faire le plein de vitamine D et éviter le froid.

Et puis il n’y a pas que les USA Chez AMT , c’est la période idéale pour Cuba & le Mexique. Mais aussi pour nos circuits de l’hémisphère sud : Argentine (seul ou combinée avec le Chili) & l’Afrique du Sud. Le tout à retrouver bien sûr sur notre site!

On vous a déjà parlé de l’histoire des bluesmen remontant le Mississippi pour chercher fortune (article à retrouver ici), mais dans les fait qu’en reste t- il ? qu’y a t’il a voir sur cet itinéraire? Qu’est ce qui rend notre Route du Blues Tours si particulière et si magique? (C’est d’ailleurs le circuit préféré de notre accompagnateur Eric, dont vous pouvez retrouver l’interview sur notre chaîne YouTube).

Un itinéraire historique et musical

Pour respecter le sens historique, le voyage initiatique (oui oui, on a bien choisi nos mots, car vous n’en reviendrez pas indemne!) commence dans le Sud des USA, au plus près des plantations qui ont vu arriver ces esclaves noirs arrachés de leur Afrique natale. C’est là qu’est né le gospel et qui sera la racine même de ce blues que l’on aime tant.

C’est là qu’elle commence cette fameuse US 61, cette Blues Highway qui vous mène sur les traces des plus grands musiciens. Après avoir visité quelques plantations pour vous imprégnez de l’atmosphère, rejoignez le Delta du Mississippi. Là s’enchainent les musées, les lieux dédiés et les juke joint encore debout … Tous ces lieux respirent l’histoire de ces hommes chantant leurs peines et leur quête d’une vie meilleure. L’US 61 remonte peu à peu le Mississippi pour rejoindre Memphis, un des temples du blues qui a vu passer les plus grand dans ses studios.

Vous quitterez la Blues Highway, mais pour continuer à vous abreuver de cette Amérique musicale sur les pas de ces chanteurs qui nous ont bercés. Direction Nashville, autre temple de la musique, un peu plus branchée country, mais qui ne manque pas elle non plus de sites dédiés à la musique, puis St Louis qui a accueilli les bluesmen lors de leur remontée. On y trouve un autre genre de Blues, comme après à Chicago, plus électrique, plus urbain…

Du Delta du Mississippi à Chicago, roulez au rythme du blues.

Visiter les musées, en apprendre plus sur l’histoire des bluesmen, c’est bien bien beau, mais le blues, ça se ressent, ça se vit … Et c’est pour ça que notre Route du Blues Tours est aussi un de nos circuits préférés : pour l’expérience, l’ambiance … Dans ce circuit, la musique est partout, à chaque coin de rue comme à La Nouvelle Orléans, ou à Memphis et Nashville (c’est une évidence) mais aussi dans des petites villes comme Clarksdale (dont on vous a déjà parlé). C’est là, que vous vivrez le blues, le vrai, dans des juke joints dont l’extérieur vous paraitra abandonné et pourtant à l’intérieur c’est l’accueil, la chaleur humaine et la bonne ambiance qui y règnent. A Memphis, vous aurez même du mal à faire votre choix parmi tous les bars de Beale Street, qui accueillent chaque soir de nouveaux groupes et vous feront découvrir des pépites musicales. Même chose à Nashville et St Louis. Et que dire de Chicago, devenue avec les migrations la capitale mondiale du blues? Les grands noms sont encore là, comme au Buddy Guy’s Legends, où il n’est pas rare de croiser l’artiste. Et si vous avez la chance d’être au mois de Juin dans la ville, ajoutez le Chicago Blues Festival à votre liste…

Pour retrouver tous les sites où le blues s’incarne, rendez-vous sur la page de notre Route du Blues tours, pour déjà rêver et s’imprégner. Prochain départ en formule accompagnée: le 24 Avril 2022 avec Eric bien sûr 🙂

Mis à jour le 13/01/2021

 Les frontières restent ouvertes pour le territoire américain. Voici donc notre petit guide concernant les formalités en vigueur … :

LES ETATS UNIS

Les USA ont réouvert leurs frontières le 08 Novembre 2021, il est donc enfin de nouveau possible de voyager aux USA ! Il vous faudra :

  • Etre en possession d’un passeport individuel portant sur la couverture le symbole « puce électronique » couvrant la durée de votre séjour,
  • Le formulaire ESTA (valable 2 ans, il est à remplir sur https://esta.cbp.dhs.gov/ au tarif de 14$ par personne) pour cela il vous faudra : la copie de votre passeport, une adresse email valide (et accessible lors de la demande pour l’envoi de code de validation). Vous devez renseigner aussi les coordonnées de votre employeur (ou de votre société si vous êtes chef d’entreprise), les informations de votre futur voyage et votre carte bancaire pour le règlement des 14$, si un montant plus conséquent vous est demandé, sortez du formulaire ce n’est pas le site officiel.
  • Votre pass sanitaire valide attestant que vous avez bien reçu au minimum 2 doses de vaccins depuis plus de 14j (1 dose pour le vaccin Janssen). -> Vérifiez la date de validité selon la date de votre seconde dose, il vous faudra peut-être faire un rappel
  • Une preuve d’un test PCR (ou antigénique) négatif réalisé 24h avant départ (sauf si arrivée par voie terrestre).
  • Présenter le formulaire suivant: https://www.cdc.gov/quarantine/pdf/Passenger_Disclose_d2anch_FRENCH-p.pdf) qui vous sera fourni à l’aéroport.
  • A votre retour, vous devrez présenter pour rentrer en France un test PCR ou antigénique négatif (attention, les seuls tests antigéniques pouvant être réalisés sont ceux permettant la détection de la protéine N du SARS-CoV-2) de moins de 48h. Et vous pouvez être soumis à un test aléatoire à votre arrivée sur le territoire Français.
  • Selon les états, il peut vous être demandé de porter le masque dans les bâtiments et reste obligatoire dans toute forme de transport.

A noter: le port du masque est obligatoire dès votre arrivée à votre aéroport de départ, durant toute la durée du vol ainsi qu’à votre aéroport d’arrivée (et par la suite dans votre moyen de locomotion pour rejoindre votre hôtel). Le masques de type FFP1 ou 2 ne doit pas être en tissus ou comporter de valve. Les compagnies ne fournissant pas de masques, nous vous conseillons de prévoir un petit stock afin de pouvoir en changer régulièrement durant votre vol. Tout passager refusant de mettre un masque en cabine sera débarqué. Si cela se passe durant le vol, l’incident sera signalé et la police prévenue à l’arrivée.

LE CANADA

Le Canada a ouvert ses frontières aux non résidents depuis le 07 septembre 2021. Pour vous y rendre, il vous faudra :

  • Votre passeport valable jusqu’à votre date de retour pour les ressortissants français, belges ou suisses, dont la validité dépasse d’au moins un jour le séjour projeté au Canada. Afin de parer à toute éventualité, on veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis ou suffisant (généralement 3, dont 2 en vis-à-vis).
  • Le formulaire AVE (valable 5 ans, comme avant la crise, il est à remplir sur le site officiel du gouvernement canadien au tarif de 7$ CAD par personne)
  • Votre pass sanitaire sanitaire attestant que vous avez bien reçu 2 doses de vaccins depuis plus de 14j (1 dose pour le vaccin Janssen).-> Vérifiez la date de validité selon la date de votre seconde dose, il vous faudra peut-être faire un rappel
  • Présenter un test PCR (pas de test antigénique) négatif de moins de 72h avant départ.
  • Remplir le formulaire ArriveCAN dans les 72h avant votre arrivée dans le pays.
  • Si votre voyage au Canada vous amène à passer la frontière des Etats-Unis par voie terrestre, vous devrez, même pour une excursion, remplir un formulaire I94W, délivré par les autorités d’immigration à l’arrivée, acquitter un droit de 6 dollars environ (payable en dollars américains uniquement) et effectuer une demande ESTA (cf formalités USA)
  • A votre retour, vous devrez présenter pour rentrer en France un test PCR ou antigénique négatif (Attention, les seuls tests antigéniques pouvant être réalisés sont ceux permettant la détection de la protéine N du SARS-CoV-2) de moins de 48h. Et vous pouvez être soumis à un test aléatoire à votre arrivée sur le territoire Français.

A noter, vous devrez vous soumettre à un test PCR effectué à votre arrivée sur le territoire canadien et vous isoler dans votre chambre d’hôtel jusqu’à l’obtention du résultat.

Note: le port du masque est obligatoire dès votre arrivée à votre aéroport de départ, durant toute la durée du vol ainsi qu’à votre aéroport d’arrivée (et par la suite dans votre moyen de locomotion pour rejoindre votre hôtel). Le masques de type FFP1 ou 2 ne doit pas être en tissus ou comporter de valve. Les compagnies ne fournissant pas de masques, nous vous conseillons de prévoir un petit stock afin de pouvoir en changer régulièrement durant votre vol. Tout passager refusant de mettre un masque en cabine sera débarqué. Si cela se passe durant le vol, l’incident sera signalé et la police prévenue à l’arrivée.

LE MEXIQUE

Les frontières sont réouvertes. Il n’y a pas de dispositions spécifiques pour voyager au Mexique:

  • Votre passeport valide pour la durée du séjour.
  • Pas de test PCR requis
  • A votre retour, vous devrez présenter pour rentrer en France un test PCR ou antigénique négatif (Attention, les seuls tests antigéniques pouvant être réalisés sont ceux permettant la détection de la protéine N du SARS-CoV-2) de moins de 48h. Et vous pouvez être soumis à un test aléatoire à votre arrivée sur le territoire Français.

Note: le port du masque est obligatoire dès votre arrivée à votre aéroport de départ, durant toute la durée du vol ainsi qu’à votre aéroport d’arrivée (et par la suite dans votre moyen de locomotion pour rejoindre votre hôtel). Le masques de type FFP1 ou 2 ne doit pas être en tissus ou comporter de valve. Les compagnies ne fournissant pas de masques, nous vous conseillons de prévoir un petit stock afin de pouvoir en changer régulièrement durant votre vol. Tout passager refusant de mettre un masque en cabine sera débarqué. Si cela se passe durant le vol, l’incident sera signalé et la police prévenue à l’arrivée.

Vous avez maintenant toutes les informations en main pour préparer votre voyage! N’hésitez pas à nous contacter en cas d’incertitude, nous sommes là pour vous aider, et consulter avant votre départ le site officiel de l’ambassade si besoin.

A la rédaction de cet article, malgré la cinquième vague qui touche actuellement la France, nous vous confirmons qu’aucune frontière ne devrait refermer, pour l’Amérique du Nord du moins. Par ailleurs, l’Organisation Mondiale de la Santé demande que les frontières restent ouvertes source.

Après l’Afrique du Sud et l’ Argentine, autre destination incontournable : LE CANADA. Et comme l’ouest et le Québec, ne se ressemblent pas du tout, départ cette semaine pour l’Ouest Canadien ! (on vous fera l’Est plus tard pas d’inquiétude😉)

1. Pour en prendre plein les yeux, parce que l’objectif n°1 est d’être ébloui.

Clairement, la raison n° 1 pour voyager dans l’ouest canadien? Les paysages. Des montagnes parmi les plus hautes d’Amérique du nord, des plaines rappelant les prairies du Far West, une côte pacifique impétueuse et surtout des lacs aux couleurs à couper le souffle. C’est clairement l’endroit pour ramener les plus belles photos et faire pâlir d’envie son entourage.

2. Pour rouler sur des routes panoramiques, parce qu’on n’aime pas l’autoroute.

Entre la « Sea to Sky Highway » (littéralement la route de la mer au ciel, ça annonce le programme!), le Icefield Parkway (promenade des glaciers), ou encore la trans-canadian Highway, l’ouest canadien regorge de routes panoramiques vous obligeant à ralentir pour prendre la mesure du paysage environnant, raison de plus pour le faire à moto pour profiter encore plus de la vue.

3. Pour multiplier les expériences hors du commun, parce qu’on se contente pas que de rouler.

Dans le même circuit, arriver à combiner une rencontre avec les baleines, un balade en kayak sur un lac turquoise, un pont suspendu à plus de 70 m, et une promenade sur un glacier, c’est déjà pas mal. Et pourtant, ce n’est qu’une partie de ce qui peut être fait dans l’ouest canadien. On ne va pas vous dévoiler tous nos secrets ici, mais vous ne pourrez clairement pas vous ennuyer!

4. Pour déambuler dans des villes « green », parce que oui, on aime la nature.

Faire un road trip dans l’ouest canadien, c’est clairement pour la nature, si Vancouver a été élue la ville la plus agréable du monde pour vivre ce n’est pas pour rien (bon, sa position entre mer et montagne y est pour quelque chose, mais pas que). Les villes sont vivantes, cosmopolites, et surtout décontractées! On s’y sent bien dès qu’on y pose un pied. Et ce petit air de Far West entouré de vignes sur certaines, ne gâche rien (vous commencez à connaitre notre passion pour les vignobles…)

5. Pour découvrir le far west canadien, parce qu’il y a des cowboys aussi au Canada.

Et non il n’y a pas qu’aux USA que l’on trouve des Cowboys, le Canada a aussi son lot d’histoires de fines gâchettes et de légendes de l’ouest. Calgaryen est une des figures de proue avec son Stampede au mois de juillet (parade, rodéos, et concerts country, tout comme chez leur voisin), et les plaines de l’Alberta sont une aubaine pour l’élevage. Si l’envie vous prend, vous trouverez de nombreux ranchs au pied des Rocheuses (d’ailleurs si on y trouve le cowboy trail, c ‘est qu’il y a bien une raison) pour faire un tour à cheval dans ces contrées.

6. Pour une faune et une flore exceptionnelle, parce qu’on adore le film « l’Ours »(Jean-Jacques Annaud, 1988).

Ca y est ? Vous avez l’ambiance du film ? Les grands espaces, les montagnes et les torrents, tout ça c’est bien l’ouest canadien mais en réel ! Il n’est pas rare de croiser des grizzlis, des ours noirs et des chamois dans les parcs nationaux de Banff ou Jasper, par exemple. Bon, pas de trop près tout de même, mais assez pour très bien les observer et ramener de jolis clichés. Pour le reste, on vous a déjà parlé des baleines un peu plus haut (qui côtoient aussi les orques, les phoques et les belugas), mais vous pouvez aussi compter les mouflons, les marmottes, écureuils et bien sûr l’orignal et le castor qui restent des emblèmes du pays. Alors qui dit mieux que ce zoo à ciel ouvert?

7. Pour la gentillesse des locaux, parce que la réputation des Canadiens n’est plus à prouver.

Les canadiens sont réputés pour leur gentillesse, mais en réalité? Et bien, ils sont adorables, il n’est pas rare de se lier très rapidement avec eux, d’être inviter à échanger très facilement. Ils sont même considéré comme l’un des pays les plus amicaux au monde (et ce n’est pas notre affirmation mais celle de plusieurs études scientifiques). Alors n’ayez crainte, vous trouverez toujours un canadien pour vous renseigner, vous aider et échanger !

8. Pour rencontrer les peuples des Premières Nations, parce qu’il n’y a rien de mieux que d’échanger avec les autochtones.

Tout comme les cowboys, les indiens sont aussi présents au Canada, et leur culture, mise en valeur par le parlement depuis quelques années (et quelques batailles pour la reconnaissance des peuples autochtones) est fascinante. Les nombreux musées retraçant leur histoire ou encore les totems du Parc Stanley de Vancouver (l’un des plus beaux et plus grands parcs urbains au monde, avec une superbe vue sur la Skyline de Vancouver) vous donneront un aperçu. Mais vous pourrez également aller à leur rencontre dans de nombreux lieux (beaucoup de sites de l’industrie du tourisme sont gérés par des autochtones) ou à l’occasion des pow-wows en été. Des rencontres à ne pas rater avec ces peuples des Premières Nations.

9. Pour le taux change en notre faveur, parce que cela reste plus avantageux que les USA.

A ce jour, le taux de change pour le dollar canadien est très avantageux pour les européens, 1€= 1.42$ CAD (contre 1.12$ pour l’USD) ou 1$ CAD = environ 0.70cts si vous préférez. De quoi ramener presque 1.5 fois plus de cadeaux et souvenirs. Si ça ce n’est pas une bonne raison, on ne voit pas ce qu’il vous faut de plus!

10. Parce qu’il n’y a aucune raison de ne pas le faire à moto.

Bah non, il n’y en a pas. Un site de location à Vancouver, une ribambelle de routes scéniques, des vues à 360° (enfin 180°, on n’est pas des machines non plus) à couper le souffle, une belle offre hôtelière… Alors franchement on ne voit pas de raisons pour éviter l’ouest Canadien à moto 🙂

Notre circuit Canadian Dream vous permettra d’expérimenter tout ça et bien plus encore. Et si ça ne vous suffisait pas pour rêver, vous pouvez aussi découvrir notre semaine dédiée sur Facebook & Instagram

L’Oregon, on vous en a déjà parlé plusieurs fois, reste un de nos coups de cœur aux USA. Et pourtant ce magnifique état ne possède qu’un seul parc national: Crater Lake. En même temps, il était logique de protéger ce joyau de la chaine des Cascades. Suivez le guide pour ne rien louper de ce magnifique site, durant votre prochain Pacific Coast Tours :

Un parc national américain différent

Crater Lake a surgit il y a plus de 7000 ans, suite à l’effondrement de la caldeira du volcan Mazama, soumis aux activités volcaniques de la région. Situé à près de 2000m d’altitude, c’est aujourd’hui le lac le plus profond des Etats-Unis avec plus de 590 m de profondeur, lui donnant son bleu profond caractéristique. Et pourtant ses eaux sont translucides (il parait que ce sont les eaux les plus pures des USA!) permettant de voir sans problème à l’œil nu jusqu’à près de 37 m de profondeur! Le lac n’est en fait rempli que part l’eau de pluie et par la fonte des neiges. Pas de rivières, ni d’embouchure ne viennent perturber ses eaux calmes. Il est entouré de falaises abruptes de différentes couleurs allant de 170 à 570m, ce qui amplifie sont impression de profondeur.

Découvert en 1853 par des chercheurs d’or, le site devient parc national en 1902 pour protéger cette œuvre de la nature hors du commun. Pourtant on trouve des traces de Crater Lake dans les légendes amérindiennes de la région: il serait issu de la bataille entre le dieu du feu / des enfers, Llao vivant sur le mont Mazama, et le dieu de la neige/ du ciel Skell. Llao perdit le combat et effondra sa demeure pour laisser derrière lui la caldeira. Le volcan est actuellement en sommeil, mais reste considéré comme actif.

Une route scénique à moto avec de splendides vues.

La route scénique qui mène à Crater Lake est déjà une merveille en soi: La Volcanic Legacy Scenic byway (tout un programme) serpente lascivement à travers une forêt de pins ponderosa. N’hésitez pas à faire quelques arrêts pour vous dégourdir les jambes et admirer le rythme impétueux de la rivière (notamment à Rogue River Gorge et Natural Bridge) avant d’atteindre le parc. Après le visitor center vous attend, la magnifique Rim Drive, longue de 53 kilomètres, cette route scénique spectaculaire longe le cratère (à effectuer dans le sens des aiguille d’une montre pour rouler toujours du côté du lac et ainsi avoir un accès facile aux zone de stationnement) et vous offre des points de vue sensationnels sur le bleu profond du lac.

La Rim drive propose pas moins de 30 points de vue aménagés pour vous offrir un maximum de sites d’observation différents sur le lac, et vous permettre d’en observer ses particularités géologiques comme Wizard Island (l’île du sorcier, à l’ouest), un mini volcan au cœur du lac, ou encore Phantom Ship, une petite île issue d’une précédente éruption aux allures de bateau fantôme (surtout quand le brouillard est tombé sur le Lac). Il est possible de descendre sur les berges et même de se baigner dans le lac (attention l’eau ne dépasse pas les 15°C même en été!). De même, des tours en bateau sont proposés pour voir de plus près les points d’intérêt et même monter au sommet de Wizard Island. Le Crater lake National Park propose également des randonnées aux alentours du lac pour observer la nature ou bien les autres formations géologiques.

Ce petit joyau est à retrouver dans notre prochain Pacific Coast Tours ou à intégrer à un projet sur-mesure sur l’Oregon bien entendu ! Conseil : départ de Portand à envisager car cet état est détaxé le must pour se refaire une garde robe et ramener quelques souvenirs. Contrairement à la plupart des États américains, aucune taxe n’est appliquée sur les ventes dans l’Oregon, ce qui vous permettra d’économiser entre 5 et 10 % sur tous vos achats

Et si vous l’avez loupé, vous pourrez retrouver notre article sur l’Oregon pour vous inspirer…

Pour notre dernier né, on a décidé de vous gâter ! On vous propose des paysages fabuleux, une ambiance western, de l’authenticité et surtout de sortir des sentiers battus. On oublie donc les incontournables car on part à la découverte des légendes qui ont bercé notre imaginaire de l’ouest sauvage :

Parcs nationaux, villes fantômes et routes panoramiques, le cocktail parfait d’un road trip à moto inoubliable !

L’Arizona, dans l’imaginaire, c’est avant tout ces paysages fait de roches ocres si caractéristiques. Et bien, ne vous inquiétez pas, vous serez servi ! Avec des sites comme Sedona, Superstition Mountain ou encore le Canyon de Chelly, vous en prendrez pleins les yeux ! Le tout, bien sûr à rejoindre au guidon de votre moto, par des routes panoramiques plus belles les unes que les autres

Mais, c’est surtout et avant tout une terre d’histoire: des indiens aux chercheurs d’or en quête de fortune, en passant par l’occupation hispanique, vous croiserez au cours de votre road trip tout ce qui a construit l’Amérique. Et bien plus encore: visitez des mines, des villes tombées en désuétude après le tarissement des filons (villes fantômes), ou bien succombez au charme de celles qui survivent encore comme figées dans le temps. Partez à la découverte des peuples indiens fascinants, tout en allant à leur rencontre dans les réserves. Bref, l’Arizona offre à lui seul tout cela, et de vivre une expérience exceptionnelle !

L’imaginaire western à moto

L’Arizona regorge de sites plus fabuleux les uns que les autres. Si vous avez déjà découvert les plus connus et les plus emblématiques (Grand Canyon, Monument Valley…) dans nos précédents circuits, on vous offre ici le possibilité d’approfondir la découverte de cet état incomparable.
Le Saguarao National Park aux environs de Tucson, ça vous parle? Peut être pas et pourtant c’est là, dans le désert du Sonora que se trouve le seul endroit au monde où poussent ces cactus emblématiques (les Saguaros justement), reconnaissables à leurs silhouettes élancées. Et la ville de Tombstone? Non plus ? Et bien c’est là que s’est déroulé le fameux règlement de compte à OK Corral ! Tout un programme donc ! A vivre bien sûr au guidon d’une Harley Davidson pour profiter au maximum des routes scéniques.

On ne veut pas trop vous en dire plus ici, on vous laisse donc découvrir par vous même. Alors rendez-vous au plus vite sur le site pour découvrir ce nouveau joyau ! En formule accompagnée le 01 Novembre 2022 et si vous ne pouvez pas attendre d’ici là toujours en formule mototour !

Pour le transport  de vos bagages.

C’est définitivement une des bonnes raisons d’opter pour une formule accompagnée ! Savoir que tous les matins, on n’aura pas à jouer à Tetris avec ses bagages pour tout faire rentrer dans les sacoches / Top case est quand même un réel confort. Partir avec ce petit « ne sait-on jamais », avoir la place de ramener tous vos achats… Et puis, plus besoin de se limiter aux magnets pour les souvenirs, vous pourrez emmener et ramener ce que vous voudrez!

Pour la convivialité d’un petit groupe.

Chez nous la convivialité reste un maître mot, c’est pour cela que l’on limite la taille de nos groupes : 5 motos en moyenne et jusqu’à 8 motos-16 personnes maximum. Ainsi, vous pouvez rouler en groupe sans que cela ressemble à un cortège mais le vrai plus reste la flexibilité qu’apporte la petite taille de nos groupes, plus facile de s’accommoder des besoins de chacun avec un groupe restreint, idem pour la restauration cela reste forcément plus facile.

Pour ne rien manquer sur le parcours et bénéficier de conseils et bons plans que seul un passionné avisé peut transmettre.

Quand on part à l’étranger, on a toujours un peu peur de passer à côté du site incontournable, de l’attraction à voir, ou bien de louper LA route panoramique à ne pas manquer, surtout en voyage moto (avec entre autres, la pas si facile, Route 66). Avec un accompagnateur, fini le stress, connaissant parfaitement le circuit, il saura vous indiquer les arrêts sympas, la petite boutique originale pour les souvenirs ou encore le restaurant qui ne paye pas de mine et qui, pourtant est délicieux. Un vrai gain de temps et de tranquillité d’esprit pour un voyage réussi.

Pour que les passagers/ères puissent ponctuellement souffler dans le van.

Même en tant que passager un circuit peut être fatigant. Le van et notre accompagnateur vous suivant tout au long du parcours, vous pouvez si vous le souhaitez sur un moment ou une étape rejoindre le véhicule et profiter de la climatisation 😏 ou vous abriter de la pluie au besoin.

Pour votre sérénité et quiétude sur l’intégralité du circuit.

Nos guides/accompagnateurs sont français et bilingues. Ils sont là pour vous assister si vous en avez besoin, pour la traduction , la logistique… Plus d’angoisse de la barrière de la langue à l’enregistrement aux hôtels ou si vous avez un soucis sur place. Plus qu’une chose à dire: LAISSEZ-VOUS GUIDER !

NOTRE concept : la liberté et l’indépendance :

  • Pas de contrainte horaire,
  • Pas de file indienne,
  • Pas d’arrêt à la pompe en groupe imposé,
  • Dîners conseillés par votre accompagnateur (libre ou en groupe), etc.

    Bref vous faites ce que vous voulez mais en étant encadré.

Las Vegas est déjà un incontournable en soi (vous y passerez dans la plupart de nos circuits sur l’ouest américain). Ville du péché, de la démesure, des hôtels plus flamboyants les uns que les autres, mais Las Vegas, n’est pas qu’une ville de casinos, donc voici notre Top 10 des choses à ne pas manquer durant votre séjour :

1- Le panneau « Welcome To Fabulous Las Vegas »

On ne peut pas repartir de Las Vegas sans sa photo sous le mythique panneau. Il marque depuis 1959 l’entrée Sud du Strip de la ville (il a été déplacé plusieurs fois en fonction de l’extension) et n’est pas très loin de l’aéroport. La photo est gratuite mais il faudra être patient et faire la queue pour prendre la votre devant (ou bien se décaler un peu …). A moins que vous ne souhaitiez avoir Elvis Presley sur votre photo auquel cas, prévoir quelques dollars. En plus, le magasin Harley Davidson est juste derrière, une raison de plus pour ne pas le manquer ! (pour information, celui qui se trouvait à l’entrée du downtown été détruit et remplacé par d’autres symboles de Las Vegas notamment liés au jeu avec 2 show girls).

2- Le Strip et ses Resorts

Le Strip, c’est la fameuse artère principale du Las Vegas Boulevard, le long de laquelle se trouvent les plus importants hôtels-Casinos de la ville. S’y balader est un voyage en soi, chacun de ces mastodontes rivalisant en architecture et animations pour attirer le touriste. N’hésitez surtout pas en rentrer dedans pour admirer les décorations, y manger ou faire un tour dans les salles de jeux. Rendez-vous par exemple, au Bellagio pour découvrir son Jardin Botanique ou au Caesar Palace pour assister au spectacles de statues animées. Certains valent le détour d’autres moins mais honnêtement c’est toujours impressionnant, de la vrai démesure à l’américaine.

4- Les spectacles gratuits

Las Vegas est LA ville des spectacles par excellence, sans parler des grands shows (on vous en reparle plus bas) les hôtels vous proposent également des spectacles gratuits auxquels vous pouvez assister depuis le Strip. Le plus connu : les fontaines du Bellagio, un spectacle son et lumières toutes les 15 (le soir) à 30 min (en journée) que vous ne pouvez manquer! Ou encore rendez-vous devant Le Mirage pour vivre l’éruption d’un volcan artificiel (quand on vous dit qu’on est dans la démesure). A noter également, le Lake Of Dream du Wynn qui propose un spectacle son & lumières hallucinant sur sa cascade de 12m de haut.

5- Freemont Street et les plus vieux casinos

Le downtown de Las Vegas vaut aussi le détour, c’est le quartier historique de la ville. Un lieu un peu à part (d’ailleurs il a son propre panneau Welcome to Fabulous Downtown Las Vegas, si vous avez manqué l’autre) et est situé tout au nord du Strip, un peu moins lisse que la zone hôtelière au sud, plus artistique et décalé. C’est vraiment là que Sin City est née, et que l’on retrouve les plus anciens casinos de la ville, comme le mythique Golden Nuggets inauguré en 1946. Il est l’un des 4 casinos faisant l’angle avec la Freemont Street, une rue commerçante aujourd’hui piétonne et recouverte du plus grand écran à LED du monde, puisqu’il surplombe la rue sur près de 460m. La Freemont Street Expérience propose un spectacle son et lumière, toutes les heures au son du rock (Viva Vision Light Show) à voir plutôt de nuit pour la magie des lumières. Vous pouvez revoir également notre souvenir sur notre compte Instagram.

6- Des musées inattendues

C’est dans cette zone que l’on retrouve les musées de la ville. Les 2 incontournables pour nous : le Neon Museum, à faire à la tombée de la nuit pour encore plus de magie. Un musée en plein air dans lequel on se balade à travers les enseignes ayant fait les heures de gloire de la ville, du petit motels aux mythiques grandes enseignes, c’est un retour dans le passé illuminé. Autre excursion intéressante, le MOB Museum, consacré à l’histoire de la Mafia aux USA et surtout à ses activités dans le développement de la Sin City. Installé dans l’ancien palais de justice (ça ne s’invente pas), un musée très intéressant si vous avez 48h à Las Vegas.
Pour une autre visite insolite, rendez-vous au National Atomic Testing museum dédié aux essais nucléaires réalisés dans les déserts proches de Las Vegas des années 50 à 90. Ou bien au Old Las Vegas Mormon Fort State Historic park, là où la vrai histoire de Vegas à commencé en 1855.

7- Jouer au casino

Comment lutter ? Le jeu partout à Las Vegas… C’en est même la Capitale mondiale. Alors que vous soyez plus poker, roulette, dés ou bandit manchot il y en a pour tous les goûts (et toutes les bourses), attention à ne pas vous faire prendre par la folie du jeu ! Mais cela peut aussi s’avérer être un bon plan puisque les casinos, souhaitant vous voir rester à jouer vous offrent (pour la plupart) vos boissons (contre quelques tips à la serveuse ou serveur)

8- Prendre une pause

Las Vegas est une ville frénétique, ultra vivante et qui peut nous amener à saturer après le calme des parcs nationaux. Pourtant, il existe quand même des moyens de prendre une pause, au calme dans cette ville effrénée.
Pourquoi ne pas se faire une pause piscine et Spa ? Quasiment tous les hôtels ont leurs complexes aquatiques auxquels vous pouvez accéder (pour quelques dollars bien sûr), sans forcément être client de l’hôtel. Alors bien sûr, certaines piscine s’approchent plus d’une soirée à Ibiza que du calme et de la volupté, mais il existe bien quelques pépites de paix et de quiétude. Et si vous ne souhaitez pas vous baigner, pourquoi ne pas aller prendre un verre au Container Park (à l’est de Freemont Street) un mini quartier créé à partir d’une trentaine de containers de bateau et autre cubes modulables, abritant magasins, galerie, restaurants et bars bien sympas. Le soir, de nombreux événements gratuits y sont organisés comme des concerts ou des séances de cinéma en plein air. Vous ne pourrez pas le rater, il est surmonter d’une énorme mante religieuse, sortie tout droit du Burning man.

9- Se restaurer

On y pense pas forcement mais on peut très bien manger à Las Vegas, notamment avec les buffets des grands hôtels comme ceux du Caesar palace ou bien du Bellagio. Là encore, pas besoin d’être logé à l’hôtel pour en profiter. Pour une trentaine de dollars (le midi, un peu plus cher le soir), vous profitez d’une variété de choix extraordinaire et surtout à volonté! Mais la ville concentre également un nombre conséquent, d’adresses ouvertes par des célébrités du monde culinaire et entre autres de restaurants gastronomiques. Avec par exemple, le Joël Robuchon restaurant (au cœur du MGM Grand Hôtel), le seul qui affiche 3 étoiles au guide Michelin ou Le Cirque au Bellagio. Pour une restauration française plus simple (et meilleur marché) on peut citer Mon ami Gabi que l’on retrouve bien sûr, au Paris Hôtel.

10- Les spectacles

C’est bien connu, la ville dédiée à l’Entertainment accueille les plus grands shows de la planète. Et cela ne date pas d’hier, (on se rappellera les concerts donnés par Elvis Presley en 1969 au Hilton (aujourd’hui le Westgate), qui lui valent une jolie statue en bronze et des sosies un peu partout dans la ville). Sans parler de Céline Dion, on retrouve aujourd’hui des spectacles magistraux comme le spectacle « O » par le cirque du Soleil qui occupe la scène du Bellagio depuis 1998 ! Et ce n’est pas le seul puisque la compagnie présente aujourd’hui pas moins de 6 spectacles dans les différents hôtels du Strip (parmi lesquels Mickael Jackson One ou Beatles Love). C’est aussi le paradis de la Magie, et on ne compte plus les shows de magiciens dans la ville, avec notamment, sans doute le plus connu de tous: David Copperfield qui offre une représentation depuis 2006 au sein du MGM. Pour ces grosses affiches il vaut mieux réserver à l’avance, sinon faites confiance au hasard en achetant votre billet le jour même dans l’un des kiosques qui revendent les places non vendues à prix cassés.

Bonus: faire du shopping

Las Vegas est aussi la ville du shopping, elle compte pas moins de 3 outlets, de quoi faire de bonnes affaires durant votre séjour avec des marques à prix cassés. A Vegas, faire les boutiques est un show, comme par exemple au Miracle Miles Shop où l’on peut assister à la reconstitution d’une tempête en plein centre commercial ou au Fashion Show Mall qui accueille régulièrement des défilés haute couture au sein de la galerie. Pour un shopping chic, rendez-vous au Caesar Palace ou au Venitian pour faire vos achats dans un décors féérique. Et pourquoi pas faire un tour de gondole pour reposer vos jambes….Sinon pour le fun, ne manquez pas la boutique M&M’S World, un monument à la gloire de la fameuse friandise qui s’étend tout de même sur 4 étages! Juste à côté dans la même veine, vous trouverez le Coca-Cola Store pour une dégustation des goûts les plus improbables de la célèbre boisson et une photo souvenir avec le gros ours blanc.

Et voilà, vous êtes parés pour votre prochain voyage à Las Vegas. Mais si vous croyez que c’est tout ce que la ville a à vous offrir, vous vous trompez lourdement! Las Vegas est une ville de folie, alors vous vous doutez bien que là, on est resté très sage et que l’on vous garde nos insolites pour un prochain article… Alors ne perdez pas le fil et surveillez nos annonces du mercredi !

Pour rappel, chaque hôtel de Las Vegas applique des Resort Fees obligatoires (donnant accès au Wifi, à la salle de sport, au service de navettes… la composition et le prix diffèrent en fonction des hôtels) et la plupart des parkings des payants. A savoir également, pratique de plus en plus en plus commune aux resort de LV, les minibars dans votre chambre sont équipés de capteurs, le moindre article qui en est retiré vous sera donc facturé d’office (même si vous ne les consommez pas), il est donc important de vérifier votre facture au check-out (et faire la demande de remboursement des extras non utilisées) ou bien de ne pas les utiliser, pour éviter tout désagrément (des ice machines sont disponibles gratuitement avec des bacs à glaçons pour y mettre vos boissons ou autres).

On ne peut pas vraiment célébrer Halloween sans une bonne histoire de sorcières, et l’histoire la plus célèbre outre-Atlantique est sans nul doute celle des sorcières de Salem. Une bourgade du Massachussetts, tristement connue, que l’on vous propose de découvrir dans notre Nouveau Monde tours ainsi que dans notre New England Tours. Un arrêt incontournable dans la découverte de ces états de la Nouvelle-Angleterre, qui a profondément bouleversé l’Amérique.

D’où vient la célébrité de Salem ?

En 1692, dans la toute jeune colonie de la Nouvelle Angleterre eu lieu la chasse aux sorcières la plus importante de l’Amérique du nord. Dans les faits, 3 jeunes filles commencent à se comporter bizarrement, elles parlent une langue inconnue, trainent de pieds en marchant, sont victimes de convulsions et d’hallucinations. Le puritanisme étant très présent, on les croit possédées et on les presse de nommer qui les a maudites. S’ensuivront une série de procès où près de 300 personnes seront accusées et 20 personnes condamnées à mort !
Aujourd’hui encore, on n’explique pas cette hystérie collective qui a touché les jeunes filles. Entre ergotisme (intoxication à l’ergot de seigle, qui contient une substance voisine du LSD) et complot entre familles ennemies (après les procès les terres ont changés de propriétaires), l’énigme reste entière.

Pourquoi Salem est un incontournable dans un circuit à moto dans l’est des USA ?

Salem surfe encore aujourd’hui sur la vague de ce procès qui a entaché son histoire mais l’a aussi fait mondialement connaître. Ainsi quelques sites sont à prévoir pendant votre découverte de la ville:

  • le Salem Witch Musem : dans un  bâtiment gothique à souhait, on revient sur le déroulement du procès à travers des reconstitutions élaborées et des documents historiques.
  • Witch Dungeon Museum : pour une reconstitution du procès avec des acteurs et actrices en costumes d’époque.
  • The Witch House : un des rares bâtiments de l’époque encore debout, c’était  la maison de l’un des juges intransigeant des procès de Salem. Aujourd’hui la visite permet de revenir sur les conditions de vie des habitants de l’époque.
  • Et pour finir en beauté, passez par le cimetière d’Old Burying Point. Vous y trouverez les tombes de certaines personnes accusées à tort durant le procès.  Il semblerait que l’endroit où furent pendues les accusées se trouverait plutôt au niveau de Proctor’s ledge, un mémorial leur rend aujourd’hui hommage.
    Et c’est sans compter les nombreuses boutiques et autres attractions mineures consacrées à la sorcellerie.  

En outre, Salem est un ancien port de pêche plutôt prospère, il était même l’un des plus riches avant d’être supplanté par Boston ou New York, accueillant objets rares et épices du lointain Orient et même de Chine, assurant la richesse de ses habitants. La ville garde de beaux vestiges de son passé. Allez vous balader sur le port pour admirer la reconstitution d’un trois-mâts de l’époque ou bien dans le centre-ville sur Chestnut street pour découvrir les belles demeures encore aujourd’hui intactes. Un air de vieille Angleterre au bord de la mer. La plus célèbre est la House of Seven Gables (la maison au 7 pignons) qui est la plus vieille maison en bois de la Nouvelle Angleterre !

Alors pourquoi y aller pendant Halloween ? Tout simplement parce qu’à cette période de l’année (en fait pour tout le mois d’octobre) la ville revêt ses habits les plus « creepy » (sinistre) et célèbre les sorcières à travers expositions et animations. Et puis, elle est à seulement 40 min de Boston, cela serait dommage de s’en priver.

Vous pouvez également l’ajouter dans un circuit sur mesure, sur les pas des premiers pionniers de l’Amérique !

Sortons à nouveau des frontières US pour découvrir une autre destination dont on a encore peu parlé ici mais qui mérite elle aussi le détour : LE MEXIQUE ! Pyramides, ville coloniales et eau turquoise sont au programme, alors rendez-vous sur notre Yucatan Tours.

Un road trip moto au cœur de l’histoire maya et pas que …..

Comment ne pas parler des mayas quand on parle du Mexique ? Ils ont marqué l’histoire du pays mais laissent surtout aujourd’hui de magnifiques vestiges à explorer. Pyramides, temples et autres maisons sont à découvrir au cours de votre road trip. Passez par le site Chichen Itza et sa majestueuse pyramide qui est l’une des 7 nouvelles merveilles du monde. Ou par les sites d’Uxmal et Coba qui rendent toute leur majesté à cette culture disparue. Des expériences à vivre comme celle sur le site de Calakmul au cœur d’une réserve naturelle qui laisse sans voix tous les visiteurs du site. Et ce ne sont là que les plus gros, car le Mexique regorge de petits sites, plus confidentiels et moins touristiques à visiter. 

Le pays garde également les traces de son passé coloniale. Merida, Campeche, Valladolid… des villes qui présentent des maisons aux façades peintes en couleurs pastel, des églises baroques et rococo aux statues recouvertes d’or, des places de marché vivantes et des haciendas au goût d’ailleurs.  

Une virée moto au cœur de la nature

Car, ce qui fait la beauté du Mexique c’est avant tout sa biodiversité (à savoir que le pays abrite 10 à 12% de la biodiversité mondiale, ce qui en fait le quatrième pays le plus riche en biodiversité au monde !). Une jungle luxuriante à parcourir à moto pour rejoindre les sites, des animaux endémiques comme le Coati ou le Quetzal. Lors de vos balades, sur les sites ou si vous souhaitez vous aventurer dans les réserves naturelles, soyez attentifs, levez les yeux car la nature est omniprésente. Singe araignées, ocelots, jaguars et aras complètent le tableau (même si vous avez peu de chances de croiser les félins, gardez l’œil ouvert).

On ne peut pas parler de la nature au Mexique sans parler des cénotes. Des gouffres naturels remplis d’eau douce dans lesquels vous pourrez plonger avec délectation pour vous rafraichir. Ce réseau qui parcourt  le Yucatan, était considéré comme sacré pour les mayas qui les utilisait également comme réserve d’eau douce.

Rejoignez ensuite les plages de sables blancs léchées par les eaux turquoise de la Mer des Caraïbes pour aller à la rencontre des tortues de mer et autre dauphins. Et si vous n’en avez pas eu assez, rendez-vous dans les réserves de la biosphère de Calakmul ou Sian Ka’an pour une excursion à la découverte de leur nature si particulière.

Culture et gastronomie font forcément bon ménage au Mexique

On ne pouvait pas finir cet article sans vous parler de la gastronomie mexicaine !  Quesadillas, tacos, enchilladas, la liste est longue mais vous vous régalerez, faites nous confiance! Et puis il y a les fêtes locales, les mexicains aiment beaucoup faire la fête ! Le Mexique garde son passé coloniale et les plus grosses fêtes sont les fêtes religieuses ou issues de la religion: el dia de los muertos, le carnaval, la semana santa … Bref, les occasions ne manquent pas au cours de l’année, auxquelles peuvent s’ajouter les festivals en tout genre que les mexicains affectionnent : festival des oiseaux migrateurs, de la guitare ou dédiés à Cervantès, sans oublier celui de l’avocat, du maïs et autre mets locaux ….

Bref, un voyage fait de couleurs, de magie, d’émerveillement et de rencontres.

 

AH la Corse, un petit paradis à portée de main: la mer, la montagne et une savoureuse cuisine, on ne pouvait faire notre seul événement en France que là-bas… Il vous faut d’autres bonnes raisons ? Pas de soucis, alors en voici quelques unes:

Le tour du Cap Corse, un tour à moto mythique

Une petite île dans l’île, une bande de terre de 40 km de long pour 15 de large, et pourtant ce peu de km n’empêche pas de retrouver des paysages totalement différents d’un côté de l’autre. L’Est est plus plat, plus doux, pour commencer en douceur quand la côte ouest est plus abrupte et déchiquetée, façonnée par les vents. De petits villages, port de pêche, de criques en embouchures de torrent, les surprises au Cap Corse ne manquent pas. Et comme on vous parle toujours des US, on ne déroge pas à la règle puisque vous y retrouverez les maisons des américains, ces cap corsin partis faire fortune au XIV° siècle de l’autre côté de l’atlantique.

Le Nord Ouest, à ne pas négliger

Entre St Florent et l’Ile Rousse, passez par le désert des Agriates. Pas si désertique, mais plutôt déserté qui laisse toute la place au panorama. Forcément à apprécier depuis la belle route sinueuse qui court à travers le maquis. Une fois à l’ Ile Rousse, les options de routes (toutes plus sinueuses les unes que les autres) se multiplient. Rejoignez la vallée de l’Ascu pour une baignade de rivière bien méritée. Ou bien perdez-vous dans le maquis Corse sentant l’immortelle et les herbes, utilisées en huiles essentielles. Roulez à travers les oliviers et les figuiers de Barbarie, et enfin, profitez de la quiétude de Calvi pour vous dégourdir les jambes en baladant dans la citadelle.

La côte ouest, à moto c’est mieux !

Le mieux pour rejoindre le sud-ouest de l’île est encore de longer la côte ! Ok, ce n’est certainement pas le plus court, mais c’est le trajet qui vous offrira des routes sinueuses et des paysages à couper le souffle. Vous alternez entre maquis, côtes escarpées et mer méditerranée à l’horizon. Vous en demandez plus ? Et pourquoi pas la réserve de Scandola (reconnu patrimoine mondiale de l’Unesco) et les Calanches de Piana? Un des plus beau paysage de Corse, fait de granit rouge se jetant dans une mer turquoise à souhait et dont on peut vraiment apprécier toute la splendeur à moto. De petites zones sont aménagées sur le bord de la route, mais pas assez de place pour une voiture, alors à vous de jouer pour faire baver tout le monde avec vos photos de vacances ! Le sud-ouest est moins escarpée, mais pas moins intéressant pour autant. Entre stations balnéaires, villes historiques et plages de sable blond, vous aurez de quoi faire … Faites un arrêt au Lion de Roccapina (essayez de trouver la ressemblance), avant de rejoindre Bonifacio, la fameuse citadelle médiévale accrochée à son rocher.

L’intérieur de la Corse, un terrain de jeu pour les motos.

Vous l’aurez déjà remarqué, la Corse n’est pas vraiment un terrain plat. Qu’il s’agisse de monter à Corte ou bien aux Aiguilles de Bavella, ça tourne et ça grimpe ! Alors, entre gorges, montagnes, lacs, torrents, et troupeaux de cochons, prenez votre temps ! La route est en bonne état, et vous découvrez un nouveau panorama à chaque virage. Les villages s’égrènent et c’est sans doute l’occasion de goûter la fameuse charcuterie ou fromage Corse.

Bref, la Corse semble être inventée pour la moto, et surtout pour les motards. Il y en a pour tout le monde: que vous préfériez la côte, la montagne (et ses lacets), flâner dans des villages charmants, profiter de la gastronomie locale ou des plus beaux panoramas de France, vous trouverez forcément votre bonheur! Comme l’ont bien compris tous les passionnés qui nous rejoignent chaque année depuis plus de 20 ans sur la Corsica Road (anciennement Rock’N’Road Corsica) ! 🎸🏍
Une semaine en demi-pension dans la baie d’Ajaccio (ferry compris ou non selon la formule choisie), ponctuée de routes magnifiques et de concerts Rock pour animer vos soirées. Un ambiance conviviale si il en est pour découvrir dans les meilleures conditions l’Ile de beauté!

Un état, le fleuve le plus long d’Amérique du Nord, l’une des premières colonies et le berceau du blues, Le Mississippi regorge de trésors. Etat du sud authentique, aux traditions encore ancrées, à découvrir dans notre programme Magie du Sud Tours (et en partie dans notre Route du Blues Tours)  

Trajets historiques au guidon de votre moto

L’une des routes les plus mémorables de l’état est la Natchez Trace Parkway. Une ancienne piste indienne, utilisée par les colons pour traverser cette partie du pays, elle rejoint la ville de Natchez au sud-est de l’état du Mississippi, à la ville de Nashville au Tennessee.  Longue de 715 km, elle serpente au cœur de forêts et sous-bois luxuriants. C’est une part d’histoire à parcourir à moto. Une nature apaisante, jalonnée comme souvent de bornes, vous indiquant où vous en êtes. C’est surtout une route sur laquelle les camions sont interdits, où vous ne trouverez ni feu, ni stop, et interdit à la publicité (un vrai repos aux USA 😉) où il fait bon rouler à son rythme.

Commencez par la ville de Natchez, l’une des plus anciennes colonies européennes mais aussi le lieu où vous pourrez en apprendre plus sur les indiens qui peuplaient la région au Grand Village of Natchez Indians. Ce qui fait avant tout la réputation de Natchez, ce sont ces maisons Antebellum datant d’avant la guerre de Sécession (plus de 1000 bâtiments sont répertoriés au registre national). Continuez la route jusqu’à Jackson, la capitale de l’état, qui outre ses bâtiments coloniaux, vous plongera dans l’histoire des freedom riders se battant pour les droits civiques. Puis, vient Tupelo, une toute petite ville mais de renommée mondiale étant le lieu de naissance du King, avant de passer au Tennessee pour atteindre Nashville.

Une autre des routes mythiques qu’abrite le Mississippi est la fameuse US 61, de son petit surnom « The Blues Highway » (dont vous retrouvez l’histoire ici). Reliant La Nouvelle Orleans au Minnesota, elle est jalonnée de part d’histoire de ces hommes en quête de meilleur, chantant leur peine dans le blues. Clarksdale, Tunica, Indianola, Cleveland autant de noms qui résonne de notes de musique à nos oreilles (elle passe également par Natchez et Vicksburg pour les racines historiques).   

Au Mississippi, le blues se prend en intraveineuse

Ce qui fait surtout l’attrait du Mississippi, c’est bien sûr la musique. Ici le blues n’est pas une histoire de goût mais un état d’esprit. Pour les inconditionnels, les étapes importantes sont répertoriées par le Mississippi blues trail. Ne cherchez pas à tout faire, il y a des sites répertoriés même en Norvège et en France ! Mais à travers les champs de coton, les dépôts ferroviaires, les cimetières, les clubs et les églises, partez plutôt sur les traces des pionniers du blues comme Muddy Waters, Albert King ou B. B. King. Passez par Tunica au « Gateway to the Blues Museum » pour en apprendre plus sur la naissance du Blues, ou bien à Clarksdale où l’on trouve le fameux « Crossroad » où Robert Johnson aurait vendu son âme au diable contre sa virtuosité à la guitare et le Delta Blues Museum (avec un peu de chance, vous y serez au moment du Juke Joint Festival dont on vous a déjà parlé). A Indianola, on trouve le B.B King Museum et à Cleveland, le Grammy Museum qui rend hommage aux grands de ce style musical. Vous l’aurez compris les sites sont multiples et l’on ne peut pas en faire la liste ici, mais où que vous soyez au Mississippi, vous retrouverez des lieux liés à cette musique, des sites emblématiques aux petites anecdotes qui ont forgés l’histoire.

Pourtant, tous ces sites ne vous feront pas ressentir ce qu’est vraiment le blues, il faut l’expérimenter le vivre pour le comprendre. Et c’est dans les juke joints, les petits bars ou les grandes salles que cela se joue. Les scènes live se multiplient et chaque ville se revendique d’avoir les meilleures. Alors, ouvrez vos oreilles et profitez ! Et encore mieux si vous pouvez l’accompagner de la cuisine typique du sud.

Encore des hésitations pour visiter le Mississippi ? Vous pouvez additionner à ce voyage initiatique, les bayous du sud de l’état, les plages du Golfe du Mexique, et la proximité de La Louisiane et du Tennessee pour compléter le tableau ! Un état à découvrir donc de tout urgence sur notre site.  

Maui est l’une des plus belles îles de l’archipel d’Hawaï : Volcans, plages, baleines et bourgades paisibles…Que demander de plus ? Des routes sinueuses pour en profiter à moto  N’en dites pas plus, on a ce qu’il vous faut !

L’île de Maui fait partie de l’archipel des îles d’Hawaï, moins développée que Big Island, c’est la deuxième plus grande des îles, mais elle garde son charme et son authenticité. Et surtout, elle propose de magnifiques routes pour les motard(e)s que nous sommes ! Des routes sinueuses au cœur d’une nature luxuriante, longeant la plupart du temps un océan pacifique aux eaux d’un bleu profond. Bref, le Paradis. (Si, si puisqu’on vous le dit, la preuve l’un des parcs s’appelle le jardin d’Eden, ça ne s’invente pas !)

Routes sinueuses au cœur de la nature à moto

Il existe plusieurs routes panoramiques sur l’île de Maui, qui se concentrent principalement sur la côte Est, plus sauvage, plus escarpée, et donc plus propice aux routes jalonnées de virages. La plus connue est la Hāna Highway, une route légendaire qui longe quasiment toute la côte sud-est de l’île. Elle devient réellement intéressante à partir du kilomètre 0. Car oui comme la Blue Ridge Parkway, vous trouverez des jalons au fur et à mesure de votre progression jusqu’à la localité d’Hāna. C’est là, que vous attaquez les virages et petits ponts datant du début du siècle. Ne vous attendez pas à faire la course, la Hāna Highway se mérite et se déguste, et vous serez souvent obligés de réduire l’allure pour laisser passer ou se croiser avec les véhicules en face. Les ponts et certaines sections sont étroites, il faut se ranger sur le côté pour laisser passer vos compatriotes de voyage, mais cela ajoute au charme de la balade. Balade d’environ 100 km de long (ponctuée tout de même de 620 courbes et 59 ponts) sur laquelle il faut prévoir du temps pour découvrir les joyaux qu’elle a à offrir !

Dégainez l’appareil photo, et ouvrez les yeux : Les à-côtés de la route vous couperont le souffle au fur et à mesure du parcours ! Roulez dans une forêt vierge, admirez les fleurs tropicales et les cultures d’ananas ou de sucre de canne, arrêtez-vous pour vous rafraichir aux cascades enchanteresses, et aux plages de sables noirs ou rouges qui resteront gravées dans votre mémoire. Bref, une excursion à vivre sur toute la journée pour un profiter un maximum et vivre au rythme d’Hawaï.

Une île qui regorge d’attraction à découvrir à moto, bien sûr !

Et comme si cela ne suffisait pas, il existe d’autres routes panoramiques sur l’île : la Piilani Highway qui prolonge la Hāna Highway et longe la côte escarpée du sud de l’ile, la route qui mène au volcan Haleakala, ou la Kahekili Highway sur la côte nord, une des routes les plus sinueuses de l’le ! Vous aurez donc de quoi faire sur cette île aux accents magiques.

Loin des clichés du tourisme de masse et des chemises Hawaïennes, l’île de Maui est aussi un royaume pour le tourisme naturel. Entre randonnées au lever du jour pour admirer l’aube au sommet du volcan ou encore l’observation des baleines (surtout en hiver) ou dauphins, depuis un bateau, depuis la route ou même votre chambre d’hôtel. Maui est également le paradis des surfeurs, puisque c’est aux abords de celle-ci que se forme la fameuse « JAWS », l’une des plus gros vagues au monde, atteignant parfois 25m de hauteur ! Et tout ça sans compter les plages paradisiaques de l’ouest de l’ile, moins accidenté mais offrant de magnifiques plages de sables fins et invitant au repos et à la détente.  Vous l’aurez compris, elle regorge de trésors à découvrir et aller à la rencontre de ses habitants et de sa culture en fait également partie.  

L’ile est accessible après environ 5h de vol au départ de Los Angeles ou San Francisco. Une extension parfaite à un séjour en Californie, non ?
Contactez-nous pour de plus amples informations !

Voilà un nom qui appelle à la rêverie! Non, vous ne gagnerez pas un million de dollar en empruntant cette route, mais vous gagnerez des vues à couper le souffle sur des sommets vertigineux et des lacs de montagnes translucides. Un joyau à découvrir dans notre Colorado Tours

Une route historique à faire à moto.

La Million Dollar Highway est en fait une section de la US 550 qui relie Bernalillo au nord d’Albuquerque au nouveau Mexique, à la ville de Montrose au Colorado. Dans les faits cette section s’étend de la ville d’Ouray à celle de Silverton, et fait partie de la San Juan Skyway, une autre des routes scéniques que le Colorado a à offrir.

Il existe plusieurs légendes concernant le nom de cette portion : sa construction datant du début du XX° siècle aurait couté 1 million de dollar le mile, sa terre de remplissage serait chargée de minerai d’or, que vous ne prendriez pas cette route pour un million de dollar en hiver, ou encore que les vues depuis le Million Dollar highway valent des millions, et ça c’est sans doute la plus belle des légendes non ?

Construite entre 1888 et 1920 par l’ingénieur Otto Mears, elle suit d’anciennes routes de diligences et d’anciens sentiers de meutes, qui serpentaient au cœur de la montagne. C’est aussi une région qui connu son apogée avec une ruée vers l’argent et l’or à la fin des années 1800. Il fallait bien une route pour expédier le minerai… Aujourd’hui, des vestiges de ces villes victoriennes jalonnent la route. Villes fantômes ou encore vivante comme Silverton, sont de véritable musée au ciel ouvert, avec la plupart du temps les pics rocheux en arrière-plan ! Une expérience à ne pas manquer !    

L’itinéraire parfait à moto :  routes sinueuses, visites, et sensations fortes.

Avis aux amateurs, même si la section est plutôt courte (environ 40 km), elle offre des vues à couper le souffle et serpente à flanc de montagne sans garde-corps, vous permettant d’apercevoir le fond de la vallée à chaque virage.

En venant de Durango, le voyage commence à Silverton. Construite en 1874, ses bâtiments et son ambiance vous ramène à l’ancien temps. Pour ajouter au frisson, descendez dans les entrailles de la Terre : vous trouverez plusieurs mines à visiter pour en apprendre plus sur l’extraction du minerai et la vie que menaient les mineurs. Si vous n’en avez pas le temps à Silverton, pas de stress vous en verrez plusieurs sur le chemin et vous pourrez choisir celle qui vous convient !

Mais, il est temps de reprendre le guidon pour profiter de la route : le col de Red Mountains (à 3350m d’altitude) se profile à l’horizon : les couleurs de la terre ocre des Red Mountains se mélangent au vert des pins et au jaune des trembles à l’automne… Une véritable palette artistique ! Vous ne résisterez pas à l’arrêt photos !

Et c’est ensuite les gorges d’Uncompahgre qui s’offrent à vous, avec leurs couleurs sombres et ses chutes d’eau spectaculaires avant de rejoindre la petite ville d’Ouray. C’est là que le dénivelé devient abrupt et que le ravin borde la route. Dans un style mi -cowboy/mi-station de ski, vous pourrez vous y délasser dans les sources d’eau chaudes. Une fin de d’étape en beauté puisqu’elle est surnommée « le joyau des Rocheuses » ou la « Suisse de l’Amérique » (même si clairement on est loin des paysages helvétiques). Et pour vous récompenser, la ville propose une super brasserie avec un toit-terrasse pour déguster une bière locale avec une vue à couper le souffle sur les montagnes environnantes ou de super cookies au Mouse’s Chocolate and Cookies dont vous ne pourrez plus vous passer !

Et voilà, vous venez de parcourir l’une route les plus spectaculaires d’Amérique ! Et comme si cela ne suffisait pas la 550 reprend le relais à chaque bout de la Million Dollar Highway. De Durango (qui vaut aussi le détour) à Silverton, la route alterne lacs de montagnes (faites un arrêt au lac de Molas) et cols à plus de 4200 m. Au nord, après Ridgeway, vous pouvez récupérer la San Juan skyway (autoroute 145) avec l’imposante chaîne de Sneffels et la magnifique station de Telluride. Bref, de quoi découvrir le sud du Colorado sauvage et rouler sur les plus belles routes des USA.

A retrouver dans notre Colorado Tours, The Big Circle Tours ou Indian Tours.

On vous avez promis une petite pépite en nouveauté, la voici : l’Adventure Tours, qui porte bien son nom avec pour terrain de jeu la sublime Cordillères des Andes ! Un circuit en Trail, pour emprunter les pistes qui grimpent, au programme: 3 cols de montagnes, des routes mythiques dont la R40, sur les traces du Dakar. Bref suivez le guide:

Au cœur du Chili et de l’Argentine

Notre objectif est de découvrir leur riche culture. On commence dans la ville animée de Santiago, au Chili, l’une des villes les plus fascinantes d’Amérique latine. Puis, nous traverserons de spectaculaires paysages et belles vallées, dégusterons du vin sur l’un des meilleurs domaines viticoles du monde et finirons en beauté au bord de l’océan Pacifique et de ses superbes plages.

LE road trip moto avec les Andes pour décor, ça vous dit ?

On vous a déjà donné l’eau à la bouche avec notre précédent article sur l’Argentine (cf 10 bonne raisons de voyager en Argentine) mais il est temps de rentrer dans le vif du sujet. L’argentine et le Chili sont séparés par les montagnes les plus hautes du continent américain, alors question : pourquoi ne pas y monter pour profiter des meilleurs panoramas ?  La réponse est toute trouvée : notre Adventure tours, puisque nous vous proposons le passage de la frontière entre les 2 pays sur pas moins de 3 cols ! A vous, les routes sinueuses pour rejoindre ces cols à près de 5000m d’altitude qui vous couperont le souffle (dans les deux sens du terme pour le coup) au cœur d’une nature indomptée !

Là encore, l’asphalte se dérobe pour laisser la place à la piste. Notamment, pour rejoindre le Christo Redentor, symbole de la paix entre l’Argentine & le Chili, offrant évidemment de magnifiques vues …

On ne voulait pas se limiter au décor des Andes pour vous offrir un Road trip inoubliable. On y a ajouté :

  •  un soupçon de ville avec la découverte de la capitale du Chili : Santiago, de la ville coloniale de Mendoza et de la St Tropez chilienne, Vina Del Mar.
  • Complétez votre expérience avec l’opportunité de rouler le long des côtes escarpées du Pacifique, à la rencontre des pélicans et des lions de mer qui pullulent le long des baies.
  •  Additionnez cela, avec des dégustations dans les régions viticoles de Mendoza (rappelez-vous la route des vins présentée ici), de la Valle de la Maule (parce qu’après avoir gouter le vin argentin, il faut bien goûter le chilien, ne serait-ce que pour la comparaison 😉) et dans le village de Pisco Elqui, pour le Pisco (eau de vie de vin).
  •  Et enfin, soupoudrez le tout de magie en roulant sur l’une des routes les plus mythiques de l’Argentine : la Route 40 et sur les traces de Che Guevara au Chili, lorsqu’il était étudiant en médecine en 1952, et qu’il a parcouru une partie de l’Amérique Latine au guidon d’une Norton (Motorcycle Diaries).
    Vous avez là le cocktail parfait pour le meilleur des circuits !!

Découvrez sans attendre en détail le programme et la gamme de modèles proposés (BMW). Prochain départ 11 Février 2022 ou 18 Mars 2022 à réserver sans attendre : places LIMITEES !

Une ancienne route commerciale remplacée par une route plus passante, ça ne vous rappelle rien ? C’est pour ça que la Route 62 est souvent comparée à la Route 66, mais la comparaison s’arrête là ! C’est l’une des routes des vins les plus longues du monde. Embarquement immédiat pour l’un des itinéraires les plus pittoresques d’Afrique.

Au début de votre road trip moto, la route des vins

Au départ de votre road trip à moto, sur la Route 62, une visite de la région viticole s’impose ! Notamment à Franschhoek : pas tout à fait sur la 62 mais incontournable pour les chauvins que nous sommes ! Littéralement dans « le coin des français », et les noms évocateurs des vignobles sauront vous parler : Chamonix, Bourgogne, La Motte…. Comme c’est l’une des plus grandes routes des vins au monde, d’autres sites sont à visiter : Worcester, Wellington, ou encore Stellenbosch au style typiquement hollandais. Découverte gustative face à des paysages sublimes au programme! Cette région est le début de la Route 62, qui originalement rejoignait cette région viticole aux ports de l’océan indien. Après avoir passé Ashton, le vrai point de départ de la 62, première étape à Montagu, qui est « La » capitale de la 62. Une ville historique à l’architecture coloniale, et aux sources d’eaux chaudes invitant à la détente.

Déjà les montagnes de Langeberg, se profilent à l’horizon et promettent de rendre votre voyage à moto inoubliable. Mais vous n’aurez pas fini vos dégustations, puisque la zone viticole s’étend jusqu’à Calitzdorp, qui produit quant à elle du Porto et de l’eau de vie de raisin. Mais avant le Little karoo vous attend…

Rouler à moto au cœur de l’Afrique « far west« 

Ah, le Klein Karoo (le petit Karoo dont le nom signifie le pays de la soif), c’est là que le « Far west » commence, que les montagnes prennent des tons ocres qui rappellent les grandes formations rocheuses de l’ouest américain. Un paysage semi-aride alternant roches et zone verdoyantes. Et pourtant, le Klein Karoo est reconnu comme l’une des 26 meilleures zones au monde pour la diversité biologique !

C’est là que la route prend ses airs de 66, rien à l’horizon pendant des kilomètres, puis une petite boutique désuète fait son apparition sur le bord de la route… Arrêtez-vous au Karoo saloon ou au Ronnie Sex Shop pour vous désaltérer. Une ambiance à l’américaine qui rappelle les magasins de Williams ou Seligman… Ils adorent les bikers, alors un conseil, faites un stop, prenez une boisson fraiche et prenez le temps.

Des expériences atypiques

Si vous voyez de plus en plus d’autruches sur la route, ce n’est pas une lubie ou un signe de déshydratation, mais bien parce que vous vous approchez de LA capitale mondiale de l’autruche ! Bienvenue à Oudtshoorn ! Les élevages d’autruches y pullulent et ont fait sa renommée dans les années 1800 (quand la plume d’autruche était à la mode). L’occasion d’y visiter une ferme d’élevage pour en apprendre plus et surtout de goûter à sa gastronomie qui font également sa notoriété. Mais également de profiter de la douceur de vivre qui se dégage de la ville, à l’ombre de ses palais victoriens, vestiges de sa splendeur passée.  

A quelques kilomètres, n’oubliez pas de faire un détour par les « Cango Cave » puisqu’il s’agit de l’une des plus grandes caves du monde (près de 4 km de long !), une splendeur ! Pour les plus téméraires d’entre nous, privilégiez la visite « aventure », pour une visite spéléologique du lieu. Il faut ramper, escalader et pénétrer dans les galeries rétrécies, mais la visite vaut bien de se salir un peu …

La Route 62 peut aussi être le point de départ d’autres expériences Sud Africaine. A moins de 2h de son terminus à Humansdrop, se trouve l’Addo Elephant National Park. Un must forcément pour l’observation des éléphants dans leur environnement naturel. Mais aussi des autres animaux de la savane, protégés dans ce parc engagé pour la préservation de la biodiversité. Lions, léopards, buffles, hyènes, antilopes, zèbres et phacochères profitent également de cet eldorado. Elle rejoint également la Route des jardins (Nationale 2) qui longe la côte et offre des paysages somptueux, et l’une des route mythique qu’offre l’Afrique du Sud.

La Route 62 regorge de petits trésors, de vestiges du passé du pays et de surprises aux détours des virages et villages, moins connue que ses homologues (la routes des jardins, la routes des baleines ect …), elle mérite pourtant qu’on s’y attarde et qu’on y prenne le temps. En plus, elle mène au col de Swartberg, reconnu parmi les plus spectaculaire au monde! Mais attention, il est aussi parmi les plus sportifs, puisque non goudronnée.

Un road trip aux multiples facettes à découvrir de tout urgence, qui combine à cette magnifique route, la routes des vins, la route des jardins, la route des baleines et un safari à l’Addo Elephant Park ! => info et résa sur : Route 62 tours

Qu’est-ce que la Blue Ridge Parkway et surtout pourquoi vous faire un article dessus ? Tout simplement parce qu’elle est surnommée l’« America favorite » (littéralement route préférée de l’Amérique !). Et puis on a appelé l’un de nos dernier circuit « The Blue Ridge Tours » .Il y a forcément une raison à cela. Alors, en route !

Un saut dans le temps au guidon de sa moto.

Un road trip à moto dans l’Est et vous voilà au cœur de l’histoire de l’Amérique. Ici, les Appalaches, la première frontière du Grand Ouest pour les premiers colons , ou encore le point de départ du « Trail of Tears » (la piste des larmes, qui est le nom donné au déplacement des nations Cherokee pour rejoindre les réserves de l’Oklahoma) et de l’Appalachian Trail. Mais le plus important pour vous, reste que la Blue Ridge Parkway c’est 755 km de virages et de courbes au cœur de ces montagnes mythiques. C’est sous Roosevelt, qu’il fut décidé de créer une route panoramique que relierait le tout nouveau parc national de Shenandoah au Great Smoky Mountains (eux aussi bien connus et à découvrir également dans notre Blue Ridge Tours).

Débutée en 1936 et presque terminée en 1966, elle ne le sera finalement qu’en 1987 avec la construction du viaduc de Linn Cove ! Soit 52 ans pour la réalisation de cette route. Mais il y a une raison à cela, il fallait que la route laisse le moins de cicatrices possible dans le paysage somptueux des Appalaches, donc au lieu de couper à travers une crête il fut décidé de creuser des tunnels. Du coup, les poids lourds y sont interdits, pas de feux tricolores ou de stop ! Les seuls arrêts que vous ferez seront donc pour admirer le paysage ! Bref, un pur bonheur pour tous les motards.

Que voir lors de ce road trip moto dans les Appalaches ?

Car oui, le mieux pour découvrir cette route est de la parcourir à moto, sentir le vent et les odeurs de la forêt, avoir un champ de vision élargi pour profiter des tous les panoramas qui s’offrent à vous … et les américains l’ont bien compris puisque des milliers de motards s’y retrouvent chaque année pour en profiter (il est possible que vous y croiserez plus de motos que de voitures). Alors finalement qu’y a-t-il à découvrir sur ce superbe trajet ?

Déjà votre voyage commence au kilomètre 0, car vous trouverez tout le long de la route des jalons (appelés Milepost) : poteaux en béton avec un numéro vous indiquant la distance entre son point de départ à Waynesboro en Virginie et son point d’arrivée à Cherokee en Caroline du Nord. Bon, on ne va pas vous mentir, les points de vue sont beaucoup trop nombreux pour les lister ici. Vous les trouverez aux abords de la route, qui est très bien aménagée et qui vous permettra de vous garer en toute sécurité. Alors concentrons nous plutôt sur les sites et expériences à faire. Même si parfois il faut savoir sortir un peu de la Blue Ridge Parkway pour profiter de tout ce qu’elle a à nous offrir ! Voici quelques incontournables à ajouter sur votre liste :

Natural Bridge : une arche naturelle et le plus grand pont terrestre naturel du continent nord-américain. Site sur lequel Georges Washington alors jeune géomètre y aurait gravé ses initiales ! C’est également un site sacré pour les indiens Monocan.

Virginia’ Explore Park : un petit détour pour un voyage dans le temps, le parc possède une douzaine de maisons en rondins représentative de la vie au début de la colonisation.

Mabry Mills : peut-être l’image la plus représentative de la Blue Ridge Parkway, un ancien moulin à eau tout en bois converti en éco-musée. Ce n’est d’ailleurs pas le seul témoignage du passé sur la route, donc gardez l’œil ouvert !

Blue Ridge Music Center : une pause musicale pour la découverte de la musique américaine traditionnelle. Le petit plus :  son amphithéâtre extérieur pour assister à un concert de bluegrass ou de blues.

Blowing rock : un peu en dehors de la Blue Ridge Parkway, mais le site vous promet une vue à couper le souffle. Ne serait-ce que pour en apprendre plus sur la légende indienne qui l’accompagne !

Linn Cove Viaduc : là encore une figure emblématique du parc puisque c’est cette jonction qui marquera l’achèvement de cette route scénique.

Les chutes de Linville : c’est la cascade la plus spectaculaire de la Blue Ridge, une belle pause nature pour se dégourdir les jambes (la cascade est accessible par un sentier).  

Sans compter les détours, vous atteignez maintenant le point le plus haut de la Blue Ridge Parkway : le Richland Balsam Overlook (à environ 1850m d’altitude) avant de terminer cette magnifique traversée dans la ville de Cherokee, bien sûr appartenant aux indiens du même nom.

Mais quelques détours sont à noter sur cette partie de la Blue Ridge Parkway, aux alentours de Asheville (soit dit en passant, la ville est très sympa et très animée sans doute en raison, des presque 100 brasseries que compte la ville… 😉). Chimney Rock, pour l’une des plus belles vues sur les Appalaches, et le « Wheels Through Time Motorcycle Museum » pour plonger dans l’histoire de la moto américaine sont ajoutés à votre bucket list, histoire de conclure ce road trip moto tout en beauté !

Vous l’aurez compris, on ne s’est pas étendu, parce que c’est clairement ce n’est que le quart de ce que vous pourrez découvrir le long de la Blue Ridge Parkway. Et si elle est si réputée, c’est bien qu’elle a beaucoup plus à vous offrir ! Tout cela bien sûr, sans compter les dizaines d’animaux que vous pourrez observer tout au long de votre voyage à moto. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle est limitée à 45 mph (environ 70 km/h), mais aussi parce qu’elle impose de prendre son temps et de la savourer ! Un bonbon donc à déguster sans modération => « Blue Ridge Tours ».

Départ pour l’Amérique du sud à la découverte de l’Argentine. Un pays authentique aux traditions ancrées et paysages somptueux. A découvrir à moto, pour une approche profonde & atypique, d’une rare diversité. L’Argentine à moto vous tente mais vous n’êtes pas complétement convaincu, voici 10 bonnes excuses pour finir de vous convaincre :

1. Pour savoir ce que ça fait d’être vraiment seul au monde

Avec un pays grand comme 5x la France, traversé par la Cordillère des Andes et 16 habitants au Km², vous ne risquez pas de déranger les voisins ! Que ce soit en off road ou sur la route, à vous, les grands espaces et la nature pour vous seul ! Un rêve pour tous les motards amoureux de grandes étendues.

2. Pour vibrer avec les locaux

Les argentins sont réputés pour leur accueil et gentillesse. Ils sont très chaleureux et vous inviteront facilement à boire le maté (boisson locale énergisante) avec eux. En plus, ils aiment beaucoup la moto et aller à la rencontre des étrangers, donc vous ne devriez pas avoir de mal à lier des liens facilement. Et si c’est une période de match de foot (élevé au rang de religion dans le pays), cela devrait être encore plus facile !

3. Pour flâner dans les villes coloniales

Entre églises flamboyantes et maisons colorées, prenez le temps de flânez sur les grandes places arborées à la découverte du passé coloniale du pays. Que ce soit à Salta la Linda (la belle), à Cayafate ou encore San Carlos de Bariloche aux airs de petite Suisse, profitez de ces villes au charme indéniable pour vivre un retour dans le passé.

4. Pour s’émerveiller devant la diversité des paysages

Terre de contraste, l’Argentine reste un pays sauvage et indompté à parcourir à moto, pour en prendre toute la mesure. Des canyons, des montagnes, des déserts, des lacs, des plaines fertiles… L’assurance de sensation extraordinaires !

5. Pour parcourir des Routes mythiques

Et oui, l’Argentine aussi a ses routes mythiques: la fameuse Route 40, parcourant le pays du sud au nord, qui donne accès à 5 des 9 merveilles naturelles inscrites au patrimoine de l’UNESCO, et pas moins de 19 parcs nationaux ! Ici, encore une route des vins (vous allez commencer à penser que c’est une obsession 😊) qui vaut le détour. Les Argentins ont joué le jeu et classent maintenant leurs vins parmi les meilleurs du monde, alors arrêtez-vous pour déguster leur petites pépites (avec modération bien sûr).
Vous pourrez également vous émerveillez devant les routes traversant les Andes, sur les routes de Patagonie… Bref, un formidable terrain de jeu pour tous motards !

6. Pour déguster la meilleur viande de votre vie.

Avis aux carnivores! Les argentins sont réputés pour leurs viandes exceptionnelles et pour être les rois du barbecue. Mais également pour leurs empanadas (sorte de chausson à la viande), pour le Dulche de Leche (sorte de caramel onctueux) et bien d’autres spécialités à découvrir durant votre road trip moto. Ah et ici la pause goûter est un rituel observé avec art par les Argentins, l’occasion de goûter avec eux de bonnes facturas ! (de petites pâtisseries à partager)

7. Pour s’enflammer sur un tango

Que serait l’Argentine sans le Tango? Maintenant patrimoine immatériel de l’UNESCO, il s’entend partout, à tout moment de la journée, dans la rue dans les petits villages, et comme les argentins aiment faire la fête et danser, vous n’y échapperez pas !  

8. Pour découvrir une culture passionnante

L’argentine est une terre de traditions et d’authenticité. Entre sites indiens incas et villes au passé colonial, vous découvrirez des vestiges exceptionnels qui ponctuent le temps passé à moto. Mais l’Argentine c’est aussi rencontrer des gauchos dans leur ranch, participer à l’un de leur barbecue ou diner dans une parilladas, qui sont autant d’expériences à vivre pendant votre road trip moto.

9. Pour narguer sa famille et ses amis en plein hiver.

En Argentine qui est dans l’hémisphère sud, les saisons sont inversées donc une bonne raison de se dépayser au soleil en plein hiver européen ! Vous trouverez même un climat « subtropical » dans le nord du pays. Au sud, l’influence de l’arctique se fait sentir au point d’appeler ce climat plus frais « subarctique« .

10. Pour découvrir un autre espace-temps / être plus relax

Ici, la notion du temps prend un tout autre sens. L’argentin est beaucoup plus relax, même à Buenos Aires, on prend son temps ! Donc si vous avez des notion d’espagnol et que l’on vous dit «Ahora » ne le prenez pas comme « maintenant » mais plutôt pour « dans le courant de la journée ». De quoi relativiser … et PROFITER pleinement.

Et si vous faut encore d’autres raisons, on peut citer la faune abondante que vous ne manquerez pas de croiser lors de votre road trip, l’attrait incontestable de Buenos Aires, capitale multiculturelle, dynamique et pleine de charme. C’est aussi le pays le plus sûr de l’Amérique latine, pour lequel il n’y a pas besoin de visa et le décalage horaire n’est que de 4h !
Là, franchement, aucun doute, l‘Argentine est à rajouter d’urgence à votre liste de destinations incontournables et histoire de peaufiner le rêve, rendez-vous sur notre circuit pour un road trip d’anthologie sur une partie de la légendaire Route 40.

On vous explique pourquoi ci-dessous. Rassemblant tous les superlatifs, avec une superficie supérieure à la Corse (avec près de 9000 km²), s’étalant sur 3 états, Yellowstone est le parc le plus important des USA (et le plus vieux). Un incontournable du Grand Ouest, auquel il faut savoir consacrer du temps pour en apprécier toutes les merveilles. Patrimoine mondiale de l’UNESCO depuis 1978, il abrite une nature hors norme et préservée.

Pour les merveilles naturelles à découvrir au guidon de votre moto.

Vous saviez que Yellowstone est situé sur un super volcan ? C’est pour cela que le parc a une physionomie si particulière, des paysages déchirés et activité géothermique hors normes. La route panoramique appelée « Grand Loop Road » permet de rejoindre facilement les plus grands sites. Attention toutefois, car elle fait tout de même 248 km de long, mais elle vous promet une très belle balade à moto !

Les grands joyaux du parc sont bien sûr les geysers et les sources d’eau chaude, puisque Yellowstone abrite la plus grande concentration de geyser au monde !

En empruntant la porte Nord (en venant de Gardiner), la première attraction à laquelle il faut faire une halte, se situe au niveau des Mammoth Hot Springs. Un édifice de calcaire créée par les sources d’eau chaude. Elles ont formé au fil des âges des bassins, vasques et terrasses pour former un paysage enchanteur.  

Les principaux pôles d’attraction se situent ensuite au sud-ouest du parc dans le secteur de Madison. Le plus célèbre est le Grand Prismatic spring avec ses couleurs ahurissantes et sans doute le site le plus photographié (et photogénique du parc). Un arrêt obligatoire lors de votre découverte de Yellowstone! Un bassin d’eau chauffé à plus de 70° autour duquel se développe des bactéries, lui donnant ses couleurs si caractéristiques !

Un autre joyau vous attend un peu plus loin : le Old faithful Geyser. Littéralement appelé le vieux fidèle, ce geyser envoie un jet d’eau (allant de 32 à 56 mètres) avec une régularité impressionnante. (Environ toutes les 90 min, renseignez-vous au Visitor center qui vous donnera l’heure approximative de la prochaine éruption). D’ailleurs, jetez un coup d’œil au Old Faithful Inn, un hôtel construit à quelques mètres de là au début du XX° siècle et qui est reconnu pour être la plus grande bâtisse en bois du monde !

Ce sont là les plus connus, mais vous êtes à ce moment-là dans la zone la plus géothermique de Yellowstone. Et les geysers de la zone de l’Upper Geyser Basin ne manquent pas. Faites un arrêt au Grand Geyser, au Riverside geyser ou encore le Castle geyser avec son grondement impressionnant. L’ensemble est très bien aménagé avec des pontons en bois qui vous permettront de profiter du spectacle. Et pour couronner votre visite, rejoignez la Morning Glory Pool, un bassin d’eau chaude aux couleurs hypnotiques.

Pour la flore spécifique du parc, un must en voyage à moto

Quand vous visitez le parc de Yellowstone, vous emprunterez forcément la Grand Loop Road au guidon de votre moto, pourquoi Loop ? Parce qu’elle forme un 8, soit deux boucles déterminant quasiment les deux sortes de paysage du parc. Au Nord, celui-ci est plus montagneux, regroupant les points culminants du parc, le canyon et les forêts de conifères. Au sud, le paysage est plus aride plus rocailleux, mais offre également des panoramas à couper le souffle.

Yellowstone abrite pas moins de 1700 espèces endémiques d’arbres et de plantes, allant de la fougère préhistorique au pin douglas de plusieurs mètres de haut. Vous pourrez observer toutes ces espèces au cours de votre visite du parc à moto. Car le tour des merveilles qu’il abrite, n’est pas terminé :

Rejoignez le canyon de Yellowstone (le parc tient d’ailleurs son nom de la roche jaune qui le compose) qui se trouve quasiment au milieu du parc. Long de 38km avec une profondeur allant jusqu’à 1400m, il rappellera à certains son grand frère du Sud. On y trouve également deux chutes d’eau impressionnantes observables facilement depuis les points de vue aménagés.

Pour continuer dans les paysages splendides, rendez-vous au Duraven pass, le point le plus haut du parc, puisque le col culmine à 2 706 mètres d’altitude. La route vous offrira donc de jolis point de vue sur la vallée et sur le Mont Washburn qui atteint lui, 3122 mètres d’altitude. De quoi prévoir de beaux arrêt au guidon de votre moto (Attention, cette route sera fermé en 2021-2022 pour rénovation.).

A l’est, se trouvent les grandes vallées de Lamar et Hayden, mais on en reparlera plus tard.

Plus au sud, faites un tour au bord du lac de Yellowstone, un lieu tranquille aux eaux translucides mais où l’on ressent aussi l’activité géothermique du parc. Large de 32 km à certain endroit, cette presque mer intérieure est l’endroit parfait pour un pique-nique au calme.

Pour vivre des expériences atypiques à moto

C’est là qu’on vous reparle des fameuses vallées ! Hayden Valley et Lamar Valley sont les secteurs du parc où vous aurez le plus de chances d’observer les animaux ! Car oui, le parc de Yellowstone est un véritable zoo à ciel ouvert ! que vous pouvez parcourir à moto.

La faune de Yellowstone, est l’une des importantes des USA. Dans ce parc naturel protégé, elle se développe et s’épanouit et vous pouvez l’observer directement au guidon de votre moto. Bisons, wapitis, et cerfs-mulets mais aussi marmottes, renards, et autres picas sont facilement observables, même au guidon de votre moto.

Si vous avez beaucoup de chances vous pouvez observer également des orignaux, des ours noirs, des grizzlis et même des loups mais prévoyez les jumelles, ces espèces sont très timides (et soyons honnêtes peu de chance de croiser des loups en été).

Surtout, si vous voyez un bouchon, ralentissez ! Car au bout, il y a souvent des animaux à observer. De plus, on vous conseille d’arpenter ces zones tôt le matin ou tard le soir pour multiplier vos chances d’observation. Même si les premiers ne sont pas farouches (vous verrez très souvent des bisons sur la route). La vie sauvage préfère tout de même ces périodes pour se désaltérer et profiter du calme du parc, et vous verrez que vous aussi.

Pour les alentours du parc: routes scéniques et parcs nationaux à parcourir à moto.

Vous connaissez notre amour pour vous faire découvrir les plus belles routes scéniques et surtout à moto pour profiter de chaque virage et chaque point de vue. Alors, vous êtes au bon endroit car deux magnifiques routes scénique permettent de rejoindre la porte Nord-Est du Parc de Yellowstone!

La première, la Dead Indian Hill road vous mène de Cody à la ville de Cooke city. Une route de montagne splendide à parcourir sans modération.

Sinon cap sur Red Lodge plus au nord pour emprunter la Beartooth Highway, l’une des plus belle route des USA. 111 km de merveilles, de courbes et de virages au cœur des plus belles montagnes. Plus haute que sa petite sœur puisqu’elle culmine à 3345m (elle est d’ailleurs fermée une partie de l’année), il faut prévoir la petite laine pour l’emprunter mais c’est un pur bonheur, on vous le garanti !

Les alentours de Yellowstone valent également le coup d’œil. La ville de Cody, ville de Buffalo Bill, n’est qu’à quelques tours de roues des entrées de l’est et vous ne pouvez pas passer à côté. C’est peut-être également l’occasion d’assister à un des rodéos qui ont lieu tout l’été.

Par la porte Sud du parc de Yellowstone, vous rejoignez directement le parc national des grands Tétons, avec ses sommets enneigés qui vous accompagnent tout au long de la route pour rejoindre la ville de Jackson Hole. Complétement différent de Yellowstone, il vaut également le coup d’œil et fait partie des plus beaux paysages du grand ouest.

Le parc de Yellowstone, est un voyage en soi, un voyage au cœur de la terre, et dont vous ne reviendrez pas indemne. Un voyage à faire évidemment à moto, que l’on retrouve notre évènement « Sturgis Rally » (dont on vous a parlé la semaine dernière ) mais également via notre circuit « Rocky Mountain Tours » et le « Far West Tours ». Vous avez donc l’embarras du choix pour visiter ce joyau américain.

Sturgis, l’un des plus grands rassemblement de motard des USA (voir du monde). Une expérience en soi que chacun veut expérimenter au moins une fois dans sa vie ! Et ce n’est pas le ½ million de bikers passionnés, qui s’y retrouvent chaque année, qui diront le contraire. Retour sur cet évènement légendaire :

Les origines de l’une des plus vieille concentration de biker.

En 1936, en pleine dépression, Clarence « Pappy » Hoel (un nom à retenir), ouvre une concession Indian dans la petite ville de Sturgis (au fin fond du Dakota du Sud, donc pas très connu comme ville à l’origine), et fonde au passage le Jackpine Gypsies Motorcycle Club.  2 ans plus tard, pour attirer du monde et faire tourner les affaires, il organise le premier rassemblement moto de Sturgis : le Black Hills Classic. Au départ, 9 concurrents devant environ 200 spectateurs, pour une course de half mile en dirt track (un anneau d’un demi mile en terre battue). Pas de quoi bouleverser la petite ville tranquille, mais d’année en année, l’événement prend de l’ampleur (la seule année sans, sera 1942 pour soutenir l’effort de guerre).

D’une Main Street fermée 2 h pour la remise des prix, on en est maintenant à 10 jours de fête, de show et de parade. D’ailleurs, c’est au début des années 60 que le Sturgis Rally connaitra son véritable essor : on n’y vient moins pour les courses, mais bien pour faire la fête et de belles balades dans la région. Le coin regorge de multiples parcs ou autres attractions, donc idéal pour un roadtrip moto. La ville en a d’ailleurs bien conscience (cela représente aujourd’hui 65% des leurs revenus annuels) et fait donc tout pour que l’accueil des motards se passe au mieux. L’événement est si important que vous pouvez vous offrir une tournée des bars VIP avec le maire ! (Il fait également un tournoi de golf, mais pas sûr que cela vous intéresse…)

Une expérience immanquable pour les motards.

Sturgis, c’est un peu la Mecque des bikers, un pèlerinage dans les montagnes sacrées des Black Hills pour tout biker qui se respecte. Mais bien sûr, ce qui fait la réputation de Sturgis, c’est son ambiance, ses bars et son bike show. Ici, le custom est Roi et il n’est pas encore si vieux le temps où l’on brulait de la japonaise…

Déjà sur la route, l’approche du rassemblement se fait sentir, les voitures laissent places aux motos, de plus en plus de motos… Car ce sont plus de 500 000 (voire 750 000 pour le record de 2015) qui convergent pour rejoindre la Bike Week tant attendue. De quoi, près d’une centaine de kilomètres avant, se mettre dans l’ambiance !

C’est aussi l’occasion d’assister à la mythique rivalité des belles américaines, que sont : Harley Davidson et Indian Motorcycles bien sûr ! Les 2 géants se livrent bataillent depuis plus d’un siècle maintenant, et Indian ressuscité en 2011 (devenue une filiale de Polaris), se fait maintenant la part belle dans ces concentres…

Sur place, vous trouverez forcément de quoi vous occuper : concours de custom, concours de moustache et de barbe, exploits à moto et tournois de Poker sont là pour assurer le show. Participez aux runs en journée et aux concerts en soirée, pour ressentir toute la ferveur que suscite cet événement et graver ces moments inoubliables dans votre mémoire !

Et si vous n’avez jamais vu une Harley voler, c’est le moment, avec le saut de Cole Freeman au-dessus de la Main street en guise de cérémonie d’ouverture, un vrai show à l’américaine !

Un mototrip en formule accompagnée pour ne rien manquer !

Evidemment, on ne pouvait pas manquer de vous concocter non pas une, mais deux formules pour profiter de ce rassemblement moto hors normes ! Parce que, le Sturgis Rally, ce n’est pas seulement vivre une semaine entre biker, mais bien s’imprégner de toute l’atmosphère des états du Grand Ouest américain. Traverser les grandes plaines, croiser des bisons et saluer les Présidents du Mont Rushmore, tout cela fait aussi parti du voyage ! Et en toute sérénité, grâce à notre organisation, avec un guide accompagnateur francophone bilingue, (pour la gestion des bagages, assistance…), et qui assure également la permanence pendant la concentration pour vous indiquer toutes les bonnes adresses & bons plans ! 

Sturgis Rally FN°1: 14 jours, au départ de Denver, en passant par les plus grands sites du Far West : Cheyenne (dont on vous a parlé ici il y a deux semaines), les Black Hills, le Mont Rushmore, Cody, le parc de Yellowstone, et vous pourrez même terminer en apothéose avec le lac salé de Bonneville, avant de rejoindre Salt Lake City.

Sturgis Rally FN°2 : Pour ceux qui ont plus de temps, optez pour notre programme de 17 jours, partant d’Albuquerque, pour ajouter la Route 66 (le tronçon originel de Santa Fe), la Turquoise Trail et les trésors du Colorado à votre séjour.

Et si vous ne pouvez pas être à Sturgis au moment de Bike Week, sachez que notre Far West Tours passe également par la ville, histoire de la découvrir un peu plus au calme !

Vous vous demandez surement pourquoi un second article (cf notre premier article ici) sur comment bien choisir sa location de moto pour faire un mototrip dans l’ouest des Etats-Unis ? Tout simplement parce que les routes ne sont pas les mêmes …. Si la Route 66 est plutôt composée de lignes droites, les courbes généreuses du grand ouest sont à prendre en compte. Plus de détails & conseils sur ces jolies cylindrées :

L’ouest américain avec une moto « routière »

En américaine pour le mythe

Comme pour la Route 66, quoi de mieux qu’une moto américaine pour des routes américaines ? Les Harley Davidson ont été crées pour ces routes et s’y adaptent parfaitement. Comme vous avez pu lire ou relire dans notre précédent article le choix le plus judicieux se porte sur les grosses cylindrées:
– l’Electra Glide, la Street Glide GT & la Road Glide GT (grand touring avec topcase, de même sur les ultra édition) chez Harley Davidson,
pour leur confort (surtout si vous êtes 2, votre passagère vous en remerciera), et leur capacité de bagages (le top case vous permet, entre autres, de vous libérer de votre casque pour les visites et autres pauses photos), mais aussi pour toutes les options qu’elles comportent :

  • Le GPS, pour ne pas se perdre et profiter au mieux des nombreux sites à visiter (également disponible sur la Street Glide et Road Glide classic)
  • La radio pour le plaisir d’un bon rock (ou autre) sur les routes menant aux plus beaux lieux de l’ouest américain.
  • Le Bluetooth et un port USB pour y connecter vos propres appareils.

De vrai machines de guerre roulantes, mais ce qui implique également un poids important sur la fourche. Elles sont également plus larges et un peu plus hautes, on vous les conseillent si vous faites au moins 1 m70 pour une bonne prise en main, en ayant les pieds bien posés au sol pour manœuvrer à l’arrêt, le reste du temps se sont de vrais vélos (si, si on vous assure !).

Et pour encore plus d’équipement et de prestige, les gammes CVO (chez Harley), vous offrent le meilleur de ces motos emblématiques, (disponible seulement dans certains centres de location avec supplément, nous consulter).

Dans un esprit plus sportif la Yamaha FJR 1300 et la BMW 1200 (ou 1250) RT peuvent également répondre à vos attentes. Sans top case, elles vous permettront tout de même de ranger  vos affaires dans leurs sacoches latérales, tout en gardant une capacité de réservoir plus que raisonnable avec près de 25L. Mais elles sont réservées au plus grands d’entre nous avec une hauteur de selle à plus de 80 cm !

Voyager à moto dans l’ouest des Etats-Unis avec une moto de gabarit moyen.

Si vous ne vous sentez pas de conduire de si grosses et donc lourdes montures, vous pouvez vous tourner vers la gamme appelée classic. Avec un look Old Fashionned, rappelant les cylindrées d’après-guerre, l’Heritage softail, donnera un cachet à votre voyage. Plus retro, elle conserve tout de même des sacoches et un parebrise haut pour le confort des longs trajets. A elles ont une garde au sol basse, pouvant faire quelques étincelles dans les lacets. Un sissi bar (dossier) sera ajouté si vous souhaitez voyager avec un passager. La fourche dégagée et allégée fait qu’elles sont aussi plus maniables pour les manœuvres lors de vos arrêts photos. Il est à noter toutefois que cet allégement se fait au détriment des options bien pratiques des routières, donc pas de GPS, Radio ou Bluetooth, seulement le bruit de la route sous vos pneus. Les réservoirs sont également un peu plus petits (21 et 19 litres contre les 23L des premières), tout comme leur hauteur de selle, plus basse qui offrira une meilleure prise en main.

L’ouest américain en solo ou avec une moto plus légère.

Si là encore les 350 à 400 kg affichées des précédentes motos vous font peur, si vous êtes en formule accompagnée ou si vous n’avez pas de passager(e) et que vous souhaitez une moto plus épurée, la solution existe ! (Forcément on a toujours une solution à vous proposer 😊). Pour encore plus léger, et plus petit, on retrouve chez Harley la Street Bob, ou encore la Bolt de chez Yamaha, mais il faut penser que le réservoir de 3.3 gallons (12.5 litres) peut être handicapant dans votre aventure, surtout si vous roulez avec un groupe… Ces motos moins adaptées aux longs roadtrip ne sont disponibles que dans certaines stations de location. Nous consulter pour connaitre leur disponibilités.

Les « sportives » sont également envisageables selon votre point de départ.

Vous souhaitez faire l’ouest américain en trail ?

Pas de problème là encore, et vous pourrez même garder le mythe avec la toute nouvelle Pan America développée par Harley Davidson ! (Oui, on ne lâche pas l’affaire, mais rouler aux USA en américaine ça en jette quand même non ?). Ne vous inquiétez pas les fameuses BMW 1200 (et 1250) GS sont également disponibles.

Et pour les permis A2, une solution pour faire roadtrip dans l’ouest américain ?

Soyons clairs, les américaines ne sont pas des petites cylindrées, donc un peu compliqué de conjuguer le mythe avec votre désir de voyager. Nous conseillons de patienter jusqu’à l’obtention de votre passerelle (donc de passer en permis A) pour organiser votre roadtrip et profiter au mieux du choix offert ci-dessus.

Si on résume :
Les routières et les classic sont toutes équipées de sacoches, porte bagages et parebrise (un ajout de sissibar est possible également).
Pour une plus grande capacité de bagages (avec topcase et porte bagages au dessus) se diriger vers les Electra Glide, Street Glide Grand Touring, Road Glide Grand Touring, Roadmaster, Pursuit et R18 Transcontinental ou Goldwing.
Pour les options GPS, radio, bluethooth, les mêmes que ci-dessus, auxquelles on ajoute la Street Glide Classic (sans topcase), Road Glide classic, Challenger, Chieftain.

Vous avez maintenant en main touts les cartes pour faire votre choix ! Pensez bien que votre confort de conduite est le point primordial de votre choix, le kilométrage d’un road trip aux USA étant plus élevé qu’en Europe. Vous devez donc être à l’aise au guidon de votre moto mais attention toutefois, connaître ses limites c’est bien, mais n’ayez pas non plus d’appréhension qu’il n’en faut (vous obligeant ainsi  à choisir un petit modèle pouvant occasionner plus d’inconvénient que de plaisir). Vous avez encore un doute ? Nous restons à votre entière disposition pour vous conseiller au mieux et faire ainsi de votre voyage, un superbe souvenir à jamais graver dans votre mémoire. Vous êtes à un clic de réaliser votre rêve …

Vous n’en avez pas entendu parler ? Les « Cheyenne Frontier Days » c’est LE festival américain pour voyager dans le temps à l’époque du Far West. Bref, une expérience authentique à ne pas manquer durant cette tradition annuelle et à combiner avec de nombreux sites à proximité. On vous explique tout ci-dessous :

Immersion chez les cowboys

Vivre les Frontier Day c’est revivre le Far West avec une touche de modernité pour une aventure unique. Un voyage dans le monde des cowboys, avec des compétions de rodéo, des danses amérindiennes, des reconstitutions de duels à armes à feu, une grande foire typique, le folklore du wild wild westUne véritable expérience US atypique !

Fait amusant, les cowboys concourent pour un prix de près d’un million de dollars ! De quoi attirer les meilleurs et assurer le spectacle ! Sur place, retrouvez une ville de pionnier reconstituée avec des producteurs locaux et de l’artisanat (prévoyez de la place dans vos bagages pour ramener toute la panoplie 😉), des spectacles de danses indiennes, plusieurs fois par jours dans le village amérindien, mais aussi concours culinaires au Chuckwagon, expositions artistiques, carnaval et tours de manège, ainsi que le spectacle aérien des Thunderbirds de l’Armée de l’air américaine. En journée, faites un tour dans la ville de Cheyenne pour participer à la traditionnelle parade, typiquement américaine, et le soir, ne manquez pas les concerts des grands noms du rock et de la country. Tout un programme !

Le rodéo, une tradition américaine.

A l’origine, le rodéo correspondait au fait de rassembler les bêtes dans un ranch, pour les marquer au fer et les vendre. Et c’est devenu une compétition au XIX° siècle quand les garçons de ferme ont décidé de se mesurer les uns aux autres pour voir lequel était le plus fort et le plus résistant au mal. C’est Buffalo Bill qui en fera un spectacle en l’intégrant à son Wild West Show. Aujourd’hui, on en trouve un peu partout, même en Europe et il regroupe de nombreuses épreuves :

  • La monte à crue (sans selle) ou avec selle d’un cheval qui rue (Bareback riding ou Saddle bronc riding)
  • La maitrise de chevaux sauvages (Wild horse race)
  • La monte de taureau avec ou sans selle (Bull riding)
  • La capture au lasso de taurillon ou bien de veaux (Roping)
  • La capture à mains nue d’un boeuf (Steer wrestling)
  • Ou encore des courses de rapidité autour de tonneaux (Barrel racing souvent conduite par des femmes)

Cheyenne, carrefour du Grand Ouest.

Cheyenne est essentielle dans le monde du rodéo. Déjà parce qu’elle accueille l’une des plus grosses compétitions de plein air de l’année, mais aussi pour son histoire. Construite au moment de la construction du chemin de fer vers l’ouest, elle avait plutôt mauvaise réputation. Les saloons pullulaient et les cheminot et soldats du fort, venaient se « divertir » un peu trop bruyamment en ville. Elle fut même surnommée un temps « Hell on Wheels » (l’enfer sur roues) ! Après quelques années difficiles, un agent de l’Union Pacific railroad et le directeur du journal local eurent l’idée de mettre un place un festival pour attirer du monde (les participants rejoindraient bien sûr Cheyenne en train …). Et c’est comme ça que sont nés les Frontier Days. Appelé aujourd’hui « The Daddy of ‘hem all » (le père de tous) c’est le plus vieux et le plus important des festivals consacrés au rodéo en plein air. Organisé à la fin du mois de Juillet sur une dizaine de jours, il attire chaque année des milliers de passionnés. Du coup attention, si vous voulez y participer, il faut s’y prendre à l’avance car les hôtels se remplissent très très vite.

A la frontière avec le Colorado et à 145 km au nord de Denver, la ville de Cheyenne est également la porte d’entrée des grandes plaines et le point de départ idéal pour découvrir les Medicine Bow, les Rocky Mountains, les Badlands ou encore les Black Hills et le fameux mont Rushmore. Ces noms vous disent quelque chose ? Normal, puisque ces derniers sites se trouvent autour de la mythique ville de Sturgis ! Et le Rally (plus grande concentration de Custom) se tient les deux premières semaines d’Août.

Tout au long de l’année, Cheyenne reste une ville très authentique au passé western toujours présent et une étape agréable dans votre road trip moto. Mais les Frontier Days restent tout de même une expérience à vivre !

Alors, chaussez les santiags, attrapez un Stetson et rendez-vous sur notre site pour découvrir ou redécouvrir notre Far West Tours , un itinéraire à moto en formule accompagnée ou mototour et nos programmes pour l’incontournable rassemblement moto du Sturgis Rally.

Il est temps de vous inscrire pour l’un des plus grand rassemblement moto des USA ! La Daytona Bike Week bien sûr ! On y croit cette année sera la bonne ! Présentation de vos futures vacances à moto !

Daytona Bike Week, le voyage à moto à ne pas manquer !

Quoi de mieux pour votre prochain voyage aux Etats-Unis et en finir avec l’hiver (bon il n’est pas encore passé mais clairement au mois de mars on attend qu’une chose c’est de pouvoir repartir !) que de participer à l’événement de ce début d’année !

Depuis 1937, (on vous rappelle l’histoire de cet événement dans notre précédent article sur Daytona ) la Bike Week de Daytona est LA concentration moto du printemps. Rassemblant chaque année près de 500 000 passionnés de moto, c’est 10 jours de fête, de courses, de shows et de concerts qui vous attendent !

L’action principale se déroule comme chaque année, sur la Main Street de Daytona Beach, c’est en effet là que se rassemblent les afficionados. C ‘est le lieu où les gens défilent avec leurs motos, leurs autos, s’exhibent. Le défilé est permanent dans cette rue, que ce soit de jour comme de nuit. On retrouve là les plus belles montures soit garées le long de la rue, soit lors des shows de custom que vous pouvez suivre.

La Bikeweek de Daytona reste clairement liée à Harley Davidson mais s’est démocratisée et on retrouve des préparations « custom » sur d’autres montures, les belles japonaises n’étant pas en reste. Enfin, cela restera quand même l’endroit où vous trouverez les préparations les plus folles (les règles étant plus souple qu’en France). Outre ces concours, concerts, courses c’est surtout l’ambiance de Daytona qu’il faut vivre. Être au cœur de l’action et se sentir part entière de la communauté motarde internationale, reste une expérience incroyable !

Un road trip à moto en Floride?

Même si la zone principale reste Daytona beach, c’est dans tout le comté que des animations s’organisent pour contenter tous les motards. L’occasion pour ceux qui l’ont déjà fait de découvrir un autre décor. Alors pourquoi ne pas vous laisser tenté par un petit road trip à Sainte Augustine, Cap Canaveral, Orlando …

Avec nos 2 formules proposées, vous profiterez à fond de cet événement comme seuls les américains savent les faire. Lors de votre séjour, vous trouverez dans le hall de votre hôtel un grand tableau en français qui vous donnera toutes les informations pour organiser au mieux votre voyage au sein de l’un des festival moto les plus populaires au monde (en rivalité avec celui de Sturgis). Votre accompagnateur sera à vos côtés pour vous donner les bons plans et nos endroits préférés !

Le formule N°1 (9jours/7 nuits), vous propose de vous concentrer sur cet évènement hors normes, 2 jours à Orlando combinés avec 5 jours de pure folie en pleine concentration, non loin de main street.

Mais, la Floride ne se limite pas à cet événement pourquoi ne pas profiter de notre formule n°2 (15j/13n) pour visiter le reste du Sunshine state ? D’Orlando à Miami, en passant par les Keys (dont 2 nuits à Key West) et ses superbes couchers de soleils , les Everglades ou encore des plages immaculées la côte. L’occasion de combiner la concentration avec un road trip moto que vous n’êtes pas près d’oublier !

Vous pouvez retrouver nos deux formules dans notre rubrique événement :

Daytona Beach Bike Week FN°1

Daytona Beach Bike Week FN °2

Après vous en voir parlé brièvement dans notre article « Comment bien choisir son ROAD TRIP moto aux USA ? », voici toutes les infos pour choisir la période idéale pour un road trip aux USA en fonction de la zone géographique … On le sait, les Etats Unis c’est grand, et bien sûr à cette échelle les climats diffèrent. Mais ils donnent aussi l’avantage de pouvoir partir tout au long de l’année, notamment à moto pour découvrir des villes fascinantes, des paysages grandioses et des régions plus étonnantes les unes que les autres.

La meilleure période pour un voyage dans l’ouest américain à moto.

Faire un moto trip aux USA au printemps ou en automne.

C’est la meilleure période pour un circuit aux USA et notamment dans l’ouest américain. De la mi-avril (sauf si vous souhaitez faire Yosemite) au mois de juin et de septembre à la mi-novembre, vous profiterez ainsi de températures clémentes sur votre monture, ni trop chaudes (on peut atteindre les 55° C dans la Death valley en juillet), ni trop froides (beaucoup de parcs nationaux peuvent être encore sous la neige jusqu’à la mi-mai, en fonction de l’altitude, mais les routes restent praticables).

Les mois de Mai- Juin et Septembre-Octobre sont les mois idéals pour un road trip à moto dans ces contrées légendaires ! Rappelez-vous également qu’en voyageant en intersaisons (avril et novembre par exemple) vous aurez moins de touristes sur les sites, moins de monde sur la route et les températures restent très agréables.

Nos boucles au départ de Las Vegas, Los Angeles et San Francisco, vous permettrons de découvrir les merveilles de l’Ouest Américain au guidon d’une moto. Que ce soit les déserts ou les montagnes, les paysages s’offriront à vous, dans les meilleures conditions pour vous proposer la quintessence des voyages aux Etats-Unis !

 Nos circuits, parfaits en cette saison :

Faire un road trip aux Etats-Unis en été.

La saison parfaite pour un voyage à moto dans le Nord et l’est des USA.

Le nord-ouest du pays est idéal pour un moto tour à cette saison. Les périodes de Juillet, Août et Septembre représentent la haute saison aux USA également, mais c’est le moment parfait pour découvrir d’autres régions moins connues. Par exemple, pourquoi ne pas partir à la découverte des parcs du Nord au guidon d’une Harley Davidson ou d’une Indian ? Les magnifiques Rocky Mountains et ses routes plus sinueuses les unes que les autres (un régal pour tous les motards !) et la majesté du parc de Yellowstone sauront vous ravir. C’est aussi l’occasion de partir en dehors des sentiers battus à la découverte, de l’état de Washington (au nord-ouest des Usa, à ne pas confondre avec la capitale). Même en moto, vous pourrez partir à l’ascension des glaciers du Mont Rainier. Mais les mois d’été restent impératifs en raison de l’altitude élevées de certaines routes.

Dans un tout autre style, les régions de l’Est sont également à ajouter à votre liste pour un moto tour en été. Le climat continental des régions est à prendre en compte pour votre voyage, le printemps est donc plutôt pluvieux, ce qui est tout de même moins agréable pour un voyage à moto. De plus, en été de nombreux festivals sont organisés, ce qui agrémente d’autant plus le séjour! A noter, que ces régions peuvent également se faire en automne où la nature se pare de ses plus belles couleurs pour vous offrir le plus beau des tableaux. Il faudra sans doute ajouter un pull, mais la beauté du paysage à cette saison vaut le détour.

Faire un road trip moto en hiver.

Floride et Sud-Est des Etats Unis au programme.

On n’y pense pas mais l’hiver peut tout autant être une période idéale pour un road trip aux USA ! On pense bien sûr, à la Floride qui avec ses plages aux eaux translucides et ses températures tropicales est la valeur sûre en cette saison. On évite les pluies et le blouson, pour se consacrer au plaisir de rouler ! Et pour couronner le tout on peut combiner une découverte de l’Etat et participer à l’un des plus grand rassemblement moto des US : La Daytona Bike Week !

Mais il faut penser également à tout le sud- est des Usa. La Louisiane, le Mississipi, l’Alabama… sont tout aussi faisable en hiver, vous profiterez ainsi de sites libérés de ses touristes, et de la douceur de vivre des états du Sud. Cela peut être aussi l’occasion de vivre des expériences hors normes comme le Carnaval de La Nouvelle Orléans

Les mois de mars/ Avril et octobre/ novembre sont par exemple les meilleurs mois pour découvrir également le Texas et l’Arizona. On évite les températures importantes du pleine l’été pour profiter de températures agréables pour rouler au guidon de sa monture.

En règle générale sur ces circuits, on évite le plein été à cause des trop grosses chaleurs et autres aléas climatiques, qui rendront votre séjour à moto d’autant moins agréable.

Et pour les circuits traversants ?

Certains Road trip traversent les USA, et là encore la météo est à prendre en compte. La Route 66 (qui traverse d’Est en Ouest) et la Route du Blues (du Sud au Nord), des routes mythiques en sont de parfaits exemples. La ville de Chicago, point de départ et d’arrivée de ces deux road trip vous oblige à prévoir ces voyages en période estivale. Mais en même temps, les traversées de désert en Arizona et des plaines de l’Oklahoma peuvent être pénible en pleine chaleur. En plein été, le temps dans les états du Sud, est très chaud et humide.

Les meilleures saisons sont donc les intersaisons pour faire ces circuits, sur les mois de mai – juin et Septembre – Octobre

Vous l’aurez compris, la météo est l’un des points les plus important dans la construction de votre voyage aux Usa. Il est donc impératif de bien choisir sa période ou son circuit en fonction pour passer le plus agréable des voyages au guidon de votre moto ou au volant de votre voiture, loin des imprévus.

Et bien sûr n’hésitez à nous demander conseils pour vos circuits sur mesure.

Nous vous invitons à saisir l’âme d’un autre continent (puisque nos articles mentionnent en grande majorité l’Amerique du Nord ou du Sud), souvent méconnu, bien qu’il reste de tout le continent africain, LE pays le plus adapté à un voyage en famille, en petit groupe, voyage à moto

1. Pour l’accessibilité 

En ces temps difficiles, qui n’est pas à la recherche d’une destination de vacances offrant dépaysement et ouverture de ses frontières ? Ne cherchez plus, vous l’avez trouvé ! Le taux de change avec l’Afrique du sud est, par ailleurs, très intéressant ce qui rend le voyage d’autant plus agréable. Les restaurants (pourtant très qualitatif) vous reviendront 30 à 40% moins cher qu’en France ! De plus, les voyageurs Français se rendant en Afrique du Sud sont exemptés de visa. (Votre passeport doit par contre comporter deux pages vierges et être encore valable 30 jours après votre date retour).

Concernant les modalités de voyage (lié au Covid), la destination est ouverte sans test PCR

2. Pour partir à la découverte d’un autre continent

Avec la devise « Le monde en un seul pays », elle peut se targuer de savoir satisfaire tout le monde. Des vacances en Afrique du Sud, permettent de découvrir un bout d’Afrique en toute sécurité avec des routes en bon état en plus. Et quoi de mieux qu’un road trip pour partir découvrir cette superbe destination? Que ce soit à moto, en Harley Davidson ( bah oui on sait que les USA vous manquent quand même 😉) ou en bien BMW (idéal pour les pistes), ou encore en autotour en 4×4. La route reste le meilleur moyen de découvrir, de s’arrêter où l’on veut et d’aller à la rencontre des gens ….

3.  Pour le décalage horaire

Cap au sud et pourtant à l’autre bout du monde vous n’avez pas de décalage horaire (+1h en hiver pas de différence en été) ! Pas besoin de temps pour se remettre du « Jet Lag », vous êtes directement d’attaque pour découvrir le pays !

4. Pour le Climat favorable

On dit que le climat sud-africain est l’un des plus sain au monde, il est tempéré avec des accents méditerranéens (Sans les chaleurs excessives du reste de l’Afrique). Les saisons sont inversées, l’été de mi-octobre à mi-février, le temps est chaud et ensoleillé. L’hiver de Mai à Août, les températures sont plus clémentes mais plus fraiche la nuit, c’est par contre la meilleure période pour l’observation des animaux. Moralité, le pays se visite toute l’année ! 

Attention toutefois, pour un road trip à moto, il faut privilégier les périodes hivernales ( de novembre à février), malgré son climat accommodant, certaines routes en Afrique du Sud sont en altitude et peuvent être enneigées en été!

5. Pour les paysages exceptionnels

L’Afrique du Sud est reconnue pour la variété des paysages, des côtes escarpées des océans Indien et Atlantique, au Swartberg (la montagne noire), des forêts, des déserts, des vignobles … Sans oublier le bout du monde : le Cap de Bonne Espérance ! Bref, vous en prendrez plein les yeux ! Vous parcourrez des routes exceptionnelles au noms évocateurs : la route des vins, la route des baleines, la route des jardins…. Tout un programme !

6. Pour la vie sauvage

Que serait l’Afrique sans ses animaux ? Effectuez un safari au cœur de l’Addo Eléphant national Park. Partez à la recherche des éléphants mais aussi des lions, des rhinocéros et des antilopes ! Ou encore les baleines, dauphins, tortues sans oublier les fameux manchots à proximité du Cap de Bonne Espérance. De quoi revenir avec des souvenirs plein la tête !

7. Pour vivre des expérience uniques & variées

Quelque soit l’endroit où vous vous rendez en Afrique du sud, le pays regorge d’activités et d’expériences plus uniques les unes que les autres. Visitez la prison de Nelson Mandela sur Robben Island pour ressentir tout le poids de l’histoire, visitez les plus beaux vignobles (qui se classent aujourd’hui parmi les meilleurs du monde, voir notre article Le vin et ses routes en Afrique du Sud pour en apprendre plus), déjeunez dans une ferme d’autruche, plongez en cage à la rencontre des fameux requins blancs… les expériences ne manqueront pas pour faire de votre séjour un voyage inoubliable.

8. Pour aller à la rencontre de La nation arc-en-ciel 

L’Afrique du Sud est riche de ses immigrations passées. Avec 11 langues officielles, des influences européennes, orientales ou encore asiatiques, cette nation célèbre toutes les cultures africaines comme migrantes pour vous permettre de rencontrer un peuple attachant ! Profitez entre autres de la vie locale au Cap ou à Plettenberg bay, deux stations balnéaires qui on su se renouveler.

9. Pour les Infrastructures 

Vous n’aurez aucun problème pour vous déplacer et trouver un établissement confortable, l’Afrique du Sud répond à toutes les envies, besoins & budgets. De l’hébergement en lodge, en guest house ou aux hôtels de classe mondiale, nous avons sélectionné le meilleur pour vos nuitées. De même, vous pourrez vous restaurer dans les meilleures tables gastronomiques du pays (pour un prix plus que raisonnable !). Ici, l’éventail des saveurs est très large et saura contenter toutes les papilles. De plus, les amateurs de viandes seront à la fête avec de la viande de qualité issue d’élevages locaux et aux accents exotiques (autruche, impala, koudou…)

10. Pour le tourisme responsable 

Ok, un roadtrip à moto n’est pas vraiment synonyme d’éco-tourisme et pourtant … nous avons sélectionné des prestataires qui veulent réduire leur impact sur la planète dont les compagnies aériennes comme Air France ou British Airways par exemple, impliquées depuis de nombreuses années dans des programmes écologiques pour réduire leur empreinte sur la planète (utilisation de nouveau carburant, réduction des déchets à bord, amélioration de la flotte…). Enfin, le pays pionnier et leader du tourisme responsable, a pris conscience de l’importance de son environnement naturel, le nombre de zone protégées augmente chaque année pour préserver la faune et la flore, et des projets sociaux et de conservation (auxquels vous pouvez contribuer) se développent.

A quoi ressembleront vos vacances en Afrique du Sud ? De grands espaces, des animaux sauvages en pleine nature, des océans indomptés et une mosaïque de paysages grandioses… Mais c’est surtout son peuple métissé qui vous feront tant aimer ce pays !


Plus aucunes raisons d’hésiter, n’est-ce pas ? Pour en savoir plus rendez-vous sur notre site pour découvrir notre programme  » Route 62 Tours ». Prochain départ : 13 novembre 2021. Ou bien demandez nous votre voyage sur mesure, que nous pourrons adapter à toutes vos envies et besoins, selon VOS critères !

Qui n’a jamais entendu parler de cette route légendaire, la Route 66, LE road trip à moto indispensable aux USA des bikers. Un rêve de gosse pour beaucoup, un beau projet pour certains, long à préparer et à budgétiser … Mais maintenant c’est fait, vous vous êtes décidé ! Pour l’itinéraire, c’est facile le tracé historique … Oui, mais voilà une question s’impose quelle moto choisir ? Les puristes sont d’accord, c’est bien à moto qu’il faut parcourir cette route mythique de près de 4.000km, une traversée authentique des USA d’Est en Ouest (à faire impérativement dans le sens historique). Alors vous l’aurez compris pour une virée de cette envergure aux USA, le bon choix de la moto est indispensable ! Voici tout ce que vous devez savoir pour bien choisir :

1.       La Route 66 en Harley.

La première idée est bien sûr de faire ce road trip en Harley Davidson. Également une icône sur les routes américaines, la belle de Milwaukee (pas si loin que ça de Chicago et que l’on peut ajouter facilement à votre voyage), reste le must pour parcourir la Route légendaire. La gamme de monture est large chez Harley, mais pour parcourir les miles de la 66, la gamme touring et grand touring reste les plus adaptées, surtout si vous souhaitez la faire à 2. L’ultra Glide Limited (avec top case et fauteuil passager ultra confortable) avec sa généreuse selle en cuir, son double réservoir et ses larges marches pieds a été conçue pour le voyage. De plus, la capacité du réservoir de 22.7 litres, vous permettra de faire de plus longues distances (vous ferez environ 380 km avec un plein!). La Road Glide Ultra, son pendant propose également la même capacité de réservoir.


Ses petites sœurs, la Street Glide (en version touring), et la Road Glide (également version touring, c’est à dire avec l’ajout d’un top case) ont la même capacité de bagage, la même cylindrée et le même réservoir (22.7 L pour l’Electra et la Street et 18L pour la Road Glide). Il est par contre à noter que l’assise est plus basse (69 cm contre 74 cm pour l’ Electra et la Road Glide) et qu’elle est plus légère (366 kg contre les plus de 410 kg de l’Electra). Un avantage pas des moindres. Même si ces motos ne sont pas si haute que cela, elles sont très larges, nous conseillons donc de mesurer au moins 1m70 voir 1.75m pour être à l’aise sur la moto.

Si toutefois, vous souhaitez une moto plus légère ou si vous partez en formule accompagnée (voir notre article sur les différentes formules), l’alternative peut se porter sur la Softail Heritage qui possède également des sacoches latérales. La capacité de bagage est moindre (certes mais pas si minime) et vous n’aurez pas de top case (un sissi bar le remplace), mais un porte-bagage permettant d’ajouter un sac de près de 5 kg, vous permettra de ramener tous vos souvenirs.
Les Street Bob sont forcément moins adaptés (réservoir plus petits et capacité de bagages limité) mais elles peuvent également être un autre choix pour vous Mesdames. Contactez nous pour que nous puissions revoir de vive voix.

2. Et les autres motos ? 

On peut citer la BMW 1250RT qui avec des porte bagages peut encore être une autre choix pour votre road trip… A noter que les trails ont également leur part avec la BMW1250 GS Mais clairement, on perd le mythe de la Route 66, la moto américaine restant reine aux USA … A moins de regaarder la Pan America 🙂 Même si vous roulez en Honda ou BMW en France, pourquoi ne pas essayer autre chose ? L’objectif ne sera pas de vous convaincre d’en acheter une en France (quoique …) mais vous constaterez que ces américaines ont été conçues pour les routes U.S.

Bref, vous l’aurez compris pour un tel road trip, le confort, la capacité de réservoir (pour de longues étapes) et de bagages (pour pourvoir ramener tous vos souvenirs) mais également la hauteur de selle sont indispensable à prendre en compte en fonction de votre gabarit. Privilégiez un custom US, totalement créé pour les belles lignes droites de la « mother road » …

S’il vous reste de interrogations pour faire votre choix, n’hésitez pas à nous contacter ! Nous nous ferons un plaisir de vous aiguiller au mieux dans ce choix décisif.

Besoin d’évasion ? Qui n’a jamais rêvé de faire un Road trip aux Etats-Unis ? Si on vous a déjà donné quelques pistes il y a quelques semaines pour bien choisir son road trip aux USA. Il convient maintenant de se pencher sur la formule à choisir pour des vacances réussies et surtout qui vous ressemblent. En effet, entre un autotour ou un voyage à moto, votre séjour ne sera pas le même, vous en conviendrez … Mais pour un voyage à moto, plusieurs choix s’offrent à vous, voici un petit guide pour bien s’y retrouver:

1. La formule autotour

Qu’est-ce que c’est ?  Quand on parle d’autotour on fait référence à un voyage itinérant incluant une location de voiture sur place.

A qui cela s’adresse-t-il ? Si l’on doit se baser sur quelques profils type de voyageurs (évidemment typologie généraliste et non exhaustive). Nous dirions que cette formule s’adresse plus aux indépendants, soucieux de leur confort. Le véhicule choisi donnera le ton à votre voyage : cabriolet/décapotable (souvent privilégier pour le panorama mais attention à la capacité de bagage dans le coffre), le 4X4 ou SUV (pour sortir des sentiers battus, accéder à des piste et être à l’américaine surélever) ou encore le pick-up (typiquement U.S, à savoir cela dit pas de possibilité de bâcher la benne arrière) … Un vaste choix s’offre à vous en fonction de vos envies et budget.

A savoir : les frais d’abandon, appelé One Way fee (dans le cas où vous laissez le véhicule dans une autre agence que celle où il a été pris : ex pris à Chicago et rendu à Los Angeles) seront à votre charge sur place, débité lors de la remise du véhicule.

2. La formule mototour

Qu’est-ce que c’est ?  C’est un road trip, ou une « virée itinérante » donc toujours dans un concept d’itinéraire à l’inverse d’un séjour où vous restez au même endroit, mais avec location de moto sur place.  

A qui cela s’adresse-t-il ? En majeure partie, pour les autonomes &  les aventureux, qui veulent impérativement la liberté, en totale autonomie.

A savoir : il faut penser que la capacité de chargement n’est pas la même sur une moto qu’une voiture, vos bagages seront donc à prévoir en conséquence.

3. La formule accompagnée

Qu’est-ce que c’est ? voyage « guidé » à moto avec assistance, le transport des bagages, la gestion logistique, & la traduction. Vous serez accompagnés tous le long du circuit par un guide/accompagnateur.   

A qui cela s’adresse-t-il ? Pour ceux qui veulent rester zen & non bilingues 🙂 entre autre mais également celles et ceux qui veulent profiter d’une ambiance conviviale entre passionnés.

A savoir : Nous privilégions les petits groupes (5 motos en moyenne, 8 au maximum !) pour conserver la convivialité, la liberté et surtout vous proposer une flexibilité dans l’organisation de vos journées (pas de file indienne, d’arrêt à la pompe en groupe, de repas imposé ….) vous êtes libres de rouler et profiter comme bon vous semble, tout en étant encadré.

4. La formule Sur-Mesure

Qu’est-ce que c’est ? Exactement l’une de ces formules, au choix, mais avec le circuit de votre choix, que ce soit à moto ou en voiture, à la date de départ de votre choix, selon vos étapes, activités et hôtels… en gros vous définissiez vos critères et nous nous occupons du reste !
La formule accompagnée est également possible en voyage sur mesure.

A qui cela s’adresse-t-il ? Pour les planificateurs connectés, qui veulent un voyage personnalisé et ont du temps à y consacrer. Et souvent, pour les fondus des USA qui n’en sont pas à leur premier séjour et veulent découvrir de nouveaux horizons

A savoir : L’organisation d’un voyage aux USA ,n’est pas une mince affaire. Il faut définir ses priorités, faire attention aux distances, bien équilibrer ses étapes… Même si un copain(ine) ou une personne de sa famille l’a déjà fait, il vaut mieux faire confiance à un professionnel qui lui, l’a déjà fait mais à de multiples reprises et connait les petites adresses à ne pas manquer. 😉

Vous avez-fait votre choix ? Contactez-nous dès à présent pour préparer votre beau projet sur fin 2021-2022 … Notre équipe se tient à votre disposition, bonne fin de journée !

Un peu d’histoire

A l’origine, des courses moto.

Souvent appelé le plus ancien rallye moto national, La Laconia motorcycle week, peut se targuer de ses 97 années d’existence !  C’est en effet à 1916 que remonte le premier rassemblement moto sur le site de Weirs Beach sur la rive sud du lac Winnipesaukee.
Au début des années 1900, les motards se rassemblaient pour partager leur passion dans ce que l’on appelait des Gypsy Tours. De rassemblements officieux, les Gypsy tours sont devenus du jour au lendemain des événements officiels promus par Harley-Davidson et Indian. Ils se sont notamment développés aux retours des guerres, les soldats recherchant l’adrénaline et la camaraderie qu’ils avaient connue. Aujourd’hui, ces mêmes rassemblement motos sont appelé des « rallyes ».
Au cours des années suivantes, les motards continuèrent à se réunir au même endroit pour organiser des courses et notamment des courses de côte dans les montagnes environnantes.
7 ans plus tard, l’événement devient officiel auprès de la Fédération des motocyclistes américains et la Laconia motorcycle week, lance la Loudon classic Race. C’est encore aujourd’hui la plus longue course moto des USA ! Elle se déroule le jour de la fête des pères, sur le New Hampshire International Speedway qui a ouvert ses pistes en 1990.  
La concentration s’étend peu à peu d’un week-end de juin à plus d’une semaine de festivités. Les motards arrivant de plus en plus tôt sur place pour profiter des nombreuses routes panoramiques et routes de campagnes que la région des lacs a à offrir.

La concentration moto

Le point central de la concentration se trouve toujours et encore aujourd’hui sur Weirs Beach qui reste le cœur et l’âme de la concentration. Mais la région sait également profiter de cette aubaine et les évènements se multiplient un peu partout au cours de cette semaine hors normes ! Ainsi vous pourrez assister aux courses bien sûr (courses de vitesse, courses de côte, courses vintage…), aux concerts de musique live, aux Run, mais également à une balade pour découvrir les ponts couverts du New Hampshire ou encore monter au sommet du Mont Washington, le point culminant du Nord Est des USA ! Sans compter bien sûr toutes les animations connexes comme les concours de custom, des expositions, des bourses déchanges ou encore des tournois de poker. Bref de quoi vous permettre de vous occuper pendant ces 9 jours de folie !

Une région à découvrir

Les charmes du new Hampshire à moto

Pourquoi le New Hampshire ? La question serait plutôt pourquoi pas ? La région regorge de possibilités : profitez des routes de montagnes, traversez les villages pittoresques de la Nouvelle Angleterre, autour de magnifiques lacs et le long de kilomètres de bords de mer ! Le tout dans un rayon de moins de 150 kilomètres ! De plus, le New Hampshire est le 5° état en termes d’immatriculation de moto. Un état donc foncièrement tourné vers les deux roues et à l’accueil motard !

Entre Lacs & montagnes

Le site de Laconia se trouve aux bords du majestueux lac Winnipesaukee, qui est le cœur de la région. Il n’abrite pas moins de 274 îles habitables et les 283 miles de rivage offre une quiétude et un paysage changeant à chaque virage. D’ailleurs n’hésitez pas à emprunter le « Lakes Region Tour », une route scénique qui vous fait faire le tour du lac tout en passant par les petits villages pittoresques de pêcheurs au charme d’antan indéniable.

Un peu plus au nord, vous trouverez pour un peu plus de fraicheur dans les White Mountains. Faisant parties des Appalaches, elles sont considérées comme le toit de la Nouvelle Angleterre avec plus de 40 montagnes à plus de 1500m d’altitude, et notamment le Mont Washington (1916m) qui est la plus haute montagne du Nord Est des USA. La route la plus remarquable est la Kancamagus Highway, une route scénique d’une trentaine de miles qui serpente à travers les montagnes, exempt de tout signe de civilisation et n’offre qu’une beauté immaculée. En parcourant cette route, vous aurez certainement un aperçu de la splendeur des Montagnes Blanches. Sur la route, arrêtez-vous pour admirer les Sabbaday Falls, ou encore les gorges de Flume, mais les points d’arrêt et les pauses photos ne manqueront pas !

La côte à moto

La côte maritime du New Hampshire n’est pas la plus grande avec seulement une quarantaine de km de rivage, mais la parcourir à moto vaut le détour. Entre estuaires, rivières et îles, le paysage est enchanteur. La région est également connue pour ses plages, et ses ports historiques avec notamment celui de Portsmouth, fondée en 1623 et 3° plus ancienne ville du pays ! Mais ce n’est pas le seul, la région ayant été colonisée très tôt, les villes historiques et pittoresques se suivent et ne se ressemblent pas. Une excursion bien sûr à ne pas manquer !

Un event moto à ajouter à sa bucketlist

Alors convaincus ? Participer à la Laconia Motorcycle Week, c’est allier dans un même séjour l’un des plus fameux rassemblement moto des USA (et le plus ancien), des paysages à couper le souffle et le charme de la Nouvelle Angleterre entre lacs, rivages et villages enchanteurs.

Alors qu’est ce que vous attendez pour nous demander votre voyage sur mesure ?

Avant de commencer, il s’agit de faire la distinction entre un Tour opérateur et une agence de voyage. Le Tour opérateur conçoit ses voyages, il est le créateur de ses propres circuits, l’agence de voyage est un revendeur. Toutefois, un tour opérateur peut aussi avoir une agence physique et être en contact direct avec la clientèle, on appelle plus communément une « agence de voyage » même si parfois cette agence est en fait un TO (et même de petite taille, car non ce n’est pas la taille qui compte 😉.

1.  Une agence française aux garanties rassurantes

Voici les garanties que doit/peut vous offrir un professionnel du voyage :

  • être titulaire d’une licence d’état: En France, toute agence ou structure souhaitant vendre des prestations touristiques, doit être en possession d’une licence de voyage. Ce numéro, délivré par la préfecture de police et commençant par IM (suivi de 9 chiffres) offre de nombreuses garanties, de qualité, d’engagement et de responsabilité. La notre si vous souhaitez vérifier ->IM092100119.
  • être membre de l’APST: (Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme). Parmi les garanties obligatoire de l’agence de voyage, celle-ci doit se prévaloir d’une garantie financière, qui en cas de défaillance permet de rembourser les clients des sommes perçues.
  • avoir un Agrément IATA cela n’est pas obligatoire, mais cela vous indique que l’agence est émettrice des billets d’avion et travaille directement avec les compagnies aériennes. L’agence ne dépend donc pas d’un tiers pour la gestion de ses billets d’avion. Cela peut être également un gage de réactivé et généralement elle offre une plus grande souplesse et de meilleurs tarifs.
  •  Agence française: Vérifiez le siège social de la société. Soyons chauvin et consommons Français 🙂. De plus, vous aurez une adresse où vous adresser. Autre avantage, pas de décalage horaire avec votre interlocuteur, ce qui vous permettra de recevoir des réponses rapides à vos interrogations. Encore mieux, privilégiez une agence ayant « pignon sur rue » qui vous permettra de rencontrer votre conseiller en personne si vous le souhaitez, pour plus de convivialité. Rappelons enfin que l’activité des agences de voyages (& donc TO) est rigoureusement régie par la loi française et le code du Tourisme (si vous optez pour agence étrangère vous n’aurez donc pas ou peu de recours).
  • Réputation & image de marque: Prêtez attention aux avis, le retour des clients vous permettront déjà de vous faire une idée sur la structure. Soyez consciencieux dans votre analyse, et sachez aussi faire le tri, attention aux « faux avis » devenus courant désormais sur internet.
  • Une sécurité en amont (cf points ci-dessus) et sur place : Il est important de vérifier l’assistance qui vous sera proposée sur place, un N° d’urgence ? assistance 7j/7? …  Cela vous permettra de partir l’esprit tranquille et vous évitera bien des déconvenues!

2.      Profiter d’un savoir-faire

Vous vous demandez sans doute pourquoi ne pas créer votre voyage seul(e)? Créer un voyage prend énormément de temps, et beaucoup de paramètres sont à prendre en compte pour créer le meilleur des circuits. (cf notre article  » Comment bien choisir son road trip moto aux USA« ). C’est une préparation importante requérant de nombreuses compétences (la gestion & répartition des étapes, et donc du kilométrage, réservation de toutes les prestations au meilleur rapport qualité/prix évidemment: vols, location du véhicule, hébergements, activités avec au préalable une sélection face à un large choix, de quoi s’y perdre un peu donc).

Le Tour Opérateur a forcément une expertise dans la gestion de tout ces paramètres. Fort de nombreux voyages de reconnaissances, il saura vous créer votre séjour avec un nombre de kilomètres adapté à votre road trip à moto, par exemple. Il pourra également vous faire profiter de ses adresses et bons plans pour adapter votre voyage en fonction de vos envies et de vos besoins.

De plus, il aura la possibilité d’adapter et de personnaliser votre voyage afin qu’il ne ressemble pas à celui de Mr & Mme TOUT LE MONDE. Les goûts et les couleurs ne se discutent pas, votre voyage doit correspondre à VOS attentes.

3.      Une tarification préférentielle

Halte aux idées reçues, cela ne coute pas plus cher de passer par un Tour opérateur. En effet, le volume de réservation n’étant pas le même, votre interlocuteur profite de tarifs négociés préférentiels auxquels vous n’aurez pas accès. Et en privilégiant un TO pas d’intermédiaire supplémentaire à prévoir …

4. Transparence

On reconnait une bonne agence à travers un certains nombres de points : évidemment les garanties qu’elle offre, mais également sa communication. Quels éléments avez-vous à l’étape du devis ? Avez-vous les informations indispensables relatives à l’assistance, aux assurances voyages et moto (attention ce n’est pas la même chose, il faut bien faire la distinction), la ou les franchises et caution, le type d’hébergement, avec quelle compagnie travaille-t-elle (low cost ou compagnie régulière …)? …Bref, le détail des prestations et la qualité d’ information sont indispensables et bien à prendre en compte.

Par ailleurs, il faut bien évidemment que ces prestations correspondent à vos critères. Votre premier choix se portera sur la destination, puis sur le type de véhicules qu’elle propose (voyage à moto: quelles marques avez-vous à disposition? Quel type de voiture …), puis la formule proposée (seul ou accompagnée, circuits préétablis ou sur-mesure …).

4.      Opter pour un spécialiste ?

Il est préférable de s’adresser à une entité partageant les mêmes passions que vous, en l’occurrence on n’organise pas un voyage à moto comme un voyage en autocar évidemment … Qui de mieux que des motards pour s’adresser à un motard et connaitre les problématiques d’un road trip moto?

De plus, un spécialiste se concentre sur un petit nombre de destinations, qu’il maitrise et dont il a une grande connaissance. Comme dans un restaurant qui proposerait trop de choses à la carte, on ne peut pas être expert en tout…

En résumé, pour votre sérénité d’esprit, gain de temps & d’argent, opter pour un Spécialiste idéalement TO, immatriculé et donc basé en France, pour un accueil physique (plus convivial), les conseils d’un expert (moto & destination de votre choix) et correspondant à votre critères de formules et types de véhicules.

Un voyage à Santa Fe au nouveau Mexique, c’est faire une plongée dans l’histoire, dans la construction du pays, dans celle des échanges commerciaux qui ont construit les USA. Situé à 2194m, c’est la plus haute capitale d’état (et selon les rumeurs la deuxième plus vieille du pays après San Augustine dont on vous a déjà parlé ici), puisqu’elle date de 1607 !

Une cité historique

– les indiens Pueblos

A l’origine, le site est occupé par les Indiens Pueblos, un peuple connecté à la terre, dont ils faisaient des poteries ou des habitations en adobe, qui sont encore aujourd’hui des emblèmes de la ville. Située à un carrefour de nombreuses routes commerciales, la ville se développe avec l’arrivée des espagnols. Ils eurent recours au travail forcé des populations pour construire la ville. Aidés des Apaches, les Pueblos se révoltèrent en 1680 pour récupérer la ville. Ce qui aboutit malheureusement au massacre de 460 amérindiens et à la réduction esclavage des femmes et des enfants. Les pueblos sont aujourd’hui une communauté autonome respectant leurs culture et coutumes. Vous pouvez toutefois aller à leur rencontre dans pas moins de 8 sites au nord de Santa Fe.

– Une cité Espagnole

Les espagnols arrivent dans la région au début du XVII° siècle et fonderont la ville sous le nom de « Villa Real de Santa Fé de San Francisco de Asís en espagnol », signifiant en français « Ville royale de Sainte Foi de François d’Assise ». La ville devint alors la capitale de la Nouvelle-Espagne. Après l’attaque de la ville par les amérindiens, un présidio sera construit pour renforcer sa défense.  Au milieu du XVIII° siècle, la ville développera les échanges commerciaux avec les français de la Louisiane toute proche. A ce moment, ils lanceront la fameuse piste de Santa Fe qui joue un rôle majeur dans les échanges commerciaux et la colonisation de nouveaux territoires. La ville restera espagnole jusqu’à la guerre d’indépendance de mexicaine en 1824 et passera en 1848 sous le contrôle américain.

Une halte culturelle

Forcément ce passé si riche laisse des traces, et c’est un bonheur de se balader dans Santa Fe et de se laisser transporter au milieu de ses bâtiments anciens. Le downtown se compose de maison en adobe à l’architecture et aux couleurs réglementées. Elles sont inspirées des maisons pueblos et mexicaines. Commencez par le cœur de la ville avec la Santa Fe Historic Plaza, elle est entourée de commerces sous les arcades, et on y trouve aussi le Palace of the Governors. Ancien palais et aujourd’hui encore l’un des bâtiments principaux de la ville, il fut bâti en 1610, et abrite aujourd’hui le New Mexico History Museum. Sous la galerie, vous trouverez des indiens pueblos vendant leurs artisanats. A quelques encablures, une boutique s’est installée dans la plus vieille maison des USA puisqu’elle daterait de 1646 et est toujours debout !
La ville abriterait également la plus vieille église des USA : La San Miguel Chapel, qui abrite elle-même la San José Bell, vous l’avez deviné, : c’est la plus vielle cloche du pays ! Elle n’est plus aujourd’hui dans le clocher mais on peut la voir de près dans l’église, d’ailleurs n’hésitez pas à la faire sonner, la légende dit que si on la sonne, on reviendra à Santa Fe !
Ce n’est bien sûr pas le seul bâtiment religieux de la ville : la Saint Francis Cathedral (datant de la fin du XIX siècle), et inspiré du modèle de l’église de Volvic, sa construction ayant été entreprise par un français ! A ne pas manquer également la Loretto chapel avec son escalier en spirale miraculeux (de nombreuses légendes l’entoure, mais on ne va pas tout vous spoiler non plus !).
Santa Fe est une ville hautement culturelle, elle abrite pas moins de 17 musées consacrés à la culture américaine, hispano-coloniale ou amérindienne. C’est également la 3° ville d’art du pays et un haut lieu de la création artisanale et possède également le titre de « Ville Unesco du design, de l’artisanat et des arts populaires ». Sur canyon Road, vous ne trouverez pas moins d’une centaine de galeries d’art, vous en mettant plein les yeux !

 Une étape au cœur de routes majeures

– La Turquoise Trail

La Turquoise trail est une route scénique qui rejoint Albuquerque à Santa Fe, jalonnée d’anciennes mines et de villes quasiment abandonnée aujourd’hui elle serpente entre les montagnes Sandia Mountains et les Ortiz Mountains. Cette route était empruntée par les chercheurs de Turquoise, cette pierre précieuse caractéristique de la région.

La Route 66

La ville de Santa Fe, au carrefour de nombreuses lignes d’échanges, était tout naturellement sur le tracé original de la fameuse Route 66. Et cela jusqu’en 1937, quand le tracé fut finalement déplacé à Albuquerque. Il faut dire que la ville entourée de hautes montagnes obligé pour l’atteindre de passer des cols de hautes montagnes, laissant de nombreux automobilistes du début du siècle sur le bord de la route abandonnés par leur voiture en peine. Mais il apparaitrait que le tracé ait en fait été déplacé sous couvert d’une guéguerre politique : le gouverneur non réélu par ses concitoyens leur a promis de les priver des bienfaits de la Mother Road. A la fin de son mandat c’est chose faite, et la Route 66 ne passera plus par Santa Fe… Le nouveau tracé jugé plus sûr, sera conservé jusqu’au déclin de la Route.

Une étape que vous pouvez bien entendu retrouver dans nos programmes:

ROUTE 66 TOURS
&
R66 & Parcs Nationaux

On vous en parlé, on vous l’a teaser, on l’a préparé , le voici le petit dernier arrivé chez American Motors Travel (et ce n’est pas le dernier !) le TEXAS TOURS ! Un road trip entre cowboys, musique et plage pour un dépaysement maximal !

L’image du Texas, c’est les grands espaces et les cowboys, (bon en même temps avec une superficie de 695 662 km², le Texas est plus grand que l’Allemagne, l’Angleterre, l’Ecosse, l’Irlande, la Belgique et les Pays-Bas réunis !) mais pas que …. A nous de vous faire découvrir tout ce que cet état regorge d’étonnant et de joyaux.

 Le Texas, ce sont des villes dynamiques comme Dallas, Austin, Houston ou San Antonio, qui sont aujourd’hui des moteurs pour les états unis tout entier en accueillant de grandes entreprises (Dell, Tesla…) ou la centre de supervision de la NASA par exemple. Pourtant celles-ci possèdent une vraie âme, de San Antonio l’une des plus vielle ville des Usa à Dallas et son esprit cowboy en passant par Austin et sa culture musicale (elle est même la « capitale mondiale de la musique Live »), chacune a son identité propre qui sera vous ravir et vous emmener chaque fois plus loin et plus profondément dans la culture Texane.

A côté de ces grands ensembles on trouve des villes plus petites, encore plus authentique où vous retrouverez le charme d’antan tout en en apprenant plus sur le passé de cet état fondateur dans l’histoire américaine. On peut par exemple citer Fredericksburg et son passé allemand, Nacogdoches et Jefferson qui ont gardé ce charme du passé, une ambiance du Texas du début du siècle. Ou encore Forth Worth et Bandera foncièrement marquées de la culture cowboy, cultivant leur emplacement sur le Chisholm Trail, cette piste du Rio Grande au centre Kansas fut empruntée par de nombreux cowboys pour convoyer du bétail, marquant durablement les villes prospérant le long de celle-ci. Ou bien laissant des « Ghost towns » pour celles qui n’ont plus résister à la modernisation et au chemin de fer qui remplaça ces longs convois d’hommes et de bêtes.

Et c’est sans compter sur les villes balnéaires qui jalonnent la côte et qui ont su se développer alternant entre port commerciaux et villes dédié à l’Entertainment. Tels que Galveston ou Corpus Christi.

L’histoire reste très omniprésente au Texas, des amérindiens Caddo à la conquête spatiale, en passant par la découverte des gisements de pétrole, vous ne manquerez pas de sites à découvrir et explorer pour revenir sur le passé de cet état majeur.

Quand on pense au Texas, on a plutôt en tête les grandes étendues désertiques de la panhandle que traverse le fameuse Route 66 au nord de l’état. Pourtant l’état regorge de parc nationaux, d’étendues verte et même de bayous, vous rappelant que la Louisiane n’est pas loin. Vous offrant la possibilité de côtoyer tortues de mer, tatous et autres crocodiles durant votre séjour.

De bayous en vignobles, de désert en bord de mer, la nature change et vous dépaysera à chaque virage : dépaysement garanti !

Une richesse qui vous permettra au cours de votre road trip de multiplier les expériences : prenez-vous pour un cowboy le temps d’un après-midi en chevauchant un cheval et nourrissant les bêtes des ranchs. Jouissez des nombreux concerts à Austin, touchez une roche lunaire à Houston, partez sur les traces des derniers moments du fameux Davy Crockett à Fort Alamo ou encore faire une promenade en bateau dans les bayous de l’est du Texas. De quoi agrémenter votre séjour et vous laisser des souvenirs plein la tête !

Et pour ne pas vous laisser en reste vous pourrez régaler vos papilles et vos oreilles tout au long de votre trajet : vous voilà au cœur de la Tex-Mex food ! Fusion de la nourriture américaine et mexicaine que l’on ne peut qu’apprécier ! Mais il n’y a bien sûr pas que cela à déguster : les fameux gombos et autre spécialité du sud sur la partie Est, et bien sûr les barbecues, dans un état dédié à l’élevage. Presque une religion au Texas ! Pour les oreilles, rendez-vous dans les Honky Tonk (sorte de pub dédié à la country), dans les bars d’Austin pour profiter de la musique live mais aussi aux racines du Blues à Houston.

Vous n’avez plus aucune raison d’attendre pour découvrir notre nouvelle pépite => https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/texas-tours-119

Tous les ans (sauf en cette période particulière) a lieu l’un des festivals les plus connu au monde, mais aussi des plus médiatisé : Coachella. Stéréotype du glamour et des paillettes, du bobo hippie chic, c’est aussi un des festivals accueillant de très grandes têtes d’affiches et une consécration pour de nombreux artistes. Se déroulant à quelques heures à peine de Los Angeles, assister au festival de Coachella, c’est aussi l’occasion de croiser de nombreuses stars ou voir les dernières œuvres d’artistes en vogue. Pour nous, c’est l’occasion de vous présenter cette vallée qui abrite également la ville de Palm Springs que vous découvrirez dans plusieurs de nos circuits. Même si vous n’avez pas réussi à avoir vos billets, la ville de Palm Springs propose de nombreuses activités durant les week-end du festival. Expositions d’architecture et artistique, balade en chameau dans le désert… il y en a pour tous les goûts.

Véritable oasis dans le désert de Californie, la ville de Palm Springs est plébiscitée pour sa douceur de vivre depuis de nombreuses années. Située à seulement 170 km de Los Angeles, vous quitterez en à peine 2 heures, le tumulte de la « Cité des Anges ». C’est pourquoi depuis les années 20, la ville est devenue le havre de paix des stars hollywoodiennes. C’est d’ailleurs un des attraits de la ville : aller voir les maisons des stars. L’architecture mid-century, a la part belle dans la ville. Les stars rivalisant pour se faire construire les plus belles villas, les plus avant-gardistes. Un tour vous est proposé pour voir celles de Frank Sinatra, Marylin Monroe, Dean Martin, Elizabeth Taylor et Elvis Presley… (pour rappel le chanteur est venu à Palm Springs pour passer sa lune de Miel avec Liza Marie). Rendez-vous au visitor center qui se trouve dans une ancienne station service des années 60 pour y trouver les renseignements. D’ailleurs, les trottoirs de Palm Canyon DriveTahquitz Canyon Way et Museum Drive accueillent un mini Walk of Stars, elles ne sont pas toutes connues mais on retrouve quand même celles de Marilyn et d’Elvis, à vous de les trouver ! Les resort sortent aussi leurs épingles du jeu proposant une architecture aux lignes droite typique des années 50, et aux couleurs acidulées, le tout très instagramable comme par exemple le Saguaro. Profitez de cette ambiance en vous baladant sur la rue North Palm Canyon Drive, plusieurs boutiques vous proposeront des pièces designs et coloré du parfait style Palm Springs et tous les jeudis soir, un marché nocturne anime cette artère jusqu’à 22h.  

Même si Palm Springs a connu ses heures de gloire dans les années 40-50, la ville était un point d’arrêt beaucoup plus vieux, ce site de villégiature a accueilli les voyageurs et devient à la mode dès les années 1900. Ainsi vous pouvez visiter la Palm Springs Historical Society, pour en apprendre plus sur le passé de la ville. Si vous voulez remonter au passé indien de la vallée, rendez-vous à l’Agua Caliente Cultural Museum.

La région de Palm Springs a tout d’un paradis géologique : désert, formation rocheuses, sources naturelles formant des vallées peuplés de palmiers dattiers. Vous trouverez forcément de quoi vous dépayser ! A quelques encablures, il est possible de se rendre au sommet du Mont Jacinto via un téléphérique à plateforme tournante. D’en haut, la vue sur la vallée est saisissante, et vous permet d’apprécier les caractéristiques de cette vallée si particulière. Il parait que le soir, on peut apercevoir les lumières de Las Vegas ! Par contre, pensez à prendre une polaire ou un coupe-vent, vous monterez à plus de 2600m en 10 minutes, et vous perdrez près de 15°. A quelques miles au sud, rejoignez l’Indian Canyon, une petite oasis en plein désert : une rivière, des rochers, des palmiers majestueux, et un canyon pour offrir de belles vues sur l’oasis et la vallée !  

Si vous souhaitez rouler pour profiter de la beauté des environs rejoignez la Palms to Pines Scenic Byway, une boucle d’une centaine de kilomètre pour vous offrir des vues à couper le souffle. Mais attention, il s’agit d’une zone protégée donc vous risquez de croiser des animaux (bighorn sheeps, pytargues, cerfs, lynx…). En revenant sur Palm Springs, faites un arrêt auprès de l’impressionnant champs d’éolienne. C’est également la route pour rejoindre le magnifique Joshua Tree National Park, qui abrite la plus grande concentration de cactus (Joshua Tree) au monde.

Une halte au charme rétro, au cœur du désert que vous pouvez retrouver dans nos programmes Western Tours : https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/western-tours-171

American dream Tours https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/american-dream-tours-86

et Best of The West https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/best-of-the-west-tours-244

 et bien sûr dans vos programmes sur mesure : https://www.american-motors-travel.com/voyage_sur_mesure.php

On vous a déjà parlé il y a quelques mois de Portland (vous pourrez retrouver l’article ici), la capitale économique de l’État de l’Oregon. Mais cette fois-ci, nous avons choisi de vous faire découvrir le reste de l’état qui vous permet de changer de paysages et d’être totalement dépaysé : côte maritime (Pacifique), haute montagne, vallées verdoyantes, steppes, dunes de sable géantes, fleuves et lacs, hauts plateaux… Bref, tous les paysage de la planète réuni en un seul road trip !

L’Oregon, c’est le dixième plus grand état des États-Unis, situé au nord-ouest entre la Californie et l’état de Washington. Il reste pourtant un état très vert en majorité agricole (d’où une superbe gastronomie) et avec près de 6000 lacs et 12 millions d’hectares de forêts à découvrir ! on pourrait diviser l’état en 2 parties à partir de la chaîne des Cascades qui traverse l’état du Nord au Sud, l’est est plutôt désertique et se rapproche de ce que l’on connaît de l’Ouest américain et l’ouest, beaucoup plus vert.

Commençons par l’ouest et la côte pacifique avec ses 584 km de côte sauvage et protégées. Empruntez la route 101 (prononcez One-o-One) pour profiter des points de vue spectaculaires, des côtes rocheuses au Nord avec des falaises abruptes aux dunes de sables géantes au Sud. Passez par Cannon Beach, le point final de la grande expédition de Lewis et Clark. Si vous voulez en avoir un aperçu, repassez vous la scène finale du film Point Break ! Au mois de juin, se tient un immense concours de château de sable. Sur la côte, il y a plein de choses à faire : visite de phares (Yaquina Head, Heceta Head), croisière d’observation des baleines ou des lions de mer, fat bike (vélo à pneu très large) ou buggy sur les dunes de sables. Et enfin, pour une petite visite insolite, visitez la fabrique de fromages et crèmes glacées de Tillamook : c’est la plus grande fabrique de Cheddar (principalement)du Nord-Ouest américain avec dégustation en fin de visite. Autre activité originale, et si c’est la saison au moment de votre passage, participez à une pêche au crabe et au saumon avec les pêcheurs locaux.

Continuons vers l’est, on y retrouve bien sûr Portland dont on ne va pas vous reparlez, vous l’avez compris rendez-vous sur notre précédent article. A noter tout de même que Portland est un véritable vivier pour la culture musicale et principalement pour le rock alternatif (rappelez-vous notre article sur la culture musicale américaine PART2). La ville garde un esprit d’indépendance et de rebellion, et donne la part belle aux jeunes groupes voulant émerger. Donc gardez l’oeil ouvert et les oreilles à l’écoute, vous pourriez peut être au détour d’un bar ou d’une salle de concert déouvrir les prochaines stars! Avant d’arriver en ville, arrêtez-vous dans la Vallée de la Tualatin (à l’ouest), pour une petite dégustation dans cette région viticole. La région la plus réputée pour le vin, est la vallée de la Willamette au sud de Portland, avec notamment de magnifique pinot noir et chardonnay. Comme en France, empruntez la route des vins pour quelques dégustations. L’histoire est omniprésente dans la région, faites un petit stop à l’Evergreen Aviation Museum, pour admirer les avions d’Howard Hughes au milieu des vignes ! ou bien au cœur de la capitale Salem, visitez le Willamette heritage center, un ancien centre de filature de laine datant de 1880, pour en apprendre plus sur la vie économique de la région. Vous pouvez également rejoindre Albany qui ne compte pas moins de 700 bâtiments historiques.

A environ 30 min de route à l’est de Portland, on retrouve les gorges du fleuve Colombia, avec de nombreuses cascades (près de 70 à découvrir soit en voiture soit au cours d’une randonnées) et des points de vue panoramiques spectaculaires sur le 3e plus grand fleuve des États-Unis. C’est également l’occasion de rejoindre le Mont Hood, emblème de la région et comparé au Mont Fuji, enneigé à l’année. Pour un peu de frisson, passez par le célèbre Timberline lodge qui servi de lieu de tournage pour quelques scènes extérieur du film « Shinning » de Stanley Kubrick. Plus vous irez vers le sud, plus vous découvrirez la chaîne des Cascades dans toute sa splendeur. Le mont Jefferson en est le point culminant et la ville de Bend, le point d’accès. Pas d’inquiétude pour vous désaltérer, suivez la Bend Ale Trail, une route menant à pas moins de 19 brasseries. Tout au sud, se trouve le joyau de l’état : Le Parc National de Crater Lake, un superbe lac de montagne (dans une caldera formée suite à l’explosion d’un volcan). C’est le lac de plus profond d’Amérique du Nord, avec pas moins de 600m de profondeur et ses eaux sont d’un bleu très vif.

L’Eastern Oregon, peut être assimilé au « Far West », c’est là que l’on retrouve les régions les plus désertique, les grandes étendues nous rappelle le grand ouest américain. C’est également la région des ranches, des cow-boys et des territoires indiens (la région était autrefois occupée par 4 tribus). Pendleton est la capitale de la région, elle est très connue aux USA pour son rodéo annuel qui a lieu depuis plus de 110 ans à la mi-septembre. L’été est également l’occasion d’assister aux Pow-Wow des tribus amérindiennes. Le Tamástslikt Cultural Institute, vous permettra d’en apprendre plus sur les danses et les chants traditionnels, l’art, la langue, les vêtements, la religion et la cuisine des autochtones. Pendleton est aussi réputée pour sa laine et la marque Pendleton produit de nombreuses choses (vêtements, couvertures, etc.) que l’on retrouve partout aux États-Unis. Vous pourrez visiter l’usine de fabrique pour comprendre l’importance de cette économie pour la région.

A l’extrême Nord Est de l’état, la chaîne des Wallowas appelé aussi la petite suisse, et la Snake river qui marque la frontière avec l’Idaho. Mais la frontière la plus remarquable est sans doute le Hell’s canyon qui rejoint la chaîne des Seven Devils en Idaho. Tout un programme ! C’est en fait le canyon le plus des États-Unis, avec 2.4 km de profondeur (et oui exit le grand canyon avec ses 1.8km !). Le canyon est donc impressionnant avec au fond la Snake river, sombre qui coule paisiblement. C’est aussi le paradis des animaux sauvage est il n’est pas rare d’y croiser ours ou cervidés. La petit ville Joseph ( du nom du chef indien de la tribu des Nez-Percés), vous offrira un mélange de cow boy, d’artistes avec un soupçon de légende indienne pour une ambiance des plus dépaysante.  

Découvrez la plupart de ces merveilles dans notre programme  » Pacific Coast Tours » :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/pacific-coast-tours-12

ou bien dans un voyage crée sur-mesure pour vous :

https://www.american-motors-travel.com/voyage_sur_mesure.php

Situé au sud des États-Unis, le Texas est l’État le plus vaste après l’Alaska, et contrairement aux idées reçues, le Texas n’est pas composé que d’étendues désertiques sans âme qui vive. On y trouve en fait 10 régions climatiques et 11 différents systèmes écologiques. C’est aussi le plus grand producteur de pétrole du pays et le plus gros éleveur de bétails et de moutons. Les minéraux, le coton et la laine font aussi parti de ses richesses. Loin de l’image du cow-boy parcourant des espaces désertiques parcourir le Texas, c’est découvrir un État chargé d’histoire et beaucoup plus intéressant que les clichés.

Pour comprendre le Texas, il faut revenir un peu sur son histoire si riche. Découvert par les espagnols, un temps en partie français, puis colonisé et évangélisé par la couronne espagnole. Le Texas est resté longtemps une terre mise à part, peu recherché, et l’état mettra plus de 100 ans à être colonisé, se heurtant à la résistance des Apaches, des Comanches, des Tonkawa et des Hasinai. En 1821, les États-Unis reconnaîtront l’indépendance du Mexique pour déstabiliser la couronne d’Espagne, et le Texas sera intégré au territoire mexicain. Pour développer le territoire, le Mexique autorise l’installation de 300 colons anglophones (appelés les « 300 vieux ») parmi lesquels Moses Austin et son fils Stephen, qui donneront plus tard leur nom à la capitale de l’État. Le Texas jouissait d’un statut à part dans l’administration mexicaine, mais une quinzaine d’année plus tard, l’acculturation est de plus en plus flagrante et après rébellion et rixes diverses, l’indépendance du Texas sera proclamée le 02 mars 1835. Le Mexique refuse cette indépendance et le 06 mars attaquera le fameux fort Alamo situé à San Antonio de Bexar. Une ancienne mission mexicaine transformé en base militaire et encore visitable aujourd’hui. Le site fut le théâtre de la plus grande bataille de la révolution texane. Pas un résident ne sortira vivant de ce carnage de 13 jours, où périrent les légendaires Davy Crockett, James Bowie, William Travis. En réponse, le Général Sam Houston (considéré comme le Père du Texas et qui donna son nom à l’une des plus grandes villes du Texas) mènera les soldats de la Révolution au cri de « Souvenez-vous d’Alamo ! ». Cela mènera à la signature des traités de Velasco marquant la fin de la guerre et l’indépendance de réelle du Texas.

Le Texas perdra son unité lors de la guerre de Sécession, l’état foncièrement esclavagiste dans ses champs de coton, ne souhaite bien sûr plus faire parti de l’Union. Et même après la fin de la guerre, les conflits resteront fréquents. Les années suivantes verront le développement fort du Texas, grand exportateur de coton vers le vieux continent, et la découverte au début des années 1900 de ses premiers gisements de pétrole. Le Texas se relèvera de la grande dépression avec le développement des industries de hautes technologies et du secteur tertiaire. La conquête spatiale sera également un des moteurs de l’état avec l’installation du centre Johnson Space Center à Houston et qui est dédié aux missions spatiales habitées. Politiquement, le Texas reste républicain (depuis 1985, tous les gouverneurs texans sont républicains) et particulièrement conservateur. Les positions anti-avortement, anti-écologie, pro-armes ou pro-peine de mort n’ont pas évolué.

L’État est également connu pour avoir eu plusieurs représentant à la présidence des États-Unis, Dwight D. Eisenhower, Lyndon B. Johnson, mais aussi la famille Bush. Et est surtout connu pour avoir été le lieu de l’assassinat de J.F. Kennedy, le 22 Novembre 1963 à Dallas.

Une fois que l’on a bien compris cela, on peut visiter le Texas en comprenant ses influences, son histoire et sa formation. Au total, l’état possède environ 11.500 sites et monuments historiques, plus de 700 musées d’histoire locale, 40.000 sites archéologiques, 46 National Historic Landmarks et 2000 lieux inscrits sur le National Register of Historic Places ! Donc, il y a de quoi faire !

De la culture hispanique à la culture germanique (qui ont marqué l’immigration du pays) en passant par celle des cowboys vous ne manquerez pas de choses à faire ! Les villes vous charmeront par leur mélange entre architecture moderne et quartier historique de charme où les musées d’art et d’histoire côtoient la culture cowboy.

Dallas est le plus souvent la porte d’entrée de l’état, lieu de la culture du pétrole par excellence, à l’image de la célèbre série du même nom. C’est également un grand pôle industriel mais aussi un centre culturel actif avec de nombreux musées et animations. Partez également sur les pas de Kennedy avant son assassinat. Collé à la ville, Forth Worth est célèbre pour son quartier des Stockyards où vous pourrez revivre l’histoire des cow boys, aller dans des saloons, croiser du bétail à longues cornes, voir un rodéo, ou faire vos premiers pas de « line dance » chez Billy Bobs’ ! Ou bien faire une dégustation dans la distillerie Firestone and Robertson Whiskey, qui fabrique un des meilleurs whiskies des États-Unis ! Et il est à noter le : National Cowgirl Museum and Hall of Fame, le seul musée américain qui raconte l’histoire des femmes dans l’Ouest américain et leur offre une certaine reconnaissance. Et s’il vous reste du temps, pourquoi ne pas aller voir une course NASCAR au Texas Motor Speedway.

Sur la route pour rejoindre Austin, faites un petit stop dans la ville de Waco pour visiter le musée du de la boisson Dr Pepper, boisson de l’état par excellence. Austin, c’est la ville musicale par excellence, pas loin de 200 clubs de musique live et une gastronomie développée aux travers des 1000 food trucks. Elle accueille aussi le festival South by Southwest un des plus grands festivals de musique des USA. La ville abrite également la plus vaste colonie de chauve-souris d’Amérique du nord ! Pour le Texas Independance day, outre une course à pied et une parade, vous pourrez assister à un hommage, en costume d’époque, aux Vétérans de la révolution texane au Texas State Cemetery. A quelques km à l’ouest d’Austin, ne manquez pas une pause nature hors du temps à Hamilton Pool.

Toujours à l’ouest, la ville de Fredericksburg vous ramènera hors du temps, et haut lieu viticole du Texas. Une ville au charme authentique, aux galeries d’art bordant la main street, à la campagne luxuriante et dont l’âme allemande se marie parfaitement au cœur texan. Après les dégustations dans les différents domaines, Rendez-vous à Bandera, appelé aussi « The cowboy capital of the world ». Vous aurez l’embarras du choix entre les innombrables ranchs et les rodéos (d’ailleurs saviez-vous que le premier rodéo du pays eu lieu eu Texas le 4 juillet 1883 ?)

Vous voici maintenant à San Antonio, la plus latino des villes américaines, mais aussi une des plus agréables avec ses canaux (« le riverwalk » qui fait près de 24km). C’est là que vous pourrez visiter le fort Alamo. D’ailleurs la cité combine aussi bien les missions espagnoles, les maisons victoriennes, et les tours modernes. Un joli mélange sui saura vous enchanter, un petit goût de Mexique au cœur du Texas.

Plus à l’est, Houston est forcément mondialement connu pour son centre de la NASA, et le « fameux Houston, on a un problème ». Le centre propose des activités interactives et vous permettra de toucher une roche lunaire ! Mais Houston, ne se résume pas qu’à ça, une ville très verte, dynamique et proposant une offre culturelle (au Houston Museum District 19 musées sont rassemblés) et gastronomique exceptionnelle.

Le Texas, c’est également de grandes plages et des stations balnéaires à l’instar de Corpus Christi et Galveston, le fameux Cadillac Ranch au nord de l’état sur la Route 66, la ville fantôme de Lajitas, qui affiche comme maire une chèvre amatrice de bière… Et même la petite ville de Paris, qui se targue d’une réplique de la Tour Eiffel coiffée d’un chapeau de cowboy! Et pour plus de nature, rejoignez le parc de National de Big Bend, parc qui semble désertique mais qui abrite en fait des milliers de variétés de plantes et d’espèces animales. Ou encore le Parc National des Guadalupe Mountains, abritant le point culminant du Texas à 2667m d’altitude. A quelques km au sud d’Amarillo, le Palo Duro Canyon, 2ème plus grand canyon des États-Unis. Ou encore faire du canoë sur le fameux fleuve Rio Grande qui marque le frontière avec le Mexique.

Alors prêt à partir à la découverte de cet état plus grand que la France mais qui a tant à offrir ?

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Si l’on évoque le Carnaval en Louisiane on pense forcément à celui de la Nouvelle Orléans qui est l’un des plus célèbres au monde, à l’instar de celui de Venise ou de Rio de Janeiro. Mais pas que …

Historiquement, les fêtes du Carnaval et de Mardi Gras sont des fêtes liées à la religion, il commence au lendemain de l’Épiphanie et se termine le jour de Mardi Gras (veille du mercredi des cendres, soit près de 6 semaines de fêtes). Ce jour-là tout est permis, et les villes se lancent dans des fêtes endiablées, et une orgie culinaire avant de commencer le jeûne jusqu’au Carême (40 jours !). Cette tradition fut amenée aux États-Unis par les premiers colons français, à la fin du XVIIe siècle et reste encore aujourd’hui fortement liée à la culture française. Celui de La Nouvelle-Orléans, n’est pourtant pas le premier, supplanté par celui de Mobile en Alabama (plus de 15 ans auparavant) qui était au début de la colonisation, la première capitale de la Louisiane. Aujourd’hui, 80 villes de l’État célèbrent l’événement. Tous les ans, le thème du Carnaval change, et met en avant une histoire différente. Donc même si vous l’avez déjà fait, n’hésitez pas y retourner, vous découvrirez forcément des choses différentes.

Pendant près de deux mois, les villes se parent des couleurs des couleurs officielles de l’événement : le vert symbole de la foi, le violet symbole de justice, et l’or symbole de pouvoir. Les maisons et magasins sont décorés à foison à l’instar des décorations de Noël !

A La Nouvelle-Orléans, les défilés sont organisés par des « Krewes », des organisations secrètes ou confréries apparues dans les années 1855 (après des violences au cours de précédentes parades), qui financent alors les parades et créent un défilé à thèmes avec des chars sophistiqués et des artistes. Tous les chars sont décorés de façon très différente, et leur passage est ponctué de défilés costumés, de parades de chiens, de fanfares : les « Marching Band » …

La tradition veut que lors de ces défilés, les personnes déguisées et perchés sur des chars majestueux, lancent à la foule elle-même déguisée (donc pensez à prévoir un costume ou à faire des emplettes) des colliers de perles colorés, des « doubloons » (fausse pièce d’or à l’effigie du carnaval), et autres objets divers (peluches, escarpins à paillettes, mugs…). Préparez donc une autre valise pour ramener tous ces souvenirs !

Une soixantaine de parades animent les rues de la Nouvelle Orléans au temps des festivités. Vous ne pourrez donc pas les louper, mais certaines sont plus courues que d’autres. Et à moins de vous diriger vers une tribune payante (comme un des nombreux balcons de Canal Street et dont les places varient entre 10 et 60$), préférez vous diriger vers les zones de départ, où vous serez au contact des locaux et au plus près de de l’action. Renseignez vous également auprès des habitants ou de votre hôtel pour connaître les lieux et horaires des parades secrètes. A l’instar des North Side Skull & Bone Gang et ses spectaculaires costumes de squelettes, ou des Mardi Gras indians qui s’inspirent des amérindiens. Et s’il vous reste encore des forces après toutes ces effervescences, rejoignez le soir l’un des bals organisés par les plus grands « Krewes », mais attention pour les plus réputés le prix des tickets peut grimper jusqu’à 200$.

Les grandes parades déferlent toutes dans le même secteur de La Nouvelle-Orléans. Elles démarrent dans le quartier d’Uptown pour se terminer dans le Downtown en remontant la vaste avenue Saint Charles afin de permettre aux chars de manœuvrer. D’autres défilés, plus modestes, égayent les rues étroites du French Quarter.

Dans tous les cas la musique inonde la ville et vous pourrez assister à chaque coin de rue à des concerts improvisé ou bien les shows grandioses du Superdome.

La nouvelle Orléans n’est pas le seul endroit où vous pourrez participer à la fête. A la campagne, le mardi gras est célébré par les habitants, qui se rassemble pour concocter un immense Gumbo communautaire. Depuis près de 60 ans, les participants déguisés de franges et de chapeaux pointus tapent aux portes des fermes pour récupérer les différents ingrédients, en échange de danses et de pitreries. Mais l’apothéose de cette célébration arrive quand il est temps d’attraper l’ingrédient principal : le poulet. Appelé le « Chicken Run », les participants doivent mettre la main sur un poulet en liberté lâché par le fermier sur son terrain (le tout bien sûr arrosé de bière depuis 8h du matin) ! Courses, fous rires et bonne ambiance sont donc au rendez-vous dans ces célébrations plus rurales et authentiques, tout comme dans la parade qui suit les participants.

Passer la période de carnaval dans le sud-est, c’est aussi l’occasion de goûter aux nombreuses spécialités culinaires des « cajuns » telles que les huîtres Bienville (souvent proposées grillées), les écrevisses, le gumbo, le jambalaya, les crevettes à la rémoulade, l’okra, le tabasco ou la pacane (noix de pécan). Et surtout le King’s cake, sorte de galette des roi et emblème du carnaval dont la fève est un bébé et qui est parfumé à la cannelle.

Si vous n’êtes pas dans la région au moment des carnavals, vous pouvez toutefois en saisir la dimension en visitant Mardi Gras World à la Nouvelle Orléans, une espèce d’entrepôt géant où vous pouvez trouver les chars des Mardi Gras précédents, et de celui à venir. Le musée reflète bien l’histoire du carnaval et vous permet de voir les artisans à l’œuvre lors de la réalisation des chars. La ville est au cœur de notre programme Magie du Sud Tours,

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/magie-du-sud-tours-119

Ou encore dans la ville de Mobile (Alabama), le Mobile Carnival Museum qui regroupe chars, costumes et surtout de splendides « cooopers » (sortes de traines). A la sortie rendez-vous au Toomey’s gift spécialiste des articles de Mardi Gras qui peut être une étape de notre programme « Heart of Dixie »

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/heart-of-dixie-tours-237

Un peu plus à l’écart, la ville de Lake Charles (quasi à la frontière avec le Texas) propose le Mardi Gras Museum of Imperial Calcasieu, qui abrite la collection de costumes de Mardi gras la plus grande au monde. qui peut être une étape dans un séjour sur mesure.

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  • Pour découvrir des paysages incomparables

On ne va pas se mentir, les Usa regorgent de paysages à couper le souffle, du Grand Canyon au Glacier National Park, en passant par les grandes plaines du Dakota ou les Everglades, vous en trouverez pour tous les goûts. De désert en hautes montagnes, sans oublier les magnifiques plages de Californie ou de Floride, vous pourrez admirer des paysages changeants et seraient forcements dépaysés !

  • Pour changer de paysage en quelques miles/ pour la grandeur du pays.

Avec 9.6 millions de km² (17x la France !), vous trouverez forcément votre bonheur dans ce gigantesque pays. Avec par exemple notre programme Best of The West, vous traverserez le désert de la Death Valley, découvrirez les plages les plus spectaculaires de la Californie, vous émerveillerez devant le Grand Canyon et Monument Valley ou encore prendrez un bol d’air frais dans la Sierra Nevada. Et tout ça en un seul et même circuit ! Et soyons honnête, avant que vous soyez blasé du pays, on trouvera toujours quelque chose à vous faire découvrir tant la diversité des paysages vous emmène toujours ailleurs !

  • Pour voir des monuments emblématiques

Qui n’a jamais rêvé de voir la statue de la Liberté, les grattes ciels de NYC, le Golden Gate de San Francisco, ou encore la maison Blanche. Et que dire de la vie démesurée à Las Vegas et de l’ambiance festive de la Nouvelle Orléans ?  Ces édifices que l’on connaît tous pour nous être présenté à longueur de temps au cinéma, il est peut être temps d’aller le voir sur place non ?

  • Pour expérimenter différentes cultures en un seul lieu

Les Usa se sont forgés par leur immigration, et cela laisse forcément des traces. Traversez New York, et passez par Little Italy, Chinatown, Harlem ou encore Little Germany pour vous en rendre compte, les communautés cultivent leur identité et vous transportent ailleurs à chaque coin de rue. Et si vous vous baladez dans l’ouest américain vous passerez sûrement par une des réserves indiennes les plus connue (depuis notre France si lointaine), le territoire des Navajos. Ainsi en quelques miles, vous arrivez dans un autre monde, une autre culture qui se bat pour garder ses coutumes et ses croyances. Une rencontre qui ne vous laissera pas indifférent.

  • Pour partir sur les traces du rock / du blues…

Fort de son melting-pot culturel les États-Unis ont été précurseurs dans de nombreux courants musicaux et ils ont dominé la scène pendant des années, grâce à l’exportation notamment du blues et du rock à travers le monde. Partez sur les traces des plus grands pour découvrir d’où viennent ces courants, leurs histoires, leur construction et leur diffusion.

  • Pour découvrir la faune et la flore locale

Des séquoias géants, des cyprès chauves couverts de mousse espagnole, des cactus perdus au milieu du désert, des zones de marécages des Everglades, bref vous trouverez forcément dans la flore des USA de quoi vous dépayser. Sans parler de la faune abondante, des chipmunks (sorte d’écureuils) qui courent partout, des ours noirs qui traversent les routes dans les Blue Ridge, les élans et bisons en troupeau ou encore les otaries et lamantins se prélassant dans les eaux. Bref, de découvertes en rencontres, vous ne serez pas déçus.

  • Pour découvrir une nouvelle gastronomie

Ok, quand on pense aux USA, on pense au Hamburger et aux fast food, mais ce n’est pas que cela ! Sans trop vous en dévoiler (vous l’aurez compris, restez connecté) la gastronomie des USA est beaucoup plus développée. De la culture cajun aux recettes de BBQ, laissez-vous surprendre par des recettes audacieuses ou ancestrales pour de nouvelles sensations sur vos papilles !

  • Pour expérimenter de nouvelles sensations dans les parcs d’attractions exceptionnels.

Fan de roller-coaster ou non, on ne peut pas retirer aux USA qu’ils sont inventifs du point de vue des parcs d’attractions. Sans parler des plus connus sous licence (Disney, Universal, Legoland…), les USA regorgent de parcs plus fous les uns que les autres. Que ce soit au niveau des sensations (beaucoup de manèges sont numéro 1 en termes de hauteur, de sensations ou de vitesse), mais aussi des thèmes plus incongrus les uns que les autres : le Dollywood mélangeant country et manèges, Holy Land pour le côté biblique ou encore Bush Gardens pour un mélange de zoo et de roller coaster. Il n’y a pas à dire, les USA sont bien le pays de l’Entertainment.

  • Pour expérimenter les routes mythiques

Si la 66 reste la plus connue mondialement, vous pourrez au travers des États-Unis, découvrir bon nombre de routes mythiques, historiques, panoramiques… La Route 60, appelée aussi Route du Blues,  la Pacific Coast (appelée aussi California Dream Road), la Tioga Road qui traverse la Sierra Nevada, la Great River Road qui longe le Mississippi… Bref, vous l’aurez compris, il y a partout (et truc sympa elles sont repérées par des panneaux) et pour tous les goûts, de quoi organiser un road trip inoubliable !

  • Parce qu’il est facile de se repérer et de rouler aux USA

Les road trip aux USA sont plutôt simples, les routes sont bien indiquées et les visites en ville simplifiées par le plan en damier de la plupart des villes. Les numéros de routes sont en gros sur les panneaux, le sens indiqué par les point cardinaux (Nord/Sud – Ouest/Est) et dans pas mal de zone désertique, il n’y a qu’une seule route, impossible de se tromper ! La conduite est à droite donc là-dessus pas de changement, les routes sont larges et il n’y a pas de rond-point. Enfin, si vous louez une voiture, elles sont automatiques donc simplifiées. Donc aucun stress à vous lancer dans un road trip, surtout qu’on est là pour vous accompagner ! 😉

  • Pour l’offre hôtelière plus que correct

L’offre hôtelière aux USA est large, du camping à l’hôtel de luxe en passant par les fameux motels, il y en a pour toutes les bourses et tous les styles. Aux USA, le tourisme est bien développé et ancré dans la culture populaire. De grandes chaînes hôtelière se partagent le territoire et garantissent une qualité de service équivalente à travers le pays. Rappelez-vous aux USA tout est plus grand, donc la plupart des chambres proposent des lits Queen size voire King size. Mais également un parking et souvent le petit déjeuner. Donc pas d’inquiétude à avoir concernant l’hébergement, on vous trouvera toujours chaussure à votre pied. 

  • Pour faire des rencontres inoubliables

Les américains (pour la plupart) adorent les français. Ils sont serviables, avenants et accueillants. Toujours prêt à vous aider, et à partager avec vous leurs anecdotes ! D’ailleurs, les patrons de certaines boutiques sont devenus de véritables stars pour leur accueil et leur gentillesse !  N’hésitez pas à vous mélanger aux locaux et à passer une bonne soirée faite de rencontres et d’échanges tout en améliorant son anglais ! Ah, et laissez-vous surprendre par le service toujours prévenant et n’oubliez pas de laisser un pourboire.

  • Pour partir sur les lieux de tournage de vos film préféré

Et oui Hollywood domine encore le monde du cinéma et on pari que la plupart de vos films préférés ont été tourné aux USA. Alors il est peut-être temps de partir sur les traces des films mythiques et de marcher dans les pas de vos acteurs fétiches… Plus qu’à ramener vos photos du mythique Forrest Gump Point et de faire celle devant l’étoile de votre acteur préféré.

  • Pour ramener les meilleures photos

On ne va pas se mentir, si vous voulez avoir les meilleures photos à montrer au prochain apéro avec vos amis c’est bien aux États-Unis qu’il faut aller ! Quoi de plus photogénique que le coucher de soleil sur Monument Valley ? Et si vous ramenez celle d’une maman Ours et de ses bébés, pas de doute que vous serez le roi (ou la Reine) de la soirée !

  • Parce qu’on est là pour vous accompagner

Bon si vous hésitez encore, et qu’il vous faut une dernière raison pour partir : on est là pour vous ! Que ce soit en formule accompagnée, en moto tour, en autotour ou encore pour un sur mesure. On est là pour vous proposer la formule qui vous convient et celle qui saura vous corresponde ! Que ce soit à l’est ou à L’ouest, on est là pour vous accompagner et rendre votre séjour inoubliable !

Alors il est temps de prendre votre ordinateur, de naviguer pour découvrir de nos différents programmes ou bien de nous envoyer un mail avec vos désirs pour que l’on en discute ensemble !

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Chaque 3° lundi du mois de janvier est un jour férié aux États-Unis, le Martin Luther King’s Day. Il marque la date anniversaire du révérend (le 15 janvier 1929) ayant œuvré pour les droits civiques des afro-américains. Promulgué en 1983 par Ronald Reagan, il sera effectif pour la première fois le 20 janvier 1986, donnant lieu à un mémorable concert réunissant Bob Dylan (qui était au côté de MLK dans son combat) et Stevie Wonder.

Œuvrant depuis de nombreuses années au sein des organisations pour les droits civiques (voir notre article sur les droits civiques ici ), Martin Luther King avait rejoint Memphis pour soutenir la grève des éboueurs de la ville, luttant pour leurs droits (ils étaient payés moins cher et n’étaient pas payés lors des jours où les conditions climatiques ne leur permettaient pas de travailler, contrairement aux éboueurs blancs). Lors de cette lutte, un jeune afro-américain sera tué.

Le 4 avril en début de soirée, alors qu’il se trouve sur le balcon du Lorraine Motel de Memphis, Martin Luther King est assassiné d’une balle dans la gorge. Transporté à l’hôpital, il sera déclaré mort à 19h05.

S’en suivra des émeutes raciales dans beaucoup de villes des USA, mais aussi une évolution pour les droits civiques. Le président Johnson déclarant pour la première fois un jour de deuil national pour un afro-américain.

Deux mois après l’assassinat, un ségrégationniste blanc, James Earl Ray est arrêté à l’aéroport de Londres-Heathrow. Il signera des aveux mais se rétractera quelques jours plus tard. Depuis, plusieurs théories conspirationnistes évoquent une ingérence du gouvernement fédéral dans l’assassinat du révérend. Un nouveau procès eut lieu en 1999, un an après la mort de Ray, après que Loyd Jowers (propriétaire d’un restaurant non loin du motel) ait révélé à la télévision des détails d’une conspiration de la mafia et du gouvernement. A l’issue, la famille de Martin Luther ne sera plus persuadée de l’implication de James Earl Ray dans l’assassinat.

Aujourd’hui, Martin Luther King reste une figure de la lutte non violente des afro-américains pour leur droit. Le motel de Memphis a été transformé en musée : le National Right Museum et reste une étape incontournable de Memphis. Malgré le fait qu’il soit bien conservé, vous vous demandez sans doute pourquoi une figure telle que Martin Luther King étaient logé dans un simple motel ?

En fait, ce bâtiment était référencé dans le « Green Book », un petit livret qui recensait les différents établissements dans lesquels les noirs étaient autorisés à séjourner (pour une petite séance cinéma, nous vous invitons à regarder le film du même nom qui est très représentatif). Et ce motel faisait parti des plus confortables à l’époque. Vous pourrez visiter la chambre du pasteur mais également revenir sur l’histoire du ségrégationnisme à travers les siècles. Le bâtiment faisant face au motel est également une annexe du musée, c’est de là que serait parti le coup de feu ayant atteint le révérend.

Aux USA, le Martin Luther King Day est un jour férié où les américains célèbrent l’égalité raciale. Les écoles et administrations sont fermées mais les restaurants et magasins restent ouverts. Ce jour reste une fête éducative, et plusieurs événements sont organisés (concerts, lecture, exposition…) autour de la vie et des actions de Martin Luther King. C’est également un Day of service (jour de bénévolat), dédié au service de la communauté : la population est appelée à agir pour les personnes dans le besoin. A New York, une parade se déroule sur la 5°avenue à partir de 13h, et la NBA organise de nombreux matchs ce jour, beaucoup de ses joueurs étant afro-américain.

Nos programmes « Route du Blue Tours » et « Magie du Sud Tours », vous permettront de découvrir cet endroit chargé d’histoire et d’émotions.

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/route-du-blues-tours-72

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Martin Luther King est enterré à Atlanta sa ville natale, vous pourrez également visiter dans un notre programme « The Great South Tours ».

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Les fêtes de fin d’année aux Usa ont quelque chose de magique, des illuminations à tout va, des décorations à profusion et tout cela dans la démesure ….

Histoire de finir l’année en beauté, voici petit zoom sur où passer les fêtes aux USA. Si les festivités commencent aux USA avec Thanksgiving, (et le Black Friday par la suite), elles se poursuivent dès le début du mois de Décembre avec les illuminations.

On pense forcément à NYC avec l’illumination du fameux sapin du Rockefeller Center et la migration de la patinoire à son pied. Mais il n’y a pas que cela à voir :

  • Déambulez sur les nombreux marchés de Noël, certains ne présentent pas moins de 80 stands, de quoi trouver des cadeaux pour tout le monde.
  • A Staten Island, le Historic Richmond Town’s Candlelight Tours, vous permet de visiter le quartier aux lueurs des bougies. Dans le Bronx, dans le Parc de Wave Hill, vous pouvez participer à un atelier pour créer vos propres cadeaux et décorations de Noël inspirés de ces jardins magnifiques.
  • Pour en prendre plein les yeux, rendez-vous dans le quartier résidentiel de Dyker Heights, situé au sud de Brooklyn. En déambulant dans les rues aux grandes maisons typiques, vous pourrez admirer la débauche de décoration dans laquelle se lance les habitants tous les ans. Même le plus grand magasin de décoration de Noël français ne possède pas autant de décoration que la moindre de ces maisons. Les crèches, les soldats de plombs de plus 9 mètres et les guirlandes multicolores, en font un parc d’attraction à ciel ouvert ! C’est également le moment pour déguster les meilleurs cannoli et un bon chocolat chaud de Brooklyn.

Pour Philadelphie, la tradition de noël au Macy’s remonte à 1956. Comme pour les galeries à Paris, allez y faire un tour pour admirer les décorations des vitrines et l’intérieur décoré pour l’occasion. Avant de rejoindre le Love Park au centre-ville, un village de Noël vous y attend et un marché de producteur locaux et objets de confection artisanale.

A Charleston, en Caroline du Sud, vous pourrez assister à la parade de Noël des bateaux dans le port (c’est également possible plus au nord à Myrtle Beach).

Depuis près de 50 ans, la Seminole Hard Rock Winterfest Boat Parade qui prend lieu à Fort Lauderdale, est l’une des « boat parade » les plus plébiscité du Sud-Est des états unis. C’est la plus grande, la plus flamboyante, la plus spectaculaire, la plus magique et la plus appréciée de toutes ! Une bonne centaine de bateaux défilent dans la ville et sur la côte, décorés et illuminés sur un thème différent chaque année. Des scènes flottantes, des shows, des jeux, des groupes musicaux, des reines de beauté, des célébrités sont également au programme. Visitez également les résidences d’hiver de Thomas Edison et Henry Ford qui se parent de leurs habits traditionnels de Noël lors des Annual Holiday Nights. Animations, promenades à cheval ou en charrette et rencontre avec le père noël bien sûr sont de la partie.

Les « Boat Parade » sont la marque des festivités de Noël dans toute la Floride, vous pourrez en trouver sur toute la côte : Naples, St Petesbrug, Key West… A Fort Myers & Sanibel, captiva island se transforme en véritable village de vacances de Noël avec ses arbres illuminés et ses feux d’artifices et la Marching Band Parade Mullet, (défilé musical) lance le coup d’envoi du festival de fruits de mer à la Jensen’s Marina.

A La Nouvelle Orléans, le City Park s’illumine chaque année révélant la majesté des chênes centenaires. Et dans la ville historique de Natchitoches, la rive du lac Cane River se pare de plus de 300 000 lumières, des parades, des concerts et des feux d’artifice sont organisés à l’approche de Noël. En Alabama, le Bellingrath Gardens & Home de Mobile, s’illumine tous les ans de plus de 3 millions de lumières !

La côte ouest n’est pas en reste bien sûr, si on commence au nord, c’est à Leavenworth que vous avez rendez-vous. Situé à 2h à l’est de Seattle cette petite bourgade aux airs de village bavarois saura vous projeter dans l’esprit de Noël, un festival des lumières parant la ville de mille feux, un musée dédié au nutcracker (casse-noisette) et une ferme de rennes de quoi vous téléporter vers le Pôle nord avec une bonne couche de neige…

En Californie, au Kings Canyon, allez au pied du General Grant, un sequoia géant déclaré « arbre de noël de la nation » en 1926 par le président Coolidge. Depuis chaque année, le parc organise une fête de Noël au pied de l’arbre de 33 mètres de circonférence. Pour rester dans un esprit historique, vous pouvez participer (en vous y prenant bien à l’avance) au « Bracebridge Dinner », la célébration d’un noël anglais du XVIII°s pour un festin de 7 plats se tenant au majestueux hôtel Ahwahnee de Yosemite Parc depuis 1927 !

Plus au sud et malgré les températures clémentes, les parcs d’attractions se parent de décors enneigés… Legoland California fait même venir de la vraie neige du sud de l’État pour décorer les différents sites du parc ! Disneyland Resort n’est bien sûr pas en reste avec sa Season to Sparkle. Concert, parades et illuminations pour une saison de Noël féérique. Si vous êtes en ville, ne ratez pas la grande et historique « Hollywood Christmas Parade » sur Hollywood boulevard et passez pousser la chansonnette au Walt Disney Concert Hall.

Enfin dans le grand Ouest, le Colorado n’est pas en reste pour vous offrir les paysages de cartes postales. Toutes les villes s’illuminent : La ville de Georgetown célèbre Noël à travers une cérémonie d’illumination des arbres, une journée pour la rédaction de la lettre et un marché de Noël. La station de ski aux maisons de style Victorien, Breckenridge, s’illumine lors du « Lightening of Breckenridge » avec le rassemblement d’une centaine de pères Noël. Denver profite elle aussi de l’illumination de son sapin pour lancer le début des festivités avec notamment sa patinoire dans le centre-ville. Enfin, Colorado Springs propose un village en pain d’épices. Avec l’événement « 12 days of Aspen », la célèbre station de ski d’Aspen organise différentes activités allant du concert au théâtre, ainsi que des animations dans les rues de la ville à la patinoire gratuite.

Et ça ce n’est que pour Noël, pour le Nouvel An, vous trouverez forcément un feu d’artifice ou un événement pour passer à la nouvelle année.

A Seattle, il est tiré près de la Space Needle pour un effet saisissant. Aux abords du Lac Tahoe, se déroulent le Snowglobe Music Festival. Artistes, pistes de ski et éventuellement une bière découverte sur le Tahoe South Beer Trail pour des instants inoubliables. En Alabama, participez aux Polar Bear Dips pour rejoindre la folie ambiante et vous baigner dans les eaux du Golfe du Mexique le soir du réveillon !

Le must, reste bien sûr la soirée du réveillon organisé par la ville de New York. Le célèbre décompte à rebours de Times Square, accompagné du Ball Drop : la descente d’une boule à facettes de cristal à minuit, une tradition remontant à 1907. Cela reste « the place to be » pour le passage à la Nouvelle Année !

Dans tous les cas, nous pourrons toujours vous organiser des fêtes de fin d’année inoubliables au pays de la démesure !

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Et en attendant de pouvoir préparer cela ensemble, toute l’équipe d’AMT vous souhaites de très belles fêtes de fin d’année !!!!

Cette semaine, zoom sur un état pas très grand et pourtant si riche. Histoire, nature, et musique, le Tennessee ne manque pas de divertissements !

Historiquement l’état du Tennessee est très important, de la rencontre entre les colons et les indiens Cherokees (jusqu’à leur déportation par la « piste des larmes » en 1838), à la guerre de Sécession, car le Tennessee fut le dernier état à faire sécession (les fermiers non esclavagistes de l’Est s’opposant aux riches planteurs esclavagistes de l’Ouest). Sa position lui valut d’être le lieu de nombreuses batailles, dont quelques-uns des plus durs affrontements de la Guerre de Sécession. Par la suite, le new deal grâce aux « grands travaux », façonna l’État en lançant la construction de 36 barrages sur plus de 1000 km, domptant ainsi les rivières capricieuses qui traversent l’état en entraînant une certaine prospérité. Enfin la prohibition marqua aussi le Tennessee puisque c’est encore aujourd’hui un « dry state », un état « sec ». La vente d’alcool est donc interdite ! Ne vous inquiétez pas lors de votre visite à la mythique distillerie de Jack Daniel’s vous pourrez tout de même déguster et acheter votre bouteille ! La subtilité vient du fait qu’on ne vous vend que la bouteille et non le breuvage que l’on vous offre 😊. Cet état est tellement sec que l’on y trouve un Tennessee Whiskey Trail ! de quoi faire de belles découvertes gustatives.

La nature saura forcément vous ravir au Tennessee, du Great Smoky Mountains (formé par le bas des Appalaches), qui est l’un des parcs les plus visité des USA, aux plaines luxuriantes de l’est de l’état, vous en prendrez forcément plein les yeux. Les Great Smoky Mountains qui s’étendent en Virginie et au Tennessee sont aussi un formidable refuge pour la faune. Ne manquez pas Cades Cove, une route et un refuge pour les ours noirs et autres cerfs qui traversent régulièrement, donc faites attention et gardez l’œil ouvert ! Prenez de la hauteur à Chattanooga, une petite ville au sud de l’état, connu par la chanson, « Chattanooga Choo Choo » de Glenn Miller. Grand nœud ferroviaire devenu centre industriel, mais également l’occasion d’avoir un panorama sur les sept états environnants depuis son sommet (c’est également un site de bataille). Le site abrite également la cascade souterraine la plus haute des États-Unis, spectaculaire ! Ce n’est pas moins de 36 parcs nationaux qui jalonnent l’État, et qui sauront vous offrir les plus belles photos (comme par exemple, Fall Creek Falls State Park ou The Great Falls waterfall at Rock Island State Park). Mais c’est aussi la campagne paisible, parcouru par de nombreuses rivières et lacs proposant des activités. Pour les sensations fortes, des tyroliennes et des parcours d’accrobranches permettent d’apprécier la nature d’une autre manière. Pour d’autres sensations, de nombreux parcs d’attractions sont présents sur l’est de l’État avec notamment le Dollywood Park, le parc d’attraction de Dolly Parton, mêlant roller-coaster et hommage à la chanteuse de country, un mélange saisissant.

Enfin, nous ne pouvons pas parler du Tennessee sans parler de sa capitale : Nashville. Surnommée Music City, elle est surtout le berceau et la capitale mondiale de la musique country. C’est également la capitale de l’industrie du disque et les stars venues enregistrer dans la ville sont nombreuses (Elvis, Johnny Cash bien sûr, ou plus récemment Lana Del rey, mais aussi Johnny Hallyday en 1962) . La musique est l’âme même de la ville avec plus de 120 salles de concerts en ville, dont le légendaire Ryman Auditorium, vous y trouverez forcément de quoi vous contenter. Sans parler de l’exceptionnelle salle de musique country Grand Ole Opry et le Country Music Hall of Fame. On pourrait ajouter à la liste le Johnny Cash Museum, exposant la plus grande collection d’objets de Johnny Cash au monde et le Musicians Hall of Fame and Museum rendant hommage aux musiciens, des grandes stars aux moins connus, tous genres musicaux confondus. Des instruments ayant servi à l’enregistrement de certains des plus grands titres de l’industrie du disque y sont également exposés. En soirée, rejoignez les nombreux bars et café pour sustenter vos oreilles selon vos goûts : le Station Inn pour le bluegrass, Exit/In pour le rock, Broadway pour le honky-tonk, Bluebird Cafe pour la chanson, (revoir nos articles sur la musique américaine pour un rappel des différents courants). L’occasion de déguster un fameux poulet épicé spécialité de Nashville, mais ne vous limitez pas à cela, la scène culinaire de la ville s’est largement développée et de la haute gastronomie au petit food truck la créativité gustative saura contenter tous les palais !

Alors, même si on a tous quelque chose en nous de Tennessee, il est temps de revoir votre Nashville Blues !

Vous l’avez compris, ces dernières semaines nos articles sont autant d’indices sur nos nouveaux circuits, donc stay tuned pour le prochain !!!

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Le froid commence à arriver et si on pense sérieusement à ranger les motos ou bien à rouler sous 12 couches de vêtements techniques, c’est aussi l’occasion de parler des voyages d’hiver.

Et oui, vous nous voyez arriver avec nos gros sabots, quand on pense aux séjours « neige » en Amérique du Nord, on pense au Canada. Ce pays a su développer les séjours authentiques en chalets ou en pourvoiries et les activités qui vont avec. Si on faisait un petit tour d’horizon de ce qu’il y a faire pendant cette longue période d’hiver :

Voir le Canada et le Québec sous la neige, c’est l’occasion de découvrir des paysages fabuleux sous une couche de neige épaisse, des paysages apaisants d’une blancheur immaculée et d’un calme serein. Mais c’est également l’occasion de faire des activités inédites pour se construire des souvenirs inoubliables. Voici quelques raisons pour vous démontrer que « le Québec l’hiver, c’est aussi l’fun ! » (À dire avec l’accent bien sûr !)

  • Faire de la randonnée dans la neige :

A pieds (avec de bonnes chaussures de marche), en raquette ou bien en ski-hok (sorte de ski de randonnée, des skis courts avec une couche synthétique qui permet d’accrocher à la poudreuse), vous pourrez profiter de toute la beauté des parcs nationaux enneigés. Même si vous les avez déjà visités en été ou en automne, vous découvrirez un tout autre paysage endormi sous une couche épaisse. Les lacs sont gelés et la nature assoupie. Si vous êtes observateurs, vous remarquerez les traces des différents animaux qui ne sont pas en hibernation.

  • Le ski

Pour les plus skieurs d’entre nous, les monts du Québec ne vous offriront que peu de sensations pour le ski alpin, le Québec ne possédant pas de hautes montagnes comme nous pouvons en avoir en France mais il est très intéressant pour le ski de fond. Du coup, l’après-ski est largement développé dans les stations et une multitude d’activité vous seront proposés : Fat bike (vélo à gros pneu pour aller sur la neige), luge, surf à voile, descente au flambeau

  • Pour faire du traîneau à chien

S’il y a bien une activité à ne pas manquer c’est bien celle-ci ! Les différents chenils ne manquent pour vous faire profiter d’une expérience incomparable. Pas forcément besoin de vous décrire ce que vous allez voir, l’expérience parle d’elle-même alors laissez-vous porter !

  • Faire du Ski-doo

Et oui, les moteurs et les sensations nous manquent l’hiver mais il y a de quoi retrouver cela avec la motoneige. La vitesse et l’excitation du grand air, des pistes dédiées, du off-road sécurisé… bref de quoi retrouver les émotions des sports motorisés.

  • Pour pratiquer la pêche blanche

Si vous ne connaissez pas encore, c’est également une chouette expérience. L’hiver des cabanes ou igloo sont installés sur les lacs gelés (et même sur le ST Laurent) pour pouvoir tout de même profiter des bienfaits de Mère Nature. Alors installez- vous et soyez patient, si cela mord, vous pourrez déguster une des meilleurs poissons.

  • Les activités nautiques (d’hiver, bien sûr)

Quand les lacs sont gelés, les québécois rivalisent d’ingéniosité pour les utiliser. Entre patins à glace, dîner sur glace, partie de ballon-balais, les activités ne manquent pas. C’est également l’occasion de rencontrer les locaux et de passer de bons moments de rigolade. Fun assuré !

  • Activités à sensations.

Pour ne pas se laisser endormir par le calme ambiant des paysages endormis, vous pourrez profiter d’activités plus énergiques ! Commencez par une glissade sur la terrasse Dufferin dans la ville de Québec, une sorte de Bobsleigh qui vous permet d’atteindre les presque 70km/h avant d’arriver au pied de château Frontenac. Pour quelque chose de plus nature, plusieurs sites de via ferrata d’hiver vous permettront d’escalader des cascades de glace. Sensations garanties.

  • Les spas

Après toutes ces activités rien de mieux que de se détendre dans un spa ! Il y en a de nombreux dans toute la région, et avec de nombreux formats, intimistes, grands avec des activités, sur une péniche, dans les montagnes. Bref, forcément de quoi vous contenter.

  • Pour les nombreux festivals

L’hiver les touristes sont beaucoup moins nombreux, c’est donc l’occasion de profiter de la belle province de manière plus sereine. Mais c’est aussi la possibilité de s’initier avec les locaux aux différents festivals et manifestations qui ont lieux l’hiver : le festival de sculpture sur glace, Montréal en Histoire, Montréal en Lumière (qui prend un aspect féerique en hiver), et pour se déhancher le célèbre Igloo Fest pour danser sur des DJ et bien sûr le Carnaval qui est une formidable occasion de faire la fête.

Et ceci n’est qu’un aperçu car on ne pourra jamais rendre à l’hiver Québécois, tout le charme et la magie qu’il peut faire ressentir.  

N’hésitez pas à nous contacter pour créer votre voyage sur mesure :

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Demain la fête de Thankgiving marque la fin de l’automne et le début de la saison d’hiver, et si un état peut vous offrir des paysages dignes de cartes postales et des photos Whaou ! (Et sans filtres !), c’est bien le Colorado. Des hautes montagnes du Rocky Mountain Park au site amérindien de Mesa Verde, d’ancienne ville minière en sites de fossiles de dinosaures, vous en prendrez plein les yeux et trouverez forcément une activité originale à faire. Allez une petite présentation s’impose :

Si on ne vous l’a jamais présenté en soit, on vous a pourtant déjà parlé du Colorado maintes fois ici. Mais si, souvenez-vous :

Il était temps de vous donner un aperçu approfondi de cet état hors normes. Le Colorado, c’est 4 parcs et 8 monuments nationaux, 8 trains historiques, 26 routes scéniques, 1500 villes fantômes, et pas moins de 960 espèces animales !

Le voyage commence forcément par la belle ville de Denver, qui vous met directement dans l’ambiance : un cœur de ville historique datant de la Ruée vers l’Or, une vue sur les montagnes environnantes, le plus grand réseau de parcs et un dynamisme à toute épreuve. Pour une meilleure découverte de la ville, on vous invite à lire notre article sur détaillé ici .

C’est la porte d’entrée des Rocky Mountain : une chaîne de montagne parmi les plus grandes d’Amérique mais aussi la plus réputée. Avec pas moins de 58 sommets de plus de 4200 m, le parc est un véritable terrain de jeu. 28 stations de ski réputées, dont Aspen (très chic et très réputée), ou Estes parc et Winter Park, deux stations au charme encore préservé. Ces stations sont renommées pour les sports d’hiver bien sûr, mais proposent aussi beaucoup d’activités l’été (peut-être l’occasion de visiter un ranch et de faire une balade à cheval). Une chose à découvrir assurément également en automne quand les couleurs flamboyantes habillent les arbres, et que les animaux sont le plus visibles. Un peu plus au sud, le sommet du Pike Peak vous offrira également des vues à couper le souffle !

D’autres paysages vous en mettront plein la vue : les gorges profondes du Black Canyon, les formations rocheuses du Colorado national Monument et du Garden Of Gods, rappelant que les parcs nationaux du grand Ouest ne sont pas loin… Pour une fin de journée hors du temps, rendez-vous au Great Sand Dunes Park pour un coucher de soleil sur des dunes de sables avec en fond les montagnes partiellement enneigées. Saisissant !

Sans parler des parcs nationaux, le Colorado offre une multitude de paysages enchanteurs : les montagnes au Nord, le désert au Sud, à l’ouest les pâturages verdoyants, vignobles et vergers et à l’est les plateaux et prairies caractéristiques.

Le Colorado c’est aussi une page de l’histoire, si on commence par les vestiges les plus anciens, l’État a vécu des bouleversements géologiques importants et regorge de sites consacrés aux dinosaures, aux forêts pétrifiées, et autres formations rocheuses. Puis, parcourez l’histoire avec un des sites les plus remarquable de la culture Anasazi. Mesa verde, patrimoine mondial de l’Unesco, qui regroupe près de 600 habitations troglodytes, est surtout connue pour des structures telles que Cliff Palace, considéré comme la plus grande habitation de falaise en Amérique du Nord. Enfin, le Colorado ne serait pas ce qu’il est sans la Ruée vers l’or (et vers l’argent) qu’il connut au milieu du XIX° siècle. C’est là que les villes se développèrent et que les colons conquirent l’ouest en quête de fortune. De petites villes ayant su se développer et rebondir à la fin de la Ruée (Telluride, Durango,Glenwood Springs…) nombre de villes ont été abandonnées (comme Tomboy par exemple), les mines désaffectées. Il est donc temps de faire un bond dans l’histoire…

Le Colorado grâce à ses grands espaces permet également de pratiquer une multitude d’activité :

Rafting et via ferrata dans les gorges, randonnées et vélo dans les montagnes, train à vapeur ou à crémaillère pour découvrir les villes… Pour les sensations fortes sans trop de risques et une vue imprenable, rendez-vous au parc de Royal Gorge, dont la principale attraction est un pont suspendu à près de 300m au-dessus du lit de la rivière Arkansas ! Enfin après toutes ces émotions, vous pourrez vous détendre dans les nombreuses sources chaudes que compte l’État (pas moins de 30 !). D’ailleurs, vous trouverez à Glenwood Springs, la plus grande piscine d’eau chaude minérale du monde !

En Bref, le Colorado regorge de trésors à découvrir, et offre des activités pour tous les goûts et tous les âges. Alors est-ce qu’il n’est pas temps de partir à sa découverte ? Rendez-vous sur notre site pour rêver de votre prochain « Colorado Tours » :

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Vous l’attendiez, on vous l’a annoncé, et le voici ! Notre tout nouveau circuit, tout chaud, tout beau : « The Great South Tours ». Un nouvel horizon, une nouvelle découverte, et des sites qui vous rappelleront des films cultes : le Grand Sud, comme on ne vous l’a jamais présenté. On vous emmène à la découverte de la Géorgie et de la Caroline du Sud pour une exploration en dehors des sentiers battus. Faites nous confiance pour revenir dépaysé !

Traverser le Grand Sud, c’est retrouver les paysages paisibles et romantiques du film Forrest Gump, c’est plonger dans l’histoire du pays au temps de Scarlett O’hara, c’est goûter à la low country food, une gastronomie inimitable, le tout ponctué par une nature luxuriante et des villes toujours plus vibrantes.

Découvrez les traditions du Vieux Sud, dans ces deux états qui faisaient partis des premiers états de l’Union et qui ont marqués l’histoire des États-Unis. Faites un bond dans le temps en visitant les villes de Charleston et Savannah. Ces 2 villes étaient des portes sur l’océan Atlantique et donc lieux de commerce et d’échanges avec l’ancien monde, mais aussi la porte du commerce triangulaire. Foncièrement esclavagistes, ils furent parmi les premiers états à faire Sécession, à la promulgation de l’abolition de l’esclavage (avec d’ailleurs le premier coup de feu tiré depuis le fort Sumter à Charleston). États composés de plantations (principalement de coton et de riz), ils gardent encore aujourd’hui les stigmates de cette histoire mouvementée. De la culture Gullah issues des anciens esclaves, aux sites emblématiques de la lutte pour les droits civiques, en passant par les lieux liés à la guerre de Sécession, les retours dans le temps de manquent pas… tout le long du parcours, vous pourrez admirer ces grandes maisons « Antebellum » à l’architecture victorienne avec un pointe sudiste.

Le Sud, c’est aussi une nature époustouflante et comparable à nulle autre sur le globe. Les deux états abritent de nombreux refuges animaliers qui sont les garants de la conservation des lieux d’habitats des crocodiles et alligators, loutre de rivière, raton-laveurs ou encore du tatou. Vous rencontrez même les chevaux sauvages de l’île de Cumberland. Et c’est sans compter les milliers d’espèces de reptiles et d’oiseaux qui trouvent refuges dans ces contrées. Les paysages composés de marais parsemés de cyprès chauves, de majestueuses allées de chênes centenaires « coiffé » de mousse espagnole, ou de plages au sable doré, forment des images de cartes postales à chaque miles parcourus. On ne doute pas que vous reviendrez dépaysés !

Enfin, il est temps pour vous d’expérimenter la culture du Sud. Une gentillesse et un accueil chaleureux, une invitation au partage et à découvrir les lieux en dehors des sentiers battus. Et surtout un art culinaire typique qui saura contenter les gastronomes français que nous sommes. Exit le faux burger à l’américaine et welcome aux gombos de crevettes et au barbecue à toutes les sauces. En accompagnement le Collard greens (choux cavalier), le Gold Rice ou encore les grits (sorte de polenta de maïs) remplaceront les frites. Et en dessert, la pêche bien sûr, en emblème de le Géorgie vous ne pourrez pas y couper, mais aussi la tarte aux noix de pécan et les arachides bouillies. Et ceci n’est bien sûr, qu’un aperçu d’une tradition culinaire aux accents créoles, cajuns et africains tout en restant très américaine . Un conseil : ne passez pas à côté du fameux pulled pork à la sauce au vinaigre-piment !

Et comme on ne compte pas vous laisser vous ennuyer, vous pensez bien qu’on ne va pas vous laisser sans douce musique dans les oreilles… Le Sud est en effet le lieu de naissance du blues et du Rythm’n blues (n’hésitez pas à revoir notre article sur la Route du Blues pour connaître l’histoire des chanteurs noirs ici ). Ces états ont vu naître les plus grands de la Soul comme Ottis Redding, Ray Charles ou encore James Brown. Bref, de salles de concert en scènes de bar, vous trouverez forcément de quoi vous contenter !

Plus aucune raison d’attendre pour découvrir donc notre nouveau circuit «The Great South Tours » sur notre site internet ! :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/the-great-south-tours-258

En ces temps confinés quoi de mieux que de se refaire un des chefs d’œuvre du cinéma américain avec le film Forrest Gump. Si cela ne vous semble pas ce film du siècle, ce film permet pourtant de retracer les événements importants de la deuxième partie du XX siècle dans une comédie romantique. En 2011, le film est d’ailleurs sélectionné par la National Film Registry de la Bibliothèque du Congrès pour y être conservé, comme étant « culturellement, historiquement ou esthétiquement important ». De quoi passer un bon moment en famille et une petite révision historique…

Notre but est de vous faire voyager, alors on a décidé de vous emmener sur les lieux de tournage de ce film aux multiples nominations et récompenses (pas moins de 6 oscars), qui nous donne une bonne vision de l’Amérique entre les années 50 et les années 80.

Bon, clairement si vous n’avez pas encore vu ce film, il est temps de vous y mettre, parce que déjà, c’est maintenant un film mythique et qu’il est temps de combler cette lacune, mais aussi parce que l’on risque de vous spoiler …. Pour les autres, en route pour revivre cette folle aventure : « Cours, Forrest, Cours ! » (Une phrase passé aujourd’hui dans le langage populaire quand même !)

Le film s’ouvre sur Tom Hank assis sur un banc qui semble attendre le bus, et raconte sa vie aux différentes personnes qui s’assoient à côté de lui… Toute cette scène, que l’on va retrouver tout au long du film, a été tourné dans la magnifique ville de Savannah aux abords de Chippewa Square. Le banc qui était un élément de décor n’est plus là, mais le film a tellement marqué le public que le banc est aujourd’hui au Savannah History Museum. La preuve que Forrest est rentré dans l’histoire.

Il commence son histoire dans la ville de Greenbow en Alabama, sauf que cette ville en Alabama n’existe pas. Il s’agit en fait de Varnville une petite ville de Caroline du Sud, il ne reste pas grand-chose à voir dans cette ville paisible, à part des rues vides et calmes. Le seul bâtiment à peu près reconnaissable est cette quincaillerie de brique rouge sur la East Carolina Avenue.

Les maisons de Forrest, est la Bluff Plantation. Mais c’est une propriété privée qui ne se visite pas. Vous pourrez par contre, vous rendre devant le portail pour voir l’allée dans laquelle Jenny lui lance la fameuse phrase (« cours, Forrest, Cours »). Une belle allée centenaire et typique des plantations du Sud.

Forrest Gump va ensuite à l’université, et cette période est illustrée en Californie :

  • Weingart Stadium, du East Los Angeles College, à Monterey Park pour les scènes de football américain.
  • Marks Hall, sur le campus de l’Université de South California, à Los Angeles pour les scènes avec Jenny
  • Le Bovard Administration Building dans la même université quand Forrest se fait recruter par l’armée.

Le film avait peu de budget, et ils ne sont donc pas partis au Vietnam pour tourner ces scènes. Ils n’étaient en fait pas très loin, à environ 2h au sud de Savannah sur Hunting Island State Park et sur Fripp Island, dans le comté de Beaufort. Cette île offrait tous les décors tropicaux nécessaire aux scènes du film. Il ne restait plus qu’à modéliser les montagnes pour rendre tout cela réel. C’est d’ailleurs là que Forrest s’associera avec son ami Bubba pour créer un commerce de crevette. De cette anecdote, naîtra la chaîne de restaurant Bubba Gump Shrimp compagny dont les restaurants se trouvent par exemple sur le Santa Monica Pier ou bien à l’entrée des studios Universal.

On se retrouve ensuite au fameux discours de paix devant la Lincoln Memorial Reflecing Pool, nul besoin de la présenter. C’est un haut lieu de rassemblement des américains. Il se trouve bien sûr à Washington (tout comme le Jefferson Memorial visible en arrière-plan lorsque Forrest et Jenny se baladent).

Forrest passera ensuite son nouvel an 1972 au Cole’s Restaurant, établissement historique de Los Angeles ayant servi également à de nombreux autres films (Seven, LA Confidential…).

Forrest sera ensuite de retour à Washington pour rencontrer le président Nixon et appellera la police craignant des cambrioleurs dans l’hôtel du …Watergate. Encore la petite histoire dans la grande….

Si Bayou la Bâtre en Alabama existe bien, c’est dans le secteur de Beaufort en Caroline du Sud que furent tournées les scènes. C’est vers Ly Point Creek que vous pourrez retrouver la majorité des scènes de pêche et d’ouragan. L’église où Forrest va prier pour une meilleure pêche est en fait la Stoney Creek Independent Presbyterian Chapel, à McPhersonville en Caroline du Sud et l’hôpital des pêcheurs, l’université de Beaufort.

Arrivons au point le plus important en termes de voyage : la course de Forrest Gump à travers les USA. Et bien sûr, vous en aurez reconnu plusieurs sites :

Le Santa Monica Pier, ce bout de l’Amérique est bien sûr très célèbre pour être également le bout de la Route 66.

Forrest retraverse les Usa pour atteindre l’autre océan et fait demi-tour au Marshall Point Lighthouse, à Port Clyde dans le Maine.

Les champs de blé se trouvent à Cut Bank au Montana

Le magnifique pont de pierre avec les montagnes en arrière plan se trouve à l’entrée Est du Glacier National Park (Montana)

Sa première interview se passe sur le Woods Memorial Bridge situé à Beaufort

Il commence à être suivi dans un virage en épingle que l’on peut retrouver dans les Blue Ridge Mountain (Grandfather Mountain, à Linville, en Caroline du Nord, le virage s’appelle d’ailleurs maintenant The Forrest Gump Curve !)

Enfin le dernier endroit mythique de ce film serait le chêne dans lequel Forrest et Jenny ont construit leur amitié et sous lequel elle sera finalement enterrée. Malheureusement ce chêne majestueux ferait partie de la Plum Hill plantation, qui fait elle-même partie de la Bluff plantation qui comme nous vous le disions plus haut est une propriété privée…

Vous pourrez retrouver ces différents endroits dans nos circuits :

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Comme vous pouvez le voir une grosse partie de ce film se déroule en Caroline du Sud dans paysages typique du Sud, et vous savez quoi ? Restez à l’écoute car bientôt, nous vous emmènerons sur ses traces donc notre tout nouveau circuit ! Stay Tuned !

Ainsi que nous vous le proposions sur Facebook, faisons un petit retour sur les symboles américains en commençant par les ceux des deux partis en lice pour la présidence américaine.

Alors pourquoi l’âne et l’éléphant ?

Cela remonte au XIX° siècle, lors de présidentielle de 1828 opposant le candidat démocrate Andrew Jackson au président républicain John Quincy Adams. La campagne est dure et tous les coups sont permis, la presse et les pamphlets s’en donnant à cœur joie et affuble le candidat démocrate du surnom de « Jackass » (à comprendre ici comme « bourricot ») en jouant avec son nom. Cela ne déstabilisera pas Jackson qui amusé, reprendra même l’insulte à son compte car pour lui l’animal est loyal, persévérant capable de supporter de très lourdes charges sans broncher. Cela lui permettra même de remporter l’élection !

L’éléphant apparaît quant à lui pour la première fois dans le journal The Rail Splitter en soutien à la campagne de « father » Abraham Lincoln.

Ces deux symboles seront repris et popularisé quelques années plus tard (en 1874) par le caricaturiste républicain Thomas Nast, dans le journal « Harper’s weekly ». Dans sa caricature « La panique du troisième mandat», l’artiste caractérisait le parti démocrate par un âne déguisé en lion et portant le nom de César gravé dessus, faisant peur à tous les animaux sauf à l’éléphant qui lui portait l’inscription « le vote républicain ». La peau de lion symbolisait le journal « le New York Herald » qui avait répandu la rumeur que le président républicain Ulysse S. Grant briguait un troisième mandat, ce qui serait assimilé à de la dictature. Les dictatures de Nast font parler d’elle et très vite les américains associent l’âne aux démocrates et l’éléphant aux républicains, jouant un rôle majeur dans ces attributions toujours en cours aujourd’hui. Pour la petite info, c’est également lui qui a popularisé les figures de l’oncle Sam et du Père Noël tels qu’on les connaît encore aujourd’hui.

En tout cas, chacun y voit des qualités et des défauts. Pour les démocrates, l’âne, est modeste, rusé, courageux et capable de supporter de lourdes charges alors que les Républicains le voient têtu et risible. Pour les Républicains, l’éléphant est fort, intelligent, sage. Alors que les démocrates le voient comme prétentieux et incompétent.

Mais du coup connaissez-vous, l’histoire des autres symboles américains ?

  • Le drapeau américain

Le drapeau américain a un nom : The Star-Spangled Banner (« la Bannière étoilée »). Depuis 1960, il est composé ainsi :
50 étoiles blanches sur fond bleu, dans un rectangle en haut, à gauche,
13 bandes horizontales, rouges et blanches, en alternance, symboliquement cousues et non teinté pour symboliser l’union des états fondateurs.

Il fut adopté en 1777, moins d’un an après la guerre d’indépendance et l’élaboration de la constitution, officialisant la création du nouvel état. À l’époque, il n’y avait que 13 étoiles, symbolisant les 13 états déjà conquis sur la côte est. En 1818, le président Monroe signe un acte stipulant que le drapeau devrait changer désormais à chaque entrée d’un État dans l’Union, le 4 juillet (le Jour de l’indépendance, fête nationale américaine) suivant cette entrée, par l’ajout d’une étoile par État supplémentaire.
La « conquête de l’ouest » et la constitution de nouveaux états entraînera les différents changements de drapeau (jusqu’à 27). Les étoiles sont ajoutées au fur et à mesure jusqu’en 1960 avec l’intégration de Hawaï comme cinquantième état de l’union (d’où les 50 étoiles d’aujourd’hui). C’est également la plus longue période sans changement du design du drapeau.


Les 13 bandes symbolisent toujours les 13 états sécessionnistes qui menèrent la guerre d’indépendance contre le Royaume-Uni.

  • La Statue de la Liberté (The Statue of Liberty)

Célèbre dans le monde entier, la Statue de la Liberté qui s’appelle en fait « la liberté guidant le Monde » est une statue monumentale est située à New York, sur la Liberty Island, au sud de Manhattan, à l’embouchure de l’Hudson et à proximité d’Ellis Island. Elle accueillait les voyageurs ayant traversé l’Atlantique jusqu’à New-York. C’est la première chose qu’apercevaient les immigrants venus chercher du travail dans le Nouveau Monde (jusqu’au XIXe siècle). La statue représente une femme debout vêtue d’un drapé à la romaine. Tenant dans son bras droit une tablette sur laquelle est inscrite la date de la déclaration d’indépendance en chiffre romain (JULY IV MDCCLXXVI), celle-ci évoque le droit ou la loi. De sa main gauche, elle brandit une torche allumée renvoyant aux lumières. Au pied de la structure se trouvent des chaînes brisées qui symbolisent l’affranchissement du joug de l’oppression, la liberté. La statue est tournée vers l’est, c’est-à-dire vers l’Europe, avec laquelle les États-Unis partagent un passé et des valeurs. Elle est coiffée d’une couronne comportant sept pointes, symbolisant les « Sept Continents » (Amérique du Nord, Amérique du Sud, Europe, Asie, Afrique, Océanie et Antarctique). Ou bien elles pourraient également évoquer les sept océans (Arctique, Antarctique, Atlantique nord et sud, Pacifique nord et sud et Indien). Le diadème fait aussi penser à celui que portait le dieu du soleil Hélios. Sous ces pointes, se trouvent vingt-cinq fenêtres symbolisant quant à elles vingt-cinq pierres gemmes trouvées sur la terre et les rayons du ciel qui brillent sur le monde. Elle reste le symbole de la liberté et de la démocratie. Elle fut offerte aux États-Unis par la France en 1886 pour fêter les 100 ans de l’indépendance et l’amitié entre ces deux peuples. Elle mesure 92.9m (avec le piédestal) et pèse 225 tonnes, la conception a été confié au sculpteur Bartholdi et la structure interne en acier faut réalisée par Gustave Eiffel. Elle fut inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco en 1984.

  • Le Pygargue à tête blanche.

Si les français sont représentés par le coq (que les démocrates avaient essayé de nous piquer avant d’adopter l’âne !), les américains ont choisi le pygargue à tête blanche comme emblème. S’il ressemble fortement à un aigle, il n’en est pas tout à fait un, la différence se jouant à la présence de plume sur les pattes. Cet oiseau majestueux est présent sur quasiment tout le continent américain, de l’Alaska jusqu’au Mexique. Ils peuvent être de tailles différentes, les plus gros spécimens se trouvant en Alaska et les plus petits en Floride.

Bien avant de devenir l’emblème des États-Unis, le pygargue était déjà un oiseau sacré. Ces oiseaux en général étaient considérés comme des messagers spirituels entre les dieux et les êtres humains. Au cours des pow wows, plusieurs danseurs portaient les serres des oiseaux comme marque de prestige et les plumes étaient utilisées dans les coiffes et les costumes religieux. Chez les Lakotas, les plumes étaient offertes en signe de reconnaissance à un membre de la tribu ayant fait preuve de bravoure ou de valeur. Pour les Pawnees, ces oiseaux étaient des symboles de fertilité parce que leurs nids sont aménagés en hauteur et parce qu’ils protègent farouchement leurs petits. Les Kwakwaka’wakw éparpillaient des plumes pour accueillir des invités de marque. Chez les tribus des Grandes Plaines, pendant la danse du Soleil, on émettait des sifflements en soufflant dans un os d’aigle. A savoir, ces animaux sont farouchement protégés ayant failli disparaître (dans les années 50, il ne restait que 800 à 900 individus !). Toutefois, les amérindiens sont autorisés à obtenir des plumes de pygargue à tête blanche ou d’aigle royal pour des usages spirituels et religieux.

Le pygargue a été choisi le 20 juin 1782 par le Congrès pour devenir le symbole des États-Unis en l’intégrant au grand sceau. Il est représenté tenant dans ses serres un rameau d’olivier et des flèches. Il apparaît sur tout ce qui est officiel, des pièces de monnaies, les billets, en passant par les timbres et surtout sur les sceaux officiels en particulier sur celui du Président américain ! Par sa puissance, sa longévité et son allure majestueuse, il symbolise la souveraineté.

Pour la petite info, les USA ne sont pas passés loin d’avoir un dindon comme emblème ! Plébiscité au départ par Thomas Jefferson, considérant qu’avec sa tête blanche et de ses yeux jaunes, le pygargue, ne pouvait être que noble et courageux. Le pygargue lui fut disputé par Benjamin Franklin qui était naturaliste et considérait que le volatile était plutôt un couard et un lâche, préférant voler que pêcher par ses propres efforts (le pygargue est en fait plus proche des vautours que des aigles). Il proposa donc le dindon comme emblème dont on reconnaît les vertus historiques (rapport au repas de Thanksgiving). Mais il échoua à imposer ses arguments : la jeune nation attachait manifestement davantage d’importance au symbolisme qu’à l’histoire naturelle, et la dinde avait nettement moins de charisme que le pygargue. L’oiseau reste l’emblème incontesté des Usa, et Donald Trump ne s’y est pas trompé posant en 2016 avec l’oiseau pour sa campagne présidentielle !

  • Le grand sceau des États-Unis (Great Seal of the United States)

Le Grand sceau des États-Unis est utilisé pour prouver l’authenticité de certains documents au sein du gouvernement américain. C’est en 1782 qu’il a été utilisé publiquement pour la première fois, et est composé de deux faces :

Au recto, on retrouve le fameux pygargue à tête blanche aux ailes déployées tenant dans sa serre droite un rameau d’olivier composé de 13 feuilles et 13 olives symbole de paix et dans le serres gauches treize flèches, symbole de guerre. Il tient dans son bec le bout d’une bannière qui flotte au-dessus de sa tête avec la citation latine « E pluribus unum » que l’on traduit par « De plusieurs, un ». Le sens de cette devise est double : suggérant que de plusieurs colonies ou États émergent une nation unique ou que de plusieurs peuples, races et nationalités ont émergé un seul peuple et une seule nation.

Au-dessus du pygargue, on retrouve 13 étoiles, représentant les 13 nations originelles et devant l’animal, un blason composé d’une bande bleue et de 13 bandes rouges et blanches.

 Au verso, l’œil de la Providence au sommet d’une pyramide. Sur la base, se trouve la date en chiffre romain au-dessus de l’œil la phrase ANNUIT COEPTIS (Il a favorisé notre entreprise) et dessous dans une bannière NOVUS ORDO SECLORUM (un nouvel ordre des siècles) ces deux inscriptions restent encore un peu floues et engage à valider les théories du complots… l’œil et la pyramide étant également des symboles maçonniques.

S’il vous reste des billets de 1 dollar depuis votre dernier séjour, vous pouvez les voir au dos de Washington !

Le sceau du Président, reprend les mêmes éléments que le grand sceau, à quelques différences près : les étoiles au-dessus sont en lignes avec 13 nuages stylisés, la bannière est regroupée sur un seul côté, et autour on retrouve 50 étoiles représentant les 50 états actuels. Le sceau est principalement vu sur le pupitre lors des conférences de presse ou interventions publiques présidentielles, sur les documents de la Maison-Blanche, sur le drapeau du président, Sur les côtés du fuselage ou de la carrosserie des différents moyens de transport présidentiels : Air Force One, Marine One et les limousines présidentielles et à l’intérieur de ces appareils, & aussi dans le Bureau Ovale.

  • L’oncle Sam

C’est un personnage emblématique des États-Unis. La paternité de ce personnage reviendrait à Samuel Wilson un entrepreneur travaillant dans le conditionnement de viande pour l’armée américaine.  En 1812, lors de la guerre contre l’Espagne, Wilson s’associa avec Elbert Anderson pour fournir la viande aux armées américaines. Les soldats recevaient des caisses de viandes estampillées E.A-U. S (comprendre Elbert Anderson et United states). Alors qu’un groupe de personnages illustres, dont le gouverneur de l’État de New York de l’époque, visitait l’usine, l’un d’eux demanda à un ouvrier la signification des initiales « E.A.-U.S. » sur chaque fût de viande. L’ouvrier répondit que les initiales E.A. signifiaient Elbert Anderson, le nom du partenaire de la société. En plaisantant, il ajouta que les initiales U.S. signifiaient « Uncle Sam Wilson » (qui était le surnom affectif de Samuel Wilson).

L’anecdote fit son chemin et à la fin de la guerre de 1812, le surnom était adopté. En 1961, le Congrès reconnut à « Uncle Sam Wilson » de Troy la parenté du symbole des États-Unis. Du coté du design bien connu, il apparaît que ce soit un mix entre les président Jackson et Abraham Lincoln. C’est comme nous vous le disions plutôt le caricaturiste Nast qui fixa les traits du fameux Oncle Sam. Il est représenté par un personnage de grande taille avec des favoris et des cheveux blancs, portant une redingote étoilée, un pantalon à rayures et un chapeau haut de forme, décoré d’étoiles et de rayures rappelant le drapeau américain. L’oncle Sam est un personnage profondément patriote et son imagerie a principalement servi dans les propagande de Guerre. L’image la plus fameuse restant le « We Want You » de 1917 appelant les américains à s’engager dans le conflit de la première guerre mondiale.

Si en France on utilise d’expression au pays de l’Oncle Sam, les américains l’utilisent pour désigner plus spécifiquement le gouvernement et l’administration.

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Halloween approche et il est temps de parler de…. Fantômes, plusieurs de nos circuits passent en effet par plusieurs hôtels hantés ….

Fantômes et frissons dans nos circuits aux USA

Comment ne pas commencer avec le Stanley Hotel à Estes Parc ? Cet hôtel inspira un des maîtres du genre pour une des histoires les plus connues pour les amateurs de film à frissons : The Shining. Si ce n’est pas cet hôtel qui illustra le film de Stanley Kubrick, il servit de décor à la mini-série produite par Stephen King quelques années plus tard, qui était mécontent de l’adaptation.

En 1974, l’auteur et sa femme arrivent dans cet hôtel juste avant la fermeture pour la saison hivernale et sont donc les seuls clients, ce qui inspira au romancier son histoire. L’hôtel construit en 1909 était destiné aux riches vacanciers et servit également aux malades tuberculeux pour reprendre des forces. Aujourd’hui, encore c’est une destination plébiscitée pour la vue panoramique sur les Rocheuses.

Si vous souhaitez vous faire frissonner, c’est la chambre 217 qu’il vous faut demander. En effet, ce serait dans cette pièce qu’Elizabeth Wilson, la gouvernante en chef aurait été blessée par une explosion causée par l’allumage d’une lanterne. Malgré le fait qu’elle est survécu à l’accident, on dit qu’elle hante encore cette pièce, déplaçant les bagages et pliant les vêtements de ses occupants. Mais ce n’est pas la seule histoire de cet hôtel qui fait parti des plus hantés du pays. Il y aurait également des fêtes se déroulant sans personne dans la salle de musique, la maîtresse de maison observant ce déroulé depuis le haut du grand escaliers et rejoignant les convives qui se sentent seuls, une petite fille surveillant les gens descendant l’escalier, le fantôme du premier propriétaire jouant avec les occupants de la chambre 407, ou encore un jeune homme jouant régulièrement avec les TV…Bon, vous l’aurez compris les histoires et les expériences sont multiples, et l’hôtel joue bien sûr aujourd’hui la carte du paranormal. Même si vous n’y passez pas la nuit, faite un arrêt pour le découvrir pendant nos programmes passant par Estes park :

Le Rocky Mountains Tours 

Et le Colorado Tours

Allez, vous en voulez encore ?

Direction le Wyoming avec le Historic Occidental Hôtel de Buffalo, qui serait un des hôtels les plus hantés du Wyoming, passage obligatoire des colons en quête d’une vie meilleure en Oregon (la ruée vers l’Or est aussi passée par là), ou dans le Montana. Cet hôtel a hébergé bon nombre de grandes célébrités du Far West : Buffalo Bill Cody, Calamity Jane, Butch Cassidy, Ernest Hemingway et deux Présidents des États-Unis, Theodore Roosevelt et Herbert Hoover.

Situé au pied des montagnes Bighorn près de l’ancien Bozeman Trail, le monument historique accueille des voyageurs fatigués depuis 1880. Il aurait même été un hôtel de passe au début de XX° siècle. 

L’apparition la plus fréquemment rapportée est celle d’une jeune fille affectueusement appelée par le personnel de l’hôtel « Emily ». La légende raconte qu’elle était la fille d’une prostituée opérant dans la suite Bordello et qu’elle est décédée du choléra au début des années 1900. Elle est décrite comme maigre avec des cheveux longs et foncés et une robe blanche, et jouerait régulièrement dans les couloirs

Nous vous proposons même de passez une nuit dans cet hôtel au cours de notre programme Rocky Mountains Tours

L’hôtel Mizpah ne fait pas parti de nos circuits mais fait vaut le détour. Construit en 1905 dans la ville minière de Tonopah (au Nevada), c’était à l’époque l’hôtel le plus haut du Nevada. Il y aurait 3 histoires principales dans cet hôtel :

L’hôtel possédait dans ces fondations une cave utilisée comme banque, 3 hommes ont creusé un tunnel pour atteindre ces trésors mais l’un d’entre eux décida de tuer ses compagnons pour garder le butin qui depuis hanteraient la cave.

La lady in red, serait une prostituée du début des années 20 tuée devant sa chambre par un amant jaloux. De nombreux clients rapportant sentir une présence couchée sur les couvertures ou bien une main froide se posant sur leur épaule. C’est la Chambre 504 si vous voulez une expérience.

Et enfin les enfants du 3 ième étages, il n’y a pas vraiment d’histoire sur ces enfants mais plusieurs clients ont rapporté avoir entendu des enfants jouer et courir dans les couloirs alors qu’il n’y avait personne…

L’hôtel joue bien sûr aujourd’hui sur ces phénomènes paranormaux puisqu’il a été élu en 2018, hôtel le plus hanté des États-Unis par le magazine USA Today. Un classement établi par plusieurs experts, un chasseur de paranormal, un spécialiste des hôtels historiques et un amateur des lieux horribles…donc par un public averti !

Ce ne sont pas bien sûr, les seuls hôtels hantés du pays, pour ne pas vous laisser sur votre faim , voici une liste d’hôtel que vous pourrez aller voir dans nos différents circuits :

L’Hôtel Chelsea à New York, habiterait le fantôme de Nancy Spungen, la petite amie du chanteur Sid Vicious, assassinée en 1978.

Au Deetjen’s à Big Sur Inn en Californie, C’est le fantôme du grand-père du gérant de l’hôtel, fondateur de ce dernier en 1930, qui roderait dans les couloirs.

Le Bourbon Orleans Hotel en Nouvelle-Orléans, le bâtiment n’a été transformé en hôtel qu’en 1960.  Les fantômes hantant ce lieu dateraient des vies précédentes du bâtiment qui fut tour à tour une salle de bal, un théâtre, un couvent, ainsi qu’un orphelinat. On y rencontrerait donc un soldat mais également des enfants, des femmes du couvent et une danseuse du théâtre.

Le Hawthorne Hotel, à Salem, dans le Massachusetts. La ville est mondialement connue pour ses histoires de sorcières, et dans l’hôtel construit il y a plus de 90 ans de nombreux phénomènes paranormaux feraient encore leur apparition…lumières qui s’allument et s’éteignent, robinets se mettant en fonction et s’arrêtant tout seul … et bien sûr ce n’est pas le seul bâtiment hanté de cette ville.

Le Hollywood Roosevelt Hotel, à Los Angeles. Ce luxueux hôtel situé sur le Hollywood Walk of Fame a reçu de nombreuses personnalités depuis son ouverture, en 1927. Marilyn Monroe y ferait apparemment encore quelques passages…

L’hôtel La Fonda à Santa Fe, au Nouveau-Mexique. Cet hôtel reconstruit à Santa Fe en 1922 abritait déjà des auberges depuis 1607. Il est le lieu de séjour pour l’éternité d’un certain John P. Slough, président de la Cour suprême, abattu dans le hall d’entrée en 1867.

Le Myrtles Plantation à St. Francisville, en Louisiane. Il s’agit d’une demeure construite en 1796 par le général David Bradford. L’actuel propriétaire assure avoir vu neuf fantômes dans son désormais bed-and-breakfast. Il a d’ailleurs pris des photographies qui en représentent deux.

Le Congress Plaza à Chicago. Créé en 1893, cet hôtel accueille des visiteurs pour la foire mondiale, et notamment des personnalités. Il abritait aujourd’hui des fantômes célèbres, comme le gangster Al Capone.

Vous l’aurez compris les histoires de fantômes pullulent aux USA et les américains sont friands de ces légendes…

Et tout cela c’est sans compter les nombreuses villes fantômes (bien sûr encore habitées…) qui jalonnent les États-Unis

Alors prêt pour le grand frisson ? Nous pouvons bien sûr vous créer un circuit sur-mesure pour intégrer les hôtels et lieux hantés à vos road-trip !  

Souvent appelé vin du Nouveau Monde en opposition aux vins de la vieille Europe, les vins d’Afrique du Sud ont su conquérir le marché mondial au fur et à mesure de leur développement.

En 1652, on récence le premier comptoir de la compagnie des Indes Orientales (Hollandaise) aux alentours de Table Mountain dans la région du Cap. Ceux-ci en effet cherchent à ce moment-là à établir une étape entre l’Asie des épices et l’Europe pour rendre le trajet moins long. Le fort de Bonne-Espérance à visiter, vous ramènera dans le temps. C’est également là, que l’on cherche à soigner les marins atteint du Scorbut pendant ces longues traversées. Un jeune chirurgien Jan Van Riebeek, installé dans la colonie en cherchait le remède et eu l’idée de faire importer des cèpes de vignes, le climat de type méditerranéen de l’Afrique du Sud pouvant convenir à la plante. La chose fut faite en 1655, et la première récolte eu lieu en 1659. L’Afrique du sud est donc l’un des rare pays dans lequel nous pouvons dater la première vinification !

La Hollande ne possédant pas de vignes, il semblerait que les premiers cépages Sud-Africain soient des cépages français. Mais les hollandais ne savaient pas le vinifier et il apparaît que le vin produit était quasi imbuvable. La révocation de l’Édit de Nantes en France en 1685 par Louis XIV allait changer la donne, entraînant l’immigration des huguenots protestants français vers de contrée plus accueillante et notamment la Hollande ; entre 1688 et 1690 ce n’est pas moins de 200 huguenots français triés sur le volet (on leur demandait des compétence viticoles) qui viendront s’installer en Afrique du Sud et développeront grandement la production viticole du pays. Ils créeront la zone de Franschhoek « le coin Français », et l’on y retrouve encore leur descendant aujourd’hui : Cellier et Pinard (cela ne s’invente pas), de Villiers, Rousseau ou Rétif…

Les années les plus fastes seront celles des guerres napoléoniennes, mettant un embargo sur l’Angleterre sur la vente de beaucoup de produits. Ainsi les anglais friands de vin (français notamment) ont dû trouver d’autres lignes d’approvisionnement, et la Cap passera sous domination anglaise en 1814. Ces années fastes dureront 50 ans et permettront au vin Sud-Africain de s’exporter (même si la qualité laisse à désirer). C’est aussi dans ces années-là que l’on verra fleurir les manoirs majestueux qui composent aujourd’hui les différents vignobles.

A la fin de la guerre entre les Boers et les anglais (1902) la production viticole ne s’est toujours pas stabilisé et il faudra attendre 1918 avec la création de la coopérative KWV (Koöperatieve Wijnbouwers Vereniging van Zuid-Afrika Bpkt) pour fixer les rendements à l’hectare et le prix du vin.

Aujourd’hui une véritable industrie du vin existe en Afrique du Sud avec près de 99 000 hectares cultivés, employant 300 000 personnes sur plus de 3300 propriétés viticoles. De nombreuses routes des vins se sont développées aux fils des années pour mettre en avant ce patrimoine. La plus célèbre et la plus ancienne fut crée en 1971 autour de Stellenbosch et regroupe aujourd’hui 152 membres, sans compter son université réputée dans le monde entier.

De nombreux domaines, vous proposeront une dégustation pour ces vins pour la plupart du blanc aux saveurs sucrées mais aussi d’autres expériences : celles du luxe au domaine Delaire Graff Estate qui est un « relais & château », Waterford pour l’expérience vin et chocolat, ou encore Vergelegen pour ses vins bien sûr, mais aussi pour ses arbres centenaires. Il est dit que le Old English Oak est le plus vieux d’Afrique (300 ans) et que les cinq Camphor Tree sont classés monument historique depuis 1942.

Dans le « coin français », Chamonix vaut le détour avec un restaurant, un lodge, une cave, de l’eau de source et quelques animaux de ferme… africaine avec des élans, des springboks et des autruches !

Les routes des vins ne sont pas les seules routes touristiques d’Afrique du Sud, et la route des jardins ou encore la route des baleines sauront vous ravir, vous enchanter et vous émerveiller. Sans compter les différents parcs nationaux emplis d’animaux sauvages ou bien la ville de Cape Town qui a su garder tout son charme.

Pour partir vers de nouvelles aventures avec nous, vous pourrez retrouver notre programme Afrique du Sud « Route 62 Tours » :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/afrique-du-sud/route-62-tours-125

Si dans l’imaginaire contemporain la Floride est représentée par les plages, les cocotiers et les bikinis, cet état situé à la point sud est des États-Unis en plein golfe du Mexique est beaucoup plus que cela, laissez nous vous embarquer :

Si elle ne fut pas découverte par Christophe Colomb (qui lors de ses voyages se concentra sur Cuba et les Caraïbes), elle le fut peu de temps après puisque on estime les premières explorations espagnoles sur le territoire à 1499. Une exploration plus approfondie sera conduite en 1513 par Ponce de Leon (qui était dit-on à la poursuite de la fontaine de jouvence), c’est d’ailleurs lui qui donnera son nom à l’état, baptisant ces nouvelles terres Pacua Florida (les Pâques fleuries en rapport avec leur date de débarquement au dimanche des rameaux). Les espagnols étaient à la recherche d’or et devant l’absence de richesse, il abandonna la région pour de nouvelle contrées. Une cinquantaine d’années plus tard, la colonie de San augustine sera fondée et reste une des villes les plus anciennes de États Unis (voir la plus ancienne). La Floride fut ensuite pendant un temps française, entre 1562 et 1565 et il reste un fort près de Jacksonville pour en témoigner. Les espagnols reprenant leur suprématie sur l’état et installant des colonies et des sites d’évangélisation. Les espagnols subiront régulièrement les incrustions françaises et anglaises ainsi que la défense des indiens natifs les Séminoles. La Floride sera cédée aux Anglais lors du traité de Paris en 1763. Lors de la guerre d’indépendance, la Floride restera fidèle à la couronne et accueillera les réfugiés loyalistes, repeuplant ainsi son territoire. Elle sera même rétrocédée aux espagnoles en 1783. Ce n’est finalement qu’en 1845 que la Floride deviendra le 27°états des États-Unis.

Les Keys

Un chapelet de 1700 îles et îlots

Le maître mot de ces îles est la décontraction et la simplicité qui en est devenu un art de vivre. Au XVII° siècle, les espagnoles cinglaient autour de ces îles et il y eu de nombreux naufrages, ce qui en font un paradis pour les plongeurs… il n’y aurait pas moins de 400 épaves qui gisent au fond de cette zone. Sans compter les trésors que pouvaient compter ces galions, c’est aussi une formidable source historique qui permet de comprendre ce qui se jouait dans ce golfe du Mexique. De plus, les Keys sont composées autour du 3° récif corallien au monde de part la taille… Bref, un paradis ! Il y a d’ailleurs de nombreux sites et parcs protégeant cette nature et faune sans pareille.

Overseas Highway une autoroute entre terre et mer, permet aujourd’hui de relier le continent et avec les îles, elle compte 42 ponts dont le plus impressionnant est le 7 miles bridge long de 11 km ! Pour une pause culturelle, arrêtez-vous sur l’île de Key West au Ernest Hemingway Home & Museum, demeure du prix Nobel et génie littéraire Ernest Hemingway et d’une multitude de chats descendants de sa chatte Blanche Neige, il est venu trouver ici le calme et la quiétude pour écrire ses chefs d’œuvre.

Les Everglades.

Inscrit au patrimoine mondial de L’Unesco, ce marais géant est un site protégé, et une zone de prédilection pour les alligators (près d’un million ½ en Floride). Ce sont les rois dans cet écosystème qui compte également beaucoup de batraciens et oiseaux en tout genre. Mais le parc abrite également plus de 30 espèces en voie d’extinction telles que le lamantin, la panthère de Floride et le crocodile américain. La faune est prenante au sein de ce parc naturel et le mieux pour ne pas trop les déranger et ne pas abîmer ces marais est de se déplacer en Airboat (vous savez cet hydroglisseur que l’on voit au début de la série les experts à Miami !). Pour la petite anecdote, c’est également le seul endroit au monde où crocodiles et alligators se côtoient !

Miami

Est le plus grand port de croisière du monde ; à la fin du XIX° siècle, Miami n’était encore qu’un village de 300 habitants et la ville se développera avec l’arrivée du chemin de fer qui a entraîné le développement de l’industrie et du tourisme en complément de l’agriculture. Pourtant, elle garde encore les traces de son histoire avec ses nombreux quartiers. On y retrouve Little Havana, marque de l’immigration des cubains à partir des années 50. Il y a également Little Haïti, qui vous transportera dans une ambiance caribéenne, mais aussi Wynwood, le quartier du street Art, ou encore Coconut Grove un quartier calme au charme tropical et désuet, qui fut longtemps le quartier des écrivains et artistes, avant de devenir le quartier des européens. Grand port, la ville est le lien avec l’Amérique du sud et est devenue rapidement la principale ville Latino-américaine du pays (on y parle quasiment autant espagnol qu’anglais !).

Miami Beach est sans doute la plage la plus connue de la cote est. On vient à Miami pour le balnéaire et pour faire la fête, une activité dont South Beach a su en faire sa marque de fabrique. Ocean Drive, sa célèbre avenue, est le lieu où il faut se montrer, belles motos, et belles voitures sont le lot sur cette petite ville. Ocean Drive est un quartier Art Deco sans pareille témoignage des folles nuits de Miami au moment de la prohibition.

En remontant par la côte Est, vous passerez par Fort Lauderdale, appelé aussi la Venise de l’Amérique. Le plus intéressant reste sa marina comptant pas moins de 42 000 yachts ! la ville est un lieu de villégiature privilégié durant les mois d’hiver pour les riches retraités. Un quartier résidentiel qui s’étend jusqu’à Palm Beach. Vous arriverez bientôt à Cap Canaveral, la fameuse base de lancement (revenue aujourd’hui sur le devant scène avec les essais de SpaceX, la dernière navette s’y était posé en 2011) visitez les fusées lunaires hors d’usage et apprenez en plus sur cette course qui marqua la fin des années 60. (Vous pourrez même faire une simulation, on n’est pas encore au niveau des sensations des rollercoaster d’Orlando mais l’expérience est intéressante.)

Daytona

Vous voici maintenant au royaume des motos et des voitures, sans compter la Bike Week, rassemblement motard mondialement connue. C’est aussi le lieu de prédilection des passionnés d’autos avec le fameux Speedway sur lequel se courre de nombreuses courses. Au printemps, le Spingbreak anime les 37 km de plage de la station balnéaire (les jeunes universitaires, profitent des vacances de printemps pour faire la fête et relâcher la pression). Si aujourd’hui on peut rouler sur celle-ci (pour 10$ environ), cette plage de sable dur, était le lieu de courses effrénées jusqu’à la fin des années 60.

San Augustine & Jacksonville

Vous voici au cœur de la plus vieille ville des États-Unis, et une ville de plus de 500 ans pour un pays aussi jeune que les USA, ce n’est pas rien ! Vous profiterez du charme colonial et des influences méditerranéennes qui composent l’architecture de la ville. C’est un havre de paix et de calme au charme indéniable et une pépite pour les passionnés d’histoire, bref un autre monde à quelques miles de Jacksonville. Cette ville, souvent écartée des trajets touristiques, vaut pourtant le détour. Niveau activités, vous ne serez pas en reste : musée et histoire : comme avec le Fort Caroline National Memorial (souvent appelé « l’Atlantide » de la Floride) ou Kingsley Plantation, avec ses anciens baraquements d’esclaves qui fait aujourd’hui partie d’une réserve écologique. Mais c’est bien sûr pour la faune et la flore typique de la Floride que protège le Timucuan Ecological and Historical Preserve. Restaurants authentiques, attractions passionnantes, musées de renommée mondiale, magnifiques hôtels, événements captivants, vie nocturne agréable, centre-ville branché, quartiers typiques et hospitalité caractéristique du Sud… voilà ce qui vous attend dans cette ville souvent oubliée des circuits touristiques et à la frontière de la Géorgie. A la frontière Amelia Island, vous enchantera.

Il est temps de redescendre sur Orlando, le temple de l’Entertainment. C’est là que l’on trouve tous les parcs d’attractions possible pouvant correspondre aux envies de chacun (on y trouve même le Holy Land Experience, parc à thème dédié à la vie de Jésus). Les plus connus restent bien sûr Disney world, qui en s’installant ici dans les années 60, changea littéralement l’économie et la face de ces marécages au sud de la ville. Après Disney, passez par Universal Studios, dédié au cinéma, ou encore Sea World dédié au monde aquatique. Sans compter les nombreux parcs aquatiques sui sauront vous rafraîchir ! La ville d’Orlando est également sympathique. Quelques intérêts historiques, des restaurants (certains primés) et de grands malls pourront également vous satisfaire.

Si vous en n’avait pas encore vécu assez de sensations, rejoignez Tampa et le parc de Bush Gardens, mélangeant safari et Rollercoaster déments. Tampa est une grande ville mais qui garde un certain charme, comme avec le quartier d’Ybor city qui réhabilite les vieilles usines en restaurant ou lieux artistiques. Vous pourrez rejoindre la mer au niveau de St Petersburg ou Clearwater. Les plages sont paradisiaques, et les deux villes offrent des visages totalement différents. (Petite information supplémentaire : À St. Petersburg, suivez le Gulp Coast Craft Beer Trail, une route des bières ponctuée de plus de 35 brasseries.)

Sarasota est une petite ville de balnéaire dont les principaux intérêts sont ses 2 musées : le Ringling Museum of art mais également pour une visite un peu plus insolite, le musée « Barnum », le fameux cirque américain.

A Fort Myers, ne manquez pas le musée Ford et Edison, ce n’est pas à proprement dit un musée mais plutôt leur demeure de villégiature, mais le site est magnifique au bord de la rivière Caloosahatchee et la maison donne une idée de l’architecture d’antan. Faites une excursion à Sanibel Island pour découvrir une des plus belles plages de la côte ouest de la Floride.

Avant d’arriver à Naples, la ville de milliardaire par excellence. C’est une des villes les plus riches des États-Unis.Il parait que Bill Gates et Steven Spielberg y ont une propriété ! Crée il y a peu près 150 ans, c’est le lieu de villégiature crée par les milliardaires, pour les milliardaires. La ville est jolie, cossue, très bien entretenue, et bien qu’elle semble sortir tout droit de « Cocoon ». Le plus beau reste sa côte et son Pier, ce ponton immense qui s’avance sur la mer et depuis lequel vous pouvez observer les dauphins.

Alors près à partir à la conquête des plages, palmiers et de tout ce que la Floride a à vous offrir?

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/florida-tours-39

ou alors créons ensemble votre balade sur-mesure, à votre image et à votre rythme:

https://www.american-motors-travel.com/voyage_sur_mesure.php

Elvis Presley est sans doute le chanteur qui a le plus marqué le Rock’n Roll et c’est ainsi que 43 ans après sa mort, on assiste encore à de vrai pèlerinage à Graceland, sa dernière demeure ainsi que sur sa tombe (voir notre article sur Graceland). Un biopic devait sortir en 2020 mais l’acteur Tom Hanks (devant camper le rôle du Colonel Parker) a malheureusement contracté le Coronavirus durant le tournage et la sortie du film a dû être repoussée (elle est maintenant reculé au 22/06/2022 ). Le film portera sur les 20 années les plus prolifiques du chanteur, et s’attardera sur la relation complexe entre le King et son manager de l’ombre: le Colonel Parker.

Alors révisons un peu notre biographie avant d’aller voir le film !

Elvis Presley de son vrai nom Elvis Aaron Presley est né le 08 janvier 1935 à Tupelo dans le Mississippi. Il avait également un frère jumeau mort-né. Ses parents étaient pauvres et avant du mal à joindre les deux bouts. Sa mère arrivera tout de même à lui offrir pour la somme de 7.90$, une guitare pour ses 11 ans. Elvis aurait préféré une carabine ou une bicyclette mais on se dit aujourd’hui que sa mère a bien fait de ne pas céder aux désirs de son fils. Ses parents fréquentaient la « First Assembly of God Church », une église fondamentaliste de type Pentecôtiste, qui marquera ses premières influences musicales. C’est d’ailleurs dans cette église, qu’il apprendra ses premiers accords et chantera ses premières notes de Rythm and Blues. La radio diffuse de la country et du gospel et ce sont les seules distractions possibles à ce moment-là.  En 1948, à l’âge de 13 ans, toute la famille déménage pour Memphis, dans l’espoir d’une meilleure vie. Ils enchaîneront pourtant les petits boulots pour faire vivre la famille, Elvis travaille également en faisant de petits boulots en dehors de l’école. Notamment chez Crown Electric qui se situait dans la même rue de la Studio SUN, où pour 4$ il était possible d’enregistrer deux chansons. Il enregistrera donc deux reprises de chansons à succès de l’époque My Happiness (face A) et That’s When Your Heartaches Begin (face B) pour l’anniversaire de sa mère. Le studio Sun était à l’époque spécialisé dans la musique Afro-américaine et cherchait une figure blanche pour diffuser ce modèle musicale. Repéré comme chanteur de ballades, les premiers essais sont laborieux. Le premier succès viendra du titre « That’s all Right (Mama) », une improvisation d’Elvis, après plusieurs heures d’enregistrements infructueuses. Le style du King apparaît, un rythm and blues reprit à sa sauce et qui tend vers le rock dont les prémices commencent à poindre dans le monde la musique. Le passage à la radio de cette version marque le début de la carrière d’Elvis. Pourtant les débuts sont difficiles : sa musique mêle blues et country, une fusion qui prend ultérieurement le nom de Rockabilly. De ce fait, elle ne rentre pas dans une case prédéfinie : les stations de radio dédiées à la country refusent de le diffuser parce qu’il chante comme un Afro-Américain, tandis que celles dédiées au rhythm and blues le rejettent parce qu’il chante de la musique de « péquenauds ».

En Août 1955, le colonel Parker permet à Elvis d’être racheté par la maison de disque RCA (à laquelle il restera fidèle jusqu’à la fin de sa vie) pour 40 000 dollars, une chose jamais vue jusqu’alors ! Il achètera d’ailleurs la fameuse Cadillac rose à sa mère avec l’argent qui découle de ce transfert.

En 1956, il enregistre « Heartbreak Hotel », qui devient son premier disque d’or et lui donnera la possibilité d’acheter Graceland l’année suivante. Elvis continue les concerts dans tout le pays, déclenchant chaque fois plus d’émeutes. Son fameux déhanché n’y est pas pour rien, et dorénavant ses concerts ne seront filmés que jusqu’à la taille.

C’est à la même époque qu’il commencera sa carrière au cinéma avec un premier film, en 1956 (« le cavalier du crépuscule« , où il ne tient qu’un second rôle mais dans lequel on y ajoute 4 de ses chansons pour surfer sur la vague de son succès). À la fin de l’année, Presley fait la une du Wall Street Journal, qui rapporte que la vente de produits dérivés du chanteur a rapporté 22 millions de dollars. RCA a beau être l’une des plus grandes maisons de disques américaines, il représente plus de la moitié de leurs ventes de 45 tours sur l’année 1956.

L’année 1957 signera la sortie de 3 singles classés en tête du hit-parade dès leur sortie : Too Much, AllShook up et Teddy Bear, de même que son film « Loving You » qui remporte un franc succès. Elvis enchaîne, entre les sorties d’album, les films et les concerts. D’ailleurs c’est le tournage du film « Bagarres au King Créole » qui lui permettra un ajournement de son service militaire jusqu’au mois de mars 1958. Il y sera poursuivi par la presse et les photographes jusque dans les bâtiments de l’armée. C’est ce moment-là que sa mère tombera gravement malade. Elle décédera le 14/08 à l’âge de 46 ans et cette épreuve marquera profondément le King qui était très proche de sa mère. Après ses classes, il sera envoyé en Allemagne pour y effectuer son service, et il y rencontrera sa future femme Priscillia Beaulieu. Cette étape n’aura pas eu de conséquences pour la carrière d’Elvis, les studios sortant régulièrement des enregistrements inédits. Ce qui lui permettra même absent de continuer à placer 10 chansons dans le Top 40.

Il sera rendu à la vie civile le 05 mars 1960 et reprendra les chemins des studios (aussi bien ceux de musique que de cinéma : sortie de « Elvis is Back » et de « Café Europa en uniforme »). En mars 1961, le studio lui remet le titre honorifique du chanteur ayant vendu plus de 75 millions de disques. Le 25 mars, Presley donne un concert de charité à Hawaï, dont les bénéfices doivent financer un mémorial aux victimes de l’attaque de Pearl Harbor. C’est sa dernière prestation en public jusqu’en 1968. Il se consacre en effet à sa carrière cinématographique tournant plus de 27 films jusqu’en 1969. Ceux-ci étant à chaque fois accompagné d’une bande originale. Sa musique souffre de ce rythme effréné et le succès commerciale commence à se tarir. Se recentrant sur lui-même, il épouse Priscillia le 1 mai 1967 et leur fille Lisa Marie, naîtra le 1° février de l’année suivante.

Une émission spéciale pour NBC, simplement intitulée Elvis sera diffusé le 3 décembre 1968 et permettra à Presley de renouer avec le succès. Le colonel Parker conclut à ce moment-là un contrat de 57 dates avec l’International Hôtel de Las Vegas. La première est un tel succès que le lendemain, Parker négocie un nouveau contrat avec l’hôtel : Presley s’y produira en février et en août pendant cinq ans pour un salaire annuel d’un million de dollars. Dès le mois d’août 1970, il adopte le jumpsuit, vêtement caractéristique de ses performances scéniques dès lors. L’album qui découlera des ses performances ce mois -là :  « That’s the Way It Is », mêle prises en studio et enregistrements live. Il abandonne le son roots des séances de Memphis de l’année précédente au profit d’une musique plus consensuelle, où la country et la soul laissent place à une pop traditionnelle plus en accord avec les goûts du public de Las Vegas. En 1972, Elvis donnera une série de concert au Madison square Garden, c’est une ovation mais cette année marquera aussi celle de sa séparation avec sa femme Priscillia. Le 14 janvier 1974, le concert d’Elvis Presley à Hawaï donne lieu à la première retransmission mondiale par satellite. L’émission « Aloha from Hawaii » est visionnée par des millions de spectateurs à travers le monde. Le chanteur y apparaît dans un costume blanc emblématique, avec une cape frappée d’un aigle symbolisant l’Amérique. C’est à partir de ces années-là que sa consommation de drogues et alcool commencent à avoir une incidence sur son travail. Il n’enregistre quasiment plus, les concerts deviennent de plus en plus courts, voir incompréhensibles… Il donnera son ultime concert au Market Square Arena d’Indianapolis le 26 juin 1977. Il mourra le 16 août 1977 dans sa salle de bains, victime d’une crise cardiaque. Ses funérailles ont lieu le 18 août à Graceland. 80 000 spectateurs assistent à la procession funèbre jusqu’au cimetière de Forest Hill, où le chanteur est enterré auprès de sa mère Gladys. Avant que ces corps ne soient rapatriés quelques années plus tard à la propriété.

Elvis Presley est considéré comme la principale icône du rock ‘n’ roll : sa voix, sa musique, sa gestuelle provocatrice, ses habitudes vestimentaires, son parcours (célébrité fulgurante, descente aux enfers et mort prématurée) en ont fait une idole populaire et le symbole d’une certaine rébellion adolescente. Elvis peut être considéré comme le principal acteur de la large diffusion du rock ‘n’ roll auprès du grand public blanc américain, puis européen. La carrière d’Elvis Presley c’est 131 disques (albums et singles) certifiés Or, Platine, ou Multiplatine, plus de 1300 concerts, 14 nominations aux Grammy Awards dont trois récompensées, plus de 900 chansons à son actif, une trentaine de films.

Vous pourrez marcher sur les traces du King dans nos programmes « Magie du Sud Tours » ou bien dans le programme  » Route du Blues Tours »

N’hésitez pas également à nous demander une création sur-mesure pour découvrir tous ces endroits

Et bien sûr retrouvez la totalité de nos circuits et events sur le notre site : https://www.american-motors-travel.com/

On vous a déjà parlé il y a quelque mois de la route 66 en tant que route de migration (voir l’article ici) mais on a décidé aujourd’hui de revenir sur cette route mythique, qui traverse 8 états et 3 fuseaux horaires.

En 1923, l’entrepreneur Cyrus Avery parvint à fédérer 8 États autour de l’idée de créer un réseau de routes inter-état numéroté pour remplacer les pistes de chasse et de migration des Natives Americans : la première association de la Route 66 est née. Cyrus, homme d’affaires avisé natif d‘Oklahoma, témoin du développement des voitures individuelles et du manque de routes organisées. C’est ainsi qu’il proposa en 1925 à l’American Association of State Highway Officials, dont il était membre, une route qui désenclaverait Chicago, l’Illinois et tous les états traversés vers le Pacifique et Los Angeles, la route passant bien entendu par son État, l’Oklahoma. La Route, baptisé 66, est inaugurée en 1926. Terminée et complètement dallée de béton rose en 1938, il l’appelle la Grande route diagonale, rebaptisée par la suite Main Street of America, la rue principale de l’Amérique, nom qui sera adopté. L’écrivain John Steinbeck lui préférera le terme de Mother Road.

Tour à tour route de migration des pauvres des plaines en quête de fortune, puis utilisée pour le transport des troupes et du matériel militaires, et enfin route des vacances pour des milliers d’américains. Elle fut le poumon économique principale du pays. Pourtant, si la Route 66 fut une des routes majeures des États-Unis pendant plus de trois décennies, elle déclinera peu à peu avec l’arrivée des Interstates dans les années au début des années 70. Le déclin sera lent et laissera sur le bord de la route motels, stations- services et divers épiceries abandonnées…

Le réseau des Interstates sera officiellement inauguré en octobre 1984, et la petite ville de Williams en Arizona aura eu le privilège d’être la dernière ville à être dévié par l’autoroute, ce qui lui confère une notoriété particulière chez tous les amoureux de la Route 66. La Route n’est plus indispensable et ses panneaux sont peu à peu retirés. C’est le début de sa descente dans l’oubli. Mais c’est sans compter la ferveur d’un groupe d’irréductibles défenseurs de le Route, animé par Angel Delgadillo de Seligman, Jerry Richard et Davis Wesson, tous les deux originaires de Kingman. Ils créent en février 1987, l’Association historique de l’itinéraire 66 de l’Arizona. En Novembre 1987, comme pour récompenser leurs efforts et officialiser une prise de conscience historique, l’État de l’Arizona désigne officiellement le tronçon Seligman – Kingman de la Route 66 « itinéraire historique 66 ». La désignation « historique » a été par la suite accordée à l’ensemble du tracé de l’itinéraire 66 de l’Arizona. Ce qui en fait une des parties les plus intéressantes et des plus vivantes du tracé. Difficile de donner aujourd’hui le nombre exact d’associations qui luttent pour la protection de la Route 66, tant ces mouvements sont actifs pour hisser haut ses couleurs, créant festivals, rassemblement de voitures et de motos et spectacles de rue.

Seligman marque aujourd’hui le départ de la plus grande portion ininterrompu de Route 66, une trace de ces petites villes qui vivaient grâce au passage des vacanciers, routiers et autres usagers de la Route. On y trouve de tout : motels antiques, boutiques de souvenirs de la 66 devenus des mini-musées, véhicules vintages et panneaux d’époque… De quoi revivre les grandes heures de cette Route mythique. Et si vous avez de la chance, vous pourriez même rencontrer encore l’initiateur de ce renouveau : Angel Delgadillo est encore dans sa boutique et rase occasionnellement les clients de passage.

Un peu plus loin en direction de Los Angeles, on trouve la ville de Kingman, qui se revendique comme « le cœur de la Route 66 ». Elle est aussi le lieu du festival dont nous vous parlions sur Facebook. Aux Andy Devine’s days , vous trouverez un assortiment de défilés, de musique live, d’exposition automobiles, mais aussi traction de tracteur à main nue, ou taureau mécanique… Et bien sûr compétition de rodéo, le tout accompagné de food truck de nourriture typique américaine ! Bref, de quoi vous amuser tout le week-end !

Andy Devine – était un acteur de cinéma populaire dont la carrière dans les images muettes a commencé dans les années 1920. Andy a grandi à Kingman avant de se rendre à Hollywood et est surtout connu pour ses rôles dans des films occidentaux et des émissions de télévision. Il est apparu dans des films avec John Wayne, Jimmy Stewart et Guy Madison et son travail le plus mémorable était le rôle de Jingles dans l’émission télévisée des années 1950 « Les aventures de Wild Bill Hickok ».

Vous le savez maintenant, nous organisons chaque année cet événement, basé sur la convivialité, la bonne humeur, la simplicité et la spontanéité ! Ouvert à tous, sans sectarisme de marques ou de styles. Depuis plus 20 ans, cet événement rassemble les motards, à la découverte des plus belles routes de Corse et se retrouvant autour de concerts live pour partager ensemble un moment.

Cette année, votre séjour débutera avec 2 nuits sur Bastia. Une ville où l’art de vivre est une religion. Vous pourrez découvrir la ville en vous baladant sur le vieux port, visiter la citadelle et le palais des gouverneurs ou déguster les spécialité Corse en vous baladant dans la rue Napoléon. C’est surtout le point de départ pour découvrir le Cap Corse, une région encore préservée au patrimoine unique. Située au Nord est de l’île, la péninsule fait 40 km de long sur 15 km de large et au centre, on retrouve la chaîne de montagnes de la Serra culminant à 1322 m. La route du cap Corse, ne date que de la fin du XIX° siècle, le Cap Corse a donc su conserver son identité propre et un art de vivre traditionnel. La route panoramique longe la côte, offrant une vue sur les eaux turquoise de la mer tyrrhénienne. Accrochée à la montagne, elle vous enchantera alternant tours génoises, hameau typique en lauze et en ardoise et maquis impénétrable. Cette région, c’est aussi un art de vivre : déguster une langouste, découvrir les fameux vignobles et le muscat (avec modération, bien sûr 😉), goûter les productions locales d’huile d’olive, de fromages de chèvre ou de brebis, de charcuterie et de miel (tout cela sans modération par contre !). Bref un dépaysement, un émerveillement le temps d’un séjour riche en émotions.

Vous rejoindrez ensuite votre hôtel basé en face de la baie d’Ajaccio, la ville de Napoléon. Vous pourrez bien sûr faire un tour en ville pour partir sur les traces du grand homme (visiter sa maison natale, ou bien aller au pieds de sa statue magistrale…). La baie est aussi l’occasion de découvrir une autre Corse, alternant criques et longues plages de sables doré. Rejoindre le lion de Sartène ou les calanques de Piana. Admirer la coucher de soleil sur les Iles Sanguinaires, 4 jours pour découvrir la côte ouest et l’arrière-pays Corse. La région regorge de routes montagneuses aux nombreux virages, de quoi user uniformément ses pneus ! Dans tous les cas, nos équipes locales sauront vous conseiller et vous proposer des road-trip hors des sentiers battus. Cette partie du séjour, c’est aussi le moment pour se retrouver, se rencontrer et profiter ensemble des concerts qui auront lieu directement au sein de l’hôtel.

Bien sûr, rien est imposé, tout est suggéré … Pour la plus grande des liberté!

Si on parlait un peu plus en détails ?

  • Notre équipe vous accueillera directement sur le port de Marseille pour vous encadrer au mieux dès le début de votre séjour.
  • Ils vous accompagneront à votre hôtel de Bastia. Là, ils vous donneront tous les conseils, pour profiter au mieux de votre séjour dans le nord de l’île.
  • Vous rejoindrez ensuite votre hôtel dans la baie d’Ajaccio, qui vous accueille dans un domaine de 10 ha boisé de pins, d’eucalyptus, de mimosas, de palmiers, bordé par une immense plage de sable fin. Un point de chute idéal.
  • Profitez du mercredi au vendredi de concert live au cœur de votre hôtel pour profiter au mieux de votre séjour:
    • Mercredi : Chants et guitare Corse
    • Jeudi : WHEELS CAPS (rock’n roll/ rockabilly)
    • Vendredi : VEON (pop rock années 70/80)

Les hôtels vous accueillent en demi-pension (sous forme de buffets) en extérieur pour un maximum de sécurité.

Alors prêt à nous rejoindre? Dépêchez vous, il ne reste que quelques places!!!

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/france/rock-n-road-corsica-2020-207

Notre participation au salon Alpes Aventure Motofestival (4-5-6 septembre à Barcelonnette) est l’occasion pour nous de revenir sur nos autres destinations. Nous vous proposons certes, beaucoup de séjour à effectuer au guidon d’une Harley, mais nous avons élargi nos destinations (dans le but de vous proposer un maximum d’évasion) et vous proposons également d’autres façons de concevoir le voyage à moto. Faisons le point les autres destinations :

  • L’ARGENTINE

Cette destination est notre destination phare pour le off-road. Notre programme « Route 40 Tours » est effectuée en BMW GS, pour un périple de 3500km dont 20% de piste !

A l’instar de la Route 66, la Route 40 fait partie de ces routes mythiques à travers le monde qu’il faut avoir parcouru. Elle est un des emblèmes de l’Argentine, traversant le pays du sud au nord, depuis l’extrême sud de la Patagonie jusqu’à la frontière bolivienne, commençant au niveau de mer et pouvant culminer à 4895m d’altitude au col d’Abra del Acay. En 2006, le Route 40 n’était revêtue qu’à 48%, celle-ci étant la plupart du temps à une piste. C’est pourquoi on vous demande une expérience en conduite hors-piste pour profiter au maximum de ce voyage merveilleux.

Entre les cols de haute altitude et ses paysages montagnards, les vallées désertiques, les formations rocheuses majestueuses et les vignobles adossés aux villages typiques, vous en prendrez plein les yeux ! Sans comptez que l’argentine est aussi réputée pour sa viande et sa gastronomie exceptionnelle (sans oublier sa culture viticole très développée !!). Le mieux est encore de vous rendre sur notre site pour découvrir notre programme exceptionnel :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/argentine/route-40-tours-164

  • L’AFRIQUE DU SUD

Ce n’est pas à proprement parlé une destination off-road pour nous, toutefois, certains cols non goudronnés pourront vous donner quelques sensations ! Là encore, sur notre « Route 62 Tours » nous vous proposons à la location des BMW GS pour profiter au maximum des perles de ce pays.

Cette destination regroupe beaucoup de paysages différents et enchanteurs : montagnes, bords de mer, mais aussi savane pour accueillir les animaux. L’Afrique du sud regorge de joyaux aussi bien culturels que naturels. Et à l’instar de la Route 66, nous vous proposons de prendre la Route 62 qui est également une route mythique. Appelée également Route des vins, elle est l’une des plus longues routes viticoles au monde, puisqu’elle s’étend sur près de 850 km entre Le Cap et Port Elizabeth. Lorsque vous vous enfoncez dans l’arrière-pays, le Klein Karoo vous rappellera sans aucun doute les paysages de Far West Américain (comme vous avez pu le constater lors de notre dernier #FridayQuizz sur Facebook). Par la suite, les vignobles prennent place au cœur des montagnes, des jacarandas et des sources thermales.

Comme on ne pouvait pas vous laisser sur votre faim dans la découverte de ce merveilleux pays, on a décidé de coupler votre périple sur le Route 62 avec un safari au cœur de l’Addo Elephant national Parc, que vous enchainerez avec la Route des jardins et la Route des baleines, pour profiter de tous les joyaux du sud de cet eldorado naturel :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/afrique-du-sud/route-62-tours-125

  • CANADA

Amoureux de la nature et des grands espaces, n’oubliez pas que nous vous proposons également plusieurs programmes dans ce pays sans commune mesure :

Un programme « Grandeur Nature Tours » chez nos cousins québécois qui vous permet de découvrir toutes les merveilles de cette région francophone. Des villes cosmopolites aux fjord du Saguenay. Vous emprunterez des routes aussi symboliques que le Chemin du Roy, la Routes des Rivières ou encore la Route des baleines, longeant le majestueux St Laurent. Nous y avons ajouté le tour de la région de la Gaspésie, pour une immersion en pleine nature. Alternant entre bords de côte, rives du fleuves et parcs nationaux, votre trajet vous enchantera par l’alternance des paysages observés.

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/canada/grandeur-nature-tours-56

Notre programme « Canadian Dream Tours », vous emmène aux confins du Canada, en Colombie Britannique et en Alberta. Deux régions provinciales réputées pour leurs panoramas majestueux. Là, la nature est plus sauvage, torturée, les montagnes sont plus abruptes et les lacs translucides. En parcourant la route panoramique « Sea to Sky », la promenade des champs de Glace ou encore la Trans-canadian Highway, vous profiterez de points de vue à couper le souffle pour une expérience inoubliable ! Là encore, vous alternerez entre côtes, parcs nationaux et vallées viticoles (eh oui, encore !) et bien sûr découverte de la ville de Vancouver, dont la situation exceptionnelle entre mer et montagne en fait une des plus belles villes du monde !

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/canada/canadian-dream-tours-144

Et grande nouveauté de cette année, nous allons vous proposer un nouveau circuit, cette fois-ci basé sur l’Ontario, une province souvent peu connue. Certes, on y retrouve les villes principales de Toronto et Ottawa, et bien sûr une des merveilles du monde: les chutes du Niagara. Mais c’est aussi un territoire de forêts, de natures sauvages, de côtes escarpées sur des lacs immenses. Vous y retrouverez aussi de l’authenticité en allant à la rencontre des tribus autochtones. Et bien sûr, pour ne pas vous laisser sur votre faim, vous pourrez aller à la découverte des vignobles (pour déguster leurs fameux vin de glace!), et autres microbrasseries…

Sans oublier nos autres destinations : Cuba, le Mexique et l’Australie, que vous pourrez retrouver sur notre site (en cours de mise à jour) :

https://www.american-motors-travel.com/

Nous avons abordé dans notre précédent article sur la Virginie (que vous pouvez retrouver ici) la magnifique Skyline Drive située dans le parc de Shenandoah. Une route au cœur des montagnes comme on les aime, offrant des panoramas à couper le souffle, alors on vous en dit un peu plus cette fois!

La Skyline Drive est une route panoramique de 169 km traversant du nord au sud le parc national de Shenandoah. Cette route faite de montées et de descente à environ 6% culmine à 1120m, pas de quoi nous rappeler les alpes mais de quoi tout de même offrir des panoramas enchanteurs. Vous ne trouverez pas de virages en épingles ici, mais plutôt de jolies courbes, qui peuvent être des courbes aveugles, donc attention! La route est d’ailleurs limité à 35 mph (soit environ 56 km/h!), notamment à cause des nombreux animaux que vous pouvez croiser dans le parc. Et puis après tout, cela permet aussi de profiter des 75 points de vue qui jalonnent la Skyline Drive. Ne manquez pas le Range View Overlook, qui est une plus belle vue du parc. Vous y découvrirez une vue dégagée sur les 22 km de sommets de la chaîne des Blue Ridge Mountains.

Petite info en plus, la région regorge de vignobles, n’hésitez pas à sortir un peu de la route pour une petite dégustation!

Au sud de la Skyline Drive, vous enchaînez directement avec la Blue Ridge Parkway. Une autre route panoramique permettant de relier le Shenandoah Parc à celui des Great Smoky Mountains et la réserve indienne des Cherokee. Son petit surnom ? « La route préférée de l’Amérique », et on comprend pourquoi ! La Blue Ridge Parkway, c’est 755 km de courbes et virages toujours au sommet des Blue Ridge Mountains. C’est aussi un paradis pour faire de la moto, puisqu’il y a très peu de voitures et que les poids lourds y sont interdits! Pas de feux tricolores ou de stop, les seuls arrêts que vous ferez seront pour admirer le paysage. Le début de la Blue Ridge Parkway, notamment dans la région de Roanoke, est plutôt composé de plaines, dans lesquelles vous pourrez admirer des fermes typiques de ces régions aux portes des Appalaches, qui servaient de réserves aux grandes villes de l’Est. Vous y trouverez de jolis témoignages de la vie du début du siècle. Faites d’ailleurs un arrêt à Mabry Mill, un charmant moulin à eau converti en aujourd’hui en éco-musée.

Une centaines de kilomètres plus loin, vous changez d’état pour rejoindre le Caroline du Nord. Vous passerez bien sûr par le viaduc de Linn Cove un des premier viaduc des USA et quoi vous offrira une vue superbe à 180°. Là déjà, le paysage se fait plus montagneux, les courbes se resserrent, les virages s’enchaînent et on monte en altitude. Vous vous dirigez immanquablement vers le point le plus haut de cette scenic drive qui culmine à 1843m. Là encore vous passerez de nombreuses courbes, virages et tunnels pour rejoindre Cherokee, à la porte du Great Smoky mountains National Park. c’est l’occasion de rentrer en contact avec cette nation amérindienne qui fut une des premières à être en contact avec les colons venus d’Europe.

Vous aviez cru que c’était fini? Mais non! vous le savez maintenant on vous garde le meilleur pour la fin : The Tail of the Dragon, littéralement « la queue du dragon ». Autre nom de cette route, the Deal’s Gap: 318 courbes sur 18 km! bref un must pour tous les motards. et si vous n’en avait pas encore assez, continuez Nantahala National Forest pour un dernier bol de nature .

Alors, prêt à affronter le Dragon et les courbes des Blue Ridge Mountains?

n’hésitez pas à nous demander une création sur-mesure pour découvrir cette route majestueuse :

https://www.american-motors-travel.com/voyage_sur_mesure.php

Et bien sûr retrouvez la totalité de nos circuits et events sur le notre site :

https://www.american-motors-travel.com/

Un de nos coup de cœur fut pour la ville de Portland. Une ville verte en constant renouveau, toujours à la pointe de l’innovation. Même si son slogan non officiel reste « Portland is Weird » (Portland est bizarre), c’est une des villes les plus écologiques des USA, et une des plus agréables à vivre avec près de 288 jardins publics et 267 kilomètres de sentiers, vous n’aurez pas à aller bien loin pour profiter de la nature. Et c’est avant tout une ville épicurienne, aimant la nature, la nourriture et les grands espaces. Entourée de montagnes, de rivières et de vignobles, Portland est elle-même très gâtée par la nature, avec des sommets tout proches où l’on skie presque toute l’année, des gorges époustouflantes qui comptent plus de 70 chutes d’eau et des vignobles qui produisent quelques-uns des meilleurs Pinot Noirs du monde.

La ville fut créée en 1843 par 2 pionniers, et fut nommée par le hasard d’un jet de pièce à pile ou face, du nom de la ville d’origine d’un des 2 fondateurs (le gagnant venait de Portland dans le Maine). Elle se développa au départ sous l’égide d’Oregon City, situé à quelques kms en amont et qui était l’ancienne capitale de l’Etat. Mais la ville se développa rapidement en prenant une importance portuaire transportant les marchandises sur la rivière Williamette, supplantant ses principales rivales.

Aujourd’hui, Portland reste la ville principale de l’Oregon, il est très facile d’y circuler en métro, tram, tram aérien (pour la vue) ou bien, et surtout, à vélo. Pour prendre une bouffée d’air frais et parfumé au cœur de la ville ne ratez pas le Washington Park au sommet des collines ouest de la ville. C’est l’un des parcs les plus vieux et il abrite l’International Rose Test Garden (avec quelques 8000 rosiers) ou encore le Japanese Garden, pour une pause zen avec une vue spectaculaire sur le Mont Hood (volcan au sommet enneigé). Sinon Forest Park, vous offre la forêt dans la ville et pas moins de 113 kilomètres de sentiers pour s’évader.

Portland reste une ville de pionniers, et la Pittock Mansion, vous transportera sur les pas de son histoire, mais vous pourrez également arpenter les musées ou bien les galeries d’Art de l’Alberta Street pour vous imprégner de cette ville foncièrement artistique ! ou bien renseignez-vous sur un de leur nombreux festival qui court tout au long de l’année.

La gastronomie se mêlent aux loisirs tout au long de votre passage dans la ville. Comme nous le disions, la ville est totalement épicurienne et la nature qui entoure portland est généreuse avec les chefs cuisiniers ! La ville est entourée de terres agricoles fertiles, et souvent le menu du jour est dicté par les trouvailles sur les marchés locaux. Et qu’on ne s’y trompa pas quand une ville regroupe un Festival de la Truffe, un festival du fromage et un festival gastronomique, c’est forcément une ville avec une culture culinaire développée ! Bon même, si un des emblèmes de la ville reste le Voodoo Doghnut, où l’on propose entre autres un donut au bacon… mais nous restons aux USA, que diable !

 Pour se désaltérer, on peut compter sur les presque 150 brasseries artisanales qui jalonnent la ville. Au point qu’elle soit surnommée « BEERVANA » ou « Munich sur la Willamette » ! Le mois de juillet est le point culminant de cette production avec l’Oregon Craft Beer Month, dont le sommet est atteint avec l’Oregon Brewers Festival dont nous vous parlions sur Facebook. La ville est également entourée de vignobles et les amateurs de vins ne seront pas en reste. Plus de 40 cépages sont cultivés dans la région, du Pinot noir (emblématique ici) au Riesling, les conditions climatiques de l’Oregon sont propices à toutes variétés. Et on retrouve l’ambiance familiale de nos régions et le plus souvent on s’adresse directement au vigneron pour la dégustation … Si tout le monde n’est pas encore satisfait, peut-être que le quartier de Distillery Row (rangée de distillerie) permettra de contenter tout le monde : de l’eau de vie au wiskey, vous devriez trouver de quoi éveiller les papilles.

Enfin, n’hésitez pas à sortir de Portland, (déjà pour les vignobles), la région regorge de trésors naturels : les gorges du fleuve Columbia, le mont Hood, les chutes de Latourell Falls ou celle de Multnomah Falls….

 Et s’il vous fallait un dernier argument, l’Oregon n’impose pas de taxes de vente (TVA), on y économise donc 5 à 10% en fonction des produits, et pour faire le plein le Woodburn Premium Outlets (plus de 100 magasins) n’est qu’à 30 min au sud de la ville !

Alors prêt pour une escale dans cette chouette ville :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/pacific-coast-tours-121

ou bien pour un séjour un peu plus long :

https://www.american-motors-travel.com/voyage_sur_mesure.php

Comment passer par Memphis sans visiter Graceland, le manoir qui fut la résidence du King de 1956 à 1977. Pour information, c’est quand même la deuxième demeure privée la plus visitée des USA après la Maison Blanche !

Si les Elvis Week, qui ont lieu tous les ans au mois de janvier (commémorant sa naissance) et au mois d’Août (pour commémorer sa mort), sont forcément des semaines chargées pour le domaine, le reste de l’année, on peut tranquillement visiter la demeure et les expositions adjacentes avec un audioguide (commenté par sa fille Lisa-Marie). A la fois musée et mausolée, monument à la gloire du King et lieu de pèlerinage pour tous ceux qui continuent à vénérer sa mémoire.

La visite commence forcément avec le manoir et qu’il acheta à 21 ans grâce à ses premiers gros cachets (dû au succès de Heartbreak Hotel). Cette grande maison de style « Néocolonial », belle demeure du Sud, ornée d’un portique à quatre colonnes corinthiennes, fut construite en 1939 par les descendants d’une famille de propriétaires terriens installés sur cet emplacement depuis des générations. Composé de plus de 24 pièces, il était assez grand pour loger sa famille, et il y fera venir ses parents, oncles, tantes et cousins. Elvis, y a dépensé près d’un demi-million de dollars pour entièrement le rénover et le remettre au goût du jour (c’est-à-dire dans celui du début des années 60). Ainsi, on y retrouve des salons aux couleurs jaunes, la salle à manger, le salon TV, le billard, mais aussi l’improbable Jungle Room… sans compter le bureau de son père et celui de ses secrétaire pour répondre aux 5000 lettres de fans qu’il recevait par jour… la salle de Racket ball mais aussi la salle des trophées où vous pourrez voir la fantastiques collection de disques d’or et les tenues de concert. Le King mourut dans sa salle de bains de Graceland, le 16 août 1977, à l’âge de 42 ans. Le tour se termine donc par un passage recueilli au jardin de méditation, où l’on retrouve les tombes d’Elvis et de sa famille.

La propriété extrêmement coûteuse, fut ouverte part Lisa Marie au public en 1982, seule façon de pouvoir conserver la maison du roi du Rock and Roll. Seules les pièces du rez-de-chaussée et du sous-sol sont ouvertes à la visite. L’étage était le domaine privé de la famille Presley et il le reste aujourd’hui.

Mais la visite ne s’arrête pas là, et suivant les pass que vous prendrez, vous pourrez également visiter :

  • Le Musée des voitures et des motos d’Elvis Presley

Regroupant plus de 20 voitures et motos du King, parmi lesquels la Cadillac rose, une moto Harley-Davidson, une Slutz Blackhawk, une Dino Ferrari 1975, un cabriolet Cadillac Eldorado 1956, une Rolls Royce Silver Cloud 1966, une Mercedes 280 SL Roadster, une Lincoln Continental Mark II 1956, une Cadillac Fleetwood, ou la MG rouge du film « Blue Hawaii ».

  • Les avions personnalisés d’Elvis

Vous pourrez monter à bord des deux avions d’Elvis, le « Lisa Marie » transformé en véritable maison volante: on y retrouve donc une chambre, une salle de séjour, un salon, une salle de réunion. Le tout bien sûr dans le luxe et la richesse, avec de nombreux détails en or 24 carats. Vous pourrez aussi apercevoir le plus petit Lockheed Jetstar d’Elvis, le « Hound Dog II ».

  • Un musée sur la carrière d’artiste d’Elvis

On y retrouve des centaines d’objets, souvenir de sa carrière, de ses films et de sa vie en générale. C’est le plus grand musée lui étant consacré au monde.

  • Mais aussi plusieurs expositions temporaires, une galerie commerciale 4 restaurants,

De toute façon, vous ne pouvez pas vous y tromper, le boulevard (qui porte son nom depuis 1972), lui est consacré !

Alors prêt à embarquer sur les traces du King ?

Dans notre circuit « Route du Blues » ou encore « Magie du Sud »

La route One reste une des routes mythiques des USA, longeant le pacifique sur 882 km de Legett environ 250 km au nord de San Francisco et rejoignant le Sud de Los Angeles à Capistrano Beach (environ 100km au sud de Los Angeles).

Même s’il s’agit avant tout d’une route côtières regorgeant de panorama à couper de souffle, au point qu’on la surnomme la California Dream Road. Et bien sûr elle traverse des villes au nom évocateurs : Santa Monica, Malibu, Venice Beach, Santa Barbara …. (à croire que toutes les séries des années 80/90 se passaient dans le coin … 😊)

Aujourd’hui on vous la fait découvrir dans le sens Nord/Sud qui est sans doute le plus pratique vous permettant de conduire du côté du Pacifique et de vous arrêter plus facilement sur les nombreux points de vue…

 Sans parler de Half Moon Bay ou de Pigeon Point qui pourront être vos premiers points de vue, faites une petite étape à Santa Cruz, capitale du « soul surfer » à l’atmosphère typiquement californienne, avant d’arriver sur Monterey, vous y trouverez le plus grand aquarium d’Amérique du nord, et c’est également le point de départ pour de nombreuses excursions en mer à la recherche de baleines et dauphins qui affectionnent la baie. En ville, vous pouvez suivre le chemin des maison historiques de la ville, pour appréhender le passé de la ville.

Un petit détour par la 17 mile drive (payant) vous en mettra encore plein les yeux. Zone privée, elle regroupe golfs et villas de luxe mais également une magnifique route côtière à ne pas manquer. Elle vous permettra de rejoindre Carmel-by-the-sea, ville préservée repère de millionnaire et de personnalité (Clint Eastwood en fut d’ailleurs le mais à la fin des années 80). Pourtant la ville garde un charme désuet d’un conte de Grimm, et la mission (centre religieux créé pendant la colonisation espagnole pour « évangéliser » les indiens) offre un havre de paix. Le tout avant de finir sur la plage réputée pour son sable blanc. Pour les connaisseurs, on retrouve également le circuit Mazda Raceway Laguna Seca à seulement quelques miles… (c’est d’ailleurs sur cette route rejoignant Salinas que se tua James Dean en 1955 au volant de sa Porsche). Le détour par Salinas peut valoir le coup si vous souhaitez visiter le manoir de John Steinbeck. N’hésitez pas également à faire un tour dans la Carmel Valley, où vous retrouverez des « wineries » familiales et l’occasion de goûter le fameux vin californien.

 Le comté de Monterey reste la partie la plus intéressante de le Route One, enchaînant falaises, cascades et paysages accidentés le tout visible depuis votre guidon ! On arrive effectivement sur la partie la plus connue de la Highway One : la zone de Big Sur.

Avant cela, un arrêt photo à Point Lobos s’impose, avant d’arriver au Bixby Creek Bridge, qui est un des pont le pus photographié des USA. Le Castle Rock view point vous donnera une très belle vue sur le pont. Prochaine étape MacWay falls cascade qui se jette dans l’océan, magique ! Et prolongez la magie en passant par le Limekiln state park au cœur d’une forêt de séquoias côtiers.

Avant d’arriver sur San Siméon, faites une arrêt dur la plage de Piedra Blancas, c’est sûr vous ne pourrez pas vous y baigner puisque l’accès à la plage est fermé, occupée une grande partie de l’année par une colonie importante d’éléphants de mer et autres phoques ! dans le coin également, vous pouvez visiter Hearst Castle. Vision atypique du luxe d’un fils de chercheur d’or devenu milliardaire du jour au lendemain.  Commencé en 1919, mélangeant tous les styles (moyenâgeux, gothique, antique…) elle est pour certaine le symbole que le rêve américain existe. Dans tous les cas, la vue sur la vallée depuis le château vaut le détour. De retour en bord de mer, la petite ville de Cambria peut valoir un arrêt pour une pause gustative mais préférez-lui Morro bay, charmant village de pêcheurs (à la taille américaine bien sûr), également appelé le Gibraltar du pacifique dû à son énorme rocher devant sa plage. La ville a su garder son charme et surtout saura vous conquérir par ses fritures (fish & chips / shrimps & chips) et autre arrivage frais de poisson.

On rejoint alors Pismo Beach, dont le principal intérêt est sa longue plage de 13 km de long et surtout le fait que pour 5$ on puisse rouler dessus. On y trouve d’ailleurs plusieurs louer de quad ou buggys pour les amateurs de sensations. C’est également un spot bien connu pour les surfer et kite surfer.

La route quitte maintenant la côte. Au niveau de Lompoc, la Purisma mission est l’une des plus belle mission franciscaine de la Californie et vaut vraiment le détour. Fondée en 1787, elle est aujourd’hui un écomusée (on y retourne même une ferme vivante) représentant bien la ville au temps de la colonisation. Sinon un détour par la 101 est possible pour rejoindre Los Alamos, l’occasion si le Far West vous à manqué pendant ce road trip de retrouver l’atmosphère d’antan à l’Union Hôtel et si aujourd’hui les motos n’avaient pas remplacé les chevaux devant sa devanture aux aspects de saloon, on pourrait presque croire que l’on a fait un bond dans le temps ! Les alentours regorgent également de wineries, l’occasion peut-être d’une nouvelle dégustation ?

 La prochaine étape surprenante se fera à Solvang, un véritable village danois, regroupant tous les clichés : des colombages aux fausses cigognes, sans oublier la petite sirène… Bref, on ne trouve cela qu’aux USA !

Prochain arrêt Santa Barbara, la très chic riviera américaine. Mais elle a su toutefois garder un charme d’antan et la mission et le Presidio (centre militaire espagnol) témoignent de son passé. Les étapes sont ensuite balnéaires : Malibu, Santa Monica et Venice Beach avant d’arriver à Los Angeles.

Cette merveilleuse Route est possible dans plusieurs de nos programmes:

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/california-tours-42

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/western-tours-171

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/american-dream-tours-86

Pour le coté sauvage de la Route One et beaucoup moins connu aussi, retrouver notre itinéraire « Pacific Coast Tour »:

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/pacific-coast-tours-121

La crise économique de 1848 en France, marque la fin du règne de Louis-Philippe. Le gouvernement et Louis Napoléon Bonaparte mettent en place une loterie pour gagner un lingot d’or et partir vivre en Californie. Ce qui paraissait une aubaine pour de nombreux pauvres gens, se soldera par un scandale politico-financier. En effet, les « gagnants » de cette loterie, se sont en fait avéré être des imposants au nouveau régime. Pourtant, ce ne sont pas moins de 30 000 français (pour la plupart des hommes) qui feront la traversée pour tenter leur chance. Les départs se faisaient du Havre pour arriver à New-York, certains passaient par le Cap Horn pour arriver directement en Californie, ce qui leur faisait un voyage de plus de 6 mois.

Le voyage continuait ensuite en convois de chevaux depuis la ville d’Indépendance, et pas moins de 3500 km les séparaient de la fortune. Ce qui représentait encore 4 ou 5 mois de voyage au travers des grandes plaines, lieux de tous les dangers : il fallait éviter les indiens, les animaux sauvages, mais aussi la faim et la soif si on n’avait pas prévu assez de provisions. Les convois étaient composés pour la plupart d’une centaine de chariots mais pas tous équipés de la même façon, parfois, certains poussaient une simple brouette.

Depuis 1843, de grandes migrations pour trouver de nouvelles terres ont façonnées le pays, ce fut d’abord le Texas et l’Oregon, puis en 1848, ce fut la Californie, qui fut cédée par le Mexique pour agrandir les territoires américains.

La ruée vers l’or des Pike Peak suivi d’une dizaine d’années celle de la ruée vers la Californie et s’étendra de 1858 à 1861, à la création de l’état du Colorado. Si elle a finalement durée peu de temps, elle fut l’une des plus importante, avec pas moins de 100 000 chercheurs venus trouver fortune. Un slogan exprimait cette ruée Pike’s Peak or Bust! (« Le pic Pike ou Fais faillite ! »), en référence à la montagne Pikes Peak (pic Pikes) et à ses richesses qui attirèrent de nombreux prospecteurs vers l’ouest.

Celle -ci connu un grand engouement : la ruée vers la Californie commençait à s’essouffler et nombreux étaient ceux encore en quête de fortune. Et les rumeurs allaient bon train, rapidement de nombreux américains repartir vers l’est pour prospecter les abords de la rivière South Platte, qui était réputée charrier de l’or. Cette fameuse ruée fut à l’origine de nombreuses villes de l’ouest américain, comme celle de Denver ou Boulder. Mais même si les filons d’or furent plutôt bons, peu de chercheurs firent vraiment fortune, jouant rapidement ce qu’ils gagnaient et ce sont finalement les commerçants qui furent les grands gagnants de cette ruée. Toutefois, une fois les mines en voie d’épuisement les chercheurs firent leurs bagages et les commerçants les suivirent, ce qui laissa de nombreuses villes fantômes qui jalonnent encore les vallées aujourd’hui.

A l’or, suivi celle de l’argent, mais elle fut beaucoup moins importante, permettant toutefois à certaines villes minières de survivre jusqu’à aujourd’hui, Breckenbridge en est un bon exemple.

A savoir, cette ruée qui fut une sans doute une bonne chose pour de nombreux américains sonna le glas des tribus indiennes. En effet, l’attrait de l’or dans cette région entraîna la violation de plusieurs traités passé entre les indiens et la nation américaines. Celle-ci sera en fait l’origine de la bataille de Little Bog Horn qui mena à l’enfermement dans les réserves des derniers indiens libres, mais ceci est une autre histoire ….

Plusieurs de nos circuits vous emmène sur la route de cette étape importante de l’histoire américaine, et surtout à travers des paysages plus époustouflants les uns que les autres :

Notre Rocky Mountain Tour bien sûr, qui vous emmène à Denver et Glenwood Springs qui sont des vestiges de cette ère :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/rocky-mountain-tours-249

Le Far West Tours également :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/far-west-tours-43

Mais c’est bien sûr notre Colorado Tours qui vous mènera sur les traces de ces miniers en quête d’une vie meilleure :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/colorado-tours-45

A Las Vegas arpenter le Strip reste une expérience en soit: on y trouve tous les plus beaux hôtels, les enseignes mythiques et les spectacles hallucinants. Mais cette artère principale de la Sin City s’étend sur presque 4 km (8 si vous poussez jusqu’au downtown), une belle trotte donc…Pour en profiter (ou bien faire le trajet de retour vers votre hôtel), il peut être judicieux de prendre les transports en commun proposé par la ville.

1 – 🚌 Le bus

Contrairement à beaucoup de villes américaines, à Las Vegas vous trouverez pas moins de 50 lignes de bus desservant la ville. A mi-chemin entre transport en commun et attraction, le Deuce est la ligne la plus connue et utilisée pour traverser la ville.

  • The Deuce (traduisez le Diable…bienvenue dans la ville du pêché ☺️) est pratiquement devenue une attraction touristique. Ce bus à deux étages arpente le Strip depuis l’aéroport jusqu’au downtown, et fonctionne 24/24h. Desservant 90% des hôtels du strip, vous ne pourrez pas les louper, bronze et bleu ou floqué de publicités, leurs écrans à l’avant indiquent leur nom.
    le petit + : se placer si possible aux places de devant à l’étage pour une visite panoramique de la ville.
  • Le SDX (Strip & Downtown Express), est un bus normal (pas à 2 étage) quant à lui empruntant sensiblement le même trajet mais ne s’arrêtant pas à tous les arrêts. Il permet donc de se rendre plus rapidement d’un point à un autre. Certains arrêts sont communs au Deuce.
Trajet simplePass 2 heuresPass 24 heuresPass 3 jours
4 $ (tarif régulier)6 $ (tarif régulier)8 $ (tarif régulier)20 $ (tarif régulier)

Comment acheter son ticket?

Tous les tickets sont disponibles sur l’application rideRTC. Plusieurs arrêts vous proposeront des distributeurs automatiques, dans lesquels vous pourrez payer en CB ou en cash (l’appareil rend la monnaie). Si jamais vous empruntez le Deuce à un arrêt sans distributeurs, vous pourrez acheter un ticket auprès du chauffeur mais uniquement en cash et avec l’appoint. Pour connaître les arrêts disposant d’un distributeur, regardez sur le plan de la ligne en cliquant dessus dans le paragraphe suivant. Il faut repérer le logo TVM (Ticket Vending Machine).

2- 🚝 Le monorail

Las Vegas Monorail pourra être une bonne option pour effectuer certains de vos déplacements. Pratique, rapide, le Las Vegas Monorail vous permettra de relier différents points du Las Vegas Boulevard, il compte 7 stations (MGM Grand Station, Bally’s & Paris Station, Flamingo & Caesars Palace Station, Harrah’s & The LINQ Station, Convention Center Station, Westgate Station & SLS Station).

Il y a environ un tram toutes les 4 à 8 minutes en fonction des heures de la journée et il fonctionne 7 jours sur 7, de 7h à minuit le lundi et jusqu’à 2h du mardi au jeudi et 3h le week-end.

Les tickets sont disponibles sur le site officiel Las Vegas Monorail (il existe une réduction eTicket). Un trajet simple est à $6. Il existe des pass en fonction du nombre de jour qui vous intéresse (de 1 à 7 jours) exemple de tarif:

Trajet simplePass 1 jourPass 2 joursPass 3 joursPass 4 jours
6$ 15$ 20 $30$37$

Si le Las Vegas Monorail est celui qui vous permettra de faire le plus grand trajet (comptez 15 min au total), notre conseil, idéal pour rejoindre surtout la Stratosphère. Sachez que, à l’ouest du Strip, 3 autres monorails font également des liaisons mais cette fois seulement entre certains casinos, ces derniers sont gratuits :
1- celui qui fait la liaison entre le Mandalay Bay et l’Excalibur
2- celui qui fait la liaison entre le Monte Carlo et le Bellagio
3- celui qui fait la liaison entre le Mirage et le Treasure Island

3- 🚕Le Taxi ou VTC

Selon l’endroit où vous souhaitez vous rendre, le taxi peut être plus avantageux et plus rapide surtout. Se rendant directement à votre point de chute, il peut également être partagé si vous êtes à plusieurs. Autre alternative, les VTC (uber ou lyft par exemple), ainsi vous connaissez directement le prix de la course depuis l’application. A noter qu’il est d’usage de prévoir le pourboire pour le chauffeur.

4- 🏍️ 🚗Avec votre véhicule

Bien évidemment avec votre moto ou voiture de location, il est possible d’arpenter le Strip ou rejoindre la Freemont depuis le Las Vegas Blvd, à noter cependant, au delà du trafic, le nombre conséquent de feux tricolores. Cela laisse le temps d’admirer les hôtels mais donne chaud sur les motos en fonction de la météo… 🥵

L’histoire de l’alcool est foncièrement liée à l’histoire des États-Unis. Des pères pèlerins, dont les cales des bateaux étaient remplies de tonneaux de bière, aux saloons de la conquête de l’ouest, On estime qu’il y avait un saloon pour 300 habitants au début du XX° siècle et en 1830, le citoyen américain de plus de 15 ans boit en moyenne 80 bouteilles de whisky par an ! Le problème étant que l’on est passé d’une consommation de bière et de vin à une consommation d’alcool fort, avec pour conséquence, des excès alcoolisés qui choquent les puritains.

La prohibition résultera d’une campagne de nombreuses années menée par des pasteurs et de nombreux groupes de femmes qui associent l’alcool et les violences conjugales. Les premiers mouvements, datent du milieu du XIX° siècle et la première loi anti-alcool date de 1840 dans le Maine ! mais la Guerre de Sécession y mettra fin, le gouvernement fournissant à chaque soldat dans une premier temps de la bière puis du whisky pour tenir le coup sur le front. Les mouvements émergeront de nouveau grâce à une femme Frances Willard qui créera union chrétienne des femmes pour la tempérance en 1874, le relais sera repris par les hommes en 1893 et l’avocat Wayne Wheeler créera l’Anti- Saloon League.

Ces lobbyistes, réussiront à faire de la prohibition le 18° amendement de la constitution des états unis en 1919 et il sera ratifié le 17/01/1920. A partir de ce moment-là, il est interdit de fabriquer, transporter, importer ou exporter toute boisson contenant de l’alcool (à plus de 0.5%). Le but de cette loi était surtout de limiter les ravages de l’alcoolisme que ce soit sur le plan médical ou sur le plan social. Mais dans la pratique, la consommation n’est pas interdite, la fabrication pour sa consommation personnelle non plus et les clubs privés gardent le droit de vendre les bouteilles déjà stockées (ainsi le Yales Club de New York engrangera des bouteilles pour tenir 14 ans !)

Au départ, de bonnes choses découlent de cette loi : on dénombre moins de morts liées à l’alcool et moins de conduite en état d’ivresse. Les vignerons plantent des pruniers pour remplacer les vignes, et les grandes distilleries se mettent à fabriquer des sodas, mettant leur production sous clés. A New York, où le lien avec l’alcool est très fort (dû à la grande immigration écossaise et irlandaise), les bars et les clubs ferment mais très vite, de nombreuses personnes brave la loi, la trouvant absurde et jugeant que le gouvernement n’a pas dicter leur conduite. Ce qui entraînera l’ouverture de nombreux speakeasies (bars clandestins) et à l’aménagement des caves et passages souterrains. Mais aussi à la corruption de la police et la création de gangs qui se disputent la suprématie du trafic d’alcool. Créant de véritable millionnaire :

Georges Remus, profitera des lois en vigueur pour amasser une fortune de plus de 40 millions de dollars. En effet, ce modeste pharmacien, a su jouer du système pour devenir l’un des plus grand bootlegger (trafiquant d’alcool), explications : si la vente d’alcool est interdite, le whisky prescrit à des fins médicinales reste autorisé… et oui, à l’époque beaucoup de choses ont des vertus thérapeutiques, et la prescription augmentent. A la tête d’une pharmacie, G. Remus, sent le filon et rachète plusieurs distilleries pour « fournir » ses pharmacies. Si sur le papier tout reste légal, la production de ses distilleries, ne sert bien sûr pas qu’à cela et il devient le plus grand pourvoyeur d’alcool de la région de Cincinnati, transportant de l’alcool dans tout le pays. Il réussit plutôt bien son trafic et ne fera que 2 ans de prison en 1925 pour contrebande d’alcool. Et il mourra en 1952 dans un relatif anonymat. Relatif, s’il n’avait été l’inspiration de Gatsby le magnifique, le chef de d’œuvre de F. Scott Fitzgerald.

D’autre marqueront l’histoire comme Al Capone (appelé aussi Scarface, à cause d’une cicatrice qui lui barre le visage). Fils d’immigré italien, né en 1899 à Brooklyn, il rentrera à 20 ans dans un premier gang en tant que videur de bar. Il gagnera Chicago en 1920, pour rejoindre un autre gang et y gravit les échelons pour devenir premier lieutenant. Et pour finir chef de gang italien. Il règne alors sur des bars clandestins, des maisons closes, jeux truqués et quelques commerces légaux pour faire bonne figure et blanchir l ‘argent. Mais aussi sur le racket, l’intimidation et la corruption. Il protège son image en aidant les plus pauvres, accédant à une image de Robin des bois chic et moderne. Mais le massacre de la Saint Valentin en 1929, il décide de faire fusiller ses derniers rivaux et perd son image de bon samaritain dans l’opinion publique. C’est là qu’apparaît Eliott Ness et sa bande des incorruptibles qui s’acharneront à faire tomber le caïd. Même si on connaît ses crimes, si on ferme ses différents repaires, on n’arrive pas vraiment à le faire tomber. Ce sera finalement le fisc qui l’arrêtera pour fraude fiscale. Atteint de syphilis, il est libéré sous conditions en 1939. Il ne mourra qu’en 1947, d’un arrêt cardiaque.

Si on se focalise souvent sur Al Capone, qui donna l’image du gangster des années 20, bien habillé, chic, un peu dandy, une mitraillette à la main. La guerre pour le trafic d’alcool fut sans merci, et entraîné beaucoup de morts. De plus, si Chicago, fut une grande plaque tournante de ce trafic (les états voisins n’ont pas mis en place la prohibition et le whisky canadien arrivait par bateau entier depuis le Canada par le lac Michigan), le trafic est étendu à tout le pays, passant par les Bermudes, les Bahamas ou encore le Belize mais aussi St Pierre et Miquelon pour le trafic venant de France (l’île ne retrouvera d’ailleurs jamais une telle prospérité.). On trouve même des croisières alcoolisées, appelé Booze Cruise, littéralement les croisières de la gnôle, qui emmène les passagers dans les eaux territoriales ou à Cuba.

Finalement, peu de moyen ont été mis en place pour faire appliquer la prohibition : peu d’agent, la plupart sont corrompus et peu de moyens financiers pour ceux qui restent intègres. Et la prohibition fera finalement plus de morts que les chiffres précédant la promulgation de la loi. En effet, les gens qui buvaient, boivent encore plus, d’autre s’y mettent en signe de rébellion et on observe une augmentation significative des cirrhoses du foie et des conséquences de l’alcool frelaté : cécité, paralysie, folie… Beaucoup de bootleggers étaient peu scrupuleux et coupaient l’alcool ou bien la remplaçait par du méthanol (alcool de bois), de l’alcool à brûler ou encore du diluant pour peinture.

Finalement, devant un tel désastre, Roosevelt décide d’abroger le 18°amendement, laissant le choix aux états de pratiquer la politique qu’ils souhaitent dans le domaine de l’alcool (ce qui fait que l’on trouve encore aujourd’hui des dry county ou states comme le Tennessee). Mais l’état fédérale percevra des taxes sur l’alcool vendues, ce qui renflouera les caisses suite à la crise économique de 1929. Quant aux gangsters, la drogue, la prostitution et les jeux vont largement compenser les revenus du trafic illégal de l’alcool.

Un des conséquences inattendues de la prohibition fut la création de cocktails dans les bars clandestins, pour cacher l’affreux goût des alcools frelatés, avec notamment l’apparition du Cuba Libre et du Whisky Coca ! autre conséquence, la disparition des micro-brasseries américaine, seules les plus grandes manufactures pouvant se relever de cette période sombres. Ce qui entraîna une perte savoir-faire et une mauvaise réputation de la bière américaine à travers le monde. Il faudra attendre les années 80 pour voir réapparaître ce savoir-faire et retrouver des bières typiquement américaines.

Il est peut-être temps de partir sur les traces de la prohibition et d’Al Capone en partant pour Chicago, vous ne croyez pas ?

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Cette ville est aussi le point de départ de nos programmes « Route 66 »:

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Et bien sûr retrouvez la totalité de nos circuits et events sur le notre site :

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L’année 2021 marquera les 80 ans de la grande fête qu’est la BikeWeek Daytona !

L’occasion de revenir sur l’origine de cette grande fête de la moto:

A l’origine Daytona, n’était pas la fête que l’on connaît aujourd’hui, mais une course sur la plage !
La première course s’est déroulée en 1937 sur la plage au nord de Daytona (une plage sur laquelle vous pouvez toujours rouler aujourd’hui pour la somme de 10$), un parcours de 3,2 miles en partie sur la plage et une partie sur le trottoir de la ville de Daytona, avec un virage de ¼ de mile où le sable était incliné.

Petite anecdote, l’heure de départ de la course a été déterminé par l’heure de marée, sinon la piste aurait été inondée !

Le premier gagnant de cette course fut Ed Kretz de Monterey Park en Californie, il la remporta sur une Indian avec une moyenne de 73.34 mph (soit près de 120 km/h !).

Les courses perdureront de 1937 à 1941, le Daytona 200 était aussi appelé le « Derby du guidon » par les journalistes de course locaux à cette époque.

L’événement s’arrêtera en 1942 (comme beaucoup d’événements aux États-Unis) pour participer à l’effort de guerre, puis après la guerre est venu le rationnement général du carburant, des pneus et des composants clés du moteur. Même si l’événement de course a été « officiellement » annulé, les gens se sont toujours présentés pour une fête « non officielle » appelée Bike Week.

 L’événement reprendra le 24 février 1947, gardant tout son aura puisque la municipalité sera obligée de demander aux habitants d’ouvrir leurs portes aux bikers, les campings et hôtels étant déjà pleins. Cette reprise réunira pas moins de 176 coureurs. Le parcours variera en 1948 passant à 4,1 miles. Et elle restera sur la plage jusqu’en 1960 avant d’être déplacée quelques kilomètres plus loin, sur le Daytona International Speedway.

Au fur et à mesure, les attractions qui entourent la course se sont développées et aujourd’hui c’est toute la ville, voir tout le comté, qui est en fête durant la BikeWeek.

Bien sûr Harley Davidson, fait partie intégrante de la fête dominant pendant plusieurs années les courses (notamment de 1953 à 1965). Et c’est maintenant le cœur de l’animation avec des bikes show et autre présentation de custom.

Durant la bike week, plusieurs activités s’offre à vous :

 Vous pouvez bien sûr aller voir les courses qui ont lieu au Daytona International Speedway, circuit maintenant mythique dans le monde des courses aussi bien de moto que de voitures.

Courses de vitesse dans la journée (le Daytona 200) et Supercross le soir (le Daytona TT), avec bien sûr fan zone, concerts ainsi qu’une zone pour les enfants.

 Main Street reste l’attraction principale, c’est en remontant (ou descendant, c’est vous qui voyez comme on dit) cette rue que l’on peut observer et admirer les plus belles préparations. Que ce soit roulant ou bien garé sur les bas-côtés de la rue, chaque pas est un spectacle. L’excentricité des participants participant également au show. Vous y trouverez bien sûr également les mythiques Froggy’s Saloon, le Broken Spoke Saloon et Boot Hill Saloon qui offrent tout, de la musique live et des concours de burn aux compétitions de bikini.

 Un peu plus loin faites un tour de roues sur la plage, le prix est exceptionnellement bas pour la BikeWeek et revient à 3$, ça serait dommage de s’en priver, l’occasion se présentant rarement ailleurs !

Et bien sûr, le tout animé de concerts, show, et divers concours.

Sans compter les trésors de la région que vous pourrez découvrir au cours de notre formule event « Daytona Beach Bike Week »

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La Virginie fut la première colonie anglaise fondatrice des USA, nommée ainsi le 14 Mai 1607 en l’honneur de la reine Elisabeth, la Reine Vierge. Elle est l’une des colonies qui joua le plus grand rôle dans la naissance des USA. On y retrouve la colonie de Jamestown (dans la baie de Chesapeake) qui fut la première colonie officielle anglaise reconnue en 1607. L’Etat fut l’un des premiers à abolir l’esclavage (Il faut dire qu’elle était aussi la première à participer au commerce triangulaire des esclaves). Ce fut l’un des états fondateurs dans la guerre d’Indépendance, et 5 de premiers présidents des Etats unis seront originaires de Virginie. Elle proclama (en 1776) la « Virginia Déclaration of Rights » qui eut une grande influence sur la rédaction de la Déclaration d’Indépendance (1776) et sur la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen » (1791). Elle fut le 10e Etat à entrer dans l’Union, en 1788. Etat Sécessionniste, elle fut le lieu de nombreuses batailles et en garda de nombreux stigmates.

Visiter la Virginie c’est marcher dans les traces de l’histoire, s’étirant du littoral atlantique, à l’est, aux Appalaches, à l’ouest, l’Etat rejoint par sa pointe nord Washington DC. D’ailleurs, une partie de la banlieue de la capitale fédérale est située en Virginie, comme par exemple Arlington ou Alexandria, dont nous avons parlé dans le précédent article sur Washington ( https://blog.american-motors-travel.com/2020/05/ ). A quelques miles au Sud, vous pourrez trouver le site de Mount Vernon qui fut la demeure familiale de George Washington, le premier président des Etats-Unis (mais si vous savez, celui qui est sur le billet de 1$). Vous pourrez faire le tour de la plantation et voir les tombes du grand homme et de sa femme, une visite à ne pas manquer.

Si vous suivez le Potomac, vous arriverez à la ville de Fredericksburg, qui eut une importance stratégique considérable pendant la Guerre de Sécession, en raison de sa situation entre Washington et Richmond, les deux capitales ennemies. En décembre 1862, pendant la bataille de Fredericksburg , la ville fut bombardée et vit la défaite des armées de l’Union. Le lieu de la bataille se visite encore aujourd’hui.

Plus au Sud, vous trouverez Richmond qui est la capitale de la Virginie depuis 1782. Site historique, en même temps très dynamique, vous découvrirez au fur et à mesure de vos déambulations de nombreux street art sur l’histoire de la région, vous plongeant peu à peu dans le passé. Promenez-vous le long des 10 kilomètres du Liberty Trail et visitez 15 sites historiques. Arrêtez-vous devant St. John’s, la plus ancienne église de la ville, au milieu des demeures de style fédéral. D’ailleurs, le Musée des Confédérés et la White House of the Confederacy, une belle demeure « antebellum » qui fut le quartier général du futur président Jefferson Davis, mettent en lumière le point de vue Sudiste de la Guerre de Sécession. Vous pourrez également emprunter le sentier Richmond Slave Trail, qui retrace l’histoire de la traite des esclaves africains. En bordure de la James river, dans les bâtiments industriels en ruine, conservés sous le nom d’American Civil War Center, a été installé, faites-y un tour avant de rejoindre Williamsburg.

La ville de Williamsburg est la première cité coloniale à rompre ses attaches avec l’Angleterre. Aujourd’hui l’ancienne capitale restaurée, recrée de façon authentique l’atmosphère d’une colonie américaine. Vous découvrirez l’historique Capitole, le palais de Justice, le palais du Gouverneur, la prison, la Raleigh Tavern et d’autres bâtiments, boutiques, échoppes ou maisons individuelles. Faites ensuite un détour par Jamestown, à 13 km au sud, sur le site de la première colonie anglaise. A proximité, le Fort James, reconstruit, et les répliques grandeur nature de trois navires qui devancèrent le Mayflower de 13 ans.

Partez maintenant vers l’est pour rejoindre Charlottesville, les charmantes rues piétonnes de son centre-ville et son université prestigieuse (par laquelle passa notamment Edgar Allan Poe, William Faulkner, ou encore Truman Capote). C’est surtout l’occasion de passer voir Monticello la luxueuse plantation de Thomas Jefferson. Mais aussi l’occasion de visiter les vignobles qui furent importés de France à la fin du XVIII° siècle (rappelons que Lafayette a joué un grand rôle dans l’histoire de l’état et a fortement développé les échanges avec la France).

Si la Virginie est foncièrement historique, elle n’en est pas moins un état naturel. Profitez de sa façade atlantique, dans la baie de Chesapeake, vous serez entouré de forêt, de mangrove et pourrez même observer les dauphins visibles de la côte (Observez également le Chesapeake Bridge, un pont tunnel de 30 km de long !).

En gardant le meilleur pour la fin et si vous préférez la montagne, rendez-vous au Shenandoah National Park, et pour nos amis motards, régalez- vous avec la Skyline drive, qui vous fait surplomber les Blue Ridge Mountains sur près de 170 km. Attention toutefois, la nature est omniprésente et il n’est pas rare de croiser biche et chevreuils mais aussi des ours ! Ne manquez pas en remontant vers le nord les grottes de Luray, qui offrent un spectacle à couper le souffle. Découvertes en 1878 et connues pour leur « Great Stalagpipe Organ » , instrument de la famille des xylophones, qui produit des sons en frappant les stalactites.

Et ce n’est pas la seule route panoramique de cet état, allant vers le sud et le Tennessee, la Blue ridge Parkway vaut aussi le détour, mais ceci est une autre histoire ….

Alors, prêts à embarquer avec nous pour un tour d’histoire ? n’hésitez pas à nous demander une création sur-mesure pour découvrir ce bel état :

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Et bien sûr retrouvez la totalité de nos circuits et events sur le notre site :

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Commençons par un peu d’histoire:

L’abolition de l’esclavage découle aux USA de la guerre de Sécession, et deviendra effective en 1865. Si ce n’était pas la préoccupation majeure de Lincoln au début de la guerre, les esclaves joueront un grand rôle durant le conflit permettant au états du nord de « récupérer » près de 4 millions de partisans et de prendre le pas sur les états du sud.

A la fin de la guerre, le premier droit acquis est l’abolition de l’esclavage bien sûr mais aussi la citoyenneté américaine. Pourtant dès 1880, les anciens propriétaires du Sud des USA (grands possesseurs d’esclaves) reprennent le pouvoir et mettent en place un système rigoureux de ségrégation et de privation du droit de vote avec notamment le black code, et imposant la séparation des races dans nombre de domaines de la vie quotidienne (bus, restaurants, écoles, etc…) et elle sera effective jusqu’au milieu des années 60.

Cette « bataille » pour les droits civiques s’étend en fait de 1954 jusqu’en 1968. La première grande victoire est enregistrée, sur le registre légal, par Cette « bataille » pour les droits civiques s’étend en fait de 1954 jusqu’en 1968. La première grande victoire est enregistrée, sur le registre légal, par l’arrêt de la Cour suprême de 1954 dans Brown v. Board of Education, déclarant anticonstitutionnelle la ségrégation raciale dans les écoles publiques.

En 1955, Rosa Parks qui sera la figure de la révolte, à Montgomery en Alabama (elle refusa de laisser sa place dans un bus à un blanc) et marquera le tournant des actions menées par la population noire pour l’acquisition de leurs droits. Cela entraînera pendant presque un an le boycott des bus de Montgomery pendant près d’un an. Un mouvement qui ira chercher le pasteur baptiste Martin Luther King comme porte-parole, une action payante, car le 13/11/1956, la cour suprême des États-Unis autorisera les passagers noirs à s’asseoir où ils veulent dans les bus, mais aussi supprime la ségrégation dans les hôpitaux et les restaurants. Cet acte ancre le mouvement pour les droits civiques dans les États du sud.

En 1957, il créera la SLC (Southern Christian Leadership Conference), qui lutte pour les droits civiques dans un esprit de non-violence chrétienne. Martin Luther King voyagera dans tous les états unis pour y prononcer de nouveaux discours (près de 200) et faire avancer la cause. D’autres combats contre la ségrégation vont suivre, le 24 janvier 1956, de jeunes étudiants noirs vont se voir refusé l’accès aux inscriptions dans une école de Little Rock en Arkansas. Cette mesure est illégale depuis l’arrêt Brown, mais le gouverneur de l’Arkansas mobilise la garde nationale et fait refouler les étudiants noirs. Le lendemain, sur l’injonction d’Eisenhower, c’est l’armée fédérale qui fera rentrer les étudiants sur le campus.

En 1960, eurent lieu les premiers sit-in à Greensboro (Caroline du Nord), des personnes noires prenaient place dans des endroits réservés au blanc de manière non violente pour protester contre la ségrégation. Cela deviendra bientôt une arme de masse. Et qui lancera le mouvement des Freedom Riders (groupe de jeunes noirs et blancs qui sont partis de Washington pour rejoindre les états du Sud et protester contre la ségrégation.) Ils ont décidé pour cela d’occuper les salles d’attente réservées aux blancs dans les villes et provoquer les politiques et le Klux Klux Klan. Ces sit-in commencent en 1961, et très rapidement entraîne des réactions très violentes de la part des racistes blancs et du Klux Klux Klan, avec notamment de forts affrontements à Birmingham, Montgomery, Atlanta…Cette campagne aura plusieurs effets importants : elle va rendre publique les violences des populations racistes du sud grâce notamment au développement de la télévision mais également obligera les politiques à se préoccuper du problème, Kennedy venant d’arriver au pouvoir. Le 28 Août 1963, une grande marche sur Washington pour les droits civiques, sera aussi l’occasion pour Martin Luther King de faire son discours « I have a dream » et sera le premier pas pour l’abolition de la ségrégation. Il deviendra d’ailleurs à la fin de l’année le plus jeune prix Nobel de la Paix et permettra le 2 juillet 1964, la signature du « Civil Rights Act » déclarant illégale la ségrégation (le rétablissement du droit de vote sera signé 1965 et les mariages mixtes eux ne seront possible qu’après 1967). Toutefois, le combat n’est pas terminé, le 07 mars 1965 la marche sur Selma vise à combattre les intimidations du gouverneur Wallace visant à empêcher les noirs de s’inscrire sur les listes électorales, sera stoppée par les forces de l’ordre faisant 60 blessés. Elle reprendra à la fin du mois pour mener à bien cette marche pour la liberté. Mais la fin du mois d’août 1965, de nombreuses émeutes raciales explosent dans les quartiers défavorisés, les jeunes des ghettos sans intégration économiques se tournent vers la violence et lance des mouvements plus radicaux. Le mouvement Black Panther Party (crée en 1966), fait de plus en plus d’adepte, notamment en 1968

Martin Luther King continuera la lutte lançant une nouvelle marche contre la pauvreté de la population noire, Il se joindra également à la lutte des éboueurs de Memphis, où il prononcera son dernier discours. Le 4 Avril 1968, il sera assassiné dans la chambre de son motel, le Lorraine. De nombreuses émeutes, suivront cet assassinat. Depuis 1986, le Martin Luther King’s day est un jour férié.

Aujourd’hui la lutte rend de nouvelles formes, avec le mouvement Black Lives Matters qui marquera sans doute également l’histoire.

Notre programme « Heart of Dixie », vous permet de retrouver tous ces lieux chargés d’histoire et d’en apprendre plus sur cette région de l’Alabama:

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/heart-of-dixie-tours-237

Et dans notre programme « Route du blues », vous pourrez à Memphis, passer par le motel Lorraine:

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/route-du-blues-tours-72

Si la France fut le berceau de l’invention de la voiture, les USA sont les principaux acteurs du développement mondial de ce moyen de transport. Notamment grâce à la Ford T (créée par Henry Ford en 1908), et la mise en place du Fordisme : mise en place d’une chaîne de montage (parcellisation des taches), standardisation des véhicules produits (pour produire en grande série à l’aide de pièce interchangeables) et augmentation des salaires des ouvriers (pour éviter le roulement des ouvriers, car le travail est devenu plus pénible).

Les grandes marques américaines, datent toute du début du siècle, outre Ford, fondé en 1903 en même temps que Buick, on retrouve aujourd’hui encore les principales marques américaines qui ont toutes été créés les années suivantes : Pontiac en 1906, General Motors en 1908, Cadillac en 1909, Dodge en 1914, Lincoln en 1917, Chevrolet en 1918 et Chrysler en 1925.

Le rôle important de la voiture aux USA s’explique par la disposition urbaine du pays, qui tend à favoriser la banlieue résidentielle au détriment du centre-ville.

Le berceau des constructeurs fut bien sûr la ville de Détroit et sa banlieue où l’on retrouve les Big Three : Ford, Chrysler et General Motors.

Aujourd’hui, vous pouvez visiter l’ancienne usine Ford, avenue Piquette, et vous replonger au cœur de la création de la grande marque américaine. Vous pourrez y retrouver des expositions, des voitures bien sûr. Le lieu regroupe aussi d’autres témoignages de l’histoire des États-Unis. À l’extérieur du musée, dans Greenfield Village, vous pourrez voyager dans le temps sur un terrain de 32 hectares où se trouvent 83 installations historiques : le laboratoire de Thomas Edison, l’atelier des frères Wright et la maison natale d’Henry Ford. Profitez également de la visite gratuite du GM Renaissance Center, pour découvrir en détail l’influence de l’entreprise sur la ville.

Pour assouvir les passionnés d’automobiles, nous vous proposons quelques musées ou circuit incontournables. La liste est non exhaustive, les circuits ou musées étant souvent destiné à différentes catégories : Nascar, dragster, F1, ou anciennes voitures….

Pour commencer, la Route 66 qui est foncièrement lié au l’histoire automobile, même si l’essor de ce mode de transport fut freiné par la seconde Guerre Mondiale (rationnement de l’essence, pneus rares…), cette route qui fut celle des vacances a vu défilé des centaines de milliers de voitures sur son asphalte. En partant de Chicago, faites un tour au Chicagoland Speedway pour assister à des courses de NASCAR ou au Route 66 Raceway pour des courses de NHRA et autres dragsters. Un peu plus loin, dans la ville de Pontiac, se trouve le Pontiac-Oakland Automobile Museum, qui rend hommage aux marques automobiles Pontiac et Oakland.  Sur la route, vous retrouverez bien sûr pleins d’hommage à cette route mythique, d’anciennes voitures en plus ou moins bon état, abandonnées parfois dans les villes fantômes ayant fait les frais des constructions des Interstates. Vous pourrez pourtant trouver un bel hommage à l’automobile des années fastes au Route 66 Auto Museum de Santa Rosa (quelques centaines de miles avant Albuquerque).

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/route-66-tours-88

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/r66-parcs-nationaux-tours-46

Vous pourrez retrouver également quelques belles pièces dans nos autres programmes :

  • Le musée Lane Motor Museum à Nashville

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/route-du-blues-tours-72

Un détour par Bowling Green au National Corvette Museum and Motorsport Park est également possible au cours du même programme.

  • Vous pourrez visiter le musée de Tupelo qui possède quelques pièces intéressantes au cours de notre circuit Magie du Sud Tours

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/magie-du-sud-tours-119

De nombreux autres sites sont réputés liés à l’automobile, comme :

L’Indianapolis Motor Speedway, circuit sur lequel se déroulent les 500miles d’Indianapolis, qui est considéré comme le « haut lieu mondial de la course automobile ». Le site abrite également l’Indianapolis Motor Speedway Museum, qui regorge d’objets et d’automobiles en souvenir des nombreuses courses passées. Une grande variété de visites y sont également organisées, dont des tours de piste en bus Speedway.

Le NASCAR est apparu aux temps de la prohibition, les contrebandiers ont dû se réfugier de plus en plus au cœur des montagnes d pour échapper aux contrôles de l’état sur leur production illégale. Pour assurer les livraisons, ils débridaient les moteurs des voitures, retirèrent les sièges et modifièrent les suspensions. Pour se divertir entre 2 livraisons, ils commencèrent à faire des courses, juste pour le plaisir, cela devint un sport automobile reconnu en 1948 avec la création de la National Association for Stock Car Racing. Le Charlotte Nascar Hall of Fame au sein du Charlotte Motor Speedway y rend hommage, et vous permettra de d’approcher de plus près le monde de courses au travers d’un parcours ludique et chargé d’adrénaline. La petite ville de Mooresville à quelques miles au nord garde aussi les traces de ce sport typique américain.

Sans oublier Daytona, qui est un des circuits les plus connus du programme des courses de NASCAR, que vous retrouvez dans nos programmes « Florida Tours » & pendant notre événement « Bike Week » :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/florida-tours-39

https://www.american-motors-travel.com/voyage-en-auto/etats-unis/daytona-beach-bike-week-fn-1-206

Dans le monde de la Formule 1, le Grand Prix des Amériques fut de nombreuses fois déplacé et modifié. Commençant sa carrière à Watkins Glen dans l’état de New York (de 1959 à 1975), il fut ensuite couru à Phoenix de 1989 à 1991et s’arrêtera pendant près de 10 ans avant de reprendre à Indianapolis (sur une partie du circuit des 500 miles) de 2000 à 2007. Le circuit est aujourd’hui couru près de Austin sur le site de Elroy depuis 2012.

 Ces différents sites peuvent bien sûr être intégrés à un parcours sur mesure que nous pouvons établir ensemble :

https://www.american-motors-travel.com/voyage_sur_mesure.php

Situé à 256 km à l’est de San Francisco et 475 km de la vallée de la mort à l’ouest, Yosemite est l’un des joyaux de l’Amérique.

Situé sur le flanc ouest de la Sierra Nevada, il prit forme à la fin de l’ère glacière lorsque les glaciers de la région sculptèrent la vallée. Inscrit au patrimoine l’UNESCO depuis 1984, le parc s’étend sur près de 3000 km², ce qui le place parmi les plus importants parcs de Californie (c’est aussi le deuxième plus ancien après Yellowstone car il fut créé en 1890). Composé de parois à pic en granit, de cascades et de vallée encaissée, vous ne sortirez pas indemne de votre passage dans ce parc majestueux. On y retrouve aussi bien des forêts de chênes immenses, des maquis californiens, mais aussi des paysages alpins.

Le parc est ouvert toute l’année, mais certaines zones sont inaccessibles l’hiver à cause de la neige et de l’altitude élevée d’une grande partie du parc (le point le plus haut du parc culmine à près de 4000m d’altitude).

Le point incontournable et accessible toute l’année est la Vallée de Yosemite, vous y trouverez les points incontournables du parc (les plus connues tout du moins). Cette cuvette de 1220 mètres de profondeur est entourée d’immenses falaises et de roches sculptées et polies par les glaces, et au fond de laquelle coule la rivière Merced. Depuis Tunnel View, on domine la superbe vallée de Yosemite. Sur la gauche, vous apercevez El Capitan, la plus haute falaise entière du monde (900 mètres), qui culmine à 2307 mètres (les alpinistes viennent du monde entier pour escalader cette paroi). Sur la droite, la chute Bridalveil Fall (« chute du voile de la mariée ») tombe de 189 mètres de haut. On peut d’ailleurs accéder au pied de la cascade par un court sentier (800 mètres aller-retour). Au fond, on aperçoit le Half Dome. A Yosemite Village, un centre d’informations visiteurs expose l’histoire géologique du parc. On peut également visiter gratuitement un petit musée amérindien.

Si vous y allez en été, vous trouverez au sein du parc, de nombreuses autres cascades, notamment Yosemite Falls qui détient le titre de la haute cascade d’Amérique du Nord (environ 730m), un circuit facile et pittoresque de 1,6 km de long permet d’accéder à une vue impressionnante et mériterait d’être sur la liste des « must seen » de chacun. Les autres cascades situées plus au sud du parc sont moins accessibles et demandent quelques connaissances en randonnée.

Un autre point de vue imprenable sur le parc est celui de Glacier Point : un précipice de granit surplombant la vallée de Yosemite à 2 199 mètres d’altitude. Il permet d’observer les plus célèbres sites d’intérêt du parc (Half Dome, Clouds Rest, Liberty Cap, Vernal Falls et Nevada Falls) ainsi que la High Sierra tout autour. Le soir, au coucher du soleil, le Half Dome, se pare de jolies teintes rosées.

Pour atteindre Glacier Point, il faut compter une heure en voiture ou en bus depuis la vallée, vous trouverez un parking au sommet pour pouvoir profiter de la vue. Si vous le souhaitez, vous trouverez le long de la route, une dizaine de départ de randonnées faciles d’une journée.

*Il est à noter que l’accès à Glacier Point est bloqué par la neige, généralement de novembre jusqu’au début de l’été. C’est aussi le cas pour le Tioga Pass qui permets de traverser le parc d’Est en Ouest ( ou vice-versa) et qui peut occasionner un très grand détour pour contourner la Sierra Nevada.

A côté de sa beauté naturelle, la vallée de Yosemite abrite aussi des ours bruns, des cerfs-mulets et des tamis, que vous ne manquerez pas de croiser … De nombreuses activités sont possibles sur le parc : promenades dans la nature guidées par un garde forestier, atelier de vannerie amérindienne, leçons d’escalade, ou de rafting ….

Ce n’est bien sûr qu’un aperçu de ce magnifique parc, mais le mieux est encore de le découvrir par soi-même et d’en vivre la magie en direct. et pour en apprécier toute la beauté retrouvez notre article dédié à l’aspect pratique ici

Vous retrouverez une escale dans ce magnifique parc dans nos différents circuits :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/american-dream-tours-86

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/best-of-the-west-tours-244

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/western-tours-171

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/california-tours-42

Nous avons évoqué sur Facebook le cimetière d’Arlington, qui est une ville mais aussi le plus petit comté de la Virginie. C’est l’un des plus vieux cimetières des États-Unis. On y enterre depuis la Guerre de Sécession tous les soldats morts au combat et quelques personnalités, tels que le président Kennedy ainsi que sa famille. Visitez également Arlington House, qui était autrefois la résidence du général confédéré Robert E. Lee.

 Il y a de nombreux points de vue dont certains très beaux sur la ville de Washington (comme par exemple celle depuis le Air Force Memorial) située juste en face de l’autre côté du Potomac. La ville abrite également le Pentagone, que vous pouvez visiter en partie (attention, il faut penser à réserver à l’avance !) La ville d’Arlington peut aussi valoir le coup d’œil et reste très pittoresque.

Il y a de nombreux points de vue dont certains très beaux sur la ville de Washington (comme par exemple celle depuis le Air Force Memorial) située juste en face de l’autre côté du Potomac. La ville abrite également le Pentagone, que vous pouvez visiter en partie (attention, il faut penser à réserver à l’avance !) La ville d’Arlington peut aussi valoir le coup d’œil et reste très pittoresque.

Mais traversons le Potomac pour nous rendre dans la ville même de Washington. Fondée en 1891 et nommée en hommage au premier président des États-Unis, la ville ne deviendra capitale qu’en 1800. C’est la capitale fédérale, elle ne fait donc pas partie des 50 états de l’Union.

Pour la petite anecdote, elle fut dessinée ex-nihilo par un architecte français du nom de Pierre-Charles L’Enfant, qui vint aux USA pour participer à la guerre d’Indépendance (sa tombe est d’ailleurs visible à Arlington).

Pierre-Charles L’Enfant s’inspira notamment des Champs Elysées pour créer le Mall, cette grande esplanade verte de 3 km de long qui rejoint le Lincoln Memorial (au bord du Potomac) au Capitol,

On y trouve également entre les deux, le Washington Monument, (vous pourrez d’ailleurs apercevoir de loin la Maison Blanche sur votre gauche) ce grand obélisque que vous avez forcément aperçu dans les films ou bien dans les documents historiques. En effet, cette esplanade fut le lieu de nombreuses manifestations avec parmi les plus connues, le discours de Martin Luther King ou bien celle contre la guerre au Vietnam soutenue par de nombreuses personnalités. On peut d’ailleurs monter à son sommet, pour avoir une magnifique vue à 360°.  Si vous venez au printemps, ne ratez pas le Cherry Blossom Festival, qui célèbre la floraison des quelques 3012 cerisiers offerts par le Japon en 1912 en signe d’amitié.

Les abords de cette fameuse esplanade est le temple de la culture en effet, vous pourrez y découvrir une partie des 19 musées du Smithsonian institute, (et qui plus est sont gratuits), le Air and Space Museum ou encore le Museum of Natural History font partis des incontournables. En remontant encore quelque peu l’esplanade, vous arrivez enfin au Capitol, siège du congrès américain. Contournez le bâtiment pour découvrir la Cour Suprême et la bibliothèque du congrès, qui pour votre information, est la plus grande du monde avec pas moins de 38 millions de livres à son actif. Vous l’aurez compris rien que cette esplanade rassemble le must-see du pouvoir politique, judiciaire, et est également une zone de culture inégalée.

Si vous n’êtes pas rassasié, nous vous conseillons 2 autres musées, tout aussi originaux qu’intéressants :

Le Newseum, musée de la presse et des médias qui possède quelques pièces émouvantes et vous permettra de vous prendre pour un présentateur le temps d’un JT.

Tous aussi divertissant, l’International Spy Museum (musée de l’espionnage) vous mènera sur les pas de James Bond.

Les deux se trouvent également à proximité du National Mall.

Même si les gratte-ciels sont inexistants dans le District (centre-ville/ la légende veut que la loi ait été passée pour qu’aucun bâtiment ne dépasse le Capitole), prenez le temps d’aller vous balader dans le quartier de Georgetown, qui garde un charme indéniable. L’université et son quartier aux maisons colorées vous permettra de déjeuner et de faire une pause shopping agréable.

Les alentours de Washington valent également le détour, outre Arlington, embarquez à bord d’un bateau-taxi à Georgetown pour rejoindre la ville d’Alexandria, de l’autre côté du fleuve Potomac. Visitez son charmant cœur historique qui date des XVIIIe et XIXe siècles.

Si vous poussez encore un peu vers le Sud, vous pourrez visiter Mount Vernon, la maison historique du premier président des États-Unis.

Ah ! l’ouest canadien, les grands espaces, les lacs bleu turquoise et les montagnes majestueuses… c’est sans doute l’image que vous en avez, et vous avez raison ! Cette région fait partie des itinéraires de rêve pour les amoureux de nature sauvage et impétueuse.

Il est difficile de retranscrire ce que l’on peut ressentir en traversant ces Rocheuses, si grandes, toujours enneigées alors qu’on parcourt les différentes routes panoramiques. On s’extasie ensuite sur les lacs émeraudes où se reflètent les glaciers encore en mouvement. On apprécie les cascades, les forêts et les rencontres avec la faune sauvage. On passe de parcs en parcs de villes en villages pour en prendre pleins les yeux et vivre un dépaysement assuré.

Quelques points incontournables de notre programme « Canadian Dream Tour » :

  • La ville de Vancouver, située entre océan Pacifique, forêts à la végétation luxuriantes et montagnes, la nature fait partie intégrante du charme de la ville. La ville compte de nombreux musées, des parcs et jardins pour flâner, et un centre-ville à la fois moderne et historique. N’hésitez pas à traverser pour rejoindre Vancouver Nord, et découvrir un panorama époustouflant sur le centre-ville depuis le « Capilano Suspension Bridge », un pont suspendu de 137m qui traverse un canyon de 70m de profondeur.
  • Le parc national de Jasper est le plus grand parc de l’ouest canadien. Au cœur se trouve la petite ville du même nom, où vous pourrez découvrir son histoire et vous renseigner que les activités du parc. C’est surtout le point de départ pour de magnifiques randonnées qui offre de superbes vues sur le Lac Medicine et le lac Maligne (avec la fameuse Spirit Island). On vous conseille d’ailleurs la Maligne Lake Road, qui relie les 2 lacs et qui est surtout le lieu idéal pour observer les nombreux animaux qui peuplent ce parc. Vous pourrez monter au sommet du mont The Whistlers avec le Jasper Skytram pour une vue à 360° à couper le souffle.
  • Ne manquez pas les chutes Athabasca, même si elles ne font que 23m de haut, c’est son débit qui en fait l’une des plus puissantes des Rocheuses Canadienne. Cette zone située entre les 2 parcs principaux (Jasper et Banff) est surtout intéressante pour son glacier impressionnant qui s’étend sur 250 km², il se situe sur la ligne de partage des eaux et alimente toutes les rivières dont les eaux se dirigent vers 3 océans (Pacifique, Atlantique, Arctique). Un phénomène unique au monde. Sur place, il est possible de marcher sur le glacier (attention il faut être accompagné) ou bien d’affronter le vide sur une plateforme de verre.
  • Le parc national de Banff regorge de trésors, notamment le fameux Lake Louise qui est l’un des joyaux du Canada mais aussi un des sites les plus reconnu de l’ouest canadien avec ses eaux turquoise au cœur de la montagne. Le lac Moraine vaut aussi le détour, bref vous en prendrez plein les yeux. Pour y accéder, passez soit par la Transcanadienne, soit par la Vallée-de-la-Bow, qui vous offrira de nombreux point de vue. Banff peut aussi être l’occasion d’une pause méritée dans une des sources d’eaux chaudes de la Banff Upper Hot Springs.
  • Une autre pause détente sera possible (voir obligatoire) dans la magnifique vallée de l’Okanagan. Entre lac et montagne, cette vallée viticole vous permettra de découvrir la culture du vin « à la canadienne ». Cette vallée est un petit bijou qui vous permettra également de vous relaxer au bord d’une plage où bien aller voir un mini désert à quelques km des vignes ou encore offrez-vous un diner croisière que le lac.

Ces différents joyaux ne sont qu’un avant-goût des paysages magnifiques qui vous attendent sur ce parcours, On peut également citer Whistler (site des JO 2010) auquel on accède par la magnifique (Sea-to-Sky Hihgway, autoroute de la mer au ciel, tout un programme…). Mais aussi la traversée du Far West canadien, le parc Yoho, ou encore le glacier de Revelstoke.

Retrouvez notre programme complet sur notre site :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/canada/canadian-dream-tours-144

Boston fut l’un des lieux où l’histoire de l’Amérique s’est écrite. Traditionnellement, celle-ci commence avec l’histoire des pères pèlerins arrivés sur le Mayflower en 1620. Ce navire qui amenait les premiers colons du Nouveau Monde, accosta au niveau de Plymouth soit à moins de 100 km de l’actuelle Boston, à l’entrée de la baie de Cape Cod.

Officiellement, la ville de Boston est fondée en 1630 soit peu de temps après, cela en fait donc une des villes les plus anciennes des États-Unis. La ville devient le chef-lieu de la colonie du Massachusetts et développe fortement le commerce avec l’Angleterre et les colonies. Ce qui lui procurera une certaine richesse. Elle s’imposera également comme la capitale intellectuelle de la Nouvelle Angleterre avec la création de son Université, aujourd’hui Harvard, en 1636. (Le site est aujourd’hui dans la ville de Cambridge, cela ne s’invente pas quand on sait que la 2° université la plus vieille d’Angleterre porte le même nom et fut construite en réponse à un désaccord de certains professeurs et élèves de l’université d’Oxford en Angleterre).

Boston jouera un rôle central lors des rébellions américaines. L’Angleterre tenta d’imposer dès 1764, de nouvelles taxes aux colons ainsi qu’une présence militaire marquée. Ce qui amènera à la fameuse Boston Tea Party en 1773 (la destruction par les Bostoniens de 3 cargaisons de Thé), qui deviendra l’un des épisodes les plus connus de la Révolution Américaine et qui mènera les colonies à la guerre d’Indépendance.

Elle commence d’ailleurs avec les combats de Lexington et Concord qui se déroulèrent à une trentaine de kilomètres de Boston. Cet épisode est également connu pour la chevauchée héroïque nocturne de Paul Revere qui prit tous les risques pour prévenir les patriotes de l’arrivée de l’armée britannique. Il est assurément une des grandes figures de Boston. En 1776, Georges Washington finira par s’emparer de Boston et la guerre se termine par le traité de Versailles et la création des États-Unis d’Amérique.

Après la Guerre d’indépendance, la ville prospérera grâce au commerce international et deviendra un des grands centres manufacturiers grâce à la confection, l’industrie du cuir, la construction navale et la fabrication de machines. Ce qui attirera de nombreux migrants irlandais et italiens dans les années 1840-50.

Lorsque vous visiterez Boston, vous pourrez admirer pas moins de 16 bâtiments historiques en suivant le Freedom Trail et en flânant à travers ses nombreux parcs et jardins.

Boston est avant tout un port, alors n’hésitez pas à flâner dans ses marinas (allez jeter un œil à l’USS Constitution, le plus ancien navire de guerre encore à flots), à faire une sortie pour observer les baleines et en revenant vous arrêter pour déguster un sandwich au homard, une spécialité locale à ne pas louper !

Boston est avant tout un port, alors n’hésitez pas à flâner dans ses marinas (allez jeter un œil à l’USS Constitution, le plus ancien navire de guerre encore à flots), à faire une sortie pour observer les baleines et en revenant vous arrêter pour déguster un sandwich au homard, une spécialité locale à ne pas louper !

Sinon, vous pouvez également déjeuner au Faneuil Hall Market, vous trouverez en face Quincy market, North market et South market des marchés couverts où vous trouverez forcément ce qui vous convient.

Enfin, vous pouvez terminer votre journée au Paradise Boston, une salle de concert ayant accueilli de grands noms du Rock depuis 1977… Oh, et n’oubliez pas également de passer à Fenway Park ! Le stade de baseball date de 1912 (ce qui en fait le plus vieux stade encore utilisé) mais il est surtout le foyer des célèbres Red Sox.

Nos programmes basés sur l’est des États-Unis vous permettront de découvrir cette ville historique :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/nouveau-monde-tours-143

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/new-england-tours-142

Comme on vous le disait en préambule sur Facebook, Kanab fut appelé dès la fin des années 20 « Little Hollywood ».

L’histoire commença en 1924, avec un premier film tourné dans ces contrées arides : «Deadwood Coach » de Tom Mix.

Dans les années 30, les frères Parry, guides au parc de Zion, prirent contact avec les sociétés Hollywoodiennes pour leur proposer des lieux de tournage adéquats. C’est ainsi que « Little Hollywood » naquit. La région offre une multitude de paysages : des plaines arides, aux montagnes majestueuses en passant par des paysages rappelant les forêts de l’Est. Bref, un décor de cinéma à 360°.

En 1931, les frères Parry créèrent le Parry Lodge (toujours un hôtel à ce jour) pour répondre à la demande de logement des stars et des équipes de tournage. Ce qui permit d’ailleurs par la suite, de conserver l’attrait pour cette zone.

Pourtant en plein territoire Mormon, Kanab a vécu ses grandes heures au moment de la Prohibition, (bien que les Mormons n’approuvent pas la consommation d’alcool, ils ont ouvert des bars et des restaurants pour s’assurer que leurs bienfaiteurs hollywoodiens continueraient à venir), et l’industrie cinématographique a permis de garder cette petite ville à flot.

Dans les années 70, les goûts cinématographiques changent, le western devient moins présent et les productions changent de lieux. Mais les studios hollywoodiens continuent de temps en temps à tourner dans la région.

Les années 30 étant l’âge d’or du cinéma de western, ce sont pas moins de 200 films qui furent tournés dans la région… une petite liste non exhaustive pour les cinéphiles :

– « The Big Trail » (La Piste des Géants, 1930) avec John Wayne

– « The Dude ranger » (1934),

– « The Lone ranger » (1938),

« Stage coach » (La Chevauchée fantastique, 1939) de John Ford avec John Wayne,

– « Billy The Kid » (1941),

« Les Desperados » (1943), « Ali Baba et les 40 voleurs » (1944),

« Drums along the Mohawk » (Sur la piste des Mohawks, 1944) de John Ford, « Fort Apache » (1948),

Mais aussi :

– « La planète des singes » (1968 et 2001),

– « The Outlaw Josey Wales » (Josey Wales hors-la-loi, 1976) de et avec Clint Eastwood,

– « Maverick » (1994),

et plus récemment le « John Carter of Mars » (2012) de Pixar, mais aussi certaines scène de « Point Break« , « Mission impossible 2« , ou encore « Gravity« 

ou encore les séries « Rin Tin Tin » et « Lassie »  

Sur place, le  « Frontier Movie Town & Little Hollywood Museum » (gratuit) vous permettra de déambuler dans les décors de film abandonnés sur place ou offerts pour garder en mémoire ce patrimoine.

De plus, Kanab est au carrefour de nombreux parcs incontournables : Bryce et Zion bien sûr, mais aussi Vermillion Cliffs, Pariah, Coral Pink Sand Dunes State Park ou encore White Pocket.

(Petit secret: c’est aussi à Kanab que se déroule la loterie pour The Waves !)

Vous pourrez allez y faire un tour dans nos différents programmes :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/jackpot-tours-40

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/the-big-circle-tours-41

 https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/indian-tours-224

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/western-tours-171

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/american-dream-tours-86

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/best-of-the-west-tours-244

La Route 61, la route des Bluesmen

Éclipsée par la Mother Road (la 66), la Route 61 reste une des routes mythiques des USA à faire au moins une fois dans sa vie… Elle fut la route des bluesmen qui, en quête d’une vie meilleure migrèrent vers les industries du Nord.

Le Blues est né dans le delta du Mississipi, dans les innombrables champs de coton qui parsemaient le Sud. Les esclaves noirs, arrachés à leurs terres africaines et amenés dans le delta insalubre pour exploiter les terres, n’avaient pas le droit de se réunir, sauf le dimanche où, jour du seigneur oblige, ils avaient l’obligation d’assister à la messe. C’est là que naîtra le Gospel.

Inspiré du Gospel et des chants religieux américain, on retrouve dans le blues un mélange d’origine africaine, de chants évangélistes (les calls & response – appels et réponses souvent utilisés dans les chants gospels, une phrase appelant une réponse, un amen ou un alléluia) mais aussi de chants folkloriques irlandais, immigrants bon marché venus grossir les rangs des travailleurs pauvres du sud.

A l’abolition de l’esclavage, les esclaves maintenant libres, sont restés dans le Sud, dans les plantations, n’ayant d’autres choix qui s’offraient à eux. Même si l’esclavage était aboli, la ségrégation restait prenante, et n’étaient pas autorisés à travailler où ils le souhaitaient. Ils restèrent donc dans les plantations, travaillant pour une misère pour le compte de leurs anciens maîtres.

La ségrégation étant très prenante dans les états du Sud, les travailleurs n’avaient d’autres choix que la révolte (réprimée très durement) ou l’exil vers le Nord. C’est ainsi qu’au milieu des années 20, le blues arriva à Memphis. Memphis était le berceau de la musique Country, mais aussi le lieu où on trouvait tous les studios d’enregistrement du Sud. C’est ainsi que les premiers disques furent pressés. Le développement du Blues y fut très rapide, à tel point qu’un quartier lui fut même dédié et il s’actionne encore aujourd’hui autour de Beale Street.

On assistera aussi à ce moment-là au développement du Rythm’Blues, mélange du Blues et de la Soul remontée elle aussi du Delta du Mississipi. Viendra ensuite l’essor du Rock’nd Roll dans la même ville, avec notamment Elvis Presley.

Finalement, aucune date exacte ne ressort pour la naissance de la musique blues. Elle se transmettait apparemment de tradition orale dans les plantations. W.C.Handy, serait le premier à mettre en partition cette musique si particulière au début des années 1900. Fils d’un pasteur évangéliste, il découvrit apparemment le blues en attendant le train dans le delta du Mississipi où il fut réveillé par un  » vieux Nègre barbu qui jouait sur sa guitare avec un couteau » donnant ce son si particulier au Blues.

Dans les années 30, le Blues remonte progressivement jusqu’à St Louis, qui est un véritable carrefour de migration, soit Nord/ Sud pour les travailleurs pauvres ou bien vers la conquête de l’Ouest avec la Route 66. Le Blues intégrera à ce moment-là de nouvelles techniques comme le Flatpicking (fait de porter un médiator) venu de Caroline du Nord et se rapprochant du son du banjo.

Le Blues parle de Dieu mais aussi du Diable, ainsi la légende raconte que R. Johnson, travailleur noir des champs de coton, aurait passer un pacte avec le diable (vers 1930-1932) pour savoir jouer de cette musique comme personne. La légende perdure puisqu’aujourd’hui à Clarksdale, vous pouvez voir le monument aux 3 guitares érigé au carrefour où aurait été passé le pacte. Il mourra finalement à 27 ans en 1938, sans avoir eu le temps de connaître la gloire. Mais en 2003, le magasine Rolling Stones, l’a élu cinquième meilleur guitariste de tous les temps.

Le Blues arrive enfin à Chicago à la fin des années 30. La ville attire par le travail ouvrier en abondance, c’est une terre promise pour de nombreux travailleurs et la ville connaîtra une grosse immigration dans ces années post-dépression. Beaucoup de musiciens jouent dans les bars de la prohibition, pour oublier leur dur labeur mais qui permet de distraire les bien-pensants dans la capitale du crime.

On trouvera autour de Lawrence Street, un bon nombre de tripots qui se développent, avec notamment le Green Mills (bar de jazz et blues dans lequel on peut toujours y voir des show-case).

Le Blues devient alors une des principales attractions de la Ville. Il se développe et change avec les guitares électriques. Elles permettent d’amplifier le son et le Blues devient un Blues urbain. (Allez d’ailleurs voir la collection de guitare du Buddy Guy Club, tout en assistant à un concert).

Au final, le blues sera la base de nombreux courants : le rythm ‘and blues, le rock, mais aussi dans une certaine mesure le slam ou le hip-hop.

Alors, prêt à rouler dans les pas des bluesmen du sud remontant vers la liberté ? découvrez notre programme sur notre site :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/route-du-blues-tours-72

Buffalo Bill : une légende du Far West.

Né en 1846 dans l’Iowa, William Frederick Cody, est l’une des figures les plus connue du grand ouest.

Vivant par la suite au Texas, il verra son père anti-esclavagiste, poignardé sous ses yeux lors d’une bagarre. Il n’avait que 14 ans lorsqu’il participera à la Ruée vers l’or des Pike Peak dans le Colorado, et deviendra en 1861, le plus jeune cavalier à franchir les Rocky Mountains. Il travaillait alors pour le Pony Express, célèbre société de coursier qui joignait le Missouri à la Californie (la ruée vers l’or de la Californie ayant eu lieu une dizaine d’année auparavant et avait considérablement augmenté la population de ce tout jeune état).

Il fut dans le même temps actif dans la Guerre de Sécession et dans les guerres indiennes au côté du Général Custer en étant éclaireur.

A la fin de la guerre, il fut engagé par la Kansas Pacific Railway (compagnie travaillant sur le chemin de fer transcontinental) afin de chasser les bisons destinés à nourrir les ouvriers. Il aurait alors gagné son surnom de Buffalo Bill, en tuant un nombre important de bisons (selon la légende, 69 en une seule journée), contribuant ainsi à la disparition de cet animal, car il n’était pour beaucoup tués que pour le prestige.

Buffalo Bill, st surtout connu mondialement pour son spectacle le Wild West Show, un spectacle populaire reproduisant les scènes mythiques du Far West américain et la vie des Indiens des Plaines, qu’il a créé en 1883 à Omaha, dans le Nebraska.

Buffalo Bill, st surtout connu mondialement pour son spectacle le Wild West Show, un spectacle populaire reproduisant les scènes mythiques du Far West américain et la vie des Indiens des Plaines, qu’il a créé en 1883 à Omaha, dans le Nebraska.

Il y regroupera Calamity Jane, et Annie Oakley mais aussi le grand chef indien Sitting Bull et contribuera à répandre le mythe de la conquête de l’ouest. La troupe se produira pendant plus de 30 ans à travers tout les USA mais aussi plusieurs tournées en Europe et participera notamment à l’exposition universelle de Paris en 1889 (la même année que la construction de la Tour Eiffel !). Il n’arrêtera les tournées du show qu’au début des années 1910.

Entre temps, dès 1876, il participera à la fondation de la ville de Cody (qui portera finalement son nom), destinée au tourisme naissant du parc de Yellowstone, (ce fut le premier parc national à être créé aux États-Unis en mars 1872. Dans le centre-ville de Cody, on peut toujours admirer (et y dormir !) l’hôtel qu’il construisit en 1902 et nomma ainsi en l’honneur de sa fille cadette. L’hôtel abritera d’ailleurs un temps son amie Calamity Jane.

Envie de marcher sur les pas de cette légende du Far West ? Découvrez notre programme Rocky Mountains Tours, qui vous fera découvrir Cody, mais aussi Buffalo, Sheridan et bien sûr le parc de Yellowstone :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/rocky-mountain-tours-249

Les années 30 furent très dures aux USA, après la grande dépression de 1929. Le sud des Etats-Unis fut touché plusieurs années de suite par des orages violents et des tempêtes de poussière.

Le centre des USA (Oklahoma, Texas, mais aussi Kansas, Colorado, Nouveau-Mexique) n’était à l’origine que des plaines où paissaient les bisons et vivaient les amérindiens mais les progrès de l’agriculture et des années fastes en hygrométrie ont poussé les familles d’agriculteurs à s’installer et exploiter, dès les années 1890, ces régions encore peu aménagées.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est immigration-dust-bowl-1.jpg.

Mais les années 1930 furent des années de sécheresse et d’aridité, et l’agriculture intensive avait entraîné une érosion anticipée des sols. Les différentes tempêtes furent violentes et recouvrirent d’une épaisse couche de poussière rendant les terres stériles. Ces catastrophes naturelles jetèrent sur les routes des milliers d’américains (un exode estimé à près de 3 millions de personnes) et notamment sur la célèbre Route 66, qui tentaient de rejoindre une Californie ayant encore une image d’Eldorado.

La 66 est la route des réfugiés, de ceux qui fuient le sable et les terres réduites, le tonnerre des tracteurs, les propriétés rognées, la lente invasion du désert vers le nord, les tornades qui hurlent à travers le Texas, les inondations qui ne fertilisent pas la terre et détruisent le peu de richesses qu’on y pourrait trouver. C’est tout cela qui fait fuir les gens, et par le canal des routes adjacentes, les chemins tracés par les charrettes et les chemins vicinaux creusés d’ornières les déversent sur la 66. La 66 est la route-mère, la route de la fuite.

John Steinbeck, Les Raisins de la Colère

Créée dans les années 20, la route 66 fut pendant de nombreuses années un des axes majeurs des USA. Avec l’explosion du Fordisme et le développement de l’industrie automobile, il était nécessaire que l’Amérique se dote d’axes routiers digne de ce nom. Le projet fut réalisé entre 1926 et 1937, permettant aux « Okies » et « Arkies » (nom donné aux migrants même s’ils ne venaient pas tous de l’Oklahoma ou de l’Arkansas) en exil de trouver du travail en participant au pavement de celle-ci.

Elle fut ainsi la première route goudronnée des USA d’où son surnom de Mother Road (route mère) ou Main Street (rue principale) of USA.

La Route 66 connaîtra son apogée avec les années 40 et 50. Avec la seconde guerre mondiale, elle permit d’acheminement des troupes et du matériel à travers le pays. Puis dans les années 50, au renouveau des USA, elle fut le symbole des premières vacances et de la démocratisation du voyage. Elle permit aussi aux américains de découvrir les tout nouveau parcs nationaux fraîchement déclarés.

Son déclin commencera dans les années 60 avec la création des Interstates, qui remplaceront progressivement les Routes Nationales. Peu à peu la route n’est plus entretenue, les panneaux sont décrochés et les villes deviennent fantômes…La 66 se meurt.

 Mais c’était sans compter sur une poignée d’irréductibles qui décidèrent à la fin des années 80 de mettre en place des associations de sauvegarde de celle-ci. Une des plus grandes figures du mouvement est Angel Delgadillo, qui tient encore aujourd’hui un barbershop-boutique à Seligman. Il préside la Arizona Route 66 Association, qui fût la première des associations de sauvegarde de la Route 66. Il est aujourd’hui suivi par de nombreuses autres dans chaque état, le gouvernement reconnaissant à travers le nom de Historic Route 66, le rôle fondamental qu’elle a jouée dans l’histoire des États-Unis. 

Retrouvez notre programme Route 66 Tours, sur notre site :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/route-66-tours-88

Et pour une traversée des états unis combinée avec les principaux parcs nationaux, jetez un œil sur notre programme Route 66 & Parcs nationaux :

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/etats-unis/r66-parcs-nationaux-tours-46

Notre nouvelle rubrique LE SAVIEZ-VOUS sur Facebook, vous reportera chaque semaine ici pour un nouvel article et de nouvelles découvertes…

 « Easter bunny » (le lapin de Pâques) est maintenant une institution aux USA, cette tradition viendrait en fait des immigrants allemands qui arrivèrent sur le continent entre le 18° et 19°siècle (ils seraient en réalité la plus grosse vague migratoire des Usa et constitueraient aujourd’hui près de 17% de la population américaine).

Cette tradition remonterait aux temps immémoriaux de l’Allemagne préchrétienne. A l’époque, les Teutons vénéraient Eoutre, une déesse de la fertilité dont le symbole était … le lapin. Comme beaucoup de choses, les traditions furent gardées lors de la conquête chrétienne (tout comme Noël par ailleurs).

Finalement, les œufs furent également associés au renouveau du printemps (symbole de fertilité) et à la renaissance de Jésus. Petits à petit, les paniers remplacèrent les nids et les gourmandises, les œufs naturels peints.

Aux Usa, les œufs ne sont pas en chocolats, mais en plastique (afin d’éviter les maladies) et sont remplis de friandises et autres chamallows, (notamment les célèbres Marshmallows Peeps). Ils donnent aussi lieu à des courses effrénées dans les jardins le dimanche de Pâques (pas de lundi férié, nous sommes aux USA tout de même !)

C’est notamment, une tradition vieille de 140 ans à la Maison Blanche. Tous les ans, les présidents invitent des enfants (liste déterminée par un tirage au sort) à la fameuse « Easter Egg Roll », une chasse aux œufs géante dans les jardins présidentiels. Elle fut aussi un symbole politique, quand Mme Eisenhower y invita des enfants noirs pour la première fois dans les années 50.

Outre Washington DC, les célébrations de Pâques revêtent une grande importance à New York, une très belle célébration dans la cathédrale Saint-Patrick, une chasse aux œufs géante dans Central Park et surtout une grande parade mémorable entre la 49ième et la 57ième rue. L’occasion de porter des chapeaux extravagants et de fêter le retour du printemps.

N’hésitez pas à nous demander conseils pour organiser votre prochain séjour à New York !

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Voyage à Moto aux USA, CANADA et Afrique du Sud

Pour que vos rêves les plus fous deviennent réalité, nous sommes à votre services.

Notre fierté, c’est d’être Numéro 1 en proposant le plus large éventail de voyages pour des passionnés d’aventures. La sécurité, c’est l’assistance que nous apportons à chacun tout au long de son séjour.

Que ce soit au guidon d’une moto (Harley-Davidson, Indian, Honda, Suzuki ou BMW), d’un Trike, d’un Can-AM au volant d’une voiture, nous apportons une organisation irréprochable pour les amoureux des grands espaces et toujours en toute sécurité.

Des milliers de personnes nous ont fait confiance et sont revenus émerveillés, grâce à nos différentes formules et notre savoir-faire.
Nous avons été les premiers à organiser, il y a vingt ans, des voyages à la carte lors de la Bike Week à Daytona Beach, la plus grande concentration de motards au monde.

Nos quatre formules adaptées à tous les budgets ont toujours connu un grand succès et sont restées sans concurrence :
1° des circuits accompagnés pour ceux qui désirent voyager en toute tranquillité,
2° des circuits individuels pour les indépendants,
3° des voyages sur mesure pour ceux qui ont une idée bien précise de leurs étapes,
4° Et enfin, la location seule de Moto ou de Trike.

Ces quatre formules sont notre fierté, ainsi que tous les voyages que nous avons organisés à l’occasion des plus grands événements moto, comme le Tourist Trophy , Black Hills Rally SturgisBikeFest Las Vegas et bien sûr la Bike Week à Daytona Beach.

Beaucoup d’autres projets sont en attente, et permettront de satisfaire nos clients avides de nouvelles découvertes et de nouvelles sensations.

N’hésitez pas à nous consulter, pour tout autre projet ou événement, vous serez très surpris par notre rapidité et efficacité. 

See you on Tour ! Toute l’équipe d’AMT vous remercie de votre confiance

Route 62 Tours – L’Afrique du Sud en Harley-Davidson – 16 Jours

Saisissez l’âme d’un autre continent aux couleurs multiples pour un voyage passionnant. L’Afrique du Sud peut s’enorgueillir de posséder la plupart des panoramas de la planète, depuis les régions fertiles tempérées par les alizés atlantiques jusqu’aux plateaux luxuriants de l’Océan Indien. Ce pays multiculturel vous offrira une expérience rare grâce à sa richesse humaine et ses paysages sans limites!

Prochain départ en formule accompagnée : le 7 novembre 2020

https://www.american-motors-travel.com/voyage-a-moto/afrique-du-sud/route-62-tours-125

Daytona Beach Bike Week 2019

Plus que quelques places pour assister à la 78eme édition.

Une semaine de rêve pour ne rien louper de la Bike Week à Daytona Beach à moto ou en auto. Nous vous accompagnerons tout au long de votre séjour pour vous informer de toutes les activités (courses, shows, concerts, et les concours spectaculaires que seuls les américains savent inventer). Des permanences en français sont assurées par notre accompagnateur bilingue professionnel. Vous ne louperez rien et vous pourrez organiser au mieux vos journées, en toute liberté. Vous pourrez assister aux exhibitions des plus belles Harley, aux courses sur l’anneau de vitesse, au Super Cross et au Dirt Track la nuit. Le spectacle est partout dans Main Street, dans la rue, sur la plage, de jour comme de nuit, une semaine de bonheur que vous n’êtes pas près d’oublier. Le soir, dans les bars, on commente entre copains les concerts, les concours de T-shirts mouillés, de bras de fer, de tatouage et de bagarres de très jolies filles dans la boue.

Infos & Resas sur : http://www.american-motors-travel.com/evenements.php

San Francisco est une ville iconique des États-Unis, connue pour ses collines, ses rues emblématiques, et ses quartiers animés. Lors de votre visite, choisir le bon moyen de transport peut vous aider à explorer la ville facilement et sans stress. Voici un guide des principaux moyens de transport à San Francisco, avec leurs avantages, inconvénients, et quelques conseils pratiques.

Le Muni : Tramway, bus et trolleybus

Le Muni est le réseau principal de transports en commun à San Francisco, incluant les célèbres tramways (Cable Cars), les bus et les trolleybus. Il couvre la majorité de la ville et vous permet de rejoindre facilement les principaux points d’intérêt touristiques. Très pratique pour se déplacer dans les quartiers populaires (Fisherman’s Wharf, Union Square, etc.), avec bonne fréquence de passage. Evitez tout de même les heures de pointe assez prisées…

Tarifs : Un ticket simple coûte environ 3 $ et est valable pendant 2 heures. Les célèbres tramways historiques coûtent 8 $ par trajet.

Application mobile : Utilisez l’application MuniMobile pour acheter vos billets directement sur votre téléphone et consulter les horaires en temps réel.

Formule : Métro, Bus, Tramway et Cable CarPrix guichetPrix sur appli mobile
1 jour24$13$
3 jours36$31$
7 jours47$41$

Les cable cars sont emblématiques de San Francisco. Ils fonctionnent sur des rails et sont tirés par un système de câbles souterrains. Ils sont particulièrement prisés des touristes, offrant un moyen pittoresque et authentique de découvrir la ville, en particulier les quartiers historiques. Très fréquentées par les touristes, trois lignes sont en fonctionnement et desservent des zones touristiques populaires comme Chinatown et Nob Hill. Mais sincèrement, en haute saison, c’est un peu comme Alcatraz, il faut prendre son mal en patience et faire la queue. Pour éviter un peu la cohue, ne montez pas à Market Street ou évitez de le prendre au niveau du point de départ, marchez jusqu’à l’arrêt suivant et privilégiez les arrêts intermédiaires sur les trois lignes encore en service. 

Le tarif d’un trajet est fixé à 8 $, quel que soit la distance ou le passager. Les billets peuvent être achetés aux terminus ou directement à bord, à condition d’avoir l’appoint exact. Les trajets sont inclus dans le Pass MUNI 😉 Cependant, si vous achetez un Clipper Card classique ou utilisez un simple billet Muni, les trajets en cable car ne sont pas inclus.

Lignes principales : Powell-Mason, Powell-Hyde, et California Street.

Le BART (Bay Area Rapid Transit) : Métro régional

Le BART est une ligne de métro qui relie San Francisco aux villes voisines de la baie, comme Oakland et Berkeley, mais il est aussi pratique pour se déplacer dans certains quartiers de la ville et pour aller à l’aéroport. Très rapide pour les longues distances, parfait pour rejoindre l’aéroport ou les banlieues proches. Le réseau BART ne dessert pas tous les quartiers de San Francisco. Le service est limité à certaines zones.

Tarifs : Les prix varient en fonction de la distance parcourue, mais pour des trajets intra-urbains, comptez environ 2 à 4 $. Trajet vers l’aéroport (SFO) : environ 10 $.

Application mobile : Vous pouvez utiliser l’application BART Official pour planifier votre trajet et acheter des billets électroniques.

Location de vélo et trottinette électrique

San Francisco propose également de nombreuses options pour louer des vélos ou des trottinettes électriques, via des services comme Lime, Bird ou Jump. Ces moyens de transport sont populaires pour explorer les quartiers proches ou pour se déplacer sur de courtes distances. Une façon amusante et rapide d’explorer certains quartiers, comme le long du front de mer ou dans le parc Golden Gate 🙂

Application mobile : Les applications Lime et Bird vous permettent de trouver et déverrouiller les trottinettes autour de vous. Proche Fisherman’s Wharf : Blazing Saddles, Bay City Bike, Unlimited Biking ou San Francisco Bicycle Rentals (également Union Square) font parties des sociétés qui proposent de la location de vélo. Le plus souvent pour traverser le Golden Gate Bridge.

Se déplacer, se repérer, se garer, manger, ou encore se soulager … ! Pour optimiser votre expérience et éviter les désagréments, voici notre sélection des 10 meilleures applications mobiles qui rendront votre voyage encore plus agréable et sans stress, et vous permettront de profiter de votre road trip aux USA plus sereinement 😉

1. Google Maps : votre guide universel

Google Maps reste incontournable avec des itinéraires précis, des suggestions de restaurants, d’attractions et de services à proximité, cette application est un must. Vous pouvez également télécharger des cartes hors ligne pour les zones où la connexion est faible, ce qui est particulièrement utile lors d’un road trip. Par ailleurs, nos guides personnalisés se basent sur cet outils pour que chaque étape soit déjà tracée.

2. Waze : Navigation en temps réel

Waze est une application de navigation communautaire qui fournit des informations en temps réel sur la circulation, les accidents et les dangers sur la route. Les alertes communautaires vous aident à éviter les embouteillages et à trouver le meilleur itinéraire possible. Idéal pour les grandes villes, retrouvez notre article sur les GPS pour compléter votre sélection.

3. iExit : sortez à la prochaine !

iExit est conçue pour trouver les services et les commodités disponibles aux prochaines sorties d’autoroute. Que vous ayez besoin de faire le plein, de manger un morceau, ou simplement de faire une pause, iExit vous montre toutes les options disponibles à quelques kilomètres de votre itinéraire !

4. ParkMobile : se garer facilement

ParkMobile vous permet de trouver et de comparer les prix des parkings disponibles autour de vous. L’application fournit des informations en temps réel sur la disponibilité des places de parking, les prix, vous faisant gagner du temps et vous évitant le stress de chercher une place dans les grandes villes.

5. Mapstr : Cartographiez vos endroits préférés

Mapstr vous permet de sauvegarder et de partager vos endroits préférés sur une carte interactive. Vous pouvez organiser vos recommandations par catégorie et les partager avec vos amis. C’est un excellent outil pour garder une trace des restaurants, cafés et attractions que vous souhaitez visiter. Bien que nous vous invitons à les sauvegarder via maps directement.

6. Tip Calculator : Calcul des pourboires

Aux États-Unis, les pourboires sont courants et souvent attendus. Tip Calculator vous aide à calculer facilement le montant du pourboire à laisser en fonction du service reçu et du total de votre addition. C’est un outil simple mais très pratique pour éviter les confusions et s’assurer de toujours donner un pourboire adéquat.

7. Tricount : les bons comptes entre amis

Tricount est une application mobile et web conçue pour faciliter la gestion des dépenses partagées. Grâce à son interface intuitive, vous pouvez créer un « tricount », y inviter vos amis, et ajouter vos dépenses en quelques clics. L’application se charge ensuite de répartir équitablement les frais entre tous les participants.

8. Lyft : pensez aux VTC pour les transferts

Besoin de trouver un transfert rapidement vers votre hôtel ou l’aeroport ? Lyft est l’application qu’il vous faut pour des trajets simples. Lyft est une application de covoiturage qui met en relation des passagers avec des conducteurs privés pour des trajets urbains ou interurbains. Disponible dans de nombreuses villes à travers le monde, Lyft propose une alternative pratique aux taxis traditionnels et aux transports en commun. C’est le concurrent principal d’Uber aux USA.

9. Deepl : l’appli qui traduit !

DeepL est un traducteur en ligne qui utilise des réseaux neuronaux pour fournir des traductions plus naturelles et précises que celles offertes par les autres services de traduction. Grâce à son moteur de traduction puissant, DeepL est capable de comprendre le contexte et les nuances des textes, offrant ainsi des résultats proches de la perfection. A noter l’application de traduction la plus connue est Google Translate.

10. Ector : le service de voiturier intelligent pour vos voyages !

Ector est une application mobile qui propose un service de voiturier à la demande dans les aéroports (dont CDG, Marseille, Toulouse, Lyon, Bordeaux …) & certaines gares. Ector vous permet de déposer votre voiture à un endroit précis et de la retrouver à votre retour, sans vous soucier du stationnement, bien plus économique et pratique (avec des options de lavage, entretien …), renseignez-vous dès à présent avec notre code promo : AMT15 (15 € de remise pour votre première réservation).

Vous voilà parés pour un virée optimisée ! Ce ne sont que des suggestions d’application, libre à vous de choisir ce qui vous convient selon vos usages 🙂 Il ne reste plus qu’a les télécharger et vous voici fin prêt ! Bon voyage …

Recherche Forfaitiste / Conseiller Commercial Voyages (H/F)

Le profil recherché

Titulaire d’un permis B valide, vous avez déjà une première expérience en agence de voyage, connaissance d’un GDS (ou notion) et un niveau d’anglais intermédiaire (suffisant pour échanger par écrit au moins). De nature organisée et autonome, vous souhaitez rejoindre une équipe dynamique dans un environnement challengeant. Le petit plus : connaissance à l’une de nos destinations (et permis A ou A2).

Poste polyvalent & évolutif :

  • Concevoir l’assemblage de prestations (transport, hébergement, activité & location) 
  • Gérer vos réservations
  • Assurer le suivi auprès de nos prestataires 
  • Facturation
  • Carnet de voyage
  • Fidéliser les clients
  • En fonction de vos envies : gestion & développement communication / marketing …

Embarquez avec nous pour cette nouvelle aventure professionnelle ! Nous vous accompagnerons dans votre progression au travers de formations continue (techniques de ventes, GDS, destinations), dans un environnement agréable (centre-ville, très bien desservi) avec une équipe conviviale et une clientèle sympathique ! Qui sommes-nous?

Envoi de CV par email à charlene@amtpromotion.fr en précisant votre disponibilité pour le poste pour un premier entretien (par téléphone).

Rémunération sur 12 mois selon profil + variable sur objectifs à déterminer ou prime + mutuelle + tickets restaurants (carte) + prise en charge transport & voyage (annuel) / déplacement et heures sup. rémunérées.